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Services de relations publiques et communication

LEKTON aide les acteurs de l'Habitat à construire leur visibilité

À propos

Le contenu est la clé de la visibilité. Pour toute entreprise, c’est la première étape vers une notoriété dont les enjeux sont le développement et la sécurisation du d’affaires. Dans un monde digitalisé, cette visibilité se fait par le web. Alors, s’il faut conduire une stratégie d’image, on doit d’abord considérer les outils digitaux avant tout autre type de levier promotionnel. Encore trop souvent, on se borne à concevoir une documentation, une plaquette, une brochure commerciale. On néglige alors l’énorme influence que peut avoir une page web sur les prospects. Surtout, on confond le mode d’action d’outils bien différents. Les plaquettes et autres documentations servent surtout à la visite commerciale. Elles concrétisent l’échange, elles laissent une trace de votre passage, elles permettent au prospect de retrouver quelques un des éléments clés de l’entretien qu’il a eu avec vous. Elles n’ont pas vraiment vocation à élargir votre périmètre de clientèle. Rarement, elles ont l’efficacité de véhiculer les valeurs de votre marque, ni de promouvoir vos services, en un mot, de diffuser un message auprès de ceux qui ne vous connaissent pas encore. Elles ne seront jamais l’outil de votre développement commercial. Seul le web permet une diffusion qui vous garantit le maximum de contacts. Les activités dont les ventes sont ponctuelles sont particulièrement concernées. Développer sa notoriété par le digital permet de toucher une cible sans cesse renouvelée, avec des taux de conversion comparables à celui d’un classique « bouche-à-oreille », mais avec l’audience la plus large possible… Même les ventes dites récurrentes sont concernées par la communication digitale. En effet, comment amortir l’inévitable érosion d’un portefeuille client autrement que par l’élargissement de vos prospects… Mais une visibilité web, ça n’a pas d’autre « carburant » que le contenu. Car c’est le contenu, qu’il soit rédactionnel ou vidéo, qui assure le référencement, alimente votre page ...

Site web
https://www.lekton.fr/
Secteur
Services de relations publiques et communication
Taille de l’entreprise
1 employé
Siège social
Blois
Type
Société indépendante
Fondée en
2023

Lieux

Nouvelles

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    A l’échelle européenne, les #bâtiments comptent pour 40% de la consommation d’énergie. Une #énergie qui est loin d’être décarbonée puisqu’elle représente à elle seule plus d’un tiers de l’empreinte #écologique du continent. L’union européenne s’est inscrite dans la décarbonation du parc #immobilier depuis vingt ans. La directive pour la performance énergétique des bâtiments, mieux connue par son acronyme anglais EPBD, s’est donné pour mission de concrétiser les engagements pris lors du protocole de Kyoto. Faire évoluer la performance des bâtiments suppose des outils précis et fiables. Les #dpe constituent un élément décisif, lors de la vente ou de la mise en location d’un bien, dans tous les pays européens. Mais les évaluations se valent-elles d’un bout à l’autre de l’Union Européenne? Les étiquettes énergies répondent-elles à des standards cohérents ? Ce n’est pas le cas, à en juger par ce que l’observatoire de l’immobilier durable (OID) révèle dans une étude comparative. A lire dans cet article ...

    L’Europe de la rénovation, un archipel de la performance énergétique ?

    L’Europe de la rénovation, un archipel de la performance énergétique ?

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    Le béton est un matériau économique et incroyablement plastique. Mais c'est aussi un #matériau qui questionne pas mal de choses à l’heure de la #transitionenvironnementale, notamment l’utilisation de #ressources naturelles dans des proportions qui confine au gigantisme. En France, on consomme 67 millions de m3 de #béton par an. Cela correspond à 25% des matières premières consommées. Quant à son indispensable adjuvant, l'eau,1% de cette ressource est directement employée pour sa mise en œuvre. Du côté de l’empreinte #carbone, là aussi, il y a de quoi dire : c’est 2% de l’impact national. Le béton n’est plus vraiment auréolé de cette gloire que les #architectes #brutalistes avaient contribuée à forger, en mettant au jour son esthétique éminemment moderne. Le béton a désormais quelques comptes à régler avec l'#environnement, dit-on. Il est temps pour lui de s’amender et de montrer qu’il n’est pas si problématique que ça. A lire dans cet article ...

    Construction Bas Carbone : une révolution en béton ?

    Construction Bas Carbone : une révolution en béton ?

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    Gestion des eaux à la parcelle, #ruissellement, #imperméabilisation, ces mots ont récemment trouvé leur place dans le vocabulaire de la #construction. Notre responsabilité vis-à-vis de l’eau est dorénavant une évidence. Mais comment concrétiser une stratégie de #résilience à l’égard de cette #ressource indispensable ? Dans un rapport publié en juillet 2023, le #sénat dresse un état des lieux de notre rapport à l’eau en évaluant au passage la dimension #écologique de nos pratiques constructives. Si l’#urbanisme d’aujourd’hui se veut plus respectueux de l’#environnement, mais aussi plus #résilient, il faut alors concevoir les #bâtiments en fonction de deux risques majeurs : celui encouru par la #biodiversité et les espaces naturels, mais aussi celui qui porte sur notre #habitat au sens large. Car construire, ou aménager, en ignorant le paramètre de l’eau, c’est s’exposer aux #inondations. A lire dans cet article ... A lire dans cet article ...

    Eaux pluviales : le Sénat rappelle les bases de la résilience

    Eaux pluviales : le Sénat rappelle les bases de la résilience

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    « Quand le bâtiment va, tout va » disait l’adage. Mais le #bâtiment ne va plus, à en juger par les niveaux actuels de production de #logements. Et même si, l’inflation normative n’explique tout, car la rareté du foncier ne date pas d’hier, les ruptures règlementaires sont d’une telle brutalité que de nombreux acteurs ne peuvent pas s’adapter. Cependant, nous aurions tort de trop noircir le tableau ; il reste la rénovation. C’est vrai, la transition énergétique devrait renforcer le dynamisme économique d’une filière désormais en manque de volumes. Reste que #construire, ce n’est pas #rénover et que l’inverse est encore plus vrai. Tous les professionnels vous le diront. Rares sont les entreprises qui cumulent les deux thématiques… Depuis longtemps, la #rénovation constitue le premier pilier du bâtiment, un peu plus de la moitié de son volume d’activité, 54%. Et ce taux est très stable depuis des années. En volume d’activité, la progression de ce que l’on appelle en réalité l’amélioration-entretien est semblable à celle du nombre des surface bâties d’avant-crise. Logique, plus il y a de logements et plus on rénove, plus on améliore, plus on entretient … A l'heure de la transition #bascarbone , qui suppose des travaux d’#isolation, d’amélioration des équipements, de changements des baies, il n’y aurait pas de quoi s’inquiéter : notre constante quête du #confort, la pression règlementaire contre les #passoiresthermiques et le cours des #énergies promettent de beaux jours à la rénovation #énergétique Néanmoins, il est difficile de distinguer ce qui relève de l’amélioration proprement dite ou de la conformité aux nouvelles exigences environnementales. Les motivations des donneurs d’ordre sont multiples, et elles ont souvent à voir avec l’attractivité des leurs biens immobiliers. La bonne nouvelle, c’est que l’entretien-amélioration est l’affaire de PME à taille humaine et implantées localement. Celles-ci embaucheraient bien volontiers si elles ne connaissaient pas actuellement des difficultés de recrutement. A lire dans cet article ...  

    Pourquoi la rénovation ne connait pas la crise ?

    Pourquoi la rénovation ne connait pas la crise ?

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    Qui n’a pas entendu parler de l’effet rebond qui réduit à moyen terme le bénéfice #énergétique des rénovations ? ou encore de la faible utilité de certains travaux d’isolation qui ne produisent pas les économies escomptées … Pas facile d’y voir clair quand on n’est pas spécialiste. La #rénovation est-elle réellement efficace en dehors de la performance théorique qu’on lui accorde ? Doit-on aussi s’interroger sur les performances attachées aux gestes tels que l’isolation extérieure, le changement des fenêtres ou des systèmes de chauffage ? Quel sont les apports respectifs de toutes ces techniques dans l’amélioration d’un ensemble de #logements collectifs par exemple ? Ces questions ont été soulevées dans une étude parue dernièrement. Les consommations réelles d’un large panel de 76 000 logements parisiens ont été disséquées : périodes de construction, modes de chauffage, type d’énergie consommée, tout ce qui fait le bilan énergétique d’un habitat collectif … Il existe bien des écarts entre les consommations réelles et théoriques. Le #chauffage individuel aurait notamment un impact énergétique positif, un écart de #consommation qui serait loin d’être marginal et qui pourrait s’avérer déterminant pour une stratégie de #décarbonation à grande échelle : en moyenne, 88 kWh/m²/an pour l’individuel contre 153 kWh pour le collectif, un écart du simple au double. Et puis il y aussi l’efficience particulière du chauffage #électrique. Moins inertiel, plus réactif, il comporte l’avantage d’être piloté plus finement, en fonction du ressenti des occupants ou de leurs besoins réels. Le chauffage électrique semble être un modèle de vertu #écologique : 65 kWh/m²/an en moyenne. L’énergie et le mode de chauffage ne sont pas sans importance dans le résultat d’une amélioration énergétique, et ce, en dehors de toute considération théorique. Cela indique aussi que tous les logements ne sont pas égaux devant la rénovation. Dans la même étude, quatre rénovations énergétiques sont passées au crible de l’efficacité réelle. Période de construction, particularités architecturales, mode de chauffage, que peut-on attendre d’une rénovation énergétique ? Quelles sont les #économies envisageables et quels gestes sont les plus efficaces pour amortir son #investissement ? A découvrir dans cet article …

    Logement, énergie, rénovation : ce que révèle une étude sur les immeubles parisiens

    Logement, énergie, rénovation : ce que révèle une étude sur les immeubles parisiens

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    9 français sur 10 rêvent d’une #maison individuelle, même si seule la moitié d’entre eux arrivaient jusqu'à présent à concrétiser ce rêve. Habiter un chez soi « bien à soi » et quasi-libre de toutes les servitudes inhérentes à l’environnement urbain est une aspiration qui eut incontestablement son heure de gloire. Cette aspiration hédoniste et un peu champêtre a fait les beaux jours d’une économie globalement orientée vers la satisfaction des désirs, à moins qu’il ne s’agît d’un idéal de vie cochant à peu près toutes les cases de cette fameuse pyramide de Maslow : sécurité, confort, estime de soi … A quoi bon contester un modèle dont le succès était hautement prévisible eu égard aux progrès matériels qu’il permettait de réaliser ? Il a fallu que la dégradation de notre environnement suscite notre indignation à l’égard de pas mal de choses : l’étalement urbain, tout d’abord, puis l’artificialisation des sols,... La maison individuelle devint au passage la victime expiatoire du moment. On omettait simplement que le logement n’est responsable que d’une faible partie de l’artificialisation (18%). De même, on oublia un peu vite que la profusion de routes, de rocades, de rondpoints, de parkings en tous genres constitue la moitié des surfaces artificialisées. Et ce phénomène est bien plus lié à une frénésie de planification d’infrastructures tous azimuts qu’à l’éloignement des habitations depuis les centres. Alors pourquoi la maison individuelle a-t-elle fait les frais d’un déchainement médiatique, d’une vindicte qui tenta de ringardiser un habitat populaire, un idéal de la classe moyenne ? En mélangeant dans un même discours des considérations sur l’habitat, sur les modes de consommation, sur la pollution visuelle des enseignes criardes qui saturent les espaces commerciaux, on convainquit très habilement que la maison individuelle était un fléau écologique. L’amalgame prit, du moins il fit son effet. Cette rhétorique de « la France Moche » a produit quelques conséquences funestes. Elle a notamment légitimé des dispositions réglementaires contestables Il est plus que jamais d'actualité de parler de crise du logement. Mais il faut alors évoquer les freins à la construction autant que la remontée des taux de crédit.

    Un rêve français : anatomie d'une chute libre ?

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    Les copropriétaires sont des individus comme les autres, ils ne sont pas contre l’écologie, dès lors que cela ne leur coûte pas les yeux de la tête. Des aides pour la #rénovation énergétique, il y en a, mais elles ne couvrent jamais l’intégralité des travaux. En matière de #copropriétés, c’est la rénovation globale qui est de rigueur ; celle-ci vise un gain énergétique minimum de 35%. C’est dire si la rénovation d’un immeuble d’habitation ne doit pas être laissée au hasard. Car un gain énergétique, ça se calcule. Et il faut des professionnels avertis pour bien appréhender, par exemple, les complexités techniques et architecturales... En France, la moitié des résidences principales a été construite avant 1975. On a donc une chance sur deux d’avoir à faire à un bâtiment ancien, pour ne pas dire très ancien, vieux d’un ou deux siècles dans certains cas, et qui ne se laissera pas #rénover facilement. Quant aux immeubles les plus récents, ils présentent des avantages certains en matière d’intervention technique : rationnels, solides, souvent linéaires, ils facilitent les travaux d’isolation par leur simplicité architecturale. Cependant, ils peuvent aussi dissimuler quelques difficultés... A découvrir dans cet article ...

    Comment rénover sa copropriété ... sans faire n'importe quoi

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    Le télétravail a fait son bonhomme de chemin, si ce n’est dans toutes les pratiques professionnelles, du moins dans les attentes des travailleurs du tertiaire. Il ne faut donc pas s’étonner qu’il soit désormais plébiscité. Pour l’immense majorité des travailleurs ( 75,9% selon l’INSEE), c’est dans un #bureau que l’on exerce sa profession, un bureau généralement construit et aménagé dans un seul but, celui de la production de biens immatériels. Même si ces lieux accueillent parfois des administrations, cela ne change rien à l’affaire ; on reste toujours dans le paradigme dominant, celui du travail tertiaire. Or ce travail tertiaire, digitalisation oblige, peut désormais s’effectuer n’importe où. Une enquête récente a démontré que le #télétravail est désormais chose courante. Et n’allez pas imaginer qu’il s’agit d’un phénomène purement hexagonal ! Le télétravail est aussi très répandu chez nos voisins européens, avec d’ailleurs très peu de disparités entre les métropoles du vieux continent : 2,4 jours en moyenne pour les berlinois, contre 1,8 pour les madrilènes qui seraient les plus « présentiels » des européens. Aux Etats-Unis, le retour au bureau n’est pas plus enthousiaste, même si le présentiel y est un peu plus fréquent. Conséquence de cette usure du lieu de travail, les bâtiments tertiaires se vident et la #criseimmobilière touche désormais les downtowns. Cette désertion n’est pas univoque, encore moins homogène. Le profil des télétravailleurs étasuniens fait surtout apparaître une #sociologie de salariés plutôt bien payés et très bien intégrés dans le secteur le plus productif, celui de l’économie de la connaissance. Mais la taille de l’agglomération est également un facteur déterminant : dans les #métropoles, là où le prix de l’#immobilier est élevé, le travail à domicile est nettement plus répandu...  

    Les bureaux ont-ils de l'avenir ?

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    On estime que pour rénover nos 5,5 millions de passoires thermiques, il faudrait au total engager 230 milliards d’euros. Cela implique un effort financier par #logement que tous les propriétaires ne peuvent se permettre. Et ce n’est pas les 16 milliards d’aides prévues sur quatre ans par le gouvernement qui faciliteront la transition écologique des logements ... Pour sortir de la précarité énergétique, rien de tel qu’une bonne #rénovation, mais celle-ci doit être globale pour maximiser les chances de réussite. C’est-à-dire qu’une simple rénovation par appartement sera souvent insuffisante. L’amélioration globale, celle qui prend en compte l’ensemble du #bâtiment est la solution à privilégier. Mais cela suppose une adhésion de tous les copropriétaires, bailleurs ou pas, pour pouvoir engager ces travaux. Ces derniers, comme l’isolation extérieure par exemple, ont un coût non-négligeable... Doit-on alors décaler le calendrier des interdictions locatives pour laisser le temps aux copropriétaires de se constituer les fonds nécessaires aux travaux ? Par ailleurs, au vu de la faible disponibilité des entreprises de rénovation, est-il vraiment tenable d'envisager la mise hors marché des logements énergivores au cours des quatre prochaines années ?

    Copropriétés : faut-il décaler le calendrier des rénovations ?

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    La monumentalité est-elle compatible avec le #logement ? L’#architecture peut-elle échapper à la dictature du style ? Ces questions dissonent, elles résonnent à contre-temps et semblent un peu oiseuses à l’heure des zones tendues, du foncier introuvable et de la #transitionécologique. Pourtant, un courant #architectural se les posa très sérieusement : le postmodernisme. Ce fut sans conteste un des mouvement les plus poétiques. Mais, il ne fut pas un simple un exercice de style imaginatif. Il ne cessa en effet d’aborder la dimension sociale en parfaite connexion avec les besoins de son temps. Ce faisant, il a su aussi interroger jusqu’à la substance même de l’Art de Bâtir : peut-on vraiment s’affranchir d’un style et produire des formes qui échappent à la caractérisation ? Le #postmodernisme n’a pas hésité à se constituer un lexique d’une étonnante originalité. Puisant ses citations dans l’histoire, dans l’art mais aussi dans la culture populaire, son audace nous émerveille toujours un demi-siècle plus tard. En effet, beaucoup de ses réalisations suscitent encore l’étonnement. Mieux, le postmodernisme nous invite à rêver ! Le Pavillon de l'Arsenal nous régale avec un ouvrage dédié à ce courant prodigieux. Il s'agit d'un catalogue présentant 600 bâtiments visibles à #Paris et ses environs. Jean-Luc Violeau, spécialiste de l'architecture #postmoderne, signe ce livre dans lequel il interroge la dimension critique de ce mouvement. Émergeant en France pendant le choc pétrolier de 1973, le postmodernisme s'éteint à la faveur d'une crise majeure de la construction vingt ans plus tard. A lire !

    Postmodernisme, futur antérieur de l’Architecture ou archéologie du rêve ?

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