Union Mutame

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Services de bien-être et installations sportives

Paris, Ile de France 1 120 abonnés

À propos

Présente dans la protection des territoriaux depuis plus de 60 ans, Mutame est une union de mutuelles engagées et indépendantes avec leurs propres contrats et garanties, conventionné(e)s ou labellisé(e)s. Toutes membres de la Mutualité Française, elles sont actuellement au nombre de trois : Mutame & Plus, Mutame Savoie Mont-Blanc et la Mutuelle Marseille Métropole/Mutame Provence. Elles couvrent donc tout le territoire grâce à leur service de proximité complémentaire et regroupent environ 100 000 personnes protégées. Pourquoi une Union ? Nos mutuelles sont réunies autour de valeurs de protection, de solidarité et de prévention, qu’elles communiquent en mutualisant leurs actions à travers l’Union Mutame. Cette réunion de moyens, cette prise de parole et de hauteur communes ont pour but de traduire l’essence même du milieu mutualiste et de son fonctionnement : être ensemble au service de la protection et de la santé de l’autre. Pourquoi nous sommes complémentaires ? Réunies autour de ces valeurs et du souhait de les perpétrer en unissant leurs forces, elles ont cependant chacune leurs atouts et spécificités, permettant ainsi de couvrir toutes les collectivités et tous les agents territoriaux en fonction de leurs besoins. Différentes mais unies, les mutuelles de l’Union Mutame ont toutes les mêmes qualités d’accompagnement au plus proche de leurs adhérents.

Secteur
Services de bien-être et installations sportives
Taille de l’entreprise
51-200 employés
Siège social
Paris, Ile de France
Type
Non lucratif
Domaines
mutualiste

Lieux

Employés chez Union Mutame

Nouvelles

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    [L’évolution de la communication en #santé, entre humanité et #intelligenceartificielle] L’#innovation dans le secteur de la santé ne se limite plus aux avancées #médicales et #technologiques. Un aspect souvent sous-estimé mais essentiel reste la #communication. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, le secteur médical doit repenser la manière dont il interagit, tant au sein des équipes soignantes qu'avec les patient(e)s. On vous en parle dans notre nouvelle revue de presse. La #transformationnumérique a bouleversé les pratiques, introduisant la #télémédecine, les plateformes de suivi en ligne, et l’utilisation de l’intelligence artificielle (#IA) dans les interactions quotidiennes. Un exemple concret est celui de la chirurgie réfractive au laser, où la technologie doit être accompagnée d’une communication claire et pédagogique pour rassurer les patient(e)s. Les supports visuels et les consultations en ligne participent à créer un parcours de soin plus transparent et moins anxiogène. Aux États-Unis, l’outil #MyChart intègre une version spécifique de ChatGPT-4 pour rédiger des réponses automatiques aux questions des patient(e)s. Environ 15 000 médecins utilisent ce système, qui génère des messages en fonction des dossiers médicaux et des prescriptions. Si le #médecin peut approuver, modifier ou rejeter la réponse, la possibilité de gagner du temps reste un atout majeur, notamment pour les questions administratives. Cependant, cette utilisation n’est pas sans problèmes. Les risques d’erreurs, comme une réponse inappropriée approuvée par un médecin pressé, suscitent des débats. Pour l’instant, moins d’un tiers des messages sont envoyés sans modification, témoignant de la vigilance des professionnel(le)s de santé. Avec des patient(e)s de plus en plus informé(e)s, l’éducation devient cruciale. L’information de qualité permet de prévenir la surinformation et les conséquences néfastes des contenus non validés. Des outils comme les vidéos explicatives et les FAQ interactives contribuent à répondre aux questions avant les consultations, renforçant la confiance des patient(e)s. La #technologie, tout en étant un facilitateur, doit rester humanisée. Les consultations à distance peuvent être complétées par des rencontres physiques, indispensables pour une décision éclairée. La transparence et la présence humaine permettent aux patient(e)s de se sentir soutenu(e)s et d’être de véritables acteurs/trices de leur santé. Si l’IA et les outils numériques offrent des avantages indéniables, la communication reste le pilier qui rend ces avancées compréhensibles et accessibles. Les valeurs d’éducation, de transparence et d’accompagnement doivent guider cette évolution pour que chaque patient(e) puisse faire des choix sereins et éclairés. Etes-vous favorable à l’intégration de l’IA dans les échanges avec votre médecin ? N’hésitez pas à réagir dans les commentaires. Sources : Journal du net, zdnet

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    [Budget 2025 : vers un ajustement du délai de carence des #fonctionnaires ?] Pour atteindre 5 milliards d’euros d’économies dans le budget 2025, le #gouvernementfrançais propose de nouvelles mesures ciblant la fonction publique et plusieurs ministères. L’une d’elles concerne l'augmentation du délai de carence des fonctionnaires en cas d’#arrêtmaladie. On vous explique tout dans notre nouvelle revue de presse. Actuellement fixé à un jour, le délai de carence pourrait passer à trois jours et être complété par la réduction des indemnisations pour ces arrêts à 90 % du salaire pendant les trois premiers mois. Ces mesures aligneraient le secteur public sur les pratiques du privé et visent à réduire les coûts de l’absentéisme, estimés à 15 milliards d’euros en 2022. L’absentéisme dans le viseur de l’Etat Le gouvernement justifie ces changements par une augmentation marquée de l'absentéisme dans la #fonctionpublique, qui est passé de 43 millions de jours en 2014 à 77 millions en 2022. La réforme pourrait générer 1,25 milliard d’euros d'économies annuelles en limitant les paiements d’indemnités, à l’exception des #congésmaladies de longue durée ou liés à des accidents de service. Les coupes budgétaires en négociation En parallèle, des coupes budgétaires sont envisagées dans plusieurs ministères, notamment ceux de la Culture, de l’Aide publique au développement et du soutien à la voiture électrique, représentant une réduction de 2,6 milliards d’euros. Seuls les ministères de la Justice, de l’Intérieur, de la Défense et de l’Enseignement supérieur sont exclus de cette mesure. Le ministère de la Culture subira une réduction de 55 millions d’euros, en partie via une maîtrise des dépenses de l’audiovisuel public et une réforme du #PassCulture. Enfin, le gouvernement prévoit de ponctionner 300 millions d’euros sur la #trésorerie d’opérateurs publics, incluant les Agences de l’eau et l’Agence de financement des infrastructures de #transports (Afit). Sources : Ouest France, France Info

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    [Les nouvelles missions du ministère de la Transition écologique : enjeux et partage des compétences] Le ministère de la #Transitionécologique, de l'Énergie, du Climat et de la Prévention des risques (MTEECPR) reprend les thématiques historiques de l’hôtel de Roquelaure*, tout en introduisant des subtilités importantes dans la répartition des compétences entre différents ministères. Le décret d’attribution d’Agnès Pannier-Runacher, publié le 10 octobre 2024, établit les missions spécifiques et les partages de responsabilité entre les différents acteurs gouvernementaux. Décryptage dans notre nouvelle revue de presse. Le MTEECPR prend la responsabilité de toutes les négociations européennes et internationales liées au #climat, à l'#énergie et à la #biodiversité. La ministre participera à des forums tels que la #COP16 sur la biodiversité en Colombie et la #COP29 sur le climat en Azerbaïdjan, affirmant ainsi le rôle central du ministère dans la lutte contre le changement climatique sur la scène mondiale. Sur le plan national, le ministère ne détient pas une pleine autonomie. De nombreuses politiques liées à la décarbonation de l’industrie ou aux transports demeurent partagées avec d’autres ministères. Par exemple, la politique de #décarbonation industrielle est co-gérée avec le ministère de l’Économie, tandis que la décarbonation des transports relève du ministère du Partenariat avec les territoires. Le MTEECPR est cependant en charge des arbitrages financiers du #Fondsvert, malgré le pilotage général de ce fonds par le ministère des Territoires. Le ministère retrouve un contrôle élargi sur l’énergie, notamment en ce qui concerne la planification énergétique, le développement des #énergiesrenouvelables et du nucléaire, et l’encadrement des certificats d’économies d’énergie (CEE). Bien que Bercy continue de superviser la politique tarifaire, le ministère de la Transition écologique a désormais une autorité plus complète sur les dossiers énergétiques, y compris les projets offshore en collaboration avec le ministère de la Mer. Le MTEECPR conserve un contrôle exclusif sur des dossiers essentiels tels que la protection de la biodiversité, la qualité de l’air, la gestion de la chasse et de la pêche, ainsi que la prévention et le traitement des #déchets, y compris radioactifs. De plus, il maintient la supervision des installations classées (ICPE) et la #sûreténucléaire. Connaissiez-vous l’étendue des nouvelles missions du ministère de la transition écologique ? N’hésitez pas à réagir dans les commentaires. *cet élégant hôtel situé au 246 bld St Germain à Paris abrite actuellement le ministère de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et de la Transition énergétique Sources : Actu environnement, France 24

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    [La pollution de l’air intérieur : un ennemi silencieux] La pollution de l’air intérieur est bien plus dangereuse qu’on ne le pense. Selon l’Observatoire de la qualité des environnements intérieurs (OQEL), l’air que nous respirons à l’intérieur de nos maisons est cinq à neuf fois plus pollué que celui de l’extérieur. Responsable de plus de 20 000 décès par an en France, cette #pollution intérieure est une menace sous-estimée. Pourtant, quelques gestes simples pourraient améliorer la qualité de l'air dans nos foyers. On vous les présente dans notre nouvelle revue de presse. Contrairement aux idées reçues, la pollution intérieure ne provient pas uniquement de sources visibles comme le tabac. Des éléments du quotidien, tels que les produits ménagers, les sprays désodorisants ou encore le séchage du linge à l’intérieur, sont également des facteurs de pollution. François Le Guillou, pneumologue et président de l’association Santé respiratoire, souligne que "tous les produits ménagers, désinfectants, sprays, sont des irritants pour les voies respiratoires." Les moisissures, qui aiment se développer dans l'humidité, ajoutent une autre couche de danger. En plus de favoriser des #allergies, elles peuvent aggraver les conditions de santé préexistantes telles que l’#asthme, les rhinites, ou même les #maladiescardiaques et certains #cancers. Les produits ménagers et la décoration, vecteurs de polluants chimiques Outre les produits ménagers, les matériaux de construction, le mobilier, les peintures, et même les bougies parfumées émettent des composés organiques volatils (COV), des substances chimiques nocives. Ces polluants sont plus concentrés à l’intérieur qu’à l’extérieur, selon le CGDD - Commissariat général au développement durable. Ces substances chimiques peuvent entraîner des maux de tête, de la fatigue, des troubles respiratoires et des crises d’asthme. Les personnes les plus fragiles, telles que les enfants ou les personnes âgées, sont particulièrement à risque. Trois gestes simples pour assainir l’air intérieur 1/ Aérer tous les jours : il est recommandé d’aérer au moins 10 minutes par jour, voire deux fois par jour, surtout après le ménage ou des travaux de bricolage. L’aération aide à évacuer l’humidité et les polluants chimiques. 2/ Choisir des produits ménagers écologiques : préférez des produits portant des labels environnementaux comme Écolabel ou Ecocert, qui garantissent un impact réduit sur la qualité de l’air intérieur. 3/ Éviter les plantes d’intérieur pour dépolluer : contrairement à une idée reçue, les plantes ne dépolluent pas l’atmosphère et peuvent même contribuer à l’humidité et aux moisissures. Certaines, comme le ficus Benjamina, sont même reconnues pour provoquer des crises d’asthme. Quels sont vos gestes du quotidien pour lutter contre la pollution intérieure de votre logement ? Faites-le-nous savoir dans les commentaires. Sources : France info, Europe 1

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    [Nouveau rapport de la Cour des comptes : réduction des dépenses et mise à contribution des #collectivitésterritoriales] La Cour des comptes a émis une recommandation marquante visant à réduire le nombre d’agents dans les collectivités territoriales, avec l'objectif de maîtriser le déficit public de la France, qui dépasse les 6 % du PIB en 2024. Cette proposition, dévoilée dans un rapport publié le 2 octobre, suscite de vives réactions au sein des associations d’élu(e)s locaux. On fait le point dans notre nouvelle revue de presse. Pour rétablir les finances publiques, la Cour des comptes propose de ramener les effectifs des collectivités à leur niveau de 2010, ce qui impliquerait la suppression de 100 000 emplois parmi les 2 millions de fonctionnaires territoriaux. Selon l'institution, les dépenses de personnel des collectivités représentent un quart de leurs dépenses totales. En réduisant les effectifs, les collectivités pourraient économiser jusqu'à 4,1 milliards d’euros par an d'ici à 2030. Cette mesure est perçue comme un « choc » par les élu(e)s locaux. David Lisnard, président de l’Association des Maires Ruraux de France - AMRF , critique cette approche, affirmant que « le personnel territorial ne peut être réduit à une question comptable. » Selon lui, les intercommunalités ont hérité de nouvelles compétences qui n’étaient pas toujours exercées par les communes, rendant difficile une telle réduction d'effectifs. Outre la gestion du personnel, les collectivités doivent faire face à une hausse des dépenses de fonctionnement, évaluée à +5,4 % sur les huit premiers mois de 2024. Ces dépenses sont stimulées par l’inflation, les achats de biens et services, ainsi que par l’augmentation des dépenses sociales due à la précarité grandissante. Les #investissements, eux, sont également en hausse, notamment en raison des projets liés au « cycle électoral municipal », qui voit souvent la réalisation de projets votés en début de mandat. Cependant, les collectivités ne sont pas toutes en bonne santé financière. Les communes et intercommunalités réussissent à mieux gérer leurs finances, mais les régions et les départements, en particulier, peinent à suivre. Ces derniers sont affectés par la chute des droits de mutation prélevés sur les transactions immobilières. La Cour des comptes propose également de recentrer les investissements des collectivités sur la #transitionécologique, tout en préconisant la « massification et mutualisation des achats » entre collectivités, ce qui pourrait générer jusqu’à 5 milliards d’économies par an. Toutefois, ces propositions se heurtent à la réduction du #Fondsvert, un fonds destiné à aider les collectivités dans leurs projets écologiques, que l’État a récemment réduit et pourrait de nouveau raboter en 2025. Sources : Libération, la Cour des comptes

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    [Les nouveaux radiotraceurs : une révolution dans l’#imageriemédicale pour mieux traiter les cancers du sein] Les avancées en matière d'imagerie médicale, notamment avec l'utilisation de nouveaux radiotraceurs, ouvrent la voie à des #diagnostics plus précis et à une meilleure prédiction de la réponse des patient(e)s aux #traitements. Ces innovations, portées par des centres comme l'Institut Curie, pourraient marquer un tournant dans la prise en charge des cancers, y compris le cancer du sein. On vous en parle dans notre nouvelle revue de presse. « L’imagerie médicale, ce n’est pas juste une photo. Nous sommes dans une révolution de l’image qui va encore mieux guider les traitements contre les cancers », affirme le Pr Steven Le Gouill, directeur de l’ensemble hospitalier de l’Institut Curie. Cette révolution, qui concerne l’imagerie dans sa globalité, a des retombées particulièrement intéressantes dans le domaine des cancers du sein, avec des essais en cours visant à améliorer la prise en charge des patientes. L'Institut Curie, centre européen de référence dans le traitement du #cancerdusein, mène de nombreuses recherches dans ce domaine. L’un des projets les plus prometteurs est l’essai Skyline, lancé en avril, qui cherche à comprendre pourquoi 30 % des femmes atteintes de cancers du sein triple négatif ne répondent pas aux traitements. Les chercheur(e)s soupçonnent que les fibroblastes, des cellules qui entourent la tumeur et contribuent à sa croissance, pourraient jouer un rôle clé dans cette résistance aux traitements. Actuellement, les médecins utilisent des TEP-scanners (tomographie par émission de positons) pour suivre l’évolution des cellules cancéreuses. Ces appareils fonctionnent avec des radiotraceurs à base de sucres, car les cellules cancéreuses consomment une grande quantité de glucose. Toutefois, ces radiotraceurs présentent des limites, notamment lorsqu'il s'agit de détecter des métastases dans le cerveau, un organe lui-même grand consommateur de sucres. Pour pallier ces insuffisances, les chercheur(e)s testent de nouveaux radiotraceurs, comme les FAPI, qui se fixent sur les fibroblastes présents autour des tumeurs. Cette nouvelle approche, utilisée dans l’essai Skyline, vise à mieux cibler les cellules clés de l’environnement tumoral et pourrait révolutionner la manière dont les cancers du sein sont diagnostiqués et traités. En parallèle de ces travaux, d'autres chercheur(e)s de l'Institut Curie explorent des radiotraceurs capables de se fixer directement sur les récepteurs hormonaux des tumeurs. Ces récepteurs jouent un rôle crucial dans le développement de certains cancers, et leur présence peut déterminer l'efficacité d'un traitement d’hormonothérapie. Si les résultats obtenus sont très prometteurs, ces nouvelles techniques d’imagerie doivent encore être standardisées avant de pouvoir être déployées dans l’ensemble des centres de lutte contre le cancer. Sources : Ouest France, L’Express

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