Les Editions de l'Arrosoir

Enseignants, enfants, étudiants, chercheurs passionnés de lecture ou simples lecteurs occasionnels, les rayons des bibliothèques accueillent des publics de tous les âges, de tous les besoins et les envies de lecture, y compris les magazines et les journaux quotidiens. 𝗜𝗹 𝘆 𝗮 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝟭𝟲 𝟬𝟬𝟬 𝗯𝗶𝗯𝗹𝗶𝗼𝘁𝗵𝗲̀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘁𝗵𝗲̀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲. Grâce à cet immense réseau, 67 millions de français peuvent avoir 𝗮𝗰𝗰𝗲̀𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗹𝗲𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗮̀ 𝘀𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗴𝗿𝗮𝘁𝘂𝗶𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗲𝗻 𝗮𝗰𝗰𝗲̀𝘀 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲, 𝘀𝘂𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲. 📚 Le ministère de la Culture ainsi que les collectivités territoriales œuvrent en effet au quotidien à faciliter son accès et faire évoluer son offre au fil de l'évolution des pratiques. Qu’ils s’appellent Centre de documentation, bibliothèque ou médiathèque, les différences existent mais leur point commun c’est d’être est un lieu ayant pour double objectif la conservation et la consultation, sur place ou sous forme de prêts, de documents de connaissance. 👉 𝗦𝘂𝗶𝘃𝗿𝗲 𝗹'𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝗲𝗿 𝗹’𝗼𝗳𝗳𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀 Si les origines de l'idée de bibliothèque remontent à l'antiquité, son modèle a su évoluer au fil des époques et des besoins de ses visiteurs, avec toujours pour mission première d'être un lieu de connaissance accessible pour tous citoyens et citoyennes. Depuis 1960, l’observatoire de la lecture publique a pour mission de "collecter, d'analyser de diffuser les données d'activité de l'ensemble des bibliothèques municipales, intercommunales et départementales." (liens en premier commentaire) A Ville de Suresnes, une ville de près de 50 000 habitants, deux sites accueillent les habitants et les adhérents. En chiffres, cela donne : - 170 000 visites dans les 2 médiathèques en 2023, - 115 000 documents proposés à l’emprunt (livres, dvd, vinyles…), - 150 animations ou événements gratuits proposés chaque année. Et une forte dynamique culturelle et informative impulsée par la ville ! Mis en valeur dans le dernier numéro du journal de la ville, le quotidien des agentes et agents ne manque pas d’attrait, ni de jargon ! Désherbage, catalogage, animations, événements et concours pour tous les âges, sur tous les thèmes ! Une (re)découverte d’un des canaux de distribution de nos livres qui méritait d’être partagée ! Ville de Suresnes, Suresnes Business Club, SUP Entrepreneurs 🤝 #médiatheque #lecture #livrejeunesse #bibliotheque

Nous avons tourné le regard vers ces professionnelles et professionnels de la petite enfance, pour faire ressortir les chiffres et vous sensibiliser sur leur métier, en manque d’attrait, de mixité et de reconnaissance, et les pistes de solutions évidemment ! Plusieurs métiers existent, pour accueillir en collectif ou à domicile nos enfants, dès les premiers mois de leur existence. 𝐼𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑖𝑛𝑓𝑖𝑟𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠, 𝑝𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑒́𝑑𝑢𝑐𝑎𝑡𝑟𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒́𝑑𝑢𝑐𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠 (𝐸𝐽𝐸), 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙𝑠, 𝐴𝑇𝑆𝐸𝑀 (𝐴𝑔𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑇𝑒𝑟𝑟𝑖𝑡𝑜𝑟𝑖𝑎𝑢𝑥 𝑆𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑐𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑀𝑎𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠) 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. ➡️ Ces métiers sont précieux, indispensables, précis, exigeants et magnifiques. Pourtant 𝗶𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗺𝗮𝗹 𝗽𝗮𝘆𝗲́𝘀, 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗱’𝗲𝗳𝗳𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳, 𝗽𝗲𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗶𝗱𝗲́𝗿𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗲𝗿. Pire, ils sont invisibles ! Dans la littérature jeunesse, les livres qui préparent les enfants à l’école, par exemple, ne les présentent même pas ! On parle du doudou, des jeux, des chansons…. mais pas un mot ni une illustration qui les montre ! ➡️ L’autre problème, c’est que ces métiers sont hyper féminisés. 𝗟𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘂𝗹𝘁𝗿𝗮 𝗺𝗶𝗻𝗼𝗿𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 : 𝟭% 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻 (coucou Laurent Ouairy qui œuvre pour que cela change !) Toutes les études montrent pourtant qu’une majorité de parents sont favorables à la mixité dans les structures petite enfance. Cela serait d’autant mieux que le secteur demeure en tension sur le plan de l’emploi. Et c’est également indispensable pour la construction de l’identité des enfants. La présence d’hommes peut encourager à réfléchir sur l’égalité filles-garçons et à concevoir une autre éducation, plus égalitaire et moins stéréotypée. Cela contribuera aussi à l’implication des pères (notamment en crèches), à l’enrichissement des échanges de travail et de la construction des projets au sein des équipes, comme dans tous les environnements professionnels tout simplement ! 👉 Nous avons aussi une autre proposition concrète et facile : 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗲𝗿 𝘂𝗻 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗺𝗶𝘅𝘁𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻𝗳𝗶𝗻 𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀, encourager les échanges entre adultes et enfants et faire naître des vocations, faites-le savoir et nous pourrons changer ce paradigme enfin !! #SemonsPourlAvenur #mixité #petiteenfance Maelys LE LEVREUR

Pourquoi les DRH doivent lire ce post : Vous le savez sans doute, les entreprises rencontrent de sévères problèmes de recrutement et de fidélisation. Jugez plutôt : 𝟲𝟭% 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗱’𝗲𝗺𝗯𝗮𝘂𝗰𝗵𝗲 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗷𝘂𝗴𝗲́𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲𝘀 parmi les 3 millions d’emploi à pourvoir en 2023 ! 𝗗𝗥𝗛, 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘇 𝗱𝗼𝗻𝗰 𝘀𝘂𝗿 𝗹’𝗮𝘁𝘁𝗿𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀, cherchez à rendre vos équipes plus diverses, plus mixtes, tant sur des métiers anciens qui peinent à attirer, que sur les métiers du futur, où la recherche des talents s’annonce délicate. 𝗗’𝘂𝗻 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗼̂𝘁𝗲́ 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗲𝘂 𝗲𝘁 𝗺𝗮𝗹 𝗿𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲́𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗱’𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶, de demain, et même sur ceux d’hier ! Une des 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗮𝗰𝗶𝗻𝗲𝘀 de ces problèmes n’est pas traitée aujourd’hui : 𝗹𝗲 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱𝗲́ 𝗮̀ 𝗹’𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗲. Et, en librairie, seuls 3 métiers, bien « genrés », sont présentés aux enfants : pompier, maîtresse ou vétérinaire… Résultat ? Un vrai 𝗰𝗮𝘂𝗰𝗵𝗲𝗺𝗮𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀’𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁𝗲𝗿, et des choix qui se font par défaut, influencé par les modèles de l’entourage proche. C’est pour contribuer à stopper ces cercles vicieux que nous avons créé Les Editions de l'Arrosoir, le 1er éditeur de 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲𝘀 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗮̀ 𝘁𝗼𝘂𝘀, 𝗳𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗴𝗮𝗿𝗰̧𝗼𝗻𝘀, 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗹𝗶𝗲𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅, 𝗱𝗲̀𝘀 𝗹’𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗶𝗺𝗮𝗶𝗿𝗲. Nous avons choisi le livre, outil noble et qui se garde, s’offre et sert d’appui au dialogue entre les adultes et les enfants. En réalisant avec vos équipes un livre réversible sur vos métiers, vous : ◼️ (Re)donnerez du sens à leur métier, de la motivation et de la fierté ◼️ Sèmerez des graines de connaissance, de curiosité, sans biais, chez des enfants de tous les milieux à qui ils seront offerts ◼️ Contribuerez à un impact social et sociétal fort, en lien avec 4 objectifs de développement durable de l’ONU, sur un temps long mais pas si long que cela ! Si vous n’êtes pas DRH mais que vous avez lu jusqu’ici, envoyez ce post à un DRH ou dirigeant, cela portera des fruits ! Valentine Chapus-Gilbert #SemonsPourlAvenir #DRH #recrutement

Les métiers de l’Intelligence Artificielle attirent la lumière, recrutent et font rêver. Ils inquiètent aussi certains, tellement l’IA présente de potentiel pour faire “à la place de”, voire mieux que l’homme (et la femme). Nous, nous aimons comprendre afin de pouvoir ensuite expliquer les choses précisément aux enfants. Nous remarquons d’ailleurs qu’un langage clair plait aussi aux adultes, plutôt que du charabia d’initiés… alors nous avons poursuivi 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗞𝗶𝗻𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗲𝘂𝘁𝗲 🔎 , tout en mettant l’accent sur 𝗹’𝘂𝘀𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗔 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗰𝗲 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿. Bien nous en a pris, nous avons beaucoup appris ! ◼ La pratique du métier de Kiné se trouve renforcée et facilitée par plusieurs types d’outils. Par exemple, 𝗹𝗲𝘀 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝘃𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝗺𝘂𝗹𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗲𝗻 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗿𝗲́𝗲𝗹 dans un environnement contrôlé, c’est-à-dire mesuré de près par les capteurs plus nombreux que ce qu’un praticien peut observer en pratiquant son métier. Cela améliore le suivi et l’efficacité des traitements, prévient les blessures et renforce la sécurité des patientes et des patients. Les données réunies sont analysées avec rapidité et précision. ◼ Les ”𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗱𝗶𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀” que l’IA peut générer soutiennent les kinés dans leur travail quotidien. A partir des données, l’outil fournit des probabilités et une forme d’aide à la décision. Dans le domaine des massages par exemple, un robot est aujourd’hui en mesure d’analyser les tissus d’un patient pour déterminer la zone et la force avec laquelle il va établir le massage. Il reste néanmoins 𝗳𝗼𝗻𝗱𝗮𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗸𝗶𝗻𝗲́ 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲𝗿 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝘂𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻, son “humanite” bien sur, son sens du toucher qu’aucun outil ne peut egaler. La personnalisation du soin reste essentielle et irremplaçable à ce jour. ◼ Cependant, des défis subsistent, notamment l’obtention de données de qualité et le coût élevé de développement. C’est ce sur quoi travaillent de nombreuses entreprises liées à l’IA au profit de la santé. Bonne nouvelle ! 𝗟𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗶𝘀𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲 𝗲𝘅𝘁𝗿𝗲̂𝗺𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲, composé à la fois d’équipes de recherche académique d’excellence et d’un réseau médical de renommée mondiale, de grandes entreprises pharmaceutiques et technologiques très actives et de startups innovantes, notamment sur les technologies de rupture. De quoi créer des ponts entre les métiers de la santé et ceux des technologies de l’intelligence artificielle, cela donne envie d’en faire un livre jeunesse qui présente ces métiers aux enfants (filles et garçons, de tous les milieux sociaux), non ? #healthtech #deeptech #métier #IA #SemonsPourlAvenir #kiné #MétierduSoin

Merci Les Editions de l'Arrosoir pour cette mise en lumière ! C'est beau d'expliquer des métiers aux enfants et jeunes pour les faire imaginer leur vie pro Arrosons les graines d'imagination pour faire #eklore un nouveau rapport au travail Clin d'œil à Eklore Solenn Thomas Anne Boisnon

𝗟𝗲 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗱'𝗮𝗴𝗲𝗻𝘁.𝗲 𝗮𝗿𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝟯 𝗮𝗻𝗲𝗰𝗱𝗼𝘁𝗲𝘀 ! 🌟 On les a découverts dans la série “Dix pour cent”, ces femmes et hommes de l’ombre qui se battent pour leurs artistes qui appellent TALENTS. Mais qui sont-ils vraiment, ces agents ? Qui sont elles ? Que cache ce métier qui fait tant rêver ? Pour le découvrir, nous avons parlé avec Colette Tostivint, agente passionnée et fondatrice de son agence. Ses anecdotes sur son métier débordent de passion et de pragmatisme... À partager absolument avec vos enfants ! 💖👇 1️⃣ Quand “vendre” devient un art. On croit que les acteurs savent tout faire, mais… se vendre eux-mêmes ? Pas toujours ! C’est là qu’intervient l’agent.e artistique, qui, avec patience et bienveillance, les aide à mettre en avant ce qu’ils ont de plus unique, de singulier. 2️⃣ Avant d'être en haut de l'affiche, il faut gravir chaque marche… et c’est pas toujours facile ! Avant de rêver de jouer dans un film de Quentin Tarantino, encore faut-il savoir parler anglais ! Apprendre une langue, un sport, ou une compétence, c’est parfois le prix à payer pour atteindre le sommet. 🎬 Vous saviez que Pierre Niney a dû apprendre l’apnée en haute profondeur pour “Le Comte de Monte-Cristo” ? Sacré challenge ! 3️⃣ Avoir du talent, c’est une chose… mais l’ajuster, c’est tout un art ! Être acteur, c’est aussi accepter de se transformer, de suivre des directions, de rentrer dans une “case” pour ouvrir la porte vers des projets. Ce n’est pas toujours confortable. Ces anecdotes vous donnent envie d’en savoir plus ? Nous aussi ! 😉 Restez connecté.es : participez à la publication du livre vous plongera dans l'univers fascinant des agent.es artistiques, ces faiseurs de stars ! #SemonsPourlAvenir #AgenceArtistique #cinema #tv #LivresPourEnfants

Les pitchs, vous connaissez ? Ils font intégralement partie du métier d’entrepreneur ! Alors, après 6 mois d’un parcours d’incubation très riche auprès de la CCI Hauts-de-Seine à la Positiv’ Incuba'School, notre fondatrice, Valentine Chapus-Gilbert, a pu pitcher devant un parterre de partenaires, de consoeurs et confrères, de banquiers et investisseurs. Ce pitch (en vidéo ici ➡ https://lnkd.in/eNUwH-DR) vous permet d’en savoir plus sur notre impact sociétal auprès des enfants, filles et garçons, de tous les milieux, et sur notre souhait de rejoindre une plus grande maison d’édition (coucou Bayard Jeunesse !) pour déployer plus largement et rapidement nos ailes. A bon entendeur ! Merci de vos relais et de vos mises en relation, très précieux, c’est surtout à cela que servent les réseaux ! #SemonsPourlAvenir #editeur #éditrice #métier

La situation inédite de la vie politique actuelle, nous a conduits, évidemment, à cette question passionnante ⤵ Femme et homme politique, politicien, politicienne : pouvons-nous parler d’un “métier” ? Et par conséquent prévoir de publier un de nos livres sur ce sujet, afin qu’enfants et adultes échangent, découvrent, apprennent et se projettent dans cet univers ? Bref, quel est le quotidien pour ces élu.e.s dans leurs journées “professionnelles” ? 1️⃣ 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗶𝗰𝗶𝘁𝗲, 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗲𝘁𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀, 𝗱𝘂 𝗺𝗮𝗻𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘅𝗲𝘀 Dans une conférence en 1919, le sociologue 𝗠𝗮𝘅 𝗪𝗲𝗯𝗲𝗿 constatait – déjà – que la politique n’était plus seulement une vocation, elle était ­devenue un métier. Plus récemment, dans un documentaire sur le quotidien de son “pote de droite premier ministre”, Laurent Cibien compare “les qualités ou les techniques exercées par un Premier ministre a celles d’un dirigeant de n’importe quelle organisation très complexe”. Duflot Cécile, ancienne ministre actuellement dirigeante de Oxfam France, pense, que “La politique peut être un métier au sens de savoir-faire, c’est-a-dire qu’il y a des choses qui s’apprennent.” En Grande-Bretagne, aux États-Unis ou en Amérique du Sud, c’est d’une banalité totale de pouvoir faire de la politique puis de faire autre chose dans une carrière professionnelle. En France, c’est moins facile… 2️⃣ 𝘂𝗻𝗲 “𝘃𝗼𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻” 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗲̂𝘁 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹, 𝘂𝗻𝗲 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗿𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗿𝗮𝗴𝗲𝘀 Deux grandes facettes de l’engagement politique en font néanmoins une “vocation” plus qu’un métier. C’est d’ailleurs un lapsus qu’Edouard Philippe fait parfois. D’abord les indispensables gout et connaissance de la chose publique. Des formations existent d’ailleurs pour alimenter la connaissance en sciences politiques, indispensable pour comprendre et respecter les institutions, diriger ses actions vers l’intérêt général, en tenant compte de toutes les parties prenantes. La profitabilité et les bénéfices personnels sont donc incompatibles avec cette fonction “désintéressée”. Ensuite le fait que ce soit le peuple qui décide ou non du maintien des élus dans leur “poste”. 3️⃣ 𝘀’𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗼𝗶𝗿, 𝗽𝘂𝗶𝘀 𝗲𝘅𝗲𝗿𝗰𝗲𝗿 𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻 𝘁𝗿𝗮𝗰̧𝗮𝗯𝗹𝗲 Laurent Cibien résume “Je dirais qu’il y a deux parties (…) c’est d’abord s’organiser pour prendre le pouvoir, gagner des élections. Puis une fois les élections gagnées, c’est exercer des responsabilités, donc prendre des décisions. Ce sont des techniques différentes dans les deux cas, qu’il faut distinguer et apprendre, et on peut d’ailleurs être bon conquérant mais mauvais dirigeant. Et vice versa.” Alors, métier ou pas métier ? à vous de nous le dire ! #SemonsPourlAvenir #politique #métier #PremierMinistre

L’heure de la rentrée scolaire approche, avec son lot de bonnes habitudes à reprendre, dont, peut-être, celle de prendre soin de son corps et de sa santé physique. C’est justement une grande partie de la 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗞𝗶𝗻𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗲𝘂𝘁𝗲𝘀, 𝗰𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝗲́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻. 💪 Mais (re)connaissons-nous bien ce métier ? Les diagnostics qui nous conduisent vers les “kinés” vont des troubles neurologiques, respiratoires, circulatoires ou rhumatismales à la traumatologie, l’orthopédie, la pédiatrie, la gériatrie, les cancers, ou encore la rééducation uro-gynécologique. Alors pour mettre ce métier à la portée de tous, et notamment celle des enfants, eux-mêmes patientes et patients de ces professionnels de santé, nous avons concocté un quiz de rentrée. Partagez vos anecdotes ou surprises sur le métier de kiné en commentaires et si vous voulez contribuer au livre sur ce métier, contactez-nous bien sûr ! Merci à 𝗖𝗲́𝗹𝗲𝘀𝘁𝗲 𝗕𝗶𝗻𝗼𝗰𝗵𝗲 pour la relecture et à Gregoire Gibault (alias Major Mouvement), Juliette Soulié et Eglantine Ducrocq pour l'inspiration ! #SemonsPourlAvenir #kiné #kinésithérapie #care #métier

Dans le cadre de nos rencontres avec les professionnelles et professionnels, nous préparons toujours la rubrique “les mots du métier”, dans lequel nous décodons le jargon des métiers. Nous avons récemment décodé le “numerus clausus”, expression latine (nombre fermé) qui signifie une “limitation discriminatoire du nombre des sujets à admettre à certaines fonctions, du nombre des candidats qui seront reçus à un examen, fixée en principe d'après les besoins à pourvoir.” C’est ainsi que, de 1971 à 2019, un arrêté ministériel fixait un nombre maximal d’étudiants en médecine, odontologie et sages-femmes formés par année. Ironie ? Le 𝗡𝘂𝗺𝗲𝗿𝘂𝘀 𝗖𝗹𝗮𝘂𝘀𝘂𝘀 a été supprimé en 2019, remplacé en janvier 2021 par… le 𝗡𝘂𝗺𝗲𝗿𝘂𝘀 𝗔𝗽𝗲𝗿𝘁𝘂𝘀 (on passe donc d’un nombre maximum “fermé” de places à un nombre de places maximum “ouvertes”), cette fois-ci décidé par les universités en fonction de leurs capacités d’accueil en deuxième année…. ce nouveau système, suspendu par le conseil d’Etat en avril 2021 doit être republié par le gouvernement depuis plus de 3 ans. Si vous avez un nouveau système ou un nouveau nom à proposer, n’hésitez pas à le faire en commentaire ! #SemonsPourlAvenir #jargon #numerusclausus #numerusapertus #medecine PS : Pour contribuer à des livres jeunesse sur les métiers de la santé, contactez-nous !