La Dauphinelle - Maison d'hébergement pour femmes et enfants

Très heureuse d'avoir participé à ce panel à l'initiative de Énergie Valero inc. Alors que le poste de ministre des Femmes et de l'Égalité vient de disparaitre au Fédéral marquant un recul majeur pour les droits femmes, ce type d'échange est très pertinent.

Un recul plus que majeur pour le droit des femmes ! Le Premier ministre doit revenir sur cette décision et rétablir un ministre dédié aux Femmes et Égalité des genres et de la Jeunesse. Source de l'article : https://lnkd.in/ekUjzdzp

🚩 Non-acceptation de la séparation. 🚩 Idées obsessionnelles à l’égard de l’ex-conjointe. 🚩 Surveillance et harcèlement actif. « Malheureusement, comme c’est souvent le cas en matière de féminicide, il y avait plusieurs signes avant-coureurs », a affirmé d’emblée le procureur de la Couronne. 🔗 https://lnkd.in/ebfV_dr6

📈Entre 2020 et 2023, il y a eu une augmentation de 22.36 % des infractions dénoncées en contexte de violence conjugale. Ces chiffres révèlent un constat alarmant. 🚔Que vous souhaitiez porter plainte, ou pas, des ressources sont disponibles pour vous aider. ☎️438-522-9264 Source : Ministère de la Sécurité publique. Concernant les données de 2023, il s’agit de données provisoires.

8 mars 2025 : Journée des droits des femmes Parce que Elles, c’est Nous.

Partie 3 : Les premiers contacts en suivi externe avec Pacifique !

Si le gouvernement ne finance plus les services d’interprétariat, ils seront désormais à la charge des maisons d’hébergements des femmes victimes de violence conjugale, ce qui grèvera leurs budgets puisqu’aucune bonification n’est prévue, poursuit-elle. Pour une maison d’hébergement dans la métropole, les frais d’interprétariat peuvent atteindre 30 000 $ par année et même au-delà. En 2022, les statistiques faisaient état de 25 401 victimes de violence conjugale recensées au Québec. Et parmi elles, un nombre croissant est des immigrantes qui s’exposent à davantage de vulnérabilité, puisqu’elles ne connaissent pas le système et ne parlent pas la langue. « Ce sont des femmes qui sont très vulnérables et dont la sécurité est très menacée justement en raison de l’emprise qu’exerce sur elles leur conjoint », a expliqué Louise Lafortune.

L’heure n’est surtout pas à la consolation. Il n’y a pas de tsarine des frontières pour arrêter le trafic international des discours haineux et antiféministes de ce monde. Pas de vaccin contre la misogynie. Pas de marchés boursiers à la baisse pour la masculinité toxique. Pas de murs qui peuvent arrêter les vents violents qui balaient des droits et des principes que l’on croyait acquis. Ce qui se passe aux États-Unis ne reste pas aux États-Unis. Nous ne sommes à l’abri de rien. Les célèbres mots de Simone de Beauvoir n’ont jamais sonné aussi juste. « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. »

Cette série documentaire relate ce féminicide qui, à la fin de l’été 2021, a été largement médiatisé, soulevant une émotion mondiale. Gabby Petito, 22 ans, portée disparue alors qu’elle effectuait un road trip en camping-car, a été retrouvée morte, étranglée. Il s’avérera que c’est son fiancé, Brian Laundrie, qui l’accompagnait, qui l’a tuée. Il s’est suicidé sans avoir jamais répondu aux enquêteurs. Des faits importants de violence conjugale sont mis en lumière dans ce documentaire que nous vous invitons à visionner.

Les services externes que nous offrons sont une référence essentielle pour des employeurs qui savent qu’une employée est victime de violence conjugale.