Alternative Autoparts

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Dans un contexte marqué à la fois par la profonde mutation du marché automobile et par une instabilité politique pesant sur la société française et, par ricochet, sur l’esprit entrepreneurial, je tiens à saluer l’engagement sans faille de toutes les équipes de PAP OUEST notamment de ses dirigeants, Julien LEFORT et sebastien guyot ainsi que celui des équipes du GROUPE IDLP, qui œuvrent chaque jour pour satisfaire notre clientèle. Je remercie également nos partenaires, toujours prêts à nous accompagner dans chacun de nos projets de développement. Zepros Auto Zepros Après-Vente Auto

Bravo à votre entreprise pour cette belle progression , comme vous le dites, se sont les femmes et les hommes qui en font la richesse , la réussite.

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Le mot est lâché : la naïveté… Le mot est lâché, la naïveté, comme le souligne la ministre. La présence de la Chine dans le secteur de la voiture électrique dépasse largement une simple concurrence sur le marché européen : c’est l’ensemble de la chaîne de valeur qui est en jeu. Depuis l’extraction des matières premières, le raffinage, jusqu’à la production de batteries, la Chine s’impose en leader incontesté. Les récentes mesures européennes, telles que les taxes aux frontières ou l’instauration d’un score environnemental pour l’octroi de subventions, cherchent à limiter cette domination. Cependant, la Chine pourrait réagir en restreignant l’accès aux matières premières qu’elle contrôle, y compris celles extraites hors de son territoire. Cette guerre commerciale et industrielle, d’une intensité extrême, représente des enjeux stratégiques considérables pour la France, un pays de constructeurs et d’équipementiers automobiles.

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Lors du Mondial de l’Automobile, les visites officielles se sont multipliées : poignées de mains, sourires éclatants… mais derrière cette façade soigneusement entretenue, la réalité est bien moins reluisante. Une réalité inquiétante, sans surprise, pour l’industrie automobile européenne. La bataille de la voiture électrique oppose désormais l’Europe à la Chine dans un affrontement où l’équilibre penche nettement en faveur de Pékin. La Chine domine l’ensemble de la chaîne de valeur, des matières premières aux batteries, et impose sa puissance dans le secteur de l’électrique. En réponse, l’Europe resserre ses politiques protectionnistes — mais cette stratégie pourrait lui coûter cher. La Chine, forte de multiples leviers de rétorsion, pourrait limiter ses exportations de matières premières indispensables à l’industrie européenne. On l’a déjà observé dans le secteur des panneaux solaires. Du côté des équipementiers, ceux qui produisent les composants nécessaires aux constructeurs automobiles européens, les difficultés s’accumulent. La transition vers un objectif de production 100 % électrique soulève d’immenses défis pour les acteurs européens de la filière — et même en se montrant optimiste, il semble évident que la route sera ardue. Pourtant, dans les déclarations des représentants de l’industrie automobile, l’optimisme persiste. Cet élan laisse entendre qu’une issue positive est envisagée, malgré les vents contraires. Mais les chiffres sont là : quand un géant comme Volkswagen est lui-même en difficulté, ne serait-il pas temps d’ouvrir les yeux ? https://lnkd.in/eRcHqAfq

Paris : la cité interdite 🚫 Depuis des années, la ville de Paris mène une bataille méthodique contre l’utilisation de la voiture, en procédant étape par étape. Les fermetures d’axes stratégiques se multiplient, tels les voies sur berges, la rue de Rivoli, et plus récemment le pont d’Iéna, devenu piéton. Les politiques de stationnement deviennent également plus restrictives. Une surtaxe vise désormais les SUV et les véhicules les plus lourds, pourtant souvent utilisés par des familles. À cela s’ajoutent les zones à faibles émissions (ZFE), qui restreignent progressivement l’accès des véhicules anciens, imposant une sorte d’obsolescence programmée sous couvert de politique environnementale. Dernière mesure en date : la Zone à Trafic Limité (ZTL). Contrairement aux ZFE, la ZTL ne prend pas en compte la typologie des véhicules (diesel, essence, électriques, petits ou grands modèles) et impose des restrictions uniformes. Imaginons le cas d’un couple de Franciliens souhaitant se rendre chez des amis dans le centre de Paris, situé en ZTL, à bord de leur petite voiture pourtant autorisée par les ZFE. Devra-t-il désormais remplir une attestation sur l’honneur, comme à l’époque du Covid-19, pour justifier sa présence dans cette zone ? Cette Zone à Trafic Limité a-t-elle vraiment été anticipée ? Des infrastructures de stationnement en périphérie de Paris ont-elles été prévues pour accueillir les véhicules des banlieusards, leur permettant ensuite de poursuivre leur trajet en transports en commun, avec, par exemple, des parkings dits “du dernier kilomètre” ? L’anticipation est pourtant cruciale lorsqu’on met en œuvre une telle mesure discriminante.

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