Philippe Descamps’ Post

BPCE et Generali créent leur champion de la gestion d’actifs. Officialisé ce mardi, le rapprochement de Natixis IM et Generali Investments crée le numéro un européen de la gestion par les revenus, détenu à 50/50. Un accord de distribution les liera pendant 15 ans. Par Alexandre Garabedian À lire ici 👉 https://lnkd.in/esSEj9HR

🕛 Votre magazine Cash & Risk est arrivé ! À la une de cette nouvelle édition : « L’urgentiste des entreprises » Le grand entretien avec Pierre-Olivier Chotard, secrétaire général du comité interministériel de restructuration industrielle Entretien réalisé par Frédérique Garrouste et Benoît Menou Cas pratiques :  - Roullier met sa gestion de trésorerie au goût du jour Avec les éclairages de Aurélie Lavoute-Peuvrel, directrice trésorerie et financements au sein de la holding Roullier - Monnoyeur adopte les bons réflexes en cas de crise Par Morgane Remy avec les éclairages de Vincent CHAUVIN, responsable du plan de continuité d'activité de Monnoyeur - Fareva choisit la sécurité maximale des paiements Avec les éclairages de Thomas Papier, vice-président, trésorier groupe chez Fareva - Apsys poursuit la mue de son financement Par Benoit Menou Innovation :  - Solabia met le cap sur CSRD Avec les éclairages de Laurent LASSALLE, directeur RSE de Solabia - Miris, l’ovni européen de l’assurance cyber Par Camille George avec les éclairages de Charles de la Horie, directeur général de Miris - Pluxee accélère ses encaissements avec Fintecture Par Frédérique Garrouste Dossier Fonds de Roulement :  - Des actifs à la rescousse du cash Avec les éclairages de Sandra Boissonnade, directrice générale déléguée d’Atlantiq, Philippe Pougerard, directeur général délégué de Société Générale Factoring et Béatrice Collot, directrice générale de La Banque Postale Leasing & Factoring - Le gendarme des mauvais payeurs a fort à faire Par Benoit Menou  - La facture électronique facilitera la maîtrise des flux commerciaux Avec les éclairages de Jean-Pierre Godbillon, dirigeant de Nordkapp Consulting - Le crédit manager possède une boîte à outils bien garnie Avec les éclairages de Nicolas Flouriou 💸, président de l’AFDCC, Nicolas GIOAN, directeur général de Kwote et Christophe GOFFINON, directeur général de Hoopiz Crédit Management Réglementation :  - Les entreprises s'arment contre les cybermenaces Par Stephanie Salti avec les éclairages de Frederick Lacroix, associé chez Clifford Chance Prospective :  - Les financements par dette restent grands ouverts Par Frédérique Garrouste Les experts :  - L’analyse crédit, la vigie du financement des jeunes entreprises Avec Thomas Dilasser, responsable de la notation entreprises et financement de projet chez EthiFinance, Babar Rashid, solutions engineer de BeyondTrust et Thierry Dinard, directeur d'activité chez Syrtals Talents :  - Le directeur financier de transition a le vent en poupe Avec les éclairages de Lionel Gouget, associé chez Valtus et Jacques Bonnafont, senior advisor d'Executive Partners Group - Portrait : Frédéric PENZA, trade & Export Finance Director chez Fives Réalisé par Benoit Menou Le magazine est à lire ici 👉 https://lnkd.in/e7GsNgWS

Et pourquoi pas investir dans la création d'un parquet national financier et in fine créer une source de refinancement de la justice dans son ensemble ? "Plus de 12 milliards d’euros. Voilà ce que le parquet national financier (PNF) a rapporté au Trésor public français, dix ans après sa création dans la foulée de l’affaire Cahuzac. Cela signifie que pour chaque euro investi dans le PNF, l’Etat français en récupère approximativement 500 (...) Ces chiffres parlent d’eux-mêmes: nos voisins sont parvenus à mettre sur pied un outil opérationnel de lutte contre la criminalité financière. Son objectif n’est évidemment pas de faire du chiffre pour faire du chiffre. Mais à l’heure où la confiance dans les institutions s’effrite, ce bilan envoie un signal rassurant: non, la délinquance financière ne reste pas impunie. En Belgique, il n’existe pas d’organe similaire. Le parquet fédéral ne travaille pas «que» sur cette délinquance, tant s’en faut. Chaque parquet dispose de l’un ou l’autre magistrat spécialisé dans les affaires économiques. Et quand ces magistrats s’offrent une sortie médiatique, c’est rarement pour se féliciter du bilan des dossiers bouclés, mais plutôt pour lancer un nouveau cri d’alarme sur le manque de moyens et d’enquêteurs. On ne compte plus les affaires qui s’éternisent, voire celles qui sont mises au placard. Faute de temps. Car faute de bras". https://lnkd.in/eygVUeBk

🔔 L’ACPR sanctionne plusieurs protagonistes dans l'affaire d'un fonds commun de titrisation ayant acquis des créances non éligibles   Le 4 novembre 2024, l’ACPR a décidé de sanctionner plusieurs personnes dans le scandale Smart Tréso qui avait fait perdre plusieurs dizaines de millions d’euros a plusieurs investisseurs en raison d'une fraude aux fausses factures. Le fonds commun de titrisation Smart Tréso avait pour activité d’acquérir des créances détenues par des PME et de financer l’acquisition de ces créances. Il était géré par la société Eurotitrisation et conseillé par la société Smart Tréso Conseil. Le fonds était commercialisé par la société Entrepreneur Invest et CACEIS Bank était le dépositaire du fonds. L’ACPR a décidé d’infliger des amendes comprises entre 30 000 et 2 000 000 d'euros à la société Smart Tréso Conseil et ses dirigeants, la société Entrepreuneur Invest et son dirigeant, la société Eurotitrisation et ses dirigeants ainsi que la société CACEIS Bank. En effet, entre 2016 et 2021, la période de commercialisation du fonds, certaines créances non éligibles et frauduleuses figuraient à son actif. L’ACPR a estimé que Smart Tréso Conseil et Entrepreneur Invest ont manqué à leur obligation d’agir de manière honnête, loyale et professionnelle, qu’Eurotitrisation a manqué à son obligation de fournir des informations claires, exactes et non trompeuses sur l’acquisition de créances non éligibles par le fonds et que CACEIS Bank a manqué de diligence et de professionnalisme.   Pour en savoir plus : 👉 https://lnkd.in/dUEGw3Nm 👉 https://lnkd.in/dUjM_Yuv #compliance #conformité #AMF #créances #fonds #titrisation #sanction

📍La vente de votre #entreprise : une étape cruciale où la vigilance est de mise ! Vendre son entreprise est une expérience souvent intense pour les #fondateurs. Malheureusement, certains se retrouvent en position de faiblesse face à un #acquéreur pressant avant même la signature définitive des actes juridiques qui figent définitivement les conditions. 📍Mon conseil : restez concentré et faites les choses dans le bon ordre ! Il arrive que l’acquéreur, en position de force, pousse le #vendeur à prendre des décisions hâtives. Par exemple, l’arrêt récemment commenté par la Cour de cassation rappelle qu'une situation de dépendance envers l'acquéreur ne suffit pas toujours à faire annuler une clause jugée abusive. Dans ce cas précis, les #cédants avaient déjà entrepris plusieurs actions (#rachat de la participation d’un #associé #minoritaire, #licenciements des salariés, fermeture d’un #établissement secondaire, modifications de #baux #commerciaux … ) qui ont réduit fortement leur marge de négociation. Résultat : ils ont dû accepter de rembourser la moitié du #prix de #vente ❗ 🚨Erreur à ne pas commettre : agir trop tôt sous la pression ! Dans l’arrêt commenté par EFL la Cour de cassation rappelle ses critères d’appréciation d’une situation d’un abus d’une position de force de l’acquéreur pour qu’elle la qualifie d’un vice du consentement qui fonderait l’annulation des dispositions jugées par les parties comme abusives. Dans le cas cité la cour a refusé de qualifier des agissements de l’acquéreur à l’égard des cédants d’un vice du consentement, bien que la situation de dépendance eût bien été constatée (NB il s’agissait d’une clause de réduction du prix de vente dans l’hypothèse où les capitaux propres retraités de la société n’atteignent pas un certain montant à une date de référence. En procédant dans le bon ordre et en restant maître des décisions, vous évitez de vous lier les mains et de perdre votre pouvoir de #négociation car on constate qu’une fois les documents signés il est très difficile de faire admettre votre #erreur ! 📍Choisissez des #conseils qui vous accompagnent globalement ! Le #conseil #juridique est important, mais il doit s’inscrire dans un #accompagnement plus global et #pragmatique. La #confiance avec vos conseils est clé pour garantir une vente réussie. https://lnkd.in/eDdnHwK3, #conseil #venteactions #venteentreprise #startup #associé #partssociales #SAS #SARL #négociation #accompagnement

🎥 Retour sur le Forum de l’Image et de la Réputation – Édition Finance Ce fut un moment d’échange unique autour de la gestion de crise et du risque de réputation dans la finance, réunissant experts, professionnels et utilisateurs. ✨ Temps forts : - Intervention inspirante de Elfried Didehia, notre Directeur des Solutions Financières, qui a partagé la vision Djamo pour une finance accessible et digne de confiance. - Témoignages authentiques de deux utilisateurs Djamo sur l’impact de nos solutions. Merci à tous pour ces échanges enrichissants et pour continuer à transformer le secteur financier avec nous.

🚨𝐔𝐧 𝐚𝐛𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐮𝐪𝐮𝐞𝐥 𝐧𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐬𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞𝐧𝐭… Le terme « 𝗰𝗮𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 » est fréquemment utilisé pour désigner la somme d'argent déposée par le locataire (ou par une tierce personne) pour 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝗶𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗼𝘆𝗲𝗿𝘀 ou des éventuelles dégradations. 🌟Cependant, au sens de 𝒍’𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 13 𝒅𝒆 𝒍’𝑨𝒄𝒕𝒆 𝒖𝒏𝒊𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆 𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒐𝒓𝒈𝒂𝒏𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒖̂𝒓𝒆𝒕𝒆́𝒔 𝒅𝒖 15 𝒅𝒆́𝒄𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 2010, il convient de noter que le terme 𝗰𝗮𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 tire sa source du 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, opération par laquelle « 𝘭𝘢 𝘤𝘢𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴'𝘦𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦, 𝘦𝘯𝘷𝘦𝘳𝘴 𝘭𝘦 𝘤𝘳𝘦́𝘢𝘯𝘤𝘪𝘦𝘳 𝘲𝘶𝘪 𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘦, 𝘢̀ 𝘦𝘹𝘦́𝘤𝘶𝘵𝘦𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘰𝘣𝘭𝘪𝘨𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘰𝘶 𝘧𝘶𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘢𝘤𝘵𝘦́𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦 𝘥𝘦́𝘣𝘪𝘵𝘦𝘶𝘳, 𝘴𝘪 𝘤𝘦𝘭𝘶𝘪-𝘤𝘪 𝘯'𝘺 𝘴𝘢𝘵𝘪𝘴𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘭𝘶𝘪-𝘮𝘦̂𝘮𝘦 ». Il s'agit là d'une notion très différente de celle que beaucoup de personnes imaginent… 🇨🇮En Côte d’Ivoire, par exemple, à la lumière de 𝒍’𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 2 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑳𝒐𝒊 𝒏° 2019-576 𝒅𝒖 26 𝒋𝒖𝒊𝒏 2019 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒆 𝑪𝒐𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑪𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝑯𝒂𝒃𝒊𝒕𝒂𝒕, nous nous rendons compte que « 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 » est en réalité 𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝗽𝗼̂𝘁 𝗱𝗲 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗲, qui est défini comme « 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗱’𝗮𝗿𝗴𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲́𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗶𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗹𝗼𝗰𝗮𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗯𝗮𝗶𝗹, 𝘀𝗮𝗰𝗵𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗶𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗿𝘃𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲 𝗹𝗮 𝗱𝘂𝗿𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗹𝗼𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 ». De plus, 𝗹’𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲 𝟰𝟭𝟲 de la même loi précise que le dépôt de garantie « ne peut excéder 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗺𝗼𝗶𝘀 de loyer ». 💡Par conséquent, il est important de retenir que la 𝙘𝙖𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣 tire son appellation du cautionnement qui 𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙖𝙩 par lequel une personne s'engage à payer la dette d'une autre personne en cas de défaillance de celle-ci (et n’a rien à voir avec la somme due au bailleur), tandis que 𝙡𝙚 𝙙𝙚́𝙥𝙤̂𝙩 𝙙𝙚 𝙜𝙖𝙧𝙖𝙣𝙩𝙞𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙙'𝙖𝙧𝙜𝙚𝙣𝙩 versée par le locataire au bailleur au moment de la conclusion du contrat de location. Ne confondez donc plus ces deux notions😉. #OWAV

https://lnkd.in/efEFRvRy Une enquête internationale montre que 70% des gérants de fonds alternatifs ont fait l'objet de sanctions dans le cadre de la Lutte anti-blanchiment. L'article précise les pays couverts (qui ne comprennent pas la Suisse ni certains lieux d'accueil de fonds alternatifs) mais n'aborde pas avec suffisamment de détail les faiblesses sanctionnées. Dès lors, il ne faut pas faire d'amalgame entre les principes de la lutte AML et une profession. S'il est parfois compliqué de naviguer entre les questions et réponses des fonds (par l'entremise de leur direction), des asset managers, des institutions dont les actifs sont gérés dans un fonds et/ou des banques dépositaires, sans avoir un sentiment d'un peu de redondance, il est important, également pour les gestionnaires de fortunes collectives en Suisse, de se poser les bonnes questions en la matière. Pour répondre à vos questions et pour vous aider à maîtriser vos risques, Mase Partners SA vous conseille en vous apportant son expertise, son écoute et son pragmatisme. Sébastien Rochat et Laurent ZUCHUAT sont à votre disposition

Publication intéressante suite à la revue thématique menée par le DGCCRF. À l’instar d’autres pays, et en ligne avec les constats formulés par le GAFI en 2022 suite à l’évaluation mutuelle de la France, plusieurs lacunes dans le dispositif déployés par les professionnels assujettis du secteur non financier sont observés. Plus particulièrement, l’analyse dénote une insuffisance toujours présente au sein des professionnels du secteur de l’immobilier, du secteur du luxe et des sociétés de domiciliation. Sans surprise les défaillances tournent autour de failles dans l’identification et la vérification de l’identité des relations d’affaires (notamment des BE), des obligations de criblage GDA, du contrôle de l’origine des fonds, des obligations déclaratives ou encore du manque de sensibilisation et de formation du personnel. Une incompréhension souvent présente du risque porté par l’activité et la clientèle est également notée.