Centrale Nantes - Ingénierie des low-tech

Bravo Sébastien Marécaux pour ce travail remarquable ! Ton analyse détaillée du cycle de l'eau domestique et ta proposition de solutions low-tech sont très intéressantes. J'aime particulièrement ta partie sur le pompage et les illustrations sont vraiment originales. La soutenance de travail de fin d'études était une belle prestation. Tes recherches vont certainement inspirer de nombreux projets. Félicitations pour cette belle réussite ! #lowtech#gestiondeauCentrale Nantes - Ingénierie des low-tech

Félicitations à cette première promotion #lowtech Arts et Métiers ParisTech - École Nationale Supérieure d'Arts et Métiers qui ouvre la voie à une nouvelle génération d'ingénieurs engagés pour la transition écologique. Ce voyage d'études est une étape importante dans votre parcours. Je suis impatient de voir les projets innovants que vous allez mener à bien grâce aux connaissances acquises lors de cette expérience.

Innovations #lowtech pour la défense et la sécurité. Invitation pour des élèves-ingénieurs à participer à un Hackathon

https://lnkd.in/eQneiCyE

Enquête sur l’état de la recherche autour de la #lowtech réalisée par l’ADEME. L'étude met en évidence une croissance de l'intérêt pour ce sujet, principalement dans les sciences appliquées, mais aussi dans les sciences humaines et sociales. Elle identifie les principaux freins au développement de la recherche low-tech, tels que le financement, le réseautage et la reconnaissance de la pertinence de cette approche. Enfin, l’étude propose des recommandations pour stimuler la recherche dans ce domaine, notamment en encourageant la collaboration entre acteurs académiques et non-académiques, en adaptant les financements et en valorisant les résultats de recherche. Pour télécharger le document : https://lnkd.in/e4k3hsEW

Qu'est-ce qu'un réseau de télécommunication low-tech à horizon 2040 ? Il s'agit là de mon sujet de stage à Orange Innovation à Lannion, qui dans son plan de net zéro carbone 2040, essaye d'identifier les trajectoires possibles. Or, la démarche low-tech se focalise sur ces questions : est-ce utile ? accessible ? durable ? locale ? autonomisant ? Donc, la première étape : en quoi un service de communication est-il utile ? comment l'utilisons nous ? comment pouvons nous le transformer ? C'est là que la matrice des besoins fondamentaux de Manfred Max-Neef apparaît. J'ai découvert son existence via le livre "Perspectives low-tech", écrit par Gauthier Roussilhe & Quentin Mateus et via le blog de M. Roussilhe via son article "les besoins essentiels de la low-tech". Ainsi, mon travail durant ces 6 mois de stage a été de prendre en main cet outil et d'appliquer la méthodologie afin de déterminer quels sont les maux de notre époque et vers quoi nous voulons nous diriger. L'intérêt de cette matrice est de sortir de l'approche top-down et des prévisions de l'évolution du marché pour se reconcentrer sur les usages de la population et sur ses aspirations. Selon l'auteur de la matrice, chercher à répondre précisément aux besoins humains fondamentaux nous positionnerait sous les limites planétaires. Ainsi, mon travail est d'analyser les résultats des différents workshop réalisés, de proposer une design fiction afin de challenger nos imaginaires, et enfin, déterminer les émissions associées à ce réseau. Vous trouverez ci-dessous une image sur le déroulé d'un workshop mais également de la constitution de la matrice.

Chers membres du groupe, Je suis ravi de partager avec vous une opportunité de stage passionnante proposée par la Faculté de l’Ingénierie des Installations de Bucarest, en partenariat avec l’association Climatosfera. Ce stage, qui embrasse pleinement la philosophie "Low-Tech", vise à créer un impact positif tant sur le plan social qu'environnemental. L'offre de stage est attachée à ce post et est prévue pour un démarrage à l'automne 2024 (octobre), avec une possibilité de début au printemps 2025 (février). Ce projet pourrait particulièrement intéresser les personnes engagées dans des initiatives durables. Je me tiens à votre disposition pour toute question ou information complémentaire. N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez que cette offre soit également publiée sur le "Portail Officiel" de l'université ; je suis prêt à le faire dès que vous me partagerez le lien. Bonne réception et au plaisir d'échanger avec vous sur cette belle opportunité. Bien cordialement, Julien Deltor +40-(0)756-123-103 Julien.Deltor@gmail.com

[ANNONCE] Recrutement d'un.e service civique low-tech pour le réseau normand Message de Ilan VERMEREN Bonjour à toutes et tous, 📢Je recrute ! En partenariat avec l’association des Chemins de la Transition, nous avons publié une annonce de service civique pour découvrir et partager la low-tech en itinérance en Normandie. 📌L'idée : Un voyage en itinérance en région inspiré du compagnonnage et du woofing pour découvrir et partager la low-tech, en prêtant main forte aux structures d’accueil : tiers-lieux, fermes autonomes, associations etc. Si vous êtes disposés à accueillir, n’hésitez pas à me le faire savoir par retour de mail, je consolide l’agenda des bonnes adresses ! 🏡 🗓️Quand : À partir du 25 septembre pour 8 mois, du mardi au samedi à 30h/semaine 🙋♀️Qui : Une personne de moins de 25 ans fan de low-tech, curieuse, sociable et avec le sens de la débrouille. Un goût pour la communication (photo/vidéo, réseaux sociaux) serait un grand plus ! 📸 N’hésitez pas à transmettre l'info vers vos réseaux low-tech. Vous trouverez en pièce-jointe des visuels (png & pdf) de l’annonce pour relayer ! Merci et bon été ! 🌞

La « ferme sociale », un levier pour transformer notre modèle d’agriculture ? Après un mois de trajet à vélo entre La Rochelle et Budapest pour mon déménagement (mon carnet de voyage : https://shorturl.at/alyRZ), j’ai commencé mon stage de fin d’études chez Cargonomia début mai. Le stage consiste à : ⚙ aider à la livraison de paniers de fruits et légumes 🧠 apprendre et débattre sur la décroissance 📢 représenter Cargonomia sur de nombreux évènements 💡développer des projets individuels ou en groupe liés à la coopérative 🍅 travailler 2 jours par semaine à la ferme agroécologique Zsamboki Biokert C’est de cette dernière expérience que je veux vous parler ici, tant elle soulève des questionnements précieux pour faire évoluer notre système agricole à bout de souffle. Matthew, le fondateur de la ferme, est persuadé que les fermes devraient être des lieux sociaux. Pourquoi ? 🍝 POUR mieux se nourrir Pour rendre possible les pratiques agro-écologiques, en se passant d’intrants chimiques, d’énergie fossiles, en diversifiant les variétés cultivées et en maintenant la fertilité des sols, plus de personnes doivent donner de leur énergie pour l’agriculture. À Zsámbok, beaucoup de tâches sont réalisées sans machines, principalement pour préserver la santé du sol. À l’arrivée, la qualité et la diversité des fruits et légumes produits permettent de cuisiner des repas sains et avec du goût, ce qui valorise l’alimentation végétale. 🏘 POUR recréer du lien social, entre ville et campagne notamment. Aujourd’hui, les agriculteurs et agricultrices souffrent d’isolement social et culturel à cause du manque d’attractivité des campagnes. Il paraît donc essentiel d’amener plus de passage dans ces lieux. Pour cela, Zsamboki Biokert accueille des volontaires (comme moi) quelques jours par semaine et reçoit des groupes scolaires ponctuellement. Des évènements y ont aussi lieu, tels que des chantiers participatifs, lors desquels la nourriture est assurée grâce aux fruits et légumes récoltés sur place. L’admiration montrée par toutes ces personnes apporte de la reconnaissance dans le travail de la ferme. 🤠 POUR se sentir mieux Travailler à la ferme, c’est se dépenser physiquement au milieu de la biodiversité, donc prendre soin de sa santé physique et mentale. En amenant plus de passage, la ferme devient un espace convivial où on fait des rencontres, on apprend, on rit, on se soutient, on débat, on cuisine et on célèbre ensemble. Après s’être dépensé dans les champs toute la journée, on repart avec le fruit de son travail et ça donne la pêche. 👩🌾 Aujourd’hui, les petites fermes paysannes sont systématiquement rachetées par les grosses fermes extensives voisines. Pour protéger ces lieux, protéger les gens qui les font vivre et protéger leurs savoirs-faire, il est nécessaire d’aller à leur rencontre, car l’on ne protège que ce que l’on connaît. Et c’est probablement la première étape pour en faire une ferme sociale, donc vous savez ce qu’il vous reste à faire !