Un très bel article du Le Point qui donne un coup de projecteur intéressant sur Microlino et plus généralement, sur les microvoitures. Il aborde également 📢 la nécessité d'ouvrir le débat politique 📢 autour de ces véhicules. « L'arrivée de nouvelle mobilité passe aussi par une évolution de la législation, notamment en ce qui concerne les politiques liées aux transports. Microlino a rejoint un regroupement de constructeurs de microvoitures soucieux de porter leurs messages auprès des autorités françaises. Administrativement, la Microlino est actuellement classée comme un quadricycle », explique Rémy Dumont Il poursuit : « Nous avons deux grandes demandes. D'abord, que la version avec permis soit considérée comme une véritable alternative aux voitures, ce qui implique de 💡 recevoir les mêmes aides financières que celles accordées pour l'achat de véhicules électriques. 💡 Il est important de souligner que ces quadricycles émettent trois fois moins de CO2 qu'une citadine électrique. En France, l'achat d'une voiture électrique est subventionné jusqu'à 6 000 euros, alors que les aides pour les quadricycles sont plafonnées à 900 euros. Ensuite, nous demandons à ce que l'accès des quadricycles légers soit autorisé sur certaines voies rapides, particulièrement aux abords des grandes villes. » Pour l'instant, cet accès est réglementé, mais les constructeurs plaident pour que ces véhicules puissent circuler sur des axes routiers à vitesse limitée, facilitant ainsi leur intégration dans le paysage urbain. Les questions restent ouvertes et devraient être placées au centre des débats concernant la mobilité dans nos grandes agglomérations et nos stations balnéaires. François DUROVRAY, MOBILIANS, Olga Givernet, Rémy Dumont, Microlino France
Et si l'avenir de la voiture en ville passait par la miniaturisation des véhicules ? Pour en savoir plus, découvrez l'article sur Microlino dans Le Point. https://lnkd.in/eJ8Z_vg3