Kunitsu-Gami : Le Chemin de la Déesse : La Revue Kotaku

Amenez une jeune fille au sanctuaire. Frappez tous les démons qui se dressent sur son chemin. Purgez la souillure d’une montagne et restaurez le la terre à son harmonie et à sa splendeur naturelles. Kunitsu-Gami : Chemin de la Déesse en un mot, et l’une de mes choses préférées à ce sujet est à quel point il s’écarte peu de ce concept simple et humble. une mer de suites gonflées et de contrefaçons créatives en faillite, Chemin de la Déesse est un mélange amusant et ciblé de planification stratégique et de gameplay d’action qui ne se perd pas dans les détails.

Fabriqué par Capcom et disponible sur PlayStation 5, PS4, Xbox Series X/S, Xbox One et PC le 19 juillet Chemin de la Déesse combine la sensation d’action à la troisième personne d’un Ninja Gaiden avec la gestion de tower defense pour les personnes qui détestent la façon dont ces mots sonnent ensemble. Engrenages de guerrele mode horde avec des épées au lieu d’armes à feu et la sensibilité du classique PS2 Okami. Un instant vous attribuez des rôles à vos alliés et les ordonnez sur le champ de bataille, le suivant vos combos de spammer furieusement pour essayer de repoussez les ennemis tanky qui sont sur le point de tuer tout le monde.

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Basé sur le folklore japonais, Chemin de la Déesse mélange l’histoire et le mythe pour créer un voyage beau et convaincant qui donne l’impression de jouer à travers une série de poèmes. Vous contrôlez Soh, un guerrier masqué gardant la jeune fille Yoshiro en route pour se débarrasser des mauvais esprits appelés Festering Seethe qui ont pris le contrôle d’une montagne et a corrompu ses habitants. Il n’y a presque pas de dialogue et pratiquement pas d’histoire. Les cinématiques sont brèves et rares. Au lieu de cela, Chemin de la Déesse vous transporte rapidement d’un niveau à l’autre, sa campagne principale étant soigneusement organisée entre les missions d’escorte, les combats de boss et le temps passé à la reconstruction. les lieux que vous avez libérés du Seethe. Cela semble rafraîchissant et old-school à cet égard.

Chaque étape commence à l’aube. Vous courez partout pour construire des défenses et des pièges, purger la souillure des animaux, des plantes et des villageois et collecter des substances translucides. des orbes roses laissés derrière qui servent de ressource clé. Ces orbes sont dépensés pour tracer un chemin à suivre pour Yoshiro afin qu’elle puisse effectuez lentement son rituel de nettoyage sur toute la carte. Ils sont également nécessaires pour améliorer les villageois vers divers rôles, de coupeur de bois en mêlée et à longue portée. des archers aux guérisseurs chamans et aux lutteurs de sumo tankistes. Dépensez tous les orbes sur Yoshiro et vous serez sans défense. Gaspillez-les tous sur vos alliés et elle sera morte dans l’eau.

Au bout de quelques minutes, la nuit tombe et les Seethe commencent à arriver par les portes et à attaquer par vagues. Pendant que les villageois peuvent éliminer les petits ennemis. pas de problème, les plus gros nécessitent une attention rapide. C’est ici que Chemin de la DéesseLe gameplay d’action entre en jeu. Soh propose des combos de base en appuyant sur un seul bouton qui font des dégâts décents, mais en ajoutant une attaque lourde à la fin. de chacun d’eux enchaîne une série d’attaques à l’épée dansantes que vous pouvez diriger mais pas annuler. C’est comme si vous remontiez un jouet. ballerine puis la regarder frapper des hordes d’ennemis. C’est une innovation petite mais nouvelle qui rend le combat fluide et même gratifiant dans sa forme la plus simple et la plus répétitive.

Chemin de la Déesse ne s’arrête pas là, cependant. Soh dispose d’une attaque d’esquive et de garde complétée par des mécanismes de parade chronométrés qui ajoutent un niveau supplémentaire de profondeur. . Des attaques répétées feront momentanément ébranler un ennemi, mais la garde de Soh peut également être brisée, si elle est utilisée trop de fois de suite, le laissant gelé et vulnérable pendant quelques secondes. Soh dispose également d’un compteur spécial qui se remplit lentement, lui permettant de déclencher divers ultimes des attaques qui peuvent renverser le cours d’un combat à des moments clés.

Il s’agit d’une boucle de combat serrée qui devient lentement de plus en plus intéressante au cours du jeu à mesure que vous débloquez de nouvelles capacités et trouvez des objets qui vous accorde des avantages spéciaux. Une petite roue de compétences vous permet d’investir dans quelques douzaines d’améliorations, comme une position de combat à plus haut risque et à plus grande récompense. ainsi que des attaques de charge qui brisent davantage le compteur chancelant d’un ennemi. Le résultat est un combat d’instant en instant qui vous fait vous sentir fort. et agile mais pas maîtrisé, construit sur suffisamment d’éléments personnalisables pour que vous ayez l’impression d’avoir des options significatives sur la façon d’élaborer une stratégie autour à chaque nouvelle rencontre.

L’autre grande partie de cette stratégie concerne vos villageois. Chaque fois que vous battez un boss, vous gagnez un nouveau masque qui représente un personnage différent. rôle que vous pouvez attribuer aux villageois qui vous aident dans votre voyage. Vous repartez de zéro pour chaque mission, en inscrivant ceux que vous trouvez. tout au long de la route dans votre croisade de chasse aux démons. Les rôles de base nécessitent moins d’orbes mais ne sont pas aussi forts. Ceux comme le sumo qui aggro les ennemis ou le canonnier qui a une cadence de tir lente mais qui fait beaucoup de dégâts coûte plus cher.

Tous ont des forces, des faiblesses et des cas d’utilisation différents, et l’une des nombreuses choses Chemin de la Déesse cela ne donne pas l’impression qu’aucun d’entre eux est obsolète ou redondant. Mon préféré, de loin, est cependant le sorcier. un sort qui vous donne un super sur toute la carte que vous pouvez utiliser instantanément s’il est encore en vie. C’est comme si vous aviez une arme nucléaire. série de victimes dans Appel du devoir et ça m’a sauvé la mise à maintes reprises.

Les combats de boss, pour la plupart, donnent la priorité aux conceptions et aux animations des ennemis plutôt qu’à des mécanismes uniques. La plupart d’entre eux semblent incroyables, même si du point de vue du gameplay. ils n’étaient pas le point culminant du jeu pour moi. Peu de choses se sentent mieux dans Chemin de la Déesse que de renverser un géant Seethe sur son dos et ensuite d’appeler vos troupes pour déclencher l’enfer. Je pense toujours au géant. crapaud empoisonné, mes canonniers ont tous explosé d’un coup avec des feux d’artifice géants, le tuant alors même que j’étais encore incapable d’agir.

Il n’y a qu’une seule chose qui traîne Chemin de la Déesse en bas et c’est la section de reconstruction des colonies. Après avoir libéré un village, vous pouvez revenir en arrière et l’explorer sans ennemis, ce qui signifie principalement se promener dans différentes sections et assigner des travailleurs pour réparer une maison, un pont, une porte ou un sanctuaire qui est sur une minuterie pour terminer après un certain nombre de batailles. Il n’est pas vraiment nécessaire de donner la priorité à une série de réparations plutôt qu’à une autre et les récompenses les plus utiles sont pour terminer chaque réparation dans un emplacement particulier sur la carte, ce qui signifie que vous devrez de toute façon tout faire à un moment donné. chaque bataille cool est suivie d’une phase d’entretien lourde et superficielle qui aurait été plus facile à gérer simplement à partir du menu principal de la carte. .

Il s’agit d’un système insuffisamment cuit en ce qui concerne les jeux de stratégie, un système qui se démarque en partie par son équilibre et sa conception réfléchie. une grande partie du reste du jeu l’est. Une chose que j’aime particulièrement Chemin de la Déesse est l’interface utilisateur, qui semble être intégrée au tissu même de l’expérience. La santé de Soh est affichée via un parchemin à côté de son corps. , le menu de mise à niveau de ses capacités est une poignée d’épée où vous remplacez le pompon et les runes, et l’écran de sauvegarde est un longue feuille de papier pliée qui est tamponnée.

Ce sont les petits détails qui rendent un jeu déjà génial encore meilleur, et ils me rappellent l’ère PS2, lorsque plus les jeux donnaient l’impression qu’ils essayaient d’explorer leur propre chemin plutôt que de suivre les traces de ce que tout le monde avait déjà fait. C’est cet esprit d’authenticité et cet engagement inébranlable envers une vision distinctive qui fait Chemin de la Déesse tellement rafraîchissant en ce moment, surtout à ce niveau de budget, de production et de qualité. Quand tant de jeux ont l’impression qu’ils auraient pu être fait par n’importe qui pour personne, Chemin de la Déesse cela ressemble à quelque chose d’unique, conçu pour les gens qui ne savaient jamais à quel point ils l’adoreraient. Des balançoires créatives comme celle-là ne fonctionnent pas toujours. dehors. Chemin de la Déesse en est un qui le fait certainement.

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