Tandis que Kevin Magnussen (Haas) a atteint le seuil des 12 points de pénalité sur son permis à Monza, synonyme d’une course de suspension, d’autres pilotes se trouvent dans une situation inconfortable pour les courses à venir.
Le Grand Prix d’Italie a fait tomber l’épée de Damoclès qui gravitait au-dessus de la tête de Kevin Magnussen (Haas) depuis plusieurs semaines déjà. Son permis à points crédité de 10 unités avant l’épreuve de Monza a atteint le seuil limite de 12 points sur 12 mois, à la suite d’une pénalité de 2 points reçue pour un incident avec Pierre Gasly (Alpine).
En conséquence, Kevin Magnussen ne sera pas autorisé à participer au Grand Prix d'Azerbaïdjan, du 13 au 15 septembre. Le Danois a affiché son mécontentement à ce sujet, pointant du doigt l’incohérence des commissaires dans leurs décisions, en bénéficiant du soutien de Pierre Gasly lui-même, le Français estimant que son adversaire ne méritait pas d’être sanctionné de la sorte.
Dans une moindre mesure que Kevin Magnussen avant Monza, certains pilotes se trouvent dans une situation inconfortable pour les courses à venir. C’est notamment le cas de Fernando Alonso, dont les 8 points de pénalité ne commenceront à expirer, pour 3 d’entre eux, qu’à partir du 24 mars 2025.
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Tandis que Kevin Magnussen (Haas) a atteint le seuil des 12 points de pénalité sur son permis à Monza, synonyme d’une course de suspension, d’autres pilotes se trouvent dans une situation inconfortable pour les courses à venir.
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