Librairie Carnot Vichy

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Commerce de détail

Vichy, Auvergne-Rhône-Alpes 87 abonnés

Que serait une vie sans histoires !?

À propos

Nous vous accueillons du mardi au vendredi (9h30-12h / 14h-19h) et le samedi (10h-12h / 14h-19h) pour vous conseiller et vous faire découvrir nos découvertes...💫

Secteur
Commerce de détail
Taille de l’entreprise
1 employé
Siège social
Vichy, Auvergne-Rhône-Alpes
Type
Travailleur indépendant
Fondée en
2006

Lieux

Employés chez Librairie Carnot Vichy

Nouvelles

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    1994. Milan à douze ans la première fois que le Rwanda fait irruption chez lui à Versailles. Métis rwandais par sa mère et français par son père, Milan ignore tout de ses racines lointaines. Quatre ans plus tard, il se rend pour la première fois au Rwanda en compagnie de sa mère. Il découvre alors un autre monde peuplé d’une arrière grand-mère, de sa grand-mère maternelle, d’une tante et d’une nièce qui vient de naître, d’un oncle de son âge… Mais c’est lors de son quatrième voyage que germe dans son esprit l’idée de donner droit à la parole, mais aussi au silence, à Rosalie, Mamie, sa mère, Eusébie, Claude et Stella pour faire revivre l’histoire de sa famille sur cinq générations et au-delà transmettre aussi celle de ce pays… Dans « Jacaranda » édité aux SOCIETE DES EDITIONS GRASSET ET FASQUELLE Gaël Faye nous entraine une nouvelle fois au Rwanda, mais dans celui d’après le génocide, celui de la reconstruction, celui d’une justice imparfaite mais néanmoins plus que nécessaire pour que les enfants des uns puissent à l’avenir cohabiter avec ceux des autres. Car « l’indicible ce n’est pas la violence du génocide, c’est la force des survivants à poursuivre leur existence malgré tout ». Ce qu’il faut de courage pour parvenir seulement à refaire société ! Rien n’est simple, rien n’est acquis, il faut combattre. La mère de Milan refuse d’aborder le passé avec son fils. Elle ne supporte plus ses questions, il n’en peut plus de ses silences, de se sentir étranger dans sa propre famille. Alors Gaël Faye écrit pour eux. Pour ceux qui ne peuvent pas, ne peuvent plus dire ce qui est emprisonné en eux. Pour que ceux qui veulent être sourds entendent avec les yeux. Libérateur, réparateur !! 😀😀😀😀 « Jacaranda » ; Gaël Faye ; Grasset ; 281p ; Août 24 ; 20,90€ . #rentreelitteraire #rentreelitteraire2024 Librairie Carnot Vichy

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    C’est avec un très grand plaisir que pour inaugurer nos évènements de cette rentrée, nous recevons en rencontre dédicace le SAMEDI 24 AOÛT à 15h30, Andéol Dudouit à l’occasion de la sortie de son premier ouvrage « Mystique de l’auto-stop » édité aux #editionspremierepartie. A tout juste 30 ans, Andéol a multiplié les expériences de voyages en stop, en France et en Europe. Avec simplicité et finesse, sur un ton qui sait être sérieux ou joyeux, il nous livre une méditation aussi dépaysante qu’universelle sur les différentes étapes constituant cette pratique sociale du bitume : la solitude, l’attente, la surprise, la rencontre… Un petit éloge de l’auto-stop inspirant !! 😀😀😀😀 . #autostop #voyageursdumonde Librairie Carnot Vichy

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    Jess, jeune femme française, est guide touristique à Venise. Hébergée par le biais d’une connaissance dans un très bel appartement, elle se voit obligée de déménager lorsque le propriétaire de celui-ce décide de vendre. Il lui indique alors une relation qui habite sur l’île de Torcello et qui devrait pouvoir l’aider à se loger. C’est là que Jess rencontre Maxence, un avocat pénaliste réputé pour défendre les causes perdues, vivant en couple avec Colin, et rêvant de remettre certains jardins de l’île de Torcello dans leur état originel… Avec « Les jardins de Torcello » édité chez Actes Sud #claudiegallay signe un magnifique roman dont Torcello et Venise font partie des principaux personnages. Les deux ont des parts d’ombres et de lumières tout comme Jess, Maxence, Colin et les autres. Les deux sont aux prises avec un présent contre lequel il faut lutter, prisonnière en quelque sorte de leur passé, tout comme Jess, Maxcence, Colin… et les autres !! Une écriture qui épouse parfaitement l’histoire. Certains sentiments sont tranchants comme un ardent soleil. D’autres sont plus flous, plus diffus, dissolus presque dans le brouillard, et puis reprennent consistance au hasard d’une rencontre, d’un mot ou d’un silence. On se perd et on se retrouve au gré d’une brise printanière, on se quitte et on se rejoint par un ouragan d’octobre. Les esprits s’assèchent, les cœurs s’inondent. Venise et Torcello se reflètent dans la lagune, les hommes et les femmes dans les yeux et les cœurs des femmes et des hommes. Magnifique, splendide, sérénissime !! 😀😀😀😀😀 « Les jardins de Torcello » ; Claudie Gallay ; Actes Sud ; 304p ; Août 24 ; 23€ . Rentree Litteraire Bookstagram LES AMIS DE LA LIBRAIRIE INDEPENDANTE Librairie indépendante depuis 1976 Librairie Carnot Vichy

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    Dans « Cumulonimbus » de Luc-Michel Fouassier édité aux Éditions Julliard , la narratrice est photographe. Sa fille Calypso a disparu trois mois plus tôt sans laisser de traces et les recherches pour la retrouver n’ont rien donné. Elle décide alors de prendre congé de Paris pour préparer un ouvrage ayant pour sujet les paréidolies, ces interprétations aléatoires des formes qui apparaissent dans les nuages avant de se dissoudre au gré des vents. Seule, cette femme-mère prend la direction de la haute et profonde auvergne pour s’arrête à Allanche (Cantal Auvergne lieu des dernières vacances passées en compagnie de son mari et de Calypso… Nous ne connaîtrons pas son prénom, mais ça n’a pas d’importance, c’est tout le reste qui compte. Dès que son regard part dans les nuages, apparitions et disparitions font ressurgir des souvenirs avec Calypso. Il aura fallu attendre une séparation de la brutalité d’une gifle pour qu’elle parvienne à considérer sa fille autrement que comme son prolongement devant coûte que coûte être ce qu’elle souhaitait qu’elle devienne. Des regrets, des remords, des incompréhensions et une envie folle d’enfin lui dire des mots que sûrement elle avait dû attendre, en vain. On l’accompagne. Assis avec elle sur le bord du lit de l’Hôtel des Burons, à côté d’elle à table chez Flavio et Romain, les yeux levés vers le ciel nous aussi, un peu comme les anges de Wim Wenders dans Les ailes du désir. Tout est en finesse, en élégance, en douceur, en poésie, de non-dits en révélations. Et pourtant quelle violence dans la douleur, quelle angoisse dans cette solitude redoutée mais irrépressible. La tête dans les nuages et les tripes en enfer. Un roman d’émotions vives !! 😀😀😀😀😀 Cumulonimbus ; Luc-Michel Fouassier ; Editons Julliard ; 173p ; Avril 2024 ; 18€ #pareidolia #nuages #cumulonimbus Librairie Carnot Vichy

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    Japon, fin du 19e. Cela fait huit générations que la famille Ozu produit le meilleur saké du pays. Quelle n’est donc pas la déception de Monsieur Ozu lorsque sa fille unique, Ibuki, lui annonce sa décision de ne pas perpétuer l’héritage familial pour aller rejoindre maître Sohô et recevoir l’enseignement du samouraï. Monsieur Ozu à beau dire et beau faire, un matin Ibuki s’en va. Elle ne sait pas que que maître Sohô est à la retraite depuis vingt ans. Elle n’imagine pas que le jeune empereur Meiji puisse prendre la décision d’interdire le port du sabre aux samouraïs. Une déclaration de guerre en quelque sorte… Avec « Le dernier thé de maître Sohô » édité aux Éditions Arléa #cyrilgely signe un roman d’une élégante noblesse. Maître Sohô, conscient de l’évolution du Japon, impose à Ibuki l’initiation conjointe à l’art du sabre ainsi qu’à celui du thé. L’art de la vie et celui de la mort. Maître Sohô lui apprend aussi l’art des « Jiseiku », courts poèmes d’adieu. Un roman d’amitié, de transmission, de courage, de désir, d’envie et de peine aussi… Les courts chapitres se lisent au bord des lèvres, s’aspirent, se dégustent comme autant de gorgées de thé, à petite allure mais en grandes sensations. A cette lecture tout devient si simple, si présent « comme un flocon de neige se met à fondre sur la branche d’un cerisier » ou comme « la fleur de cerisier qui se décroche de la branche au premier souffle de la brise matinale ». Essentiel comme le secret du sabre, qui est de ne pas dégainer le sabre… Ressourçant de sagesse !! 😀😀😀😀😀 Le dernier thé de maître Sohô ; Cyril Gely ; Editions arléa ; 190p ; Mai 24 ; 18€ #japon #samourai #thé #meiji Librairie Carnot Vichy

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    Alina et Ludmila ont grandi ensemble dans une ville de l’Europe de l’est avant de se retrouver à Paris. Ludmila, d’une grande beauté, défile pour les plus grands créateurs de mode. Alina, d’un esprit mathématique, travaille pour une société de modélisation financière. Mais la courbe d’optimisation de leur bonheur personnel est inversement proportionnelle à celle de leur réussite sociale. Comme si chacune ne parvenait plus à être soi-même et se mettait à vivre la vie d’une autre pour des autres… Avec « L’or qui fait de l’or » édité aux EDITIONS INTERVALLES , Albena Dimitrova nous parle des multiples abstractions au milieu desquelles nous vivons et que nous ne voyons plus. D’ailleurs, un papier aussi anodin qu’un ticket restaurant va devenir au fil des pages le centre d’une optimisation financièrement prometteuse pour certains. Si ses personnages ne sont pas foncièrement méchants et si elle ne rejette pas frontalement le système monétaire, Albena Dimitrova décortique des mécanismes économiques de l’ombre et démontre comment les fictions de ce système viennent recouvrir puis étouffer ce que Fernando Pessoa appelle nos aptitudes « naturelles et véritables ». Un roman aux allures de thriller économique dans lequel des hommes et des femmes se coupent de la réalité du monde et du vivant en cherchant des hypothèses à faire admettre au plus grand nombre, sans se soucier si elles sont fondées ou non. Ouvrez les yeux et lisez, car lorsque « tout le monde commet la même erreur, ce n’est plus une erreur mais une règle ». Glaçant, terrifiant, édifiant !! En rencontre-dédicace à la Librairie Carnot Vichy le MERCREDI 18 SEPTEMBRE à 19h30!! 😀😀😀😀😀 L’or qui fait de l’or ; Albena Dimitrova ; Editons Intervalles ; 249p ; Janvier 24 ; 20€

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    Montréal, samedi 2 mai 1942, Plateau-Mont-Royal. Pour pouvoir mener sa grossesse à terme, une grosse dame de 42 ans est clouée sur son fauteuil. Ce n’est d’ailleurs pas la seule à être enceinte de huit mois. C’est pour éviter aux maris de partir faire la guerre en Europe, disent les mauvaises langues. En ce jour, Victoire, la belle-mère de la grosse dame, décide de ressortir pour la première fois dans la rue après qu’un de ses gendres lui ait dit ses quatre vérités ainsi qu’aux autres membres de la famille trois ans auparavant. Tous vivent sous le même toit. Un peu plus loin il y a Béatrice et Mercedes, deux prostituées. Juste en face, trois vielles filles, Rose, Violette et Mauve. Et puis il y a aussi Duplessis, le chat qui porte le nom d’un ancien ministre et qui lui aussi a droit à la parole… « La grosse femme d’à côté est enceinte » de Michel Tremblay, édité chez Actes Sud est la chronique sociale d’un microcosme d’humanité concentrée, condensée, comprimée, mise à rude épreuve dans toute la vérité de ses mensonges, médisances, vices, jalousies. Et puis elle se rachète par des élans de soutien, solidarité et d'amour. Un livre hors normes ! Ecrit en parlé québécois qui se lit avec l’accent. Les personnages sont hors gabarit, tout autant introvertis qu’extravertis, c’est selon, sans limites. Les espoirs, les déceptions, les souvenirs sont sans commune mesure. L’unité de lieu et de temps raccroche cette œuvre à une tragi-comédie. Tout est action ou inaction totale, parole, beuglement ou silence complet. Ça trucule, c’est déconcertant, rude, surprenant, ébouriffant, royal !! 😃😃😃😃😃 Michel Tremblay ; La grosse femme d’à côté est enceinte, Babel Actes Sud ; 288p ; Juin 1999 ; 9,20€ . Ville de Montréal Québec en tête Librairie Carnot Vichy

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    Après une rupture douloureuse en métropole, Tass retourne vivre à Nouméa où elle a obtenu un poste de professeur remplaçant en français dans une filière technique. Très investie dans sa fonction, elle se prend d’intérêt pour deux jumeaux kanaks de sa classe, une fille et un garçon dont la ressemblance la fascine. Jusqu’au jour où les deux jeunes gens disparaissent. Tass n’aura alors de cesse de se demander où ? Comment ? Pourquoi ? "Exotique" en métropole, Tass est désormais une métropolitaine à Nouméa. En tentant de comprendre ce qu’il s'est passé, elle découvre l’histoire des siens sur cet archipel où « le souffle des ancêtres n’est pas une expression vide de sens mais une réalité invisible ». Mais aussi l'Histoire de la Nouvelle Calédonie faite de violences et de drames, où même des « hommes déportés à l’autre bout du monde pour s’être opposés à la colonisation dans leur pays se rangent du côté des colons pour réprimer un soulèvement anticolonial ». Au fil des pages, différents destins se regroupent. Dans « Frapper l’épopée » édité chez Flammarion et à paraître fin août, Alice Zeniter révèle avec puissance un visage brut et contemporain de la Nouvelle-Calédonie. Ou comment l’écriture porte la voix de ceux ayant l’impression de ne pas avoir de place dans tout ça et réclament que cesse la voix de « ceux qui savent tout au nom de rien et de ceux qui pensent tout au nom de tous ». Crier pour donner à lire !! Frapper l’épopée ; Alice Zeniter ; Flammarion ; 339p ; Août 24 ; 22€ 😀😀😀😀 . Rentree Litteraire Librairie Carnot Vichy

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    Bmore de la « Bmore & Investigations » recherche un fait divers à explorer. Après différentes tentatives infructueuses, c’est finalement les Nymphéas de #claudemonet au #museedelorangerie qui lui fourniront matière à réflexion. En effet, au lieu de ressentir devant l’œuvre monumentale l’ode à la vie maintes fois commentée, le visiteur en retire une mélancolie, une angoisse, une oppression, un malaise immédiat qui ne passera qu’une fois ressorti à l’air libre. Comment cela est-il possible et pourquoi… !? Dans « Le syndrome de L’Orangerie » édité chez Flammarion et à paraître fin août, #gregoirebouillier se lance dans une enquête avec un terrain d’investigation fertile. C’est quoi un nymphéa ? Une fleur de paradis ? Une fleur du mal ? Quels liens entre l’image et le mot ? Entre le dire et le voir ? Monet a t-il peint sur le motif ? Son motif était-il le votif ? De rendre visible l’invisible ? Quels furent les liens entre l’histoire du peintre et la grande Histoire ?… Alors oui, on pense à #renehuyghe (Dialogue avec le visible), à #danielarasse (On n’y voit rien) ou encore à #renegimpel (Journal d’un collectionneur), professionnels d’histoire de l’art. Mais ici, grâce à son exceptionnel regard de dilettante et d’amateur, Grégoire Bouillier libère son rapport à l’œuvre et regarde bien plus loin que ce qu’on nous dit de voir!! Une vision émancipatrice, digressive à souhait, clairvoyante et jouissive !!! 😀😀😀😀😀 . #rentreelitteraire Librairie Carnot Vichy Le syndrome de L’Orangerie ; Grégoire Bouillier ; Flammarion ; 427p ; Août 24 ; 22€

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