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🏅 Quel(s) record(s) vont être battu(s) pendant la quinzaine des JO ? Allons-nous assister à une disruption, à une révolution parmi les épreuves ? En 1976, à Mexico, le jeune Dick Fosbury s'élance lors du saut en hauteur et, abandonnant la technique ventrale, il révolutionne la pratique avec son "Fosbury Flop", saut dorsal alors inédit ! Avec 2,24m, il décroche l'or olympique. 🥇 Le record du monde de saut en hauteur de 2,45m est détenu depuis plus de 30 ans par Javier Sotomayor. Y aura-t'il cette année un ingénieux sauteur proposant de nouveau une rupture de paradigme, permettant de s'envoler à plus de 2,50m ? Hier, la Sud-Coréenne Sihyeon Lim a pris la première place de la compétition de tir à l'arc à l'occasion du tour de classement en établissant le nouveau record du monde de sa discipline, en cumulant 694 points sur 720 possibles. Bien que sa performance soit exceptionnelle, elle n'a pas révolutionné la discipline. Verrons-nous dans d'autres disciplines des techniques radicalement différentes, offrant aux athlètes la possibilité de pulvériser les records en place ? Les jeux olympiques seront alors un nouvel exemple d'impossible littéralement dépassé. La quinzaine à venir nous le dira. #impossible #jeuxolympiques #créativité #disruption #innovation Delphine DESGROUX EVESQUE Martina Bayers Julia Haddad Sophie De Baets Olivier Massa

RÉINVENTER LE SPORT EN MODE DE "FOSBURY FLOP" Dans les ateliers de créativité, je raconte souvent l'histoire de Dick Fosbury. Un athlète hors du commun qui a eu une IDÉE IMPOSSIBLE de sauter à l'envers !!! Personne a fait cela avant lui et il a carrément changé la discipline et instauré un nouveau statu quo. On appelle cette technique créative DES SOLUTIONS PARADOXALES. C'est assez simple (faire à l'opposé des autres) mais disruptif, donc il faut avoir le courage et la persévérance d'aller jusqu'au bout. Car tout le monde vous dira que "vous êtes un fou/une folle". Pour cette journée d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, je souhaite à tous les athlètes d'être assez fous pour changer l'histoire ! Surprise-en septembre on va vous dévoiler un projet important qui rejoint le sport, la créativité et l'apprentissage actif. J'ai hâte de vous en dire plus. Profitez bien des JOs ! #jeuxolympiques #Paris #CréativitéAppliquée #innovationdanslesport #disruption #innovationParis #impossible

🤺 🇫🇷 A 146 jours des Jo de Paris, 2024, la Fédération Française d’Escrime se serait bien passée des coups de projecteurs orientés vers elle. Hugues Obry, a démissionné jeudi de son poste de manager de l’équipe masculine. Gauthier GRUMIER, qui était son adjoint et qui a décroché l’or par équipes au Brésil en 2016, a été nommé ce vendredi manager général de l'épée hommes. A lui de calmer les esprits : trois tireurs phares, Romain Cannone, champion olympique en titre, Yannick Borel, champion du monde 2018, et Alexandre Bardenet, cinquième mondial, ont récemment quitté l’INSEP - Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance… -Hugues Obry pourrait garder un rôle technique à l’Insep-. Ce passage de témoin, intervient, quelques jours après la suspension pour dopage d’Ysaora Thibus qui dément et se défend - voir les posts précédents -: « Il est impératif que je puisse présenter ma défense dans le cadre d’une procédure accélérée visant à lever ma suspension pour me permettre d’y participer ». Ces faits interviennent après la démission en septembre dernier du Président de la FFE, Bruno Gares officiellement pour "raisons personnelles ». Grégory Lafon, vice-président de la fédération en charge du haut niveau et de la communication : »Je ne vais pas vous cacher qu'on préférerait qu'il ne se passe rien de tout cela. Effectivement on est confrontés à un certain nombre de difficultés. Maintenant, notre truc c'est de trouver un fonctionnement jusqu'au Jeux qui soit durable et qui favorise la performance. On a confiance en nos cadres techniques, on a confiance en nos tireurs. On ne regarde pas dans le rétro, on essaie de trouver des solutions partout. » Espérons que le monde de l’escrime retrouve son calme : En 2021, aux Jo de Tokyo, l'escrime a été le sport qui a rapporté le plus de médailles à la France (5) derrière le judo (8). Les épreuves se dérouleront du 27 juillet au 4 août dans la nef du Grand Palais. Un cadre magique, propice à des exploits ! Fédération Française d'Escrime, Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF)

Au centre d’entraînement de La Gaillette, le milieu de 29 ans enchaîne les exercices avec le sourire. Un sourire qui ne quitte plus le visage d’Adrien Thomasson depuis son arrivée cet été au Racing Club de Lens. Recruté pour environ 4 millions d’euros en provenance de Strasbourg, le natif de Bourg-Saint-Maurice semble s’être parfaitement adapté à sa nouvelle équipe. Un milieu de terrain polyvalent Formé à Annecy puis à Évian Thonon Gaillard, Adrien Thomasson a toujours été un joueur polyvalent capable d’évoluer à différents postes au milieu de terrain. Une polyvalence qu’il a continué de cultiver lors de ses expériences à Vannes, Nantes et Strasbourg. Ma polyvalence est à la fois une force et parfois une faiblesse. À Strasbourg, j’ai joué à peu près à tous les postes au milieu. – Adrien Thomasson C’est d’ailleurs cette capacité d’adaptation qui a séduit Franck Haise, l’entraîneur lensois, au moment de le recruter. Le coach artésien avait besoin d’un profil pour venir concurrencer Seko Fofana et Cheick Doucouré au poste de milieu relayeur dans son système en 3-5-2. Un nouveau rôle devant la défense Mais c’est finalement un cran plus bas, directement devant la défense, qu’Adrien Thomasson a été positionné lors de la préparation. Un poste autrefois occupé par un certain Didier Deschamps chez les Sang et Or. L’ancien Strasbourgeois n’a pas tardé à faire sien ce nouveau rôle, enchaînant les prestations de haute volée. Sa qualité de passe, sa vision du jeu et son abattage dans l’entrejeu font merveille. Des qualités soulignées par son coéquipier Seko Fofana : Adrien nous apporte beaucoup par sa justesse technique et sa science du placement. C’est un joueur très intelligent dans le jeu. – Seko Fofana Un surnom évocateur Avec ce nouveau positionnement, Adrien Thomasson a même hérité d’un nouveau surnom dans le vestiaire lensois : “DD”, comme Didier Deschamps. Un surnom qui en dit long sur son importance dans le dispositif de Franck Haise. Interrogé sur cette comparaison flatteuse, le principal intéressé préfère garder les pieds sur terre : C’est juste un surnom sympathique que mes coéquipiers m’ont donné. Je ne me compare pas du tout à Didier Deschamps qui a eu une immense carrière. J’essaye juste d’apporter mes qualités à l’équipe à ce poste. – Adrien Thomasson Un début de saison remarquable Titulaire indiscutable depuis le début de saison, Adrien Thomasson impressionne par sa régularité et son volume de jeu. D’après une source proche du club, il est l’un des joueurs qui parcourt le plus de kilomètres par match en Ligue 1. Des statistiques qui illustrent parfaitement son investissement sans faille pour l’équipe. Son entente technique avec Seko Fofana et ses projections vers l’avant apportent une réelle plus-value au jeu lensois. Alors qu’il s’apprête à disputer le derby du Nord face à Lille ce week-end, Adrien Thomasson espère bien continuer sur sa lancée et guider Lens vers les sommets. Un derby qui pourrait lui...

Parmi les magnifiques histoires des championnes et des champions olympiques, une a tout particulièrement retenu mon attention, je la trouve vraiment inspirante. Elle a connu les hauts et les bas à plusieurs reprises et qu'elle a dû surmonter un nombre incroyable de défis. J'y vois aussi un parallèle avec les parcours des entrepreneur.e.s, la persistence et la résilience nécessaire pour atteindre ses objectifs. C'est l'histoire de Pauline Ferrand-Prévot, une véritable polyvalente du cyclisme, qui a dû surmonter de nombreux obstacles au cours de sa carrière : La polyvalence : Bien que sa polyvalence soit une force, elle peut aussi être un défi. S'entraîner pour différentes disciplines demande une gestion rigoureuse du temps et de l'énergie, et peut parfois impacter les performances dans une discipline spécifique. Les blessures : Comme tous les athlètes de haut niveau, Pauline Ferrand-Prévot a connu des blessures qui l'ont éloignée des compétitions pendant de longues périodes. Ces blessures peuvent être physiques, comme des fractures ou des tendinites, mais aussi mentales, car elles mettent en doute la capacité à revenir au plus haut niveau. La pression médiatique : En tant que l'une des meilleures cyclistes mondiales, elle est sous les feux des projecteurs. La pression médiatique peut être importante, surtout lorsqu'elle doit enchaîner les succès. Ses larmes sur le podium montrent à quel point les émotions s'expriment (et peuvent nous submerger) en raison de cette pression médiatique. La concurrence : Le niveau en cyclisme féminin est de plus en plus élevé. La concurrence est féroce et les adversaires sont nombreuses et talentueuses. La question de l'équilibre vie personnelle/vie professionnelle : Concilier une carrière de sportive de haut niveau avec une vie personnelle peut être difficile. Les déplacements, les entraînements intensifs et les compétitions prennent beaucoup de temps et d'énergie. Un obstacle marquant dans la carrière de Pauline Ferrand-Prévot a été la découverte d'une endofibrose iliaque, une maladie rare qui comprimait ses vaisseaux sanguins et provoquait des douleurs intenses lors des efforts prolongés. Cette maladie l'a obligée à prendre une pause. Elle a réussi à surmonter cet obstacle grâce à une opération et à une rééducation intensive. Malgré ces difficultés, Pauline Ferrand-Prévot a toujours fait preuve d'une grande détermination et d'une volonté de fer. Ces qualités, associées à son talent indéniable, lui ont permis de devenir l'une des plus grandes cyclistes de sa génération. Elle a quasiment tout gagné et a désormais une médaille d'or olympique. Et vous quelle est l'histoire d'un.e champion.ne qui vous a le plus inspiré pendant ces JO ? #forcementale #résilience #émotions #pressionmédiatique #équilibre #concurrence https://lnkd.in/etS9cG56

Un nouveau record du monde aux JO 2024 ! 🏋♂️ Lors de la finale des 89 kg hommes aux Jeux Olympiques de Paris 2024, Karlos May Nasar de Bulgarie a marqué l'histoire en établissant un nouveau record du monde avec un total de 404 kg. Cet exploit montre à quel point la discipline continue d'évoluer, avec des athlètes qui repoussent sans cesse les limites de la force et de la détermination. Inspiré par ces performances, je suis plus motivé que jamais à poursuivre ma formation en musculation et haltérophilie dans le cadre de mon BPJEPS. https://lnkd.in/dGDm7EmX

🏅 🇨🇵 𝟐𝟕 𝐞𝐧 𝐨𝐫, 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐥𝐚 𝐜𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝟑𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞𝐚𝐮 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐫𝐭𝐮𝐞𝐥, 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐄𝐭𝐚𝐭𝐬-𝐔𝐧𝐢𝐬. C’est la prévision de médailles qui serait obtenue par la délégation française aux Jo de Paris 2024 et qui a été établie par le fournisseur de données sportives Gracenote, à ce jour. Amélie OUDÉA-CASTÉRA "La France est et reste dans le top 3 des nations possiblement les plus titrées aux JO de Paris dans ces projections de médailles ». Avec 27 titres olympiques, l’équipe de France triplerait presque son total par rapport à 2021 Les Etats-Unis et la Chine (37 médailles d’or) devraient, selon cette prévision se partager la première et deuxième place. Top là !doit penser le sport français… Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF)

Les jeux #paralympiques viennent de s'achever et il peut être utile de dresser un bilan des médailles obtenues. La #Chine caracole en tête, ce qui est normal vu la taille de ce pays et son engagement depuis plusieurs décennies dans le sport sous toutes ses composantes, sans doute à des fins de soft power. Plus intéressant est la seconde place de la #GrandeBretagne, qui contraste avec sa 7ème place aux jeux olympiques. La troisième place des #EtatsUnis traduit peut être la moindre implication de ce pays sur ce segment, qui tranche avec sa première place aux JO. Il serait intéressant de disposer d'informations sur la couverture médiatique de ces jeux outre-atlantique. Les #PaysBas en 4ème place sont également mieux classés qu'aux jeux "ordinaires" (6ème). L'écart est encore plus marqué pour le #Brésil qui conquiert une 5ème place, assez surprenante, nettement au-dessus de son 20ème rang aux JO. L'#Italie 6ème est également mieux classée qu'aux aux JO (9ème). Il faut féliciter la performance de l'#Ukraine qui, en dépit de la guerre, se glisse à la 7ème place, nettement plus qu'aux JO (22ème). La 8ème place de la #France est honorable et encourageante pour l'avenir. Il faut toutefois poursuivre l'effort engagé, tant sur la visibilité de ces sports en France, que sur l'#accessibilité des transports en commun. J'ai été souvent agacé par certains satisfecits dans les commentaires, alors que nos transports en commun demeurent pour la plupart inaccessibles aux personnes à mobilité réduite (personnes en situation de handicap, mais aussi personnes âgée ou avec des enfants etc.). Les décideurs politiques (région, Ville de Paris, Etat) auraient beaucoup à apprendre de ce qui se fait dans les autres pays.

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 va dans le sens de rendre les athlètes plus riches. Et c'est tant mieux. 💰 Hier, j'ai découvert que les primes pour les médaillés français aux JO de Paris avaient explosé : - 80 000€ pour l'or (+15 000€ vs Tokyo) - 50 000€ pour l'argent - 20 000€ pour le bronze Mais le plus fou, c'est que certaines fédérations internationales ont décidé de saupoudrer leurs athlètes : - 50 000$ pour chaque médaille d'or en athlétisme - 100 000$ pour l'or en boxe ! Pour la première fois, gagner une médaille olympique peut vraiment changer une vie. Et c'est un progrès massif pour 2 raisons : Premièrement, parce que le succès olympique est un sommet d'investissement personnel. Des années d'abnégation et de sacrifices pour une poignée de minutes de gloire. Récompenser cet engagement à sa juste valeur est une avancée majeure. Deuxièmement, parce que cet argent va permettre aux athlètes de se consacrer à 100% à leur passion, en toute sérénité financière. Fini, les petits boulots à côté pour joindre les deux bouts. Place à l'excellence. Alors certes, l'Olympisme prône l'amateurisme. Mais soyons honnêtes : le sport de haut niveau est devenu un métier à part entière. Et tout travail mérite salaire. Les Jeux de 2024 vont propulser le mouvement olympique dans la modernité. En valorisant ses acteurs à leur juste mesure. Le temps des amateurs fortunés est révolu. Bienvenue aux professionnels de l'effort.

C’était l’un des grands espoirs de médailles pour la France lors de ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Mais force est de constater que l’escrime tricolore n’a pas répondu présent, en dépit d’un soutien indéfectible du public français. Avec une seule médaille d’or remportée par les sabreuses Manon Apithy-Brunet et Sara Balzer, le bilan est bien en-deçà des attentes. Comment expliquer une telle contre-performance ? Retour sur un parcours semé d’embûches. Un cadre sublime mais des querelles en coulisses Pourtant, tous les ingrédients semblaient réunis pour une moisson de médailles historique. Outre des athlètes talentueux et expérimentés, les épreuves d’escrime se déroulaient dans l’écrin majestueux du Grand Palais. Un cadre idyllique qui a attiré chaque jour près de 7000 spectateurs enthousiastes, prêts à pousser derrière leurs champions. Las, les différentes armes françaises ont multiplié les déconvenues, souvent pour de mauvaises raisons. En effet, l’escrime tricolore a été minée par des querelles internes et des dissensions, bien avant le début des Jeux. Des conflits qui ont pollué la préparation des athlètes et ont eu des répercussions directes sur leurs performances. Un contexte délétère qui a totalement occulté les belles promesses entrevues. Le rayon de soleil des sabreuses Dans ce tableau assez sombre, les sabreuses ont apporté une belle éclaircie en remportant l’or et l’argent en individuel, grâce au doublé de Manon Apithy-Brunet et Sara Balzer. Un authentique exploit qui a fait chavirer le Grand Palais. Un grand moment d’émotion et de communion avec le public, qui restera comme l’un des temps forts de ces Jeux pour l’escrime française. L’épée féminine frôle l’exploit Autre motif de satisfaction : la belle performance des épéistes. Avec l’argent en individuel pour Auriane Mallo-Breton et par équipes, elles ont démontré un bel esprit de corps et de combativité. Même si la frustration prévaut avec deux défaites en finale sur la mort subite, leur parcours force le respect et laisse entrevoir de belles promesses pour l’avenir. Des fleurettistes en demi-teinte En revanche, les fleurettistes ont livré des prestations plus mitigées, en deçà de leur potentiel. Après avoir remporté le bronze par équipes en début de quinzaine, ils n’ont pas su enchaîner et sont passés à côté de leur tournoi en individuel. Des performances décevantes qui illustrent les difficultés de l’escrime tricolore à jouer collectif et à sublimer les individualités. Des leçons à tirer pour l’avenir Au final, le bilan de l’escrime française aux JO de Paris est correct mais loin des espoirs de triomphe. Avec 7 médailles dont une seule en or, les Bleus ont certes égalé leur total de Tokyo, mais le goût est amer. Le sentiment d’un gâchis et d’une occasion manquée prédomine, au regard des dissensions internes qui ont pollué le parcours. Des querelles coupables, alors que le public a répondu présent de bout en bout pour soutenir ses champions. Ce n’est pas le résulta...