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Agridemain

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Agriculture

Paris, Île-de-France 3 288 abonnés

#Agridemain a pour ambition de promouvoir auprès du grand public une image en accord avec la réalité du monde agricole.

À propos

#Agridemain a pour ambition d'"etre un pont entre l'agriculture et la société" et de promouvoir auprès du grand public une image en accord avec la réalité du monde agricole.

Site web
https://agridemain.fr/
Secteur
Agriculture
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Non lucratif

Lieux

Employés chez Agridemain

Nouvelles

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    Associer la bêche au stylo lors du Salon International de l'Agriculture , Les membres de l’Association des écrivains et artistes paysans (AEAP) ont échangé sur la motivation qui les guide à transcrire sur le papier le souvenir de la tradition rurale. Pour Jacqueline Bellino, « le trait d’union qui nous unit au sein de l’association, c’est notre rapport à la terre. Nous avons tous en commun la volonté de transmettre ce lien. La culture crée du lien, le livre est un outil de dialogue ». Daniel Esnault insiste sur l’intérêt de l’écriture pour « contribuer au devoir de mémoire des traditions rurales ». « Les livres nous aident à retrouver nos racines, et à se projeter dans l’avenir en s’appuyant sur les valeurs paysannes, pour affronter les grand problème d ‘aujourd’hui » poursuit MARCEL MARLOIE, président de l’AEAP. « Si nous avons pris la plume, c’est qu’au départ il y a une sorte de révolte. De grands auteurs ont écrit leur vision de la paysannerie (Zola, Sand, Balzac…). Mais ce n’est pas la réalité, on nous a confisqué la parole. Les écrivains paysans la reprennent aujourd’hui, et il faut relire « La vie d’un simple » d’Emile Guillaumin » insiste Jean-Paul Sozedde. « Quand on écrit un livre, on permet à la terre de parler. L’écriture est une démarche d’émotion » conclut Monique Brault. Retrouvez les dernières parutions de ces auteurs sur le site internet : https://lnkd.in/d6Jhf7eD

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    🏡𝐋’𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐜𝐢𝐭𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐫𝐮𝐫𝐚𝐮𝐱 Lors du Salon International de l'Agriculturee, BougeTonCoQ a organisé une table d’hôtes passionnante, animée par Camille SUBRA et Gilles MARECHAL (Agridemain), pour explorer un enjeu clé : la place du commerce de proximité dans la revitalisation des territoires ruraux. 🌍 𝐿’𝑖𝑚𝑝𝑎𝑐𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑡𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑟𝑎𝑢𝑥  Dans un contexte où 62% des communes n’ont plus de commerces et où il faut parfois faire 25 km pour acheter son alimentation (Eddy Fougier), les commerces ruraux jouent un rôle essentiel, bien au-delà de la simple transaction économique. Ils sont des lieux de vie, de lien social et de dynamisme local. 💡 Le projet TERROIR de Bouge Ton CoQ, présenté par Anne de Bayser, vise justement à mesurer et renforcer l’impact de ces commerces citoyens en analysant leurs effets économiques, sociaux et environnementaux. Avec un objectif clair : fournir aux acteurs locaux des outils concrets pour soutenir des modèles viables et durables. 🗣️ 𝐿𝑒𝑠 𝑐𝑙𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑒𝑟𝑡𝑠 🔹 Un engagement des élus locaux : « Le maire est un catalyseur indispensable pour mobiliser agriculteurs, citoyens et acteurs économiques » (Cédric SZABO, Association des Maires Ruraux de France - AMRF ). 🔹 Un modèle économique robuste : « Attention au format associatif qui se désindexe trop souvent de la rentabilité. Pour durer, un commerce rural doit trouver son équilibre entre engagement solidaire et viabilité économique » (Cédric Szabo). 🔹 Un soutien institutionnel et territorial : « Les collectivités doivent jouer un rôle de facilitateur pour ancrer ces initiatives sur le long terme » (Victor Delage, Institut Terram). 🔹 Un rôle clé pour les agriculteurs et la consommation locale : « Le commerce de proximité rapproche producteurs et consommateurs, il contribue à la dynamique territoriale et à recréer du lien autour de l’alimentation » (Florence PRADIER, La Coopération Agricole). 🔹 Un levier pour repenser nos actions locales : « Les défis des territoires ruraux nous obligent à imaginer de nouveaux écosystèmes qui transforment ces fragilités en opportunités de vie » (Rodolphe Dumoulin, MSA - Mutualité Sociale Agricole). 🛠 𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 ? 📌 Expérimenter des modèles hybrides mêlant initiatives privées, associatives et publiques. 📌 Renforcer le soutien des collectivités pour assurer la pérennité des projets. 📌 Favoriser des formats innovants et flexibles, adaptés aux réalités de chaque territoire. 📌 Encourager la coopération entre tous les acteurs locaux pour créer une dynamique collective. ✅ Une chose est sûre : les solutions existent. Encore faut-il les soutenir et les déployer à grande échelle ! #TerritoiresRuraux #CommercesCitoyens #DynamiqueLocale #ÉconomieLocale

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    « 𝐌𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥’𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐫𝐫𝐢𝐫 » Sur le stand Agridemain, au cœur du Salon International de l'Agriculture, une table d’hôtes exceptionnelle s’est tenue sous l’égide d’Euro-Toques France. Un moment riche en échanges entre agriculteurs, cuisiniers et acteurs institutionnels pour repenser ensemble l’éducation à l’alimentation en Europe. 🍽️ 𝘕𝘰𝘶𝘳𝘳𝘪𝘳, 𝘦́𝘥𝘶𝘲𝘶𝘦𝘳, 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘮𝘦𝘵𝘵𝘳𝘦 ➡️ Guillaume Lefort a rappelé que « ce stand Agridemain est le lieu où l’agriculture communique sur ses diversités et ses richesses, c’est aussi le lieu de rencontre entre les agriculteurs et les chefs restaurateurs ». ➡️ Le chef Michel ROTH qui dirige les cuisines de l'hôtel Président Wilson, a souligné l’héritage de Paul Bocuse et la mission d’Euro-Toques : «Relier les mondes des cuisiniers et des agriculteurs ». ➡️ Nicolas Breneliereère, Chef exécutif Banque de France, a mis en avant le programme Euro-Toques Jeunes, un véritable incubateur de talents culinaires. ➡️ Lilya Abair, cheffe en devenir, a témoigné de la richesse des rencontres avec les agriculteurs : « elles nous permettent de grandir professionnellement ». 𝘜𝘯𝘦 𝘢𝘮𝘣𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘶𝘳𝘰𝘱𝘦́𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭’𝘦́𝘥𝘶𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 ➡️ Christophe #Hansen, commissaire européen à l’agriculture, a insisté sur l’importance de « réapprendre à nos concitoyens européens le lien aux terroirs et aux territoires ». ➡️ guillaume gomez a plaidé pour une éducation à l’alimentation dès le plus jeune âge : « une question de santé publique ! ». ➡️ Stéphane Layani (MIN Runigis)  a appelé à une action forte du Commissaire européen à l’agriculture pour sensibiliser les jeunes en milieu scolaire. 🔜 𝘝𝘦𝘳𝘴 𝘶𝘯 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘦𝘶𝘳𝘰𝘱𝘦́𝘦𝘯 𝘪𝘯𝘴𝘱𝘪𝘳𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘑𝘰𝘶𝘳𝘯𝘦́𝘦𝘴 𝘕𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭’𝘈𝘨𝘳𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦? L’idée a été lancée par Gilles MARECHAL et Guillaume Lefort : pourquoi ne pas décliner cet événement au niveau européen ? Une initiative à suivre de près… 🔥 Des échanges passionnants, des idées concrètes : ce dialogue entre agriculteurs, chefs et institutions est essentiel pour mieux nourrir et mieux transmettre. 📢 Et vous, comment imaginez-vous une meilleure éducation alimentaire en Europe ? #SalonDeLAgriculture #Agridemain #EuroToques #ÉducationAlimentaire #Agriculture #Gastronomie #Europe

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    🏅 𝐋𝐞 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫-𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞. 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞🍷 L’Art de Vivre à la Française : une promesse, un engagement, une passion ! Ce n’est pas juste une expression, c’est tout un héritage. Une cuisine qui célèbre nos terroirs, une transmission qui perpétue le goût du vrai, et des artisans qui défendent chaque jour une gastronomie d’exception. Décryptage avec la table d’hôtes du roupement des Hôtelleries & Restaurations de France (#GHR) sur le stand d’Agridemain. 🔥 Les Maîtres Restaurateurs : véritables gardiens du fait-maison, ils subliment des produits frais et locaux, loin de la standardisation industrielle. 🥇 Les confréries gastronomiques : ambassadrices de nos spécialités, elles veillent avec fierté sur nos fromages, vins, charcuteries et épices, perpétuant nos traditions culinaires à travers des événements conviviaux. 🗣️ "L’art de vivre commence par la joie, le plaisir et le partage" – Catherine QUERARD , présidente de GHR.   Dans un monde où l’alimentation est de plus en plus industrialisée, il est urgent de replacer la qualité et le plaisir au centre de nos assiettes. Comme le rappelle le chef Euro-Toques France AlainFontaine : "Nous, les restaurateurs, sommes des résistants face à l’industrie agroalimentaire. Bien manger, c’est un enjeu de santé publique ! L’Art de Vivre à la Française doit rayonner partout : dans nos restaurants, mais aussi dans les cantines de nos enfants, les maisons de retraite de nos aînés, et jusque dans nos foyers." Au-delà du goût, il y a aussi l’expérience, l’esthétique, l’émotion. Comme l’explique Catherine Quérard : « Pour attirer les jeunes générations, la gastronomie doit aussi évoluer : le visuel, la mise en scène des plats, la proximité des produits comptent autant que leur qualité. » 🍽️ 𝘈𝘶-𝘥𝘦𝘭𝘢̀ 𝘥’𝘶𝘯 𝘳𝘦𝘱𝘢𝘴, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘴’𝘦𝘹𝘱𝘳𝘪𝘮𝘦. « Que serait la France sans ses tables chaleureuses, ses produits du terroir et ses grandes fêtes culinaires ? » s’est demandé @franck-trouet (GHR). « L’Art de Vivre à la Française, c’est une manière d’être, un trésor que nous devons continuer à faire rayonner, en nous adaptant aux attentes contemporaines sans jamais trahir son essence », a conclu le chef restaurateur Thierry Bonneau. Gilles MARECHAL EURO-TOQUES INTERNATIONAL guillaume gomez Christiane LAMBERT

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    🩺 𝐀𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬, 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́, 𝐮𝐧 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥 Lors de la table d’hôtes organisée par Mutualia sur le stand d’Agridemain, l’étude menée par ADQUATION ETUDES ET DATA INTELLIGENCE a mis en évidence une réalité préoccupante : de très nombreux exploitants agricoles ne considèrent pas leur santé comme une priorité. Pourtant, leur bien-être est essentiel à la pérennité de leurs exploitations. 📊 𝘘𝘶𝘦𝘭𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘤𝘩𝘪𝘧𝘧𝘳𝘦𝘴 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘢𝘯𝘵𝘴 ❌ 90 % des agriculteurs déclarent avoir eu mal au dos dans les 6 derniers mois. ❌ 57 % évoquent des problèmes de stress et d’anxiété. 🦷 39 % ont eu des problèmes dentaires ces deux dernières années. 𝘗𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘤𝘦 𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘰𝘯 ? 🤔 👉 Francis Ouvrard, président de Mutualia, alerte : 📢 « Entre charge de travail intense, isolement et accès limité aux soins, les freins sont nombreux. Mais nous ne pouvons pas ignorer ces signaux d’alerte. Il est urgent d’accompagner le monde agricole avec des solutions adaptées : accès facilité aux soins, campagnes de sensibilisation et prise de conscience collective. » 👉 Yvon Sarraute, arboriculteur dans le Tarn-et-Garonne, témoigne : « Je suis inquiet face aux contraintes de notre métier, notamment l’administratif devenu trop lourd. La vie est un rouleau compresseur, mais il faut avancer. Dans nos campagnes, le docteur ne vient plus à domicile sur nos fermes, et obtenir un rendez-vous avec un spécialiste prend des mois. Mais il faut conserver la #MSA pour sa proximité avec les agriculteurs. » 💡 𝘋𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘯𝘶𝘢𝘯𝘤𝘦́𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘴𝘪𝘵𝘪𝘷𝘦𝘴 🧬 Chantal Gascuel (Académie d’Agriculture de France) rapporte que l’activité physique des agriculteurs les expose moins aux cancers que d’autres catégories professionnelles. 🦠 Philippe PAVARD (La France Agricole) souligne dans un article de 2024 : 🔬 « L’avantage d’être confronté à la diversité des microbes sur une ferme aide à se constituer un régime immunologique équilibré. » 🥗 Mikael Ménager (@ADquation) met en avant l’importance de l’alimentation : 🍎 « 89 % des agriculteurs déclarent avoir une alimentation équilibrée, 91 % mangent des fruits et légumes au moins une fois par jour. L’alimentation serait plus saine et plus équilibrée à la campagne qu’en zone urbaine. » 🥩 Bernard Schmitt, médecin et chercheur, revient sur la création de Bleu-Blanc-Cœur avec originalité : 💬 « Quand un patient est suivi par un diététicien, il suit son régime. Mais dès que le suivi cesse, il reprend ses mauvaises habitudes. Alors on s’est dit qu’il serait peut-être plus intéressant de faire faire des régimes aux vaches et aux cochons plutôt qu’aux personnes. » Gilles MARECHAL MSA - Mutualité Sociale Agricole

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    𝐑𝐞𝐜𝐨𝐧𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 : 𝐍𝐨𝐧 𝐢𝐬𝐬𝐮𝐬 𝐝𝐮 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬, 𝐞𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐢𝐥𝐢𝐚𝐛𝐥𝐞 ? Se reconvertir dans l’agriculture, c’est possible… et c’est une aventure humaine et professionnelle passionnante ! Retour sur la table d’hôtes de l’ANEFA - Association Nationale pour l’Emploi et la Formation en Agriculture organisée sur le stand Agridemain. ✨ 𝘋𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘤𝘰𝘯𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘧𝘰𝘯𝘵 𝘴𝘦𝘯𝘴 🔹 Jérôme Frolich, ancien militaire devenu responsable d’un élevage porcin : « Je suis tombé amoureux du cochon et j’en ai fait mon métier passion. Au début, j’ai fait un stage découverte de 4 mois avec la Chambre d’Agriculture, aujourd’hui, je continue à me former. La technique, bien sûr, mais aussi le management et les relations. » 🔹 Baptiste Saulnier, ancien sportif de haut niveau et restaurateur, aujourd’hui maraîcher et entrepreneur : « Après ma formation à la Ferme du Bec Hellouin, nous avons fondé avec ma compagne Cultive. Notre ambition ? Offrir un parcours métier pour accompagner ceux qui veulent s’installer en fermes agroécologiques. » 🔹 Florine Richard, en reconversion du secteur de la petite enfance vers l’élevage : « Mon grand-père était agriculteur et j’adorais les animaux. Pourtant, je n’ai pas suivi cette voie tout de suite. Mais au fond, ce n’était pas mon choix de cœur. Quand j’ai décidé de me réorienter vers l’élevage, mon entourage me l’a fortement déconseillé parce que j’étais une femme… et pourtant, aujourd’hui, je m’épanouis totalement ! » Parce que ces changements de vie nécessitent un accompagnement, des structures comme France Travail jouent un rôle clé. Comme l’explique Gwenola Commeureuc : « Avec des dispositifs de suivi individualisé à l’emploi ou les Journées des métiers de l’agriculture, nous créons des passerelles vers le milieu agricole. C’est essentiel pour permettre à ceux qui souhaitent se reconvertir de mieux comprendre les réalités du métier et d’être formés. » 𝘜𝘯 𝘮𝘦́𝘵𝘪𝘦𝘳, 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳-𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦, 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘢̀ 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘮𝘦𝘵𝘵𝘳𝘦 Comme le rappelle Dominique Boucherel, salarié en service de remplacement et président de l’ANEFA : « Salarié agricole ou agriculteur, ce n’est pas qu’un métier, c’est une multitude de savoir-être et de savoir-faire. Il faut renforcer l’attractivité du secteur pour attirer de nouveaux talents. » Pour Denis Sicard, producteur de fruits, ambassadeur Agridemain, « il faut croire en son projet, faire fi des dogmes et se lancer avec confiance et conviction dans le métier ». Enfin, Mickael JACQUEMIN, agriculteur et vice-président de l’APECITA : «Nous devons tous faire la promotion des métiers de l’agriculture. C’est important pour attirer de nouveaux collaborateurs et assurer le renouvellement des générations» 💡 L’agriculture est un secteur en mutation qui a besoin de toutes les compétences et de toutes les énergies. Gilles MARECHAL Paillat Laurent

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    𝐋𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐥𝐬 : 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐞𝐫𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐥'𝐞́𝐜𝐨𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 Lors de la table d’hôtes organisée sur le stand de Agridemain, experts, agriculteurs et industriels ont partagé une conviction forte : un sol en bonne santé est un sol vivant. 💬 « Le sol est au cœur de la fertilisation associée. Nous devons trouver le juste équilibre entre performances agronomiques, environnementales et économiques. » – Delphine Guey (UNIFA) 💡 𝘊𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘱𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘷𝘦𝘳 Christian HUYGHE (INRAE) pose une question qui bouscule : « Un sol sans fertilisation est-il un sol mort ? ». 📍 « Le terme ‘santé’ nous interroge car il suppose que le sol est vivant. Et c’est bien le cas ! Un sol est un écosystème incroyablement complexe. Prenez un hectare de prairie : il abrite 1,5 tonne de vaches, 4 tonnes d’herbe, mais aussi 1,5 tonne de vers de terre et 5 tonnes de microorganismes. La fertilisation ne consiste pas simplement à nourrir les plantes, mais à assurer un équilibre dynamique entre ces éléments. » 🧑🌾 𝘋𝘶 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘢𝘪𝘯 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 Pour François ARNOUX, agriculteur, bien connaître son sol est la base de sa préservation : 📍 « Sur mon exploitation, j’ai adopté des applications intraparcellaires très précises. Cela permet d’éviter les excès, de réduire l’impact environnemental et de préserver la fertilité des sols sur le long terme. Un sol vivant, c’est un sol en équilibre. » Éric Giovale (OvinAlp Fertilisation) illustre cette notion par une métaphore marquante : 📍 « Le sol, c’est comme un gastronome qu’on doit bien nourrir, mais aussi comme un grand sportif qui a besoin de récupérer et de se régénérer. Si on l’épuise sans lui apporter ce dont il a besoin, il finit par s’affaiblir. C’est pourquoi nous proposons des amendements, des engrais et des solutions biologiques qui répondent aux besoins de ces écosystèmes vivants. » 🚜 𝘛𝘦𝘤𝘩𝘯𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘯𝘰𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘶 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘭𝘴 Jacques FOURMANOIR (TIMAC AGRO France) insiste sur la nécessité d’une fertilisation sur-mesure : 📍 « Chez Timac Agro, nous avons compris qu’il n’y avait pas de solution unique pour tous les sols. Nous avons développé un réseau de 400 experts qui contactent 2000 agriculteurs par jour. Ils réalisent des diagnostics, proposent des solutions personnalisées et assurent un suivi continu. » Le machinisme agricole devra s’adapter, comme l’explique Laurent De Buyer (AXEMA) : 📍 « Les machines agricoles de demain devront être plus intelligentes. Il faudra alléger le matériel pour limiter le tassement des sols, mais sans perdre en rapidité de chantiers. Nous devons aussi développer des capteurs dynamiques, capables d’analyser les variations du sol en temps réel afin d’adapter les apports au sein même d’une parcelle. » 👉 À suivre : « Fertilisation et santé des sols » dans la deuxième partie de ce post

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    𝐐𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐯𝐨𝐥𝐭𝐚𝐢̈𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥’𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 ? ☀️ Associer production agricole et énergie solaire sur une même parcelle : c’est la promesse de l’agrivoltaïsme. Face aux aléas climatiques et aux défis énergétiques, ce modèle commence à se développer en France avec un cadre réglementaire précisé par le décret d’avril 2024. Mais quels sont les enjeux concrets pour les agriculteurs ? Et comment s’assurer que ces projets bénéficient réellement à l’agriculture ? Lors d’une table d’hôtes organisée par l’entreprise TSE, énergie de confiance. sur le stand Agridemain au Salon International de l'Agriculture, plusieurs acteurs ont partagé leurs visions et retours d’expérience. 📈 𝑷𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝟏 : 𝑳’𝒂𝒏𝒂𝒍𝒚𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 🔹 𝑈𝑛𝑒 𝑜𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑢𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙’𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑙’𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 👉 « Nous sommes à un moment historique : en France, nous n’avons pas de pétrole ou de gaz comme aux États-Unis, mais nous avons tout pour réussir à produire une énergie décarbonée ultra-compétitive dans tous les départements français. » – Mathieu Debonnet, fondateur de TSE, énergie de confiance. 🔹 Un cadre nécessaire pour garantir un vrai bénéfice agricole 👉 « Dans tous les projets agrivoltaïques, il faut garder le volet de la production agricole et alimentaire. Et maintenant, le cadre légal donne toutes les directives pour que le nombre de projets augmente. » – Olivier Dauger, FNSEA. 🔹 𝐷𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒  👉 « Dès 2020, nous avons rédigé une charte avec la Chambre d’agriculture, la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs pour encadrer l’agrivoltaïsme en Charente. Nous avons reçu de nombreux porteurs de projets, car nous ne voulions pas de projets uniquement énergéticiens. » – Christian Daniau, agriculteur Agridemain. 👉 « Dans l’Yonne, les 4 syndicats et la Chambre d’agriculture ont rédigé en 2019 une charte pour encadrer le photovoltaïque au sol et en 2024 une charte sur l’agrivoltaïsme, avec des éléments techniques (sur des terres à faible potentiel, 10MW par projet par exploitation) et une notion de partage de la valeur. Ensuite, Chambres d’agriculture France a produit une charte nationale avec des déclinaisons par département. » – Arnaud Delestre. Mais un défi reste central : le partage de la valeur. Comment s’assurer que ces projets bénéficient aux agriculteurs et aux territoires ruraux ? 👇 𝑺𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒆́𝒎𝒐𝒊𝒈𝒏𝒂𝒈𝒆𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒄𝒆 𝒑𝒐𝒔𝒕 !

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    🚜 𝐎𝐧 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐢𝐭 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐱 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐬 𝐦𝐚𝐜𝐡𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 ! 📈 L’augmentation des prix des matériels agricoles inquiètent agriculteurs, les concessionnaires et entrepreneurs de travaux. Pourquoi une envolée des prix et comment s’adapter ? Dans ce contexte, la FNCUMA (Fédération Nationale des cuma) a lancé un plaidoyer pour «  lutter contre le suréquipement ». Lors d’une table d’hôtes Agridemain, organisée par AXEMA, les experts du secteur ont débattu des causes et des solutions. 𝘗𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘩𝘢𝘶𝘴𝘴𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘪𝘹 ? 💰 Laurent De Buyer AXEMA « Les coûts de production ont augmenté de 30% en 4 ans, entraînant une hausse correspondante des prix des machines agricoles. Cette augmentation est principalement due à la hausse des cours des matières premières, de l’énergie, aux mises aux normes et aux coûts de main-d’œuvre. » 𝘜𝘯 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵 𝘥𝘪𝘳𝘦𝘤𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘯𝘵𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦𝘴 𝘦𝘹𝘱𝘭𝘰𝘪𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 💬 Ludovic Massacret Agridemain « L’inflation touche le prix d’achat des machines, mais aussi les pièces de rechange, les réparations et les assurances. » 💬 Hubert Defranc Académie d'agriculture « Sur 6 tracteurs de 200 CV avec 700 heures de travail par an, le taux d’utilisation nominale n’est que de 35% de la puissance maximale. C’est un taux à améliorer. » 𝘘𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭’𝘢𝘷𝘦𝘯𝘪𝘳 ? 📢 philippe LARGEAU FNEDT - Fédération Nationale Entrepreneurs des Territoires « Sauf miracle, les prix des matériels ne vont pas rebaisser. Plutôt que de parler de prix, optimisons leur utilisation et arrêtons de subventionner les agroéquipements, qui profitent plus aux multinationales qu’aux agriculteurs. L’achat doit se faire en fonction des besoins réels et non des opportunités de subventions. » 📢 Dominique #Potier, député de Meurthe-et-Moselle « Le secteur de l’amont agricole est sous-documenté. Avec plusieurs parlementaires, nous demandons que l’observatoire des marges s’intéresse au prix des matériels agricoles. En France, la surmécanisation représente 15 000 € par exploitation. Notre fiscalité doit-elle subventionner les constructeurs américains ou allemands ? Non ! » 📢 Anne FRADIER SEDIMA « Les premiers clients des constructeurs sont les concessionnaires, en contact direct avec les agriculteurs. Les subventions faussent le marché et créent des à-coups. Nous plaidons pour une aide à la formation des agriculteurs afin qu’ils optimisent l’utilisation des technologies embarquées dans les matériels. » 📢 Grison Christophe « Il serait intéressant que les constructeurs réfléchissent à des tracteurs moins haut de gamme. Nous avons aussi besoin de simplicité. » 📢 David Targy AXEMA « Mais les agriculteurs préfèrent les gammes Premium aux modèles low-cost. » 💬 Et Laurent De Buyer de conclure : « Un observatoire apporterait des informations à chacune des parties prenantes et pourrait devenir un outil de dialogue.»

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    𝐋𝐞 𝐝𝐢𝐠𝐢𝐭𝐚𝐥 𝐞𝐧 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 : 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐱𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́ La Valfrance coopérative agricole s’est engagée dans la transformation numérique du secteur. La table d’hôtes Agridemain a mis en avant la manière dont les outils digitaux optimisent les performances, tout en maintenant une relation de proximité avec les agriculteurs et les collaborateurs. 💬 Grison Christophe, président Valfrance coopérative agricole | Valfrance combine innovation digitale et proximité humaine pour répondre aux défis de l’agriculture. Nous avons développé Val’oo, une application qui facilite la gestion et la commercialisation des céréales. Accessible 24h/24, elle permet aux agriculteurs de consulter les prix en temps réel, de réaliser eux-mêmes leurs arbitrages et de vendre leurs céréales directement depuis leur smartphone. Autre appliction : Datizy pour optimiser la gestion des sites agricoles et industriels. 💬 Simon Verger, fondateur | Cet outil facilite la collecte, l’analyse et la sécurisation des données opérationnelles sur les silos, garantit la performance et la réactivité des contrôles et interventions terrain. Datizy remplace les méthodes de gestion manuelle (comme des classeurs et des tableurs) par un système connecté. 💬 Kevin Markowski, Board Advisor Datizy | Notre objectif est d’utiliser le digital pour simplifier les opérations de contrôle et d’enregistrement. En un clic, l’opérateur effectue sur le silo de nombreuses opérations de traçabilité sans revenir à son bureau, le tout depuis son smartphone. C’est un enjeu crucial de réussir à harmoniser et standardiser la collecte des données pour fluidifier les opérations entre nos silos. 💬 Laurent VITTOZ , directeur général Valfrance | Datizy est né dans les silos pour faciliter le quotidien des opérateurs. La digitalisation n’éloigne pas les collaborateurs, au contraire elle renforce les liens car on peut les accompagner au quotidien dans leurs métiers. On a aujourd’hui des salariés qui ne sont plus originaires du monde agricole. Le digital, l’intelligence artificielle, la réalité virtuelle vont rendre nos métiers plus attractifs pour ces générations. 💬 Grison Christophe | On est acteur du monde agricole, on se doit d’évoluer avec notre temps et en permanence, en répondant toujours aux besoins du terrain, des agriculteurs coopérateurs et de nos collaborateurs. Le digital va nous proposer de nombreuses aides demain comme la reconnaissance d’une variété d’orge à partir d’une simple photo. On saura ainsi si c’est une orge brassicole ou pas, si l’agriculteur ne s’est pas trompé dans une déclaration. Le digital permet de transformer des contraintes techniques ou administratives en opportunités. Eric Fauguet Gilles MARECHAL Christophe Leschiera La Coopération Agricole La France Agricole Groupe Réussir - L'information de l'Agriculture et de l'Alimentaire - ACTUAGRI #Digital #Agriculture #Startup #Innovation

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