L’Indycar est d’ores et déjà fixé sur l’architecture de son calendrier pour la saison 2025, après une officialisation opérée le 13 juin dernier. Le championnat de monoplaces organisé aux Etats-Unis joue la carte de la stabilité en maintenant un total de 17 courses à son programme.
Comme cette année, la discipline sera lancée dans les rues de St. Petersburg (Floride), le 2 mars prochain, et s’achèvera sur l’ovale de Nashville (Tennessee), le 31 août. L’avant-dernière manche à Milwaukee (Wisconsin) passera de deux courses à une seule, un changement numériquement compensé par l’intronisation de la deuxième étape, The Thermal Club (Californie), qui était une épreuve disputée hors championnat.
Un clash de dates avec les 24 Heures du Mans
Si le total de courses n’évolue pas, d’une année sur l’autre, la densité du calendrier est quant à elle accrue puisque la fin de la saison est avancée de la mi-septembre à la fin du mois d’août. D’ailleurs, une date semble poser problème pour des pilotes souhaitant participer aux 24 Heures du Mans, l’an prochain, celle de l’épreuve du World Wide Technology Raceway à St. Louis (Missouri), fixée au dimanche 15 juin.
En effet, au lendemain de leurs homologues de l’Indycar, les organisateurs des 24 Heures du Mans avaient annoncé que le double tour d’horloge de la 93e édition se tiendrait au cours du week-end des 14 et 15 juin 2025. Un clash de date de nature à mettre en péril l’éventuelle venue dans la Sarthe de plusieurs pilotes d’Indycar, à commencer par le Français Romain Grosjean, qui a participé à l’édition 2024 avec Lamborghini en catégorie reine Hypercar.
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L’officialisation du calendrier Indycar pour la saison prochaine donne lieu à une stabilité de 17 manches, mais l’une d’elles au mois de juin ne devrait pas être du goût de plusieurs pilotes, à commencer par Romain Grosjean.