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Deezer met environ 100 millions de titres à la disposition de ses 3,5 millions d'abonnés en France. Tous les jours, de nouveaux morceaux enrichissent le catalogue… Dont 10 000 "100 % générés par l'intelligence artificielle". Comment la plateforme de streaming musical gère-t-elle ces "intrus" ? Les explications d'Alexis Lanternier, directeur général de Deezer ; il était l'invité du 13/14, jeudi 20 mars. ➡️ https://lnkd.in/e6gDpReJ

Savez-vous qui haïssait Donald Trump au point de le qualifier en privé d'"Hitler américain" et d'avouer en 2016 qu'il préférerait voter en se bouchant le nez pour Hillary Clinton que pour lui ? Son Vice-Président actuel, J.D. Vance. Si cela vous intrigue, je vous invite à écouter le podcast passionnant que thomas snegaroff lui consacre sur France Inter. Thomas est historien, spécialiste des Etats-Unis et il le dit lui-même : « je n'avais jamais rencontré un vice-président des États-Unis aussi présent et aussi puissant que J. D. Vance ». Quasiment inconnu il y a quelques semaines, il lui a suffi de deux séquences pour se faire un nom dans le monde entier : d’abord avec son discours historique à Munich où ses mots ont laissé les Européens pantois, ensuite dans le bureau ovale de la Maison Blanche où il a humilié le président ukrainien. Comment son histoire personnelle tragique a construit sa vision ultraconservatrice ? Qui sont les personnes qui ont compté dans sa formation intellectuelle, spirituelle et dans sa carrière ? Quelle influence a-t-il aujourd’hui et quelles sont ses ambitions ? Ecoutez, vous saurez ! ➡️ https://lnkd.in/ebqFSd8i cc Karen Déhais Charles De Cillia Etienne Quesnel Nicolas Delmas Basile Beaucaire Bertrand Rutily Fanny Bohuon

Donald Trump n’est au pouvoir que depuis deux mois, mais il a transformé les Européens. Et pas seulement les dirigeants politiques qui tentent de construire dans l’urgence une défense autonome du continent. L’impact se fait sentir dans les opinions publiques, comme le révèle aujourd’hui un sondage effectué dans neuf pays de l’Union européenne. Cette étude de l’Institut Cluster17 pour la revue en ligne « Le Grand Continent », fait apparaître un véritable consensus sur la défense européenne. 70% des Européens en moyenne estiment que l’UE ne doit compter que sur ses propres forces pour assurer sa défense, contre seulement 10% qui estiment qu’elle peut compter sur les États-Unis. C’est un véritable tournant dans des pays profondément atlantistes comme l’Allemagne, qui soutient la défense uniquement européenne à 76%, et même l’Italie, où Giorgia Meloni tente de ménager ses bonnes relations avec Washington, et qui soutient à 58% la défense européenne. En France, c’est 77% ! Plus surprenant encore, quelque 60% des sondés soutiennent l’idée d’une armée commune européenne, proposition qui n’existe pourtant pas dans les plans des gouvernements. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 est à retrouver ici 👇

Ambre travaille dans un cabinet d’architectes et se pose une question depuis qu'elle doit travailler avec des systèmes d'intelligence artificielle conversationnelle, comme ChatGPT ou LeChat : faut-il ou non les vouvoyer ? Sont entraînés pour comprendre la politesse ? 🤔 Vous aussi vous vous posez la question ? sandrine foulon vous répond ci-dessous. Ca se passe dans "On n'arrête pas l'éco" sur France Inter, en direct, le samedi vers 9h55, ou en replay sur la page de sa chronique, "Ma vie au boulot", ici : https://lnkd.in/eYmYJU-f Si vous aussi, vous voulez lui transmettre une question, un mail fait l'affaire : onnarretepasleco@radiofrance.com

Qu'est-ce qu'un créateur de contenu ? David Castello-Lopes vous donne la réponse, avec un peu de poésie.

La Pologne et les pays baltes veulent sortir de la Convention d'Ottawa, qui interdit les mines antipersonnel. "Tous les moyens sont bons pour défendre notre pays", assumait Dovilė Šakalienė, ministre de la Défense de Lituanie, mardi 18 mars. ➡️ https://lnkd.in/gV9mnQcB 164 pays y adhèrent, mais les principaux pays détenteurs de ces mines (États-Unis, Chine, Russie) ne l'ont jamais signée.

Il y a toujours deux étapes dans l’économie : les principes et la pratique, la discussion et la réalisation. Dans la guerre voulue et initiée par Donald Trump, on en était resté aux intentions, à la communication. Bref aux généralités. Deux exemples nous racontent la vraie vie économique. Premier exemple de la guerre commerciale : le bourbon On rembobine. Washington a annoncé 25% de droits de douane sur l’acier et l’aluminium européens. Bruxelles a répliqué en voulant taxer à 50% le bourbon américain (entre autres). Washington a contre-contre-attaqué : taxation à 200% du vin et des spiritueux français. Ce n’est pas un escalier, c’est une spirale. Là, on est dans le dur. Fureur et angoisse des professionnels viticoles. L’an dernier, 20 millions de caisses de vin et 12 millions de caisses de spiritueux sont partis aux Etats-Unis. 4 milliards d’euros. Si les prix triplent, ce sera peut-être zéro. En volume, on exporte douze fois plus de vin qu’on importe de bourbon. Que s’est-il passé ? Pour aller vite (et c’était bienvenu), Bruxelles a repris une vieille liste de 2018 où figurait le bourbon. Avec l’idée de la modifier d’ici mi-avril. On imagine que çà phosphore sec (si j’ose dire) pour éviter cette catastrophe pour tout un secteur et oublier le bourbon. Mais dans ce cas il faudra trouver d’autres produits américains à taxer. En réalité, chaque pays européen regarde de près avec la Commission ce qui lui pose problème. Mais les capitales ne vont pas le crier sur les toits, pour préserver leur unité. L’enjeu est considérable pour le cognac, en difficulté aussi en Chine. La suite (sur les oeufs) de ma chronique sur France Inter : https://lnkd.in/e7fK-tUA

L’Ukraine est-elle plus proche d’une paix « juste et durable », selon la formule consacrée, après l’entretien téléphonique de deux heures et demi entre Donald Trump et Vladimir Poutine ? Il faudrait être audacieux pour le penser, tant les inconnues sont nombreuses. On ne peut en fait que partager la prudence de Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, réduit comme tout le monde à observer l’événement de l’extérieur. Il a espéré hier soir parler rapidement à Donald Trump, pour savoir, a-t-il dit, « ce que les Russes ont proposé aux Américains, et ce que les Américains ont offert aux Russes ». Et il a estimé que les Russes « ne sont pas prêts à mettre fin à cette guerre ». Sur la base des informations communiquées par Washington, on doit d’abord noter que le président russe n’a pas accepté la même chose que le président ukrainien lors de ses entretiens avec les Américains à Djeddah. Zelensky avait accepté un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours ; Poutine se contente de ne plus cibler les installations énergétiques. Toutes les autres cibles restent possibles, à commencer par les villes ukrainiennes. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇

Guerre commerciale : serons-nous impactés et dans quelles mesures ? "On est beaucoup moins exposés que d'autres pays en Europe, notamment l'Allemagne", décrypte Anne-Sophie Lechevallier dans "On n'arrête pas l'éco" sur France Inter. "Mais par ricochets, on va souffrir des mesures qui seront imposées aux autres, notamment à la Chine et au Canada. Et enfin, et surtout, on risque d'être touché sur notre propre activité et sur la croissance. La Banque de France a commencé à chiffrer ces incertitudes : cela pourrait signifier une croissance retranchée d'environ 0,1 point de PIB." Guerre commerciale : peut-on encore arrêter l'escalade ? C'est un débat avec Anne-Sophie Lechevallier et Béatrice Mathieu à réécouter en replay ici : https://lnkd.in/etEXUEjR

Xavier de la Porte revient sur une première dans l'histoire de la justice française : la Web #radio du 13-Novembre. Comment ce dispositif a-t-il permis aux victimes de suivre le procès ? Pourquoi a-t-il été créé ? Est-ce que ça a changé quelque chose au procès ? https://lnkd.in/gX6PsG6f ⁠