Malo&Co

NOUVELLE PROMOTION ! Comprendre l'inné locomoteur du cheval pour une équitation performante et respectueuse Début du e-learning le 4 Octobre 2024 Présentiel : 13 et 14 janvier 2025 à Orléans Fin de formation 28 février 2025 Pour vous inscrire c'est ici :https://lnkd.in/e7QTFsJB FORMATION professionnelle LOCOMOTION DU CHEVAL https://lnkd.in/eP9Vnn8e Vous êtes un professionnel ? Cavalier, enseignant, vétérinaire, ostéopathe, masseur,... Vous souhaitez vous remettre à niveau et progresser dans la compréhension de la locomotion du cheval ? Cette formation est pour vous ! Plus de 25 heures de formation en ligne. Plus de 130 questions pour vous assurer de bien assimiler les informations. Un accès 24/24 à la plateforme de formation Un espace d'échanges avec les autres apprenants et les formateurs. Des possibilités de financements pour les professionnels. À propos Le Dr Vétérinaire Marie Odile Sautel et le cavalier /enseignant Laurent Mézailles développent des formations pour mieux comprendre la locomotion du cheval. Objectifs de la formation: 1°) Éléments de base de physiologie et biomécanique:Comprendre la relation entre le fonctionnement du cheval et la pratique équestre. Il s’agit d’aborder simplement et pratiquement les notions d’anatomie et de physiologie régissant la locomotion du cheval. 2°) Exploration du corps du cheval et détection des zones de tension: Apprendre à reconnaître les différents degrés de tension musculaire, savoir où les rechercher. Savoir les utiliser dans le suivi musculaire du cheval. 3°) Vérification de l’adéquation du matériel: Une selle inadaptée peut faire boiter ! Il s’agit d’apprendre à vérifier les points clés pour optimiser l’adéquation de la selle au dos de votre cheval. 4°) Notions équestres de base: Observation du cheval et identification des «observables» servant à évaluer la qualité de sa Locomotion. 5°) Choisir les exercices adaptés : pour préserver et optimiser la cavalerie. Renseignements : laurent@mezailles.fr Possibilités de prise en charge au titre de la formation professionnelle continue. Entre 45 et 100 % de prise en charge suivant votre statut.

Le cheval peut-il s’incurver du bout du nez au bout de la queue ? ❓ Et d’abord, qu’est-ce que l’incurvation ? L’incurvation peut être définie comme l’orientation du bassin et des épaules du cheval sur la courbe. Au trot sur un cercle par exemple, lorsque l’incurvation est correcte, le postérieur interne se pose dans la trace de l’antérieur interne. Autrement dit, les épaules sont devant les hanches. 👉 Cependant, le rachis du cheval ne peut pas se fléchir de manière identique depuis le bout du nez jusqu’au bout de la queue, du fait de la forme différente des vertèbres d’une zone à l’autre. Alors que les vertèbres cervicales (encolure) peuvent se fléchir de manière très importante d’un côté ou de l’autre et indépendamment du reste de la colonne vertébrale, c’est moins le cas des vertèbres thoraciques (depuis le garrot jusqu’au début du rein). Quant aux vertèbres lombaires, leur mobilité latérale (latéro-flexion et rotation) est quasiment impossible du fait de la présence d’apophyses transverses très développées. 👉 Mais alors, si la zone lombaire ne fléchit pas, comment le cheval peut-il garder son postérieur interne dans la ligne de l’antérieur interne ? => c'est grâce à la latéro-flexion et la rotation du bassin. Au final, on peut donc dire que c’est l’engagement du postérieur interne sous la masse qui est déterminant de la qualité de l’incurvation et du maintien de l’impulsion sur le cercle. La difficulté d’un cheval à s’incurver correctement pourra se ainsi se traduire (entre autres symptômes) par un désengagement du postérieur interne. En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Quel est l'intérêt des transitions rapprochées trot-pas-trot ? Une transition montante, quelle qu’elle soit, entraîne un travail des muscles de la propulsion accompagné d’une rigidification du dos pour assurer la transmission de cette propulsion. C’est donc la qualité de la tension de la ligne du dessus qui assure la qualité de la transition montante, et le respect de l’allure montante. C’est ce que l’on appelle la “tension-propulsion”. Par exemple lors d’une transition pas-trot, le cheval qui “saute” dans son trot part par un bipède diagonal, avec une bonne amplitude et du rebond dès la première foulée de trot. Une transition descendante favorise pour sa part la tonicité de l’avant-main et de la ligne du dessus, fait travailler l’amortissement au niveau de l’avant-main (sangles antérieures) et des hanches, et renforce les abdominaux. Plus une transition trot-pas est préparée à l’avance, plus elle est fluide car la décélération est amortie par les masses musculaires. Pour maximiser les apports biomécaniques des transitions, il est par exemple possible de rapprocher les transitions trot-pas-trot, toutes les 3 ou 4 foulées, pendant 3 minutes maximum. Les critères de réussite des transitions rapprochées : 💠 Le cheval doit sauter dans son trot (transition franche) 💠 Il ne doit pas s’ouvrir (s’il ouvre l’angle tête-encolure, c’est le signe que l’on a “perdu le garrot”) 💠 Il doit rester en équilibre, longitudinalement (sans plonger vers l’avant) et latéralement (sans se traverser en se jetant sur une épaule ou l’autre) 💠 Il ne doit pas se désengager En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Le travail du reculer : un exercice ultra-bénéfique… lorsqu’il est bien exécuté !    Qu’est-ce qu’un reculer bien exécuté ?    Le reculer est une allure diagonalisée, le cheval doit donc déplacer alternativement ses bipèdes diagonaux, sans dissocier les posers des membres d’un diagonal. Il doit garder le dos voussé et non reculer avec le dos creux. Et il doit reculer en prenant son temps. Lorsque le reculer est symétrique, diagonalisé et suffisamment ample, alors le cheval abaisse ses hanches.    Les bénéfices à attendre d’un reculer correctement exécuté :    💠 Développement de la force musculaire dans la région de l’épaule, et sollicitation des muscles de l’embrassée et du soutien du tronc. 💠 Assouplissement de la charnière lombosacrée (= rein voussé) 💠 Étirement des masses musculaires de l’arrière-main (fémoraux caudaux et fessiers moyens) 💠 Sollicitation en force des ilio-psoas, qui doivent tracter toute la masse du corps du cheval vers l’arrière. 💠 Flexion, voire abaissement des hanches, à partir d’un certain niveau d’amplitude des postérieurs. 💠 Excellent travail de proprioception, car le cheval ne peut pas voir derrière lui. Il travaille ainsi son schéma corporel et de sa coordination.    Mon cheval a du mal à reculer, pourquoi ? Il ne parvient pas à diagonaliser, ses battues sont dissociées, ou bien il ne parvient pas à reculer en ligne droite :    👉 Il a peut-être une restriction de mobilité d’un antérieur, ce qui entraîné une différence d’amplitude de retrait entre les deux antérieurs, donc une difficulté à conserver deux diagonaux symétriques et synchronisés. Il sera possible d’affiner le diagnostic du problème grâce à la palpation des points de tension au niveau des épaules. Si le cheval réagi, il y aura certainement des répercussions sur la qualité du reculer.    👉 Ses psoas ont peut-être un fonctionnement dissymétrique, ce qui entraîne une différence d’amplitude des postérieurs.    👉 ses muscles fessiers sont peut-être courbatus, fatigués, ce qui limite l’amplitude des postérieurs    👉 s’il n’abaisse pas ses hanches, c’est qu’il a peut-être une rigidité en région lombosacrée, voire le dos carpé : la possibilité de flexion lombo-sacrale est alors très limitée, ce qui l’empêche d’abaisser ses hanches. En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Quels sont les bienfaits musculaires et biomécaniques de l’extension d’encolure ? Tous les chevaux sont-ils capables de trotter le nez dans le sable ? La vérité enfin révélée sur cette attitude qui déchaîne tant les passions ! L’extension d’encolure est un exercice dynamique dans lequel le cheval étire son encolure vers l’avant et vers le bas, en suivant la main du cavalier et en recherchant le contact avec le mors. L’objectif est d’améliorer la “tension”, cette impression que l’impulsion circule librement et souplement de l’arrière-main vers l’avant-main. Bien exécutée, elle se traduit pour le cavalier par une impression de rebond au trot. Le reproche qui est souvent fait à l’extension d’encolure (d’ailleurs parfois mal réalisée car mal comprise) est celui de mettre le cheval sur les épaules.   On est bien évidemment d’accord avec ce constat puisque l’intérêt est précisément de créer un déséquilibre chez le cheval !  Pour ne pas tomber vers l'avant, le cheval va ainsi accroître le travail des sangles musculaires qui assurent la suspension du tronc entre les épaules (les mêmes qui assurent la fameuse “montée du garrot” et le rebond) et engager un peu plus ses postérieurs sous la masse. L’extension d’encolure pratiquée correctement permet également, de par l’élongation de l’ensemble du rachis qu’elle impose, de soulager les conflits de processus épineux et de renforcer les sangles abdominales. Mais attention : la condition absolue pour que cet exercice procure tous les bienfaits attendus est de respecter la bonne cadence. C’est parce qu’on interdit au cheval d’accélérer qu’il mettra en jeu les chaînes musculaires voulues. Attention également : tous les chevaux ne sont pas capables d’évoluer correctement dans une attitude d’extension dite “paroxystique”, c’est à dire le nez très près du sol. En effet, il peut y avoir des limites physiologiques (par exemple un dos carpé qui limite la mobilisation du rachis lombaire) ou des limites musculaires (chez le cheval qui ne serait pas encore suffisamment gainé). Explications avec un extrait vidéo de la formation [Biomécanique : Comprendre l'inné locomoteur du cheval pour une équitation performante et respectueuse]  En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Quel est l’antérieur qui supporte le plus de charge à la réception d’un obstacle ? Le premier pied qui touche le sol (membre «contacteur»), ou bien le second (membre «directeur»), qui sera aussi le pied du galop ? Les deux supportent une charge importante, mais l’étude de la distribution des forces verticales (amortissement du saut) et horizontales (propulsion pour amorcer la battue de réception) montrent que c’est bien le second antérieur, celui du pied du galop, qui sera soumis au maximum de contraintes articulaires et ligamentaires. Explications avec un extrait vidéo de la formation [Biomécanique : Comprendre l'inné locomoteur du cheval pour une équitation performante et respectueuse] En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Comment puis-je augmenter la force propulsive de mon cheval au trot ? C’est la qualité de l’engagement des postérieurs qui fait celle de la propulsion. Au trot en extension soutenue, plus le cheval engage un postérieurs sous la masse, plus l’antérieur du même côté reste longtemps en appui sur le sol. C’est cette durée d’appui augmentée qui lui permet d’augmenter l’énergie emmagasinée puis relarguée ensuite, augmentant alors la force propulsive. En outre, c’est la rigidification du dos qui permet la transmission plus efficace des forces propulsives générées par les membres. Donc pour améliorer la propulsion au trot, il faut d’abord améliorer l’engagement ! En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

Engagement des postérieurs et abaissement des hanches, quelle différence ? L’engagement des postérieurs est caractéristique de l’amplitude, tandis que l’abaissement des hanches est caractéristique du rassembler. Le cheval peut très bien montrer un engagement important des postérieurs (au trot moyen ou allongé par exemple) sans pour autant abaisser (ou «ployer») ses hanches. D’ailleurs, le terme d’“abaissement des hanches” est incomplet car dans les allures rassemblées, ce sont toutes les articulations des membres postérieurs qui se fléchissent: les hanches, mais aussi les grassets, les jarrets et les boulets. Et au piaffer, le summum du rassembler, la flexion des articulations des postérieurs est intense et le cheval se mobilise sur place, avec un engagement finalement peu important. (mais il engage finalement assez peu ses postérieurs). Explications en image dans la vidéo ci-dessous : En savoir plus ? 👉 c'est ici : https://lnkd.in/eP9Vnn8e

NOUVELLE PROMOTION ! Comprendre l'inné locomoteur du cheval pour une équitation performante et respectueuse Début du e-learning le 4 juillet 2024 Présentiel : 7 et 8 octobre 2024 en Picardie Fin de formation Octobre 2024 Pour vous inscrire c'est ici : https://lnkd.in/ek7N8cjB FORMATION professionnelle LOCOMOTION DU CHEVAL https://lnkd.in/eP9Vnn8e Vous êtes un professionnel ? Cavalier, enseignant, vétérinaire, ostéopathe, masseur,... Vous souhaitez vous remettre à niveau et progresser dans la compréhension de la locomotion du cheval ? Cette formation est pour vous ! Plus de 25 heures de formation en ligne. Plus de 130 questions pour vous assurer de bien assimiler les informations. Un accès 24/24 à la plateforme de formation Un espace d'échanges avec les autres apprenants et les formateurs. Des possibilités de financements pour les professionnels. À propos Le Dr Vétérinaire Marie Odile Sautel et le cavalier /enseignant Laurent Mézailles développent des formations pour mieux comprendre la locomotion du cheval. Objectifs de la formation: 1°) Éléments de base de physiologie et biomécanique:Comprendre la relation entre le fonctionnement du cheval et la pratique équestre. Il s’agit d’aborder simplement et pratiquement les notions d’anatomie et de physiologie régissant la locomotion du cheval. 2°) Exploration du corps du cheval et détection des zones de tension: Apprendre à reconnaître les différents degrés de tension musculaire, savoir où les rechercher. Savoir les utiliser dans le suivi musculaire du cheval. 3°) Vérification de l’adéquation du matériel: Une selle inadaptée peut faire boiter ! Il s’agit d’apprendre à vérifier les points clés pour optimiser l’adéquation de la selle au dos de votre cheval. 4°) Notions équestres de base: Observation du cheval et identification des «observables» servant à évaluer la qualité de sa Locomotion. 5°) Choisir les exercices adaptés : pour préserver et optimiser la cavalerie. Renseignements : laurent@mezailles.fr Possibilités de prise en charge au titre de la formation professionnelle continue. Entre 45 et 100 % de prise en charge suivant votre statut. Devis sur demande ici : https://lnkd.in/ek7N8cjB

Comment puis-je augmenter la force propulsive de mon cheval au trot ? C’est la qualité de l’engagement des postérieurs qui fait celle de la propulsion. Au trot en extension soutenue, plus le cheval engage un postérieurs sous la masse, plus l’antérieur du même côté reste longtemps en appui sur le sol. C’est cette durée d’appui augmentée qui lui permet d’augmenter l’énergie emmagasinée puis relarguée ensuite, augmentant alors la force propulsive. En outre, c’est la rigidification du dos qui permet la transmission plus efficace des forces propulsives générées par les membres. Donc pour améliorer la propulsion au trot, il faut d’abord améliorer l’engagement ! Vous souhaitez vous former sur la locomotion du cheval ? Testez gratuitement notre premier module et découvrez la formation : https://lnkd.in/ecq6GytW Les prochaines sessions de formation : ✅ Niveau initial - Pour tous les professionnels 👉 Début du e-learning le 4 juillet 2024 Présentiel : 7 et 8 octobre 2024 en Picardie Fin de formation : octobre 2024 Pour s'inscrire, suivez le lien juste en dessous : https://lnkd.in/eFZwfMpQ 👉 Début du e-learning le 4 août 2024 Présentiel : 25 et 26 novembre dans la Vienne (86) Fin de formation : novembre 2024 Pour s'inscrire, suivez le lien juste en dessous : https://lnkd.in/emaW_24z ✅ Niveau Certification - Pour les stagiaires ayant déjà suivi le niveau initial 👉 Début du e-learning le 4 juillet 2024 Présentiel : 4 Novembre à Orléans Examen de certification (facultatif) : 5 novembre à Orléans Pour en savoir plus, suivez le lien juste en dessous : https://lnkd.in/etJesYA3