CNRS Île-de-France, Gif-sur-Yvette

🕰😴 Voyage au cœur des mécanismes génétiques qui régissent l’horloge circadienne avec le projet #PostClock. Les horloges circadiennes sont présentes dans tous les organismes vivants et contrôlent de nombreux aspects de la physiologie et du comportement. Elles régissent par exemple les rythmes veille-sommeil et reçoivent les informations de lumière et de température pour synchroniser le comportement avec les cycles jour-nuit. Tous les organismes disposent d’une horloge circadienne, et même de plusieurs horloges circadiennes car elles sont présentes dans presque toutes les cellules et vont contrôler des fonctions différentes. « En moyenne, 10% des gènes d’une cellule sont sous influence de cette horloge circadienne, souligne François Rouyer, directeur de recherche Inserm, directeur de l’Institut des neurosciences Paris-Saclay (#CNRS/Université Paris-Saclay) à Saclay et coordinateur du projet PostClock. Sur l’ensemble des tissus, quasiment 80% des gènes sont contrôlés par l’horloge circadienne. » 🔬 Le projet PostClock, mené à l’Institut des neurosciences Paris-Saclay, a ainsi pour objectif d’améliorer la compréhension du fonctionnement des horloges circadiennes sur le plan moléculaire, en les étudiant sur les mouches drosophiles. Pour en savoir plus sur ces #recherches, suivez ce lien ⤵ https://lnkd.in/eDZqTACm Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay

🏆 Quatre lauréats issus des laboratoires #CNRS à Paris-Saclay ont été distingués au Concours d’innovation 2024 organisé par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Bpifrance. Le Concours d’innovation est un concours d’État qui relève du dispositif #France2030. Il « encourage le développement d’entreprises fortement innovantes et technologiques nées des avancées de la recherche de pointe française ». 👏 Cette année encore, les chercheurs entrepreneurs du CNRS se sont distingués. Parmi les 177 lauréats des concours de l'innovation, 58 proviennent de laboratoires de recherche sous la tutelle du CNRS, dont quatre sont issus de laboratoires situés dans le cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay : Grands prix du concours #iLab : 🔹 La startup NcodiN, portée par Francesco Manegatti, du C2N - Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies (CNRS/Université Paris-Saclay/Université Paris Cité) 🔹 La start-up TheraSonic, portée par Benoit Larrat, du laboratoire BAOBAB (CEA/CNRS/Université Paris-Saclay) Vague 11 du concours #iNov : 🔹 La société Altaroad, dirigée par Cécile Villette. Technologie issue du Laboratoire de physique des interfaces et couches minces (CNRS/École Polytechnique) 🔹 La société Pasqal, dirigée par Arnaud Dumas. Technologie issue du Laboratoire Charles Fabry (CNRS/Institut d'Optique Graduate School/Université Paris-Saclay) Pour en savoir plus, suivez ce lien ⤵ https://lnkd.in/evVWpRRP Crédit image : © Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche CNRS Innovation / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Institut Polytechnique de Paris

🌎 Des scientifiques ont découvert des « sauts » de CO2 atmosphériques durant les 500 000 dernières années dans les carottes de glace de l’#Antarctique. Une nouvelle étude a mis en lumière de nouvelles variations rapides, au sein des fluctuations globales, des concentrations de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère au cours des 500 000 dernières années. Ces phénomènes sont appelés « sauts de CO2 » et sont des événements majeurs, même si leur vitesse d’augmentation demeure 10 fois inférieur au taux d’augmentation actuel des concentrations de CO2 générées par les activités humaines. 🤝 Cette étude a été soutenue par le programme Make Our Planet Great Again dans le cadre du projet HOTCLIM, et menée par une équipe scientifique internationale conduite par l'Institut des géosciences et de l’environnement de Grenoble (IGE – #CNRS/INRAE/IRD/Université Grenoble Alpes) associé au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (LSCE - CEA/CNRS/UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), à l’Université New South Wales, et à l’Université de Bern. L’article a été publié dans la revue Nature Géoscience le vendredi 11 octobre 2024. Pour en savoir plus, retrouvez le communiqué du CNRS ⤵ https://lnkd.in/embGAAwM Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay Image d'illustration Crédit : © Bruno JOURDAIN/LGGE/CNRS Images

📸🐇🦊 Comment Jean Zay a entraîné Deepfaune, une IA de reconnaissance d’images d’animaux sauvages européens Chaque jour, des dizaines de milliers d’images sont prises par des pièges photos posés dans des parcs nationaux, réserves naturelles ou simples zones géographiques d’intérêt. Cette masse est trop importante pour identifier à la main les animaux, une #IA capable d’automatiser ce travail s’impose. 👩💻👨💻 Le projet Deepfaune a vu le jour en 2020 afin de répondre à cet enjeu. Il est porté par Simon Chamaillé-Jammes, directeur de recherche CNRS au Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE - CNRS / École Pratique des Hautes Études / IRD / Université de Montpellier), et Vincent Miele, ingénieur de recherche au Laboratoire d’écologie alpine (LECA - CNRS / Université Grenoble Alpes / Université Savoie Mont Blanc). Les chercheurs ont entraîné l’IA de Deepfaune sur Jean Zay, le supercalculateur le plus puissant de France, avec l’accompagnement des experts de l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS - #CNRS). 🇪🇺 Disponible gratuitement dans sa dernière version depuis février 2024, Deepfaune compte déjà plusieurs centaines d’utilisateurs. Les utilisateurs sont d’horizons multiples : particuliers, parcs nationaux et régionaux, réserves naturelles ou bien encore des structures de surveillance de la biodiversité. Disponible en français, anglais, italien et allemand, #Deepfaune est utilisé dans quasiment toute l’Europe. Les chercheurs comptent cependant continuer à améliorer cet outil, notamment en intégrant encore plus d’espèces animales d’Europe dans le modèle. Plus d'informations sur ces travaux ▶https://lnkd.in/evFUQEza

🗽 Quand la science conserve le patrimoine La conservation des objets patrimoniaux métalliques est un enjeu bien connu, afin de limiter leur dégradation au cours du temps. Suite à l’interaction entre le métal et les conditions extérieures, principalement l’humidité, une couche de produits de corrosion se crée à la surface des objets. 🔬 Afin de mieux comprendre ces mécanismes et, par là même, de proposer des solutions opérationnelles réalistes, le laboratoire commun LETRIP (Laboratoire d’Etude des Traitements et Revêtements Innovants pour le Patrimoine), hébergé au laboratoire Nanosciences et innovation pour les matériaux, la biomédecine et l'énergie (CEA / #CNRS), a été créé par le CNRS, le CEA et l’entreprise A-CORROS. Ce laboratoire commun étudie principalement des objets métalliques constitués de cuivre ou de fer, dans des contextes de dégradations physico-chimiques différents : les sculptures et objets exposés à l’air libre, voire en extérieur, et ceux issus de fouilles marines. 🌧️ Les résultats issus de cette collaboration ont déjà permis de créer une technique innovante de protection des objets marins, et les scientifiques travaillent actuellement à protéger le patrimoine exposé à l’air libre avec des revêtements non toxiques et d'origine naturelle. Plus d'informations sur ces travaux ▶https://lnkd.in/e66e6zeq

🏆👩🔬👨🔬 Prix de l'Académie des sciences 2024 : six scientifiques des laboratoires du #CNRS à Paris-Saclay mis à l'honneur ! Chaque année, l'Académie des sciences remet près de 80 prix couvrant l'ensemble des domaines scientifiques, aussi bien fondamentaux qu'appliqués. De nombreux lauréats sont des chercheurs et chercheuses CNRS ou rattachés à un laboratoire dont le CNRS est une tutelle. Parmi eux, six mènent leurs recherches dans des laboratoires CNRS du cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay. 👏 Félicitations à : 🔹 Fanny Kassel, directrice de recherche CNRS au Laboratoire Alexander Grothendieck (CNRS/Institut des Hautes Études Scientifiques - IHES), qui reçoit la Médaille de mathématiques. 🔹 Claude Weisbuch, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de physique de la matière condensée (CNRS/École Polytechnique) et au Materials Department de l'Université de Californie à Santa Barbara, qui reçoit la Médaille des applications des sciences. 🔹 Sébastien Galtier, professeur Université Paris-Saclay au Laboratoire de physique des plasmas (CNRS/École polytechnique/Sorbonne Université/Observatoire de Paris | PSL/Université Paris-Saclay), qui reçoit le Prix Cécile Dewitt-Morette/École de Physique des Houches /Fondation CFM pour la recherche. 🔹 Yvan Martel, professeur des universités UVSQ au Laboratoire de mathématiques de Versailles (CNRS/UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), qui reçoit le Prix Sophie Germain/Fondation de l’Institut de France.   🔹 Omar Mohsen, maître de conférences Université Paris-Saclay au Laboratoire de mathématiques d'Orsay (CNRS/Université Paris-Saclay/Inria), qui reçoit le Prix Jacques Herbrand/Fondation Mireille Cahn-Bunel de l’Académie des sciences.   🔹 Jean-François Roch, professeur des universités ENS Paris-Saclay au Laboratoire lumière-matière aux interfaces (CNRS/ENS Paris-Saclay/Université Paris-Saclay/CentraleSupélec), reçoit le Prix Jaffé/Fondation de l’Institut de France. Ville d'Orsay / Ville de Palaiseau / Agglomération Paris-Saclay / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Institut Polytechnique de Paris Crédit photo : © Académie des sciences

🌊 Élucider le mystère de la formation des vagues Plusieurs études scientifiques se sont déjà penchées sur le rôle du vent dans la création des vagues, principalement dans l’augmentation de leur hauteur. Cependant, le mécanisme précis de leur formation reste encore peu compris et peu étudié. L’un des obstacles à cette compréhension est notamment que l’eau est un fluide très peu visqueux. Afin de contrer cet effet, Marc Rabaud, enseignant-chercheur émérite à l’Université Paris-Saclay au laboratoire Fluides, automatique et systèmes thermiques (#CNRS / Université Paris-Saclay), avec une équipe du laboratoire, a étudié la formation des vagues sur des liquides plus visqueux, principalement des huiles de silicone, jusqu’à 5000 fois plus visqueuses que l’eau. 💨 Les scientifiques ont également pu mettre en évidence un autre phénomène : la création de « solitons visqueux ». Il s’agit d’une vague unique créée par le vent, qui n’apparaît que dans des liquides très visqueux. Ces études sur la compréhension des vagues et des solitons pourraient avoir des applications multiples. Plus d'informations sur l'étude ▶https://lnkd.in/euFQQr6P

🔬 Grâce à un microscope à effet tunnel fonctionnant à basse température, des scientifiques de l’Institut des sciences moléculaires d'Orsay (#CNRS/Université Paris-Saclay) cherchent à parvenir à une meilleure compréhension, à l’échelle atomique, des processus de transfert de charge entre molécules. Un transfert de charge correspond, généralement, au déplacement d’électrons d’une molécule à une autre, créant ainsi un déséquilibre de charge électrique entre les molécules impliquées. « Les transferts de charge existent quasiment partout dans la nature : on les retrouve par exemple dans la #photosynthèse, le transport d’oxygène et du CO2 dans le sang ou bien encore dans le transport électronique des composants tels que les transistors, les cellules #photovoltaïques ou les #batteries électriques », explique Damien Riedel, directeur de recherche au CNRS à l’ISMO et coordinateur du projet CHACRA. En l’occurrence, ce dernier porte sur les aspects fondamentaux de ces domaines, où les demandes de technologie disruptives sont souvent très fortes. ⚛ L’objectif du projet a été de réunir des savoir-faire et expertises ad-hoc afin d’obtenir un environnement de travail innovant et unique en France pour l’étude des transferts de charge à l’échelle atomique. « Nous sommes les premiers à le faire à l’échelle de la molécule », souligne Damien Riedel. Ce projet a débuté en 2019 et a bénéficié d’un financement de l’ANR (Agence nationale de la recherche), dont l’objectif est de soutenir l’excellence de la recherche et l’innovation française sur le plan national, européen et international. Pour en savoir plus, retrouvez l'article complet paru sur CNRS Le journal ⤵ https://lnkd.in/eemrz5P7

[ 📢 𝗣𝗼̂𝗹𝗲 𝗨𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱'𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 l’Université Paris-Saclay ! ] 🗒️ Enquête sur les relations partenariales avec les entreprises et start-up ► Donnez votre avis aujourd'hui pour améliorer les #partenariats entre les #entreprises et le Pôle Universitaire d’Innovation de l’Université Paris-Saclay !   ► Vous êtes intéressé par un partenariat avec le Pôle Universitaire d’Innovation de l’Université Paris-Saclay et ses partenaires ?   👀🗒️ N’hésitez pas à répondre à cette #enquête ! 👉 https://lnkd.in/eB8TaejF ---------------------------------------------------------------------------- Le Pôle Universitaire d’Innovation (PUI) de l’Université Paris-Saclay regroupe 13 membres fondateurs : - l’Université Paris-Saclay ; - les 4 grandes écoles membres de l’Université que sont CentraleSupélec, AgroParisTech, ENS Paris-Saclay et l’Institut d'Optique Graduate School ; - les 2 universités membres-associés – Université D'Evry et UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines ; - 4 organismes nationaux de recherche – CNRS, INRAE, Inria et INSERM – et 2 acteurs de l’innovation sur le territoire que sont IncubAlliance et la SATT Paris-Saclay, ainsi que 15 partenaires (Commissariat a l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives ; ONERA - The French Aerospace Lab ; Gustave Roussy ; Genopole ; IRT SystemX ; VEDECOM ; Communauté Paris-Saclay ; Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines ; Grand Paris Sud ; Association Vallée Scientifique de la Bièvre ; Grand-Orly Seine Bièvre ; Systematic Paris-Region ; Medicen Paris Region ; La French Tech Paris-Saclay ; Établissement public d'aménagement Paris-Saclay)   👉 Ses membres fondateurs souhaitent établir un état des lieux de la qualité de leurs relations avec les entreprises ainsi que leurs besoins afin d’améliorer leurs offres et leurs pratiques envers les entreprises. Nous vous remercions de bien vouloir nous faire connaître votre #appréciation ou #besoin en répondant à ce questionnaire à titre individuel et non au niveau global de votre entreprise. Xavier Apolinarski | Stephanie Oger-Roussel | Raquel Díaz López

👩🔬 🏅 Félicitations aux trois lauréates du « Prix Jeunes Talents Pour les Femmes et la Science France 2023 » issues de la communauté scientifique #CNRS à Paris-Saclay. #FWIS   Afin de valoriser de jeunes chercheuses prometteuses et d’accélérer leur carrière, la Fondation L'Oréal, en partenariat avec l’Académie des sciences et la Commission nationale française pour l’UNESCO, a dévoilé, et pour la 18ème année consécutive, le nom des 35 doctorantes et post-doctorantes qui seront récompensées du Prix Jeunes Talents France 2024 L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. Parmi elles, trois mènent leurs recherches dans des laboratoires CNRS du cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay.   👏 Félicitations à : 🔹 Léa Dubois, doctorante au laboratoire Charles Fabry (CNRS/Institut d'Optique Graduate School/Université Paris-Saclay), qui étudie les atomes à très basse température. 🔹 Solenne Gaucher, Ph.D., post-doctorante au Centre de recherche en économie et statistique (CNRS/École Polytechnique/GENES - Groupe des Écoles Nationales d'Économie et Statistique), qui développe des algorithmes équitables et inclusifs. 🔹 Marion Zannese, post-doctorante à l’Institut d'Astrophysique Spatiale (CNRS/Université Paris-Saclay), qui étudie la formation des étoiles et des planètes.   Ville de Palaiseau / Ville d'Orsay / Agglomération Paris-Saclay / Département de l'Essonne / Établissement public d'aménagement Paris-Saclay / Institut Polytechnique de Paris   Crédit photo : © Fondation L’Oréal – Clémence LOSFELD et Richard PAK