🏛 🖼 Rapport d'observations définitives relatives au musée des Confluences (Métropole de Lyon). Enquête thématique conjointe avec la section du Piémont de la Cour des comptes italienne, relative à la gestion des musées.
Après le musée d'art Roger Quilliot de Clermont-Ferrand, le musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne et le musée de Grenoble, la chambre publie le rapport consacré au musée des Confluences.
🔎L’enquête thématique a montré que l’établissement remplissait tous les critères constitutifs de l’appellation musée de France.
🔎L’accès des différents publics au musée et aux contenus qu’il propose est d’abord assurée par une politique tarifaire permettant l’accès du plus grand nombre, notamment grâce à de nombreuses gratuités ou à des prix réduits. Les publics en situation de handicap et de précarité font l’objet d’actions spécifiques. La fréquentation du musée est importante.
🔎A travers des partenariats nombreux et diversifiés, le musée parvient à susciter l’intérêt pour ses collections, tant auprès de ses pairs et d’institutions scientifiques de renom en France ou à l’étranger, qu’auprès des entreprises.
Les usagers se montrent de façon constante satisfaits du musée.
🔎L’examen de gestion a mis en évidence une situation financière saine, même si elle reste très dépendante des apports et contributions de la métropole de Lyon, unique financeur public de cet établissement public de coopération culturelle. La métropole met à sa disposition tous les biens nécessaires à son fonctionnement. Cette situation très particulière dont la métropole a hérité du conseil départemental du Rhône, fait du musée des Confluences un établissement sans coopération effective avec la ville de Lyon et d’autres collectivités locales, ni même avec l’Etat, qui devrait y participer eu égard à son rayonnement régional et national.
👓 Pour retrouver le rapport et sa synthèse :
https://lnkd.in/e6K5KN7Y