NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE

Formez vous aux 5 ateliers du Businnes Model Canvas de l'Entreprise Régénérative - RegenBMC pour accompagner vos clients dans une démarche d'impact structurée qui intègre les enjeux économiques https://lnkd.in/eyDWYeSk. Nous avons tracé un chemin vers la régénération depuis la réduction des impacts vers le vivant pour accompagner toutes les entreprises quel que soit leur niveau d’avancement dans l’impact. #regenBMC #regegeneration #noussommesvivants Le Business Model Canvas de l'Entreprise Régénérative permet de prendre la mesure de ses impacts au niveau de la chaîne de valeur d'un produit / service pour concevoir des offres à impact avec son réseau de parties prenantes. https://lnkd.in/erZGmfb5 Notre approche est alignée sur la CSRD et cette nouvelle réglementation sera un levier majeur de commercialisation du RegenBMC. Plus d’un tiers de entreprises considère que leurs innovations ont contribuées à la protection de l’environnement. C'est 47 % des entreprises de 10 salariés ou plus des secteurs marchands qui ont innové, en procédés (41 %) et en produits (21 %). Article https://lnkd.in/eydFfBDp Le business model canvas de l’entreprise régénérative a évolué de la version 1 à la version 5 grâce à vos retours. Il existe maintenant en 3 versions sectorielles : la gaufre locale, le T-shirt en Ortie et la Box numérique écoresponsable. Les prochaines versions arrivent pour : le vin, les cosmétiques, le tourisme, l’immobilier, la banque et l’automobile. Vos retours nous aident à avancer https://lnkd.in/eeBeBbqu Nous avons commencé à co-construire un business model régénératif avec la filière ortie dans le textile. Nous formons l’équipe design d’un grand groupe. Nous avons animé des workshops avec des startups à impact. Retour d’expérience textile : https://lnkd.in/emEE6txS Avec les lauriers de la régénération nous avons montré que la régénération se traduit dans des produits et services à impact contributif dans plusieurs secteurs d’activité en France. Des produits et services économiquement viables. Découvrez les lauréats 2024 https://lnkd.in/e78bfpHW C’est pourquoi nous lançons les formations à l’animation auprès des : - Consultants en changement / innovation - Professionnels en entreprise - Designers experts en éco conception - Organismes de certification / labels 😎 S'inscrire aux prochaines formations à l'animation des 5 ateliers permettant de remplir le canvas https://lnkd.in/eSQpu_e3 😀 Vous n'avez pas encore fait l'expérience ? Voici nos master class et sessions découverte https://lnkd.in/euHZxBNp NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE

Le vivant est encore une grande question épistémologique à la frontière entre physique et biologie. Deux visions du monde sont à l'oeuvre. La physique voit le monde comme constitué d'atomes isolés et la biologie comme un ensemble d’interactions entre individus. De la physique dérive l'entropie et l'impératif d'ordre (qu'il faut restaurer en limitant). De la biologie dérive l'énergie vitale et le chaos créatif (qu'il s'agit de laisser œuvrer, source de régénération) https://lnkd.in/eg95NMVa Pour bien comprendre le document ci dessus, il s'agit de bien définir le vivant. Point essentiel pour définir ce qu'est la régénération du vivant. En aucun cas les principes de limitation (ou de restauration et plus largement d'équilibre) s'appliquent au vivant. Les principes de limitation sont pertinents sur les ressources essentielles à la vie, pas à la vie elle même. A lire ici https://lnkd.in/eJtEi4BZ On peut citer la définition « biologique » donnée par Spinoza: « La vie, c’est une force qui permet aux choses de persévérer dans leur être ». Cette définition a deux atouts : elle est simple, et elle est positive ; elle se suffit donc à elle-même. Elle a un inconvénient majeur, c’est de s’appliquer aux « choses », qui ne sont pas, des êtres vivants. On pourrait l’améliorer en disant que la vie, c’est une force, la force vitale, qui permet aux organismes de persévérer dans leur être. Une autre piste « physique » : "la caractéristique essentielle du vivant serait la capacité à évoluer. Cela donne des définitions comme celle de l’évolutionniste Richard Dawkins, pour qui la vie n’est que le résultat de la sélection naturelle des gènes, ou encore comme celle de la NASA : « La vie est un système chimique autonome capable de suivre une évolution darwinienne ». Ce qui capture donc sa capacité à évoluer et non pas sa force vitale. Enfin une définition satisfaisante émerge : « Est vivant tout système autonome pourvu de capacités évolutives ouvertes », comme l’écrivent J. Pereto, J. Catala et A. Moreno. C'est sur cette définition que peuvent se baser les approches régénératives du vivant. Notre définition de la régénération étant : "donner aux êtres vivants (dont les humains) les ressources leur permettant d’être en capacité d’atteindre leur plein potentiel dans leur environnement" Lars Onsager a montré que la simple constitution de système ouvert rendait à l’être vivant des potentialités en toute conformité avec les lois physiques. Est ce vraiment le sujet ? C'est les interactions au sein d'un territoire qui sont le sujet de l'écologie. L'approche par les systèmes ouverts reste mécaniste et éloignée de l'approche par les systèmes vivants. Ce n'est pas tant le système qui doit être ouvert, c'est la vie qui vise son potentiel qui doit être en capacité. Autrement dit un écosystème est le résultat de la vie qui évolue en son sein même si elle dépends de ses ressources écosystèmiques. NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE

Merci Convergences et à l année prochaine !

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C'est le premier jour de la #COP16. Entreprises et ONG se mettent en mouvement vers la régénération alors qu'il reste 5 ans pour la biodiversité dans un contexte ou le climat est la priorité. A lire ici https://lnkd.in/eBB4xuN7 Il reste 5 ans pour agir alors que les activités humaines sont responsables de l'effondrement de la biodiversité, principalement à cause de la perte des habitats naturels due à l'agriculture non durable, l'exploitation forestière, les transports, et la fragmentation des rivières pour les espèces d’eau douce. WWF Le rapport “Economic and financial impacts of nature degradation and biodiversity loss” nous avertit que 72% des entreprises européennes sont dépendantes de la biodiversité. 3 millions d’entreprises “dépendent de manière critique des services écosystémiques et seront confrontées à d’importants problèmes économiques en raison de la dégradation des écosystèmes”. Cette fragilité peut compromettre la résilience économique. European Central Bank Nestlé, Decathlon, H&M, Kering, Ikea, Inditex (Zara), Suez, EDF ou encore le pétrolier Enel font partie des signataires d'un appel porté par la coalition Business for Nature, qui rassemble aussi des acteurs de la société civile. En amont de la COP16, le monde économique cherche à donner le signal qu’il compte bien influencer les débats sur la protection de la biodiversité. La coalition propose notamment d’assurer une “utilisation et une gestion durables des ressources” pour réduire les impacts sur la biodiversité, en encourageant les entreprises à recourir à des solutions de compensation écologique, à l’agroécologie ou à des techniques de l’économie régénérative. L’intégration de la nature dans les prises de décision” et les mesures visant à favoriser la transparence en matière de biodiversité sont également mises en avant. positif”.    Le mouvement Nature Positive Initiative vise à Inverser la perte de nature d’ici 2030 sur la base de 2020 et atteindre rétablissement complet d’ici 2050. Pour atteindre l’objectif Nature Positive, il faut une biodiversité positive nette mesurable résultats à travers l’amélioration de l’abondance, de la diversité, de l’intégrité et résilience des espèces, des écosystèmes et des processus naturels. Trois catégories d'indicateurs ont été développées. Parmi ces mesures figurent la richesse, la répartition, l'abondance et le risque d'extinction des espèces, l'étendue et l'intégrité écologique de l'habitat, l'intégrité hydrologique, les schémas de migration et le carbone séquestration et stockage. NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE

William Schutz, auteur de The Human Element, était convaincu que le potentiel humain inexploité peut être à l’origine d’accomplissements potentiels extraordinaires et que la compréhension par chacun du facteur humain est le socle de la réussite partout où les humains travaillent réfléchissent et font progresser des idées communes. https://lnkd.in/ef8Nty4k En travaillant sur la connaissance de soi et des autres pour renforcer la performance des collaborateurs pour la Navy, il a réussit à constituer des équipes productives 75% du temps, soit une augmentation de 50 % par rapport au taux de départ. La notion de choix est centrale dans le travail de W. SCHUTZ. Ce qui nous arrive dépend en premier lieu de nous-même car chaque individu peut choisir d’être conscient de ses comportements, de ses sentiments, de ses pensées, de ses croyances, dont celles qu’il cherche à masquer à tout prix, ou de choisir de ne pas savoir que qu’il a le choix. Les vraies limites du potentiel humain serait celles de nos croyances. Pour Schutz, il existe un principe fondamental : les êtres humains ont besoin des autres pour vivre, ce besoin pouvant même se comparer à celui de manger ou de boire. Ce constat l'a conduit à étudier des besoins relationnels des individus et leurs comportements. Ces besoins se retrouvant sous trois formes : les besoins d'inclusion, les besoins de contrôle et les besoins d'affection. Il démontre comment la connaissance de soi et la confiance sont primordiales pour l'efficacité personnelle, celle d'une équipe et d'une organisation. Lire la suite https://lnkd.in/eSC7iddb

Appel aux entreprises du secteur "industrie" autour de Lyon pour beta tester le business model régénératif https://lnkd.in/gY8KPu2T

Laurier de la #régénération dans la catégorie #tourisme : l'Auberge de la Fenière de NADIA SAMMUT ! 🥗🍷 Vous savez, celle qui nous a régalé au So good MAIF Festival 😍 Quelques éléments d'explication👏 👉 Trajectoire vers des services régénératifs : 1er restaurant étoilé transformé en Entreprise de l'Économie sociale et solidaire, agréé ESUS - Création du Fonds de dotation VIE pour porter des projets d'intérêt général de recherche, de coopération et de sensibilisation - Contribution régulière à des projets de solidarité, pour que cette approche bénéficie au plus grand nombre (Festival Cheffes au bénéfice de l'aide alimentaire, marraine du restaurant solidaire Le République à Marseille, etc.)  - Lancement du Mouvement NOURRIR, qui propose un modèle d'alimentation positive régénératrice du vivant, pour le respect de limites planétaires, une vie plus longue en bonne santé et une élévation des consciences sur l'alimentation. 👉 Une approche holistique de la gastronomie, tenant compte des impacts à la fois sur l’#environnement et sur la #santé -  une cuisine exclusivement à base de produits locaux et de saison, cultivés par des agriculteurs partenaires selon les principes de l’#agroécologie (ex. maraîchage sur sol vivant). Le 1e restaurant étoilé sans gluten au monde  -  une cuisine majoritairement végétale, inspirée du régime méditerranéen, mettant à l’honneur légumes et légumineuses (ex. déclinaisons salées et sucrées du pois chiche) -  aussi et surtout une cuisine inventive, toujours à la recherche de nouvelles saveurs et de nouvelles méthodes écologiques (ex. four solaire) pour le plaisir du goût - respect des principes du Livre blanc de la gastronomie 👉 Label Écotable en cours de sollicitation NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE Jérémy Dumont Xavier Diquet Laurence Pintenat Alice Bourassin Albane Roussot Albane LOISEAU Andreea Fauchille Elsa Brindazur 💚 Coopérative Oasis

Pour changer de cap, il nous faut un cadre au delà du developpement durable qui aligne les enjeux environnementaux et sociaux avec l'impératif de profit. Pour réussir il s'agit d'aider les entreprises à identifier leur business model à impact. Sans innovation à valoriser auprès des parties prenantes de sa chaîne de valeur, pas de business model pour les investissements sur le long terme. À lire ici 👉https://lnkd.in/eTyfmziG A l’occasion des « lauriers de la régénération » nous avons mis en valeur les entreprises les plus engagées ainsi que leurs innovations dans plusieurs secteurs. https://lnkd.in/e78bfpHW 🧭 Pour évaluer cette transformation régénérative, Bpifrance Le Lab, LUMIÅ et la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) ont élaboré conjointement un cadre d’analyse qui repose sur cinq dimensions : 1 - Voir beaucoup plus loin que le #climat et intégrer la complexité 2 - Se reconnecter au #vivant tout au long de la chaîne de valeur 3 - Transformer en profondeur son #modèleéconomique 4 - Développer une gamme de produits ou services #compatibles avec le vivant 5 - Placer l'#humain au coeur des transformations L'entreprise à visée régénérative doit travailler son business model pour que les actions engagées soient viables. Notre conviction c'est que cette viabilité repose sur des nouveaux produits / services à lancer dans un futur proche. 🤘 Notre business model canvas de l’entreprise régénérative c'est à la fois un outil et une série d’ateliers pour lancer de nouveaux produits, services issus de pratiques régénératives avec son réseau de partenaires ou un projet territorial à visée régénérative. La première étape consiste à poser sa chaîne de valeur et analyser ses impacts en lien avec la #crsrd https://lnkd.in/erZGmfb5 #regeneration #noussommesvivants NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE

Jacques Perrin dans son livre "peut on changer notre vision du monde" nous rappelle que bien avant les Trente Glorieuses, déjà dans les années 20, le concept de "consommateur souverain" va accompagner l'essor du capitalisme en étant au coeur d'une société de marché essentiellement individualiste, mais bien ordonnée, efficace et démocratique. Et que dans cette même période une autre vision de l'individualisme va s'estomper, un individualisme relationnel qui selon Simondon pense l'individu comme inséparable de son environnement social et de la nature. Bien sûr le grand avantage de la société de consommation est de nous offrir le choix. Et tous les choix n’ont pas la même valeur. Faire des choix c’est se montrer responsable de ses actes. C’est à nous de choisir notre façon de consommer, en fonction de nos valeurs voire même la valeur qu’on se donne à nous-même et plus globalement à l'humanité.   Même si la vision du monde prônée par le néolibéralisme est actuellement la vision du monde dominante au niveau international, et même si tout est fait pour qu'elle s'impose avec plus de force, une observation de la réalité permet de découvrir que s'expérimentent et se mettent en œuvre de nouvelles pratiques de production et d'échange, de nouvelles pratiques démocratiques, ...qui traduisent toutes le désir de vivre une autre manière d'être au monde.   Une note a lire ici https://lnkd.in/eN_Zz5Fs NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE