l'Essentiel Toulon

Le fleuriste, une boutique à connaître à Hyères-les-Palmiers 💐 C'est avec le même soin qu'il apporte à vos bouquets que Donovan Rousseau a aménagé sa nouvelle boutique baptisée tout simplement « Le fleuriste ». 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr Pourquoi on en parle ? • Installé dans le quartier de la gare à Hyères-les-Palmiers, « Le fleuriste » vient tout juste d'ouvrir ses portes. • Cette boutique élégante, au style soigné et joliment décorée, est celle de Donovan Rousseau. • Fleuriste depuis de nombreuses années, il a longtemps travaillé à Paris dans l'univers du luxe avant de céder à son envie de Sud, et de tout quitter pour s'installer dans le Var. • « J'ai toujours voulu ouvrir ma boutique, je savais ce que je voulais », indique-t-il. « Après 2 belles années dans le centre-ville de Hyères-les-Palmiers, j'ai eu l'opportunité de voir plus grand et de créer un lieu à mon image. » Le concept • On y trouve des fleurs, bien sûr, mais aussi des plantes, quelques objets de décoration et un petit espace salon de thé. « J'avais envie de reproduire le concept du café parisien où l'on peut s'installer pour boire un chocolat, lire un livre, discuter... », explique-t-il. • À l'écoute de ses clients et clientes, il y compose ses bouquets avec minutie et de jolies fleurs françaises, pour la plupart issues de productions locales. • D'ailleurs, pour la Saint-Valentin qui approche, il conseille les anémones rouges. « C'est une bonne alternative à la rose. Le symbole est le même, celui de l'amour. » • Sa fleur préférée, à lui, est la pivoine. Mais il aime aussi beaucoup « les hortensias et les renoncules ». • Pour découvrir son univers et sa gentillesse, rendez-vous au 13 de l'avenue Paul-Bourget, du mardi au samedi de 10h à 19h30 et le dimanche de 10h à 13h. Pour toute demande particulière, un projet de décoration fleurie, un mariage ou autre, vous pouvez le contacter au 09 83 58 74 46. Crédit photo : Avril / La Maison Rituel Département du Var #fleuriste #commerce #proximité #hyereslespalmiers #toulon

L'entretien : Josée Massi, maire de Toulon 🏙️ Écoute. Concertation. Décision. Telle est la méthode Josée Massi, appliquée depuis bientôt 2 ans à la tête de la municipalité toulonnaise. Elle répond aux questions de l'Essentiel Toulon. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr • Quelles sont les grandes lignes pour l'année 2025 ? « Depuis que je suis maire de Toulon, j'ai à cœur de continuer le programme sur lequel l'équipe municipale a été élue en 2020, avec fidélité et loyauté, mais avec des adaptations et des ajouts. Les actions en faveur des familles, afin de faire en sorte qu'elles se sentent bien à Toulon sont importantes, bien sûr. Mais mon action ne se résume pas à ce domaine. Être maire, c'est gérer des problèmes tous les jours. Alors j'affronte, crise après crise. » • Comme celle de l'opéra ? « L'Opéra de Toulon est un équipement culturel avec une gestion autonome. Mais fidèle à mon habitude, après l'annonce du licenciement, j'ai reçu les représentants des personnels concernés ainsi que la direction et j’ai naturellement échangé avec le président de la Métropole et mes collègues maires. J'ai dit qu'en tant que maire de Toulon, j'étais prête à mettre des moyens financiers, mais en sachant pourquoi (une aide exceptionnelle de la municipalité et la suspension de la procédure de licenciement du chœur ont finalement été annoncés hier, tout comme une sollicitation pour avis de la Chambre régionale des comptes, NDLR.) C'est normal de demander une analyse financière, pour avoir une vision précise à court, moyen et long terme de la situation. » • Et du déménagement des cliniques ? « Maintenir cette offre de santé à Toulon, ce n'était pas gagné. Mais je voyais mal les habitants perdre ces équipements de proximité. C'est pourquoi j'ai eu l'idée de proposer à la clinique Saint-Jean de s'agrandir sur le terrain de l'école Sainte-Marguerite. J'y ai vu un double avantage : les infrastructures de santé restent sur place et un groupe scolaire digne de ce nom va être construit. Pour ce projet, comme pour bien d'autres, j'ai écouté, j'ai concerté puis j'ai décidé. » • C'est votre méthode ? « Tout à fait. Je consulte tout le monde car les gens ont constamment besoin d'être rassurés, d'avoir un horizon. Puis j'agis. Par exemple, une grande concertation est en cours concernant le Mourillon, avec tous les usagers et sur tous ses usages. Toulon est une ville populaire et c'est important que chacun puisse accéder aux plages. Mais de la régulation est nécessaire. Ce type d'aménagement prend du temps, comme le projet métropolitain de la place d'Armes qui est toujours dans les tuyaux ou de "De Mayol à Pipady" qui n'est pas abandonné mais se fera avec quelques ajustements. » Crédit photo : Ville de Toulon #urbanisme #concertation #décision #entretien #toulon

Portes ouvertes au campus connecté À La Seyne-sur-Mer, cet espace offre un cadre de travail adéquat et agréable à tous ceux qui étudient à distance. Il est possible de le découvrir toute la journée de 10h à 18h. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr COMMENT ÇA MARCHE • Ce mercredi, ainsi que le mercredi 5 mars, le campus connecté de La Seyne-sur-Mer vous accueille lors de journées portes ouvertes. • « C'est l'occasion de découvrir cet espace », indique Anne Pila, coordinatrice du campus connecté. « Cela permet aussi à beaucoup de personnes d'apprendre qu'il peut être un plan B si les premiers choix de Parcousup ne sont pas atteints. Pour cela, il faut bien formuler ses vœux. » • Depuis La Seyne-sur-Mer, une kyrielle de formations sont disponibles : du post-bac à bac +5, privées ou publiques, dans le droit, la santé, le sport... Il suffit que la structure mère, dans laquelle elle est dispensée, offre l'option d'un suivi à distance. • Sur place, les étudiants, de 17 à 60 ans, bénéficient gratuitement de bureaux, d'ordinateurs et de connexions internet. « Et surtout de temps pour leurs études », souligne la coordinatrice. « Beaucoup d'entre eux cumulent plusieurs activités ou ont une vie de famille et le fait de s'engager à venir travailler ici une douzaine d'heures par semaine leur garantit un temps réservé à leur projet. » EN SAVOIR PLUS • Porté par la Ville, en partenariat avec l’Université de Toulon, le campus connecté de La Seyne-sur-Mer a été inauguré en fin d’année 2021. Il est labellisé par le ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la recherche. • Situé dans l'espace Danielle-Casanova, également appelé Maison de la jeunesse, il fait partie des 85 structures de ce type existant en France métropolitaine, dont 11 en Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur. •Une vingtaine d'étudiants y sont actuellement inscrits. #campus #distanciel #formation #portesouvertes #laseynesurmer #toulon

La bonne idée : un chargeur ultra-rapide, compact et plus écologique Située dans la zone Saint-Martin à Hyères-les-Palmiers, la start-up Wise-integration lance dans quelques jours une campagne de financement participatif permettant la commercialisation d'un chargeur ultra-puissant. Plus compact, ce dernier consomme moins d'électricité et génère moins de chaleur. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr LA TOILE DE FOND • Wise integration est une société hyéroise innovante, fondée le 11 février 2020 par Thierry Bouchet, son président directeur général (PDG). • Elle est spécialisée dans la fabrication d'une nouvelle génération de composants à base de nitrure de gallium (GaN) - à la place du silicium - qu'elle associe à un circuit intelligent qui lui est adapté. C'est l'association de ces 2 éléments qui fait sa particularité et sa plus-value. • « Lorsque l'on crée une nouvelle technologie, il y a toujours un temps d'apprentissage », constate Thierry Bouchet. « Là, nous fournissons donc une solution intégrée. » • Elle s'adresse à l'ensemble des acteurs situés sur les marchés de la conversion d'énergie électrique : centre de données, industrie robotique, secteur automobile, etc. • « Le GaN offre plus de puissance dans un même volume », précise-t-il. « Cela permet de développer des produits plus compacts, qui consomment moins d'électricité et génèrent moins de chaleur. Le tout contribuant à réduire l'impact carbone de ces usages. » CE QU’IL FAUT SAVOIR • Afin de mettre en avant sa technologie et de prouver qu'elle fonctionne, l'entreprise a développé un chargeur 65 watts de type « USBC power delivery » dans lequel elle est intégrée. • Composé d'un seul port, sa puissance est maximisée. Il recharge de 20 à 80 % un téléphone en 20 minutes, un ordinateur portable en 25 minutes et une tablette en 30 minutes. • « Ses avantages sont sa rapidité de charge et sa durabilité. Il possède une durée de vie assurée de 10 ans », affirme Anthony Plane, responsable de projet. De plus, « son design est élégant et son packaging 100 % éco-responsable. » EN SUPPLÉMENT • Ce chargeur innovant et écologique sera commercialisé en juin sous le nom « The One » et à travers la marque Gazelle. Auparavant, une campagne de financement participatif va être lancée, dès le 15 février 2025, sur la plateforme Kickstarter. • Pendant 1 mois, vous pourrez alors vous le procurer en avant-première et à un prix avantageux, aux alentours de 35 €. • L'objectif pour l'entreprise ? En plus de le faire connaître, collecter 100 000 € qui seront réinjectés dans la recherche et le développement. Crédit photo : Wise Integration #startup #innovation #tech #crowdfunding #hyeres #toulon

Le portrait : Sophie-Dorothée Duron, la directrice du Parc national de Port-Cros 🏝️ Arrivée l'été dernier à son poste, Sophie-Dorothée DURON souhaite, à travers un dialogue approfondi entre toutes les communautés qui y vivent, protéger le capital environnemental du Parc national de Port-Cros. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr • Son parcours Fonctionnaire de l'État spécialisée dans les politiques maritimes et environnementales, Sophie-Dorothée Duron a déjà 25 ans de carrière. Elle a travaillé, à part égale, dans les territoires insulaires - notamment en Corse et en Polynésie française - et dans les ministères chargés de la Mer ou de l'Environnement. « Être directrice du Parc national de Port-Cros me tenait vraiment à cœur et a été une vraie démarche de ma part », souligne celle qui connaissait déjà le Var pour avoir débuté sa vie professionnelle au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée (CrossMed), à La Garde. • Ses motivations « J'avais l'envie de retravailler sur un territoire et de développer des politiques de développement durable. Et pour cela, les aires protégées ont l'avantage d'offrir un vrai espace et de vrais moyens. » Dans cette zone délimitée autour des îles de Port-Cros et Porquerolles, de 1 700 hectares de terres émergées et 2 900 hectares de surfaces marines, ses missions sont variées. Elles vont de la gestion du parc et de sa centaine d'agents à l'accueil des différents publics, en passant par le partage de la connaissance et l'accompagnement de politiques environnementales. Mais ce qu'elle souhaite par dessus tout, et qui englobe l'ensemble de ces objectifs, « c'est de faire réussir le territoire. » Pour cela, elle rencontre et écoute de nombreuses personnes afin de « comprendre les besoins et les contraintes de chacun. » • Sa vision Ayant grandi dans la région, elle est très attachée à cet espace qu'elle considère comme « un endroit miraculeux ». Un lieu emblématique, premier parc national maritime d'Europe où, dès les années 60, la biodiversité a été protégée. Mais elle ne sera pas épargnée face au défi majeur des prochaines années, « celui de l'adaptation au changement climatique, auquel nous allons être confrontés de façon extrêmement brutale. » Pour la spécialiste, la plupart des gens n'ont pas « encore conscience à quel point cela va être rapide et nécessiter des adaptations radicales. » Or, face aux risques de submersion, d'incendie et d'inondation qui menacent ce territoire, « c'est maintenant qu'il faut agir. » Crédit photo : Katia Audemard #nomination #parc #environnement #méditerranée #portcros #toulon

Trois questions à Marc Long sur le Marché aux fleurs 💐 Aujourd'hui, à 17h, se tient l'assemblée générale de la Société d'intérêt collectif agricole Marché aux fleurs (SICA Marche aux fleurs) de Hyères-les-Palmiers. L'occasion d'une rencontre avec Marc LONG, son président directeur général. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr Quel bilan tirez-vous de votre 1ère année de mandat ? • « Du côté organisationnel, ma prise de fonction en tant que président directeur général a nécessité un temps d'adaptation, d'un trimestre environ, pour l'équipe et pour moi-même. Une phase normale après un tel changement, d'autant plus que mon prédécesseur était resté 10 ans à ce poste. » • « D'un point de vue de l'activité, le Marché aux fleurs réalise une belle saison avec un résultat légèrement supérieur à l'année précédente qui était déjà une année record. Le Marché aux fleurs de Hyères est toujours le premier de France avec 62 millions de tiges de fleurs coupées vendues dans l'année. » • « Je suis très satisfait d'avoir accueilli 34 nouveaux adhérents en 2024, ce qui prouve le dynamisme de notre filière. » Quelles sont les tendances du marché ? • « La pivoine est toujours en tête de nos ventes. Et nous avons fait une belle saison 2024 avec l'anémone, la renoncule et le mimosa. » • « Pour ce dernier, ça risque d'être plus compliqué cette année, avec une production moindre en raison de la sécheresse. » • « Je suis assez optimiste pour la production locale. Il faut rappeler aux consommateurs qu'il existe une marque du Marché aux fleurs, HORTISUD. C'est un gage de qualité pour eux. » Et les défis à venir ? • « Le gros chantier qui nous attend en 2025 est celui des normes. Pour continuer à pouvoir exporter leur production, les horticulteurs devront répondre aux exigences d'une charte. Traitements, taille des parcelles, quantité d'eau utilisée... Tout doit être tracé. » • « Comme il en existe plusieurs au niveau international, nous sommes en train de réfléchir afin de choisir la meilleure, dans l'intérêt de nos adhérents, que nous accompagnons dans cette démarche comme dans leur installation et leurs investissements. » • « C'est un sujet très important car l'export représente environ 60 % de nos volumes de ventes. Essentiellement vers la Russie, la Hollande et les États-Unis. » 📸 Crédit photo : J.C. #Toulon #Marchéauxfleurs #HyèreslesPalmiers

L'entretien : Guillaume DECARD, président de Var Tourisme ☀️ Pour le Var, le bilan de la fréquentation touristique en 2024 est excellent. Guillaume Decard en dévoile les contours et expose les perspectives pour 2025. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr • Quels sont les chiffres à retenir ?  « En 2024, le Var confirme sa place de 1er département touristique de France en termes de nuitées. En effet, 83 millions de nuitées touristiques ont été recensées soit 3 % de plus qu'en 2023. Cette hausse s'étale sur les périodes allant de mars à juin et de septembre à décembre avec notamment 6 % de touristes en plus à Noël. Cela grâce au dynamisme des communes qui ont développé des événements en lien avec les traditions provençales. La clientèle étrangère, elle, a augmenté de 4 %. Économiquement, les retombées sont estimées à 5 milliards d'euros, un touriste dépensant en moyenne 66 € par jour. » • Comment s'annonce l'année 2025 ? « Il ne faut pas se réjouir trop tôt, et rester vigilant, mais les projections constatées sur l'ensemble des plateformes annoncent des réservations à la hausse sur toutes les périodes. Cela prouve que nous sommes une locomotive touristique dans la région ainsi que dans la France entière. » • Pour les professionnels, quels sont les objectifs ? « La stratégie pour l'année à venir repose sur 3 piliers. La filière prestige que nous souhaitons renforcer et promouvoir. L'#agritourisme, un modèle authentique, qu'il faut structurer et valoriser davantage. Et les activités de pleine nature car nous avons la chance dans le Var de pouvoir pratiquer de très nombreux sports, de la voile à l'escalade, en passant par le vélo, la plongée, les randonnées, etc. Au mois de mai, sera lancé le 1er club des professionnels des activités de pleine nature avec l'objectif de les rassembler, les faire se rencontrer et mettre en place une offre cohérente. Cela est possible grâce à Jean-Louis Masson, président du Département du Var ( à ses côtés lors de cette rencontre, NDLR) qui nous accompagne, aux différents territoires varois et à toute l'équipe de Var tourisme. » #Toulon #Var #tourisme

 La bonne idée : Soliguide, une application pour aider les plus démunis 🤝 Dans le Var, le taux de pauvreté atteint 15,6 %. Pour aider les publics en difficulté, Solinum propose une application qui répond à leurs besoins. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr Le principe • Solinum est une association nationale à but non lucratif. Elle a été fondée en 2016 par Victoria Mandefield, qui en est toujours la directrice générale. Elle agit dans le Var depuis 2023. • En 2017, l’association présente Soliguide, une carte interactive qui recense les services utiles aux personnes en situation de précarité : aide alimentaire ou juridique, accès aux soins, etc. • La carte est accessible depuis le mois de janvier via une nouvelle application mobile, gratuite, disponible sur l’App Store ou le Play Store. Les utilisateurs • La carte est un service à destination des personnes démunies, comme celles sans domicile fixe ou ayant besoin d’accéder aux services sociaux essentiels. • Laurane Bisbau 💼, chargée du développement local dans le Var, précise que 7 utilisateurs sur 10 sont des professionnels du travail social, qui sont là pour accompagner ces personnes en situation de précarité. Pourquoi c’est important • Cette application fonctionne avec un outil de géolocalisation qui donne des informations sur les services à proximité. Plus de 600 lieux sont référencés dans le département. L’objectif est d’atteindre les 1 000. • Solinum référence les structures essentielles en mettant régulièrement à jour (2 fois par an) leurs informations : horaires d’ouverture, conditions d’accès… • « 5 000 recherches sont faites chaque mois dans le Var, et, selon les mesures d’impact relevées en 2023, Soliguide fait gagner aux travailleurs sociaux 7,5 minutes dans l’accompagnement d’un bénéficiaire », se réjouit Laurane Bisbau. • Les lieux qui doivent rejoindre la carte dans les prochains mois sont en lien avec la parentalité et l’hygiène. Les structures souhaitant être inscrites sur la carte peuvent se rapprocher de Laurane Bisbau par mail (@var@solinum.org). ✍️ Journaliste : Camille Gho 📸 Crédit photo : Solinum #Toulon #application #précarité

Se rencontrer entre travailleurs indépendants L'Archipel, espace de coworking, propose aujourd'hui son premier « Toulon freelance day » de l'année. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr Pourquoi on en parle ? • « C'est un événement que nous organisons en partenariat avec le cabinet comptable Numbr afin de créer une synergie entre freelances », explique Nicolas Potier, cofondateur et dirigeant de L'Archipel. « En ce début d'année, il y a un besoin de retrouvailles. » • De 9h à 19h, tous les travailleurs indépendants de Toulon et d'ailleurs, habitués de cet espace de coworking ou non, peuvent participer aux ateliers proposés. • Ils permettent de découvrir le panel de services proposé ici : aide à la décision, accompagnement de projet, comptabilité, développement commercial... Sans compter les divers rendez-vous programmés par des intervenants extérieurs qui favorisent la créativité. L'état d'esprit • « Ici, la concurrence n'existe pas. Les gens se rencontrent, découvrent leur complémentarité et s'entraident », sourit Nicolas Potier. • Du télétravailleur salarié à l'entrepreneur, du gestionnaire en ressources humaines au graphiste... Les profils fréquentant L'Archipel sont tous très différents. • En 2023, ils sont plus de 300 à avoir, au moins une fois, utilisé un bureau ou un espace de ce lieu de vie en plein centre-ville de Toulon. • Un îlot de sociabilité ou l'on partage bien plus qu'un café. Aller plus loin • D'après Statista, plateforme mondiale de données statistiques, la France compte plus de 3 millions de freelances. • Ce statut attire particulièrement les jeunes, de 25 à 35 ans, mais aussi les diplômés puisque 45 % des travailleurs indépendants possèdent un master. • Plus de 60 % travaillent à domicile. #freelance #coworking #ateliers #rencontres #toulon

Et si vous échangiez vos euros contre des fèves ? 💶 La fève est le nom donné à la monnaie locale de l'aire toulonnaise. Vous pouvez vous renseigner sur son utilisation, aujourd'hui à Toulon. Elle permet notamment de soutenir l'économie locale, de favoriser les circuits courts et de créer du lien. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Toulon, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : toulon.lessentiel.fr Ce qui compte • Vous êtes intéressé par la monnaie locale complémentaire ? Vous souhaitez vous en procurer ? Ou simplement en savoir plus sur son utilisation ? Un membre du collectif d'animation de la fève, la monnaie citoyenne toulonnaise, vous attend, cet après-midi de 14h à 18h, à L'Amarre, place d'Armes. • « C'est à la fois une bourse d'échange, pour transformer des euros en fèves et une permanence afin d'informer de futurs utilisateurs », précise Marc Hocdé, membre du collectif d'animation qui l'a mise en place. Les avantages • « Utiliser la fève comme moyen d'échange, c'est favoriser l'économie locale de façon sociale et solidaire », commente Marc Hocdé. • Cela permet également de développer les circuits courts puisqu'elle s'échange seulement dans un territoire défini et restreint. • Une quarantaine de commerçants, professions libérales et partenaires de l'aire toulonnaise l'acceptent. Tous ont signé une charte de valeurs éthiques, sociales, écologiques et responsables. • La fève, c'est donc un écosystème vertueux entre personnes engagées en faveur du développement durable. La genèse • En 2016, est créée l'association Monnaie locale complémentaire citoyenne. • Après 3 ans d'échanges et de travail, la fève est mise en circulation en 2019. • Depuis août 2024, une version numérique est disponible, en plus des coupons papiers. Crédit photo : Marc Hocdé #monnaie #économie #échange #patrimoine #fève #toulon