Transport & Environment (T&E) France

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À propos

Le Bureau France de T&E promeut le transport durable en France et en Europe. Il poursuit les principaux objectifs de T&E: un système de transport décarboné en 2050, qui protège la santé humaine et est abordable pour tous.

Site web
https://transportenvironment.fr/
Secteur
Organisations à but non lucratif
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Non lucratif

Lieux

Employés chez Transport & Environment (T&E) France

Nouvelles

  • Transport & Environment (T&E) France a republié ceci

    Voir le profil de Diane Strauss, visuel

    Director France, Transport & Environment (T&E)

    J'ai co-signé cette semaine une tribune dans Le Monde sur la décarbonation de l'aérien. Nous soutenons l'augmentation de la taxe sur les billets d'avion proposée par le gouvernement. 👉 Rapelons que les exemptions fiscales de l'aérien représentent un manque à gagner de 6,3 milliards d'euros en 2025 (exemption de TVA, de taxe kérosène et de marché carbone sur les vols hors UE). 👉 Airbus prévoit que le trafic international au départ de l’Europe continuera de croître pendant les vingt prochaines années – en moyenne, entre 2,4 % et 4,1 % supplémentaires par an. 👉 Cette taxe permet de rattraper le retard que nous avons pris sur la fiscalité de l'aérien. Le Royaume-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas ont déjà augmenté leur taxe. 👉 Telle que proposée par le gouvernement, cette taxe rapportera 1 milliard d'euros. Si la France taxait au même niveau que le Royaume-Uni, elle rapporterait jusqu'à 3,5 milliards d'euros par an. Aurélien Bigo, Jérôme Fontane, Réseau Action Climat, Jérôme du Boucher https://lnkd.in/eSxSTBe3

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    4 milliards d’euros d’argent public partent en fumée chaque année ! Ce montant correspond aux niches fiscales et sociales accordées aux voitures de fonction thermiques (essence, diesel, hybrides), notamment via les exonérations de cotisations. Cette fiscalité avantageuse pour des voitures qui brûlent du carburant fossile n’incite pas les entreprises à s’en passer. Cela conduit à freiner la transition vers l’électrique, car les entreprises sont les principales acheteuses de véhicules neufs en France. Pour T&E, il paraît donc logique de changer les règles du jeu. Début octobre, le gouvernement a annoncé sa volonté de revoir les exonérations dont bénéficient les véhicules de fonction thermiques. Si la raison de ce changement est principalement budgétaire, elle peut permettre d’accélérer la décarbonation de l’automobile. Le gouvernement doit donc tenir bon et maintenir un niveau d’ambition élevé sur cette réforme. Retrouvez notre analyse complète ici : https://lnkd.in/e3supZSD

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    Certains constructeurs automobiles veulent changer les règles du jeu à la dernière minute. Alors que les nouvelles normes d’émissions de CO2 applicables en 2025 sont connues depuis des années, plusieurs constructeurs sont entrés en campagne pour demander leur report et l’abandon des pénalités encourues. Pour tenter d’obtenir gain de cause, certains sont même allés jusqu’à parler d’une industrie en “crise”. Rien ne serait plus faux : les constructeurs automobiles ont accumulé des dizaines de milliards d’euros de bénéfices ces dernières années. Ils disposent donc des moyens pour investir dans l’électrique, et particulièrement dans des véhicules plus abordables qui sont demandés par le marché. T&E a d’ailleurs montré dans une récente analyse que la part de marché des voitures électriques neuves pourrait atteindre 20 à 24% l’année prochaine dans l’UE, permettant ainsi de réaliser le gros des efforts pour se plier à la nouvelle réglementation. Alors que le dérèglement climatique nous montre chaque jour ses effets délétères, tenter de ralentir la décarbonation des transports n’est bon pour personne. Au Mondial de l’Auto - Paris, Carlos Tavares, PDG de Stellantis, l’avait d’ailleurs rappelé : “nous avons tous une responsabilité vis-à-vis du changement climatique”. (Dessin : Gatis Šļūka)

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    Leasing social, prime à la conversion, bonus écologique : que faut-il faire avec ces dispositifs en 2025 ? Transport & Environment (T&E) France, le Réseau Action Climat, le Secours Catholique-Caritas France et l’UFC-Que Choisir appellent le gouvernement à maintenir l’enveloppe budgétaire de 1,5 milliard d’euros définie en 2024, afin de garantir l’ accompagnement des ménages qui en ont le plus besoin.  Pour être efficaces, les aides doivent aujourd'hui être ciblées sur les ménages qui en ont le plus besoin et notamment :  ✅ les ménages dépendants de la voiture, qui roulent avec les véhicules ayant plus de 10-15 ans, qui sont aussi les plus consommateurs de carburant. ✅les ménages qui ne peuvent accéder à l’acquisition ou à la location « classique » de voiture ; 👉 Le succès du leasing social a démontré qu'il est possible de rendre la mobilité électrique plus accessible. Il existe une vraie demande, jusque-là négligée par les constructeurs. Il est donc indispensable de maintenir cette mesure. 👉 La prime à la conversion est un outil central pour la conversion du parc et doit conserver son niveau de 2024, tout en favorisant les véhicules électriques. 👉 Le bonus écologique doit être maintenu pour les ménages qui en ont besoin au regard de leur revenu et réhabilité pour les voitures d’occasion, alors que les trois quarts des ménages font l’acquisition d’un véhicule uniquement en seconde main. #Automobile #leasingsocial #Primealaconversion #Bonus #climat #EV

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    Le Mondial de l’Auto - Paris a démarré depuis hier avec la promesse d’être une “fête”. Mais aujourd’hui, rares sont ceux qui peuvent fêter l’achat d’une voiture neuve à plus de 50 000, 60 000, voire 70 000 euros. Qui plus est, les modèles proposés, souvent imposants et lourds en contenu matière, ont un impact environnemental inconsidéré. Peut-on encore fêter l’automobile pour quelques-uns, au détriment de la planète ? Permettre l’accès à la mobilité, et notamment aux voitures électriques abordables, est indispensable si l’on ne veut pas aggraver les fractures territoriales et alourdir encore plus les dépenses des ménages. C’est aussi la condition pour relocaliser durablement la filière automobile et les emplois associés, ce qui suppose de favoriser le volume à la valeur. Or, ces dernières années, les prix des voitures ont fortement grimpé, poussés par des constructeurs rêvant de marges et de profits infinis. Aujourd’hui, il est temps de redescendre sur Terre et de proposer des modèles électriques qui permettent une massification de cette motorisation. Lire notre briefing : https://lnkd.in/g9-nMyA5 (Crédit dessin : Gatis Šļūka)

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    Mondial de l'Auto : ONG et syndicats s'unissent pour demander plus de petits véhicules électriques. Alors que le Mondial de l’Auto - Paris s'ouvre aujourd'hui, deux syndicats (FGMM CFDT et FTM-CGT) et quatre ONG (Transport & Environment (T&E) France, Réseau Action Climat, Fondation pour la Nature et l'Homme, Greenpeace France) publient une déclaration commune appelant à réorienter au plus vite la production automobile française vers les petits véhicules électriques, accessibles et créateurs d’emplois. Concentrer de nouveau les savoir-faire industriels sur la production de véhicules accessibles, vraiment moins impactants pour l’environnement, permettrait de renouer avec une dynamique industrielle positive, pour les emplois, l’accès à la mobilité et la lutte contre le changement climatique. Pour que cette transition soit juste, les constructeurs doivent réorienter leur production et investir pour relocaliser en France et en Europe les activités de production, et pas seulement d’assemblage. Pour les y inciter, les pouvoirs publics ne peuvent plus dépenser des fonds publics sans contrepartie sur l’emploi et le respect de l’environnement. Pour que cette transition soit réussie, les pouvoirs publics doivent en parallèle s’engager à accompagner la transition des entreprises en difficulté et des ménages vers des mobilités moins carbonées. Le Mondial de l’Auto prétend vouloir célébrer “la culture de l’automobile”. Nous, organisations syndicales et environnementales, préférerions célébrer le renouveau de la filière automobile, de ses savoirs-faire et de son engagement à décarboner les mobilités. C'est cette filière que nous souhaiterions voir advenir, une filière qui profite à tous, et pas seulement aux stratégies de profit des constructeurs automobiles comme c’est le cas actuellement.

  • Transport & Environment (T&E) France a republié ceci

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    Responsable du plaidoyer transition automobile et des relations parlementaires chez Transport & Environment (T&E)

    J'étais sur Sud Radio hier soir pour parler malus CO2. 🎤 L'occasion de rappeler quelques faits dans un débat public saturé de désinformation. 1️⃣ Le malus est bien plus juste que la taxe carbone. Il n'est payé QUE par ceux qui ont les moyens de se tourner vers les voitures neuves : les particuliers aisés et les entreprises. 85 % des Français achètent leurs voitures d'occasion et ne sont donc PAS concernés. Au contraire, ils ont besoin que le marché du neuf passe rapidement à l'électrique pour pouvoir y accéder. 2️⃣ Le malus est payé UNIQUEMENT sur les modèles les plus polluants. Pour faire des économies et éviter de payer des taxes, les acquéreurs de voitures neuves ont une solution très simple : se tourner vers des voitures moins polluantes. 3️⃣ Les chiffres que font circuler la filière ces derniers jours sont FALLACIEUX. En appliquant le barème du malus prévu en 2027 aux ventes de 2023, ils en déduisent que 80 % des modèles vont être taxés... sans prendre en compte la progression de la part de marché des voitures électriques (≃40 % en 2027) et des voitures hybrides moins polluantes. Rigoureux n'est-ce pas ? #LesVraiesVoixQuiFontRoulerLaFrance avec Cécile Hellouin de Menibus et Philippe David - 19h/20h ! Merci à Carra Yves pour le débat.

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    Les droits de douane ne sauveront pas la production européenne de voitures électriques si l'UE abandonne dans le même temps ses objectifs 2025 en matière de CO2. L'analyse de T&E montre que les constructeurs automobiles peuvent regagner une part importante du marché européen des véhicules électriques (VE) perdue au profit des voitures "Made in China". Cela grâce à une gamme de VE plus abordables qui arriveront sur le marché en 2024 et 2025... si et seulement si l'UE maintient ses objectifs en matière de CO2 pour les voitures. Les importations en provenance de Chine - y compris Tesla, BMW et Volvo - sont en passe d'atteindre un quart des VE vendus en Europe cette année. Mais cette part de marché pourrait tomber à 20 % en 2025 et même 18 % l'année suivante si l'UE tient bon sur les droits de douane et sur les normes CO2. En revanche, les VE fabriqués en Chine pourraient gagner des parts de marché et représenter 27% du marché européen des VE en 2025, si l'UE faisait marche arrière sur la nouvelle règlementation CO2. Certains constructeurs automobiles européens ont demandé à l'Union de reporter ou d'assouplir ses normes l'année prochaine. Pour T&E, cela entraînerait une stagnation des ventes de VE par les constructeurs européens, car ils continueraient alors à se concentrer sur les voitures thermiques, plus rentables, et retarderaient le lancement de voitures électriques abordables. Lire l'analyse complète : https://lnkd.in/eusmWMzf

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    Comment réduire les tensions sociales et territoriales sur la mobilité quotidienne, tout en poursuivant la décarbonation des transports ? C’est pour débattre de  cette problématique essentielle que Transport & Environment (T&E) France a co-organisé une conférence hier, avec le Réseau Action Climat, à l’Assemblée Nationale. Plusieurs experts, représentants d’ONG, de syndicats, d’organisations professionnelles sont venus proposer leurs analyses et leurs solutions. Nous avons identifié trois axes fédérateurs pour construire un “Pacte social de la mobilité” : 1 - Responsabiliser les acteurs qui en ont les moyens et protéger les plus vulnérables : la mobilité de demain nécessitera des efforts financiers pour soutenir les ménages à faibles revenus. 2 - Tenir compte des spécificités de chaque territoire et sécuriser les enveloppes budgétaires pour assurer la transition des zones rurales et périurbaines. 3 - Donner la priorité aux transports durables produits en France et en Europe. Merci à Gérard LESEUL, Matthieu Houbron et guillaume Seris pour avoir rendu cet échange possible à l’Assemblée. Merci également à tous les intervenants venus apporter leur regard ! Aurélien Bigo Sebastien Bailleul Diane Strauss Léo Larivière Alexis Chailloux FABIEN GUIMBRETIERE Jean-philippe Hermine Marc MORTUREUX Jean Merckaert François Gemenne Carole Ropars Damien Demailly Perennes Patricia Laurent Mazille 

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    MSC Cruises épinglée pour greenwashing : sa description du gaz naturel liquéfié (#GNL) comme « l'un des carburants les plus propres » a été jugée trompeuse par le conseil néerlandais de la publicité. Cette décision devrait servir de leçon aux régulateurs et au secteur du transport maritime, qui font de plus en plus pression pour que le #GNL soit considéré comme une alternative propre, en dépit du fait qu'il s'agisse d'un carburant fossile alimentant le dérèglement climatique. Au lieu d'investir dans le GNL, les compagnies maritimes devraient concentrer tous leurs efforts dans le développement et l'incorporation des carburants de synthèse. Lire l'article de Reuters : https://lnkd.in/e9eH4wND Dans notre rapport publié en août dernier, nous rappelions également que naviguer avec des carburants fossiles pourrait coûter beaucoup plus cher d'ici quelques années : https://lnkd.in/eS2MnfNK

    Dutch advertising board finds against MSC Cruise in greenwashing complaint

    Dutch advertising board finds against MSC Cruise in greenwashing complaint

    reuters.com

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