L’aéroport recherche un futur partenaire « food » pour la création d’un nouvel espace de restauration au terminal 2. L’avis d’appel à candidature concerne de la restauration légère, vente à emporter et/ou à consommer sur place. Que vous ayez une offre locale, une marque atypique ou une enseigne internationale, nous vous invitons à prendre connaissance du dossier qui vous amènera à proposer une offre salée et/ou sucrée qui saura séduire les passagers.
Post de Aéroports de la Côte d’Azur
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Le catering ordinaire, omniprésent dans les restaurants, événements et hôtels, se différencie du catering aérien, une discipline dédiée à la préparation minutieuse et à la fourniture de repas destinés aux passagers pendant les vols des compagnies aériennes. Le catering aérien doit jongler avec des contraintes singulières du transport aérien, incluant des limitations d'espace, des normes de sécurité alimentaire rigoureuses et la nécessité de maintenir une qualité gustative optimale en dépit des conditions spécifiques de l'environnement en vol. Ces deux secteurs convergent vers un objectif commun : offrir une expérience culinaire mémorable, tout en respectant des normes strictes de sécurité et de qualité. La réussite de cette mission repose sur une coordination précise entre les fournisseurs alimentaires, les compagnies aériennes et les régulateurs. Bon voyage et que chaque plat serve à enrichir l'expérience des voyageurs à chaque altitude ! 🍽️✈️
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La présente consultation a pour objet de conclure un accord-cadre relatif à la restauration due aux accrédités (Workforce, Volontaire Paris 2024 et les exploitants transport) pour le site de non-compétition du Dépôt Bus d'Aulnay-Sous-Bois et d'Auteuil. 🍽️🚌 Le marché est alloti comme suit : Lot 1 : Restauration à #Aulnay-sous-Bois 📍 Lot 2 : Restauration à #Auteuil 🏇 Le présent règlement de consultation ne concerne que le lot 2. 📜🚫 La mission à accomplir par le Candidat retenu consiste en l'exploitation du restaurant mis à disposition afin d'assurer la livraison opérationnelle du programme de restauration de l'Hippodrome d’Auteuil, en répondant aux exigences de Paris 2024, et notamment : La conception des espaces de restauration, espaces techniques et zone opérationnelle (Back-of-house) dans le respect du cahier des charges et des normes d'accessibilité de Paris 2024, des normes françaises et dans le but d'optimiser les opérations lors de l'événement (Montage, Opération, Démontage, et d'optimiser les besoins en énergie en cohérence avec les objectifs de sobriété de Paris 2024.) 🏰💼🔧 La planification de la mise en œuvre des niveaux de services, pour chaque population accréditée (Volontaire, staff Paris 2024) et/ou espace, conformément aux procédures opérationnelles définies par Paris 2024 et en prenant en compte les spécificités paralympiques. 📅🛠️ La définition, le sourcing, l'installation, la maintenance et le démantèlement de l'ensemble des équipements légers et lourds de cuisine nécessaires à la préparation, la réchauffe, le maintien en température et au service des denrées alimentaires. 🍳🔩 La définition des besoins en vivres destinés à l'alimentation et proposer des modes opératoires pour garantir leur approvisionnement et la gestion quotidienne des stocks, conformément aux procédures opérationnelles définies par Paris 2024. 📦🍏 Il est à noter que le dossier de consultation de la phase candidature n'est pas définitif. La version définitive des documents du DCE sera publiée en phase d'offres de la consultation pour permettre la remise d'une offre initiale par les seuls candidats admis à poursuivre la procédure. 📑🔄 Mairie d'Aulnay-sous-Bois
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« Il y a une course entre les compagnies aériennes pour préempter les meilleurs vins et champagnes », admet, sous le couvert de l’anonymat, un cadre dirigeant d’un grand transporteur. A l’exemple d’Emirates, qui vient de dévoiler sa nouvelle carte des vins pour 2024. Pour la seule année à venir, la compagnie du Golfe, présidée par le Britannique Tim Clark, a révélé qu’elle avait déboursé près de cinquante millions d’euros. Depuis 2006, elle a investi plus de un milliard de dollars (900 millions d’euros) pour satisfaire les passagers de ses vols internationaux. Au cours des prochains mois, fait-elle déjà savoir, ses avions vont ressembler à des bars à vins volants, où l’on pourra choisir, en première comme en classe affaires, entre un montrachet 2011, un chevalier-montrachet 2013 ou bien un corton-charlemagne 2014. Emirates est loin d’être la seule compagnie à miser sur de grands vins ou des champagnes d’exception. « Quand on s’appelle Air France, c’est même un élément essentiel du positionnement de notre offre », explique Fabien Pelous, directeur de l’expérience client, qui précise que l’entreprise « achète un million de bouteilles de champagne par an ». Mais pas le plus coté, le Dom Pérignon, prisé des groupes plus fortunés. « Pendant quinze ans, Singapore Airlines a servi du Dom Pérignon et du Krug “Grande Cuvée”. Deux champagnes considérés comme les plus prestigieux », dit Franklin Auber, directeur du marketing et de la communication de Singapore Airlines France. Cette collaboration a pris fin récemment. « En 2022, Dom Pérignon a annoncé qu’il ne produisait pas assez pour servir plusieurs compagnies », précise M. Auber. C’est Emirates qui s’est adjugé les bonnes bulles. « Nous sommes le plus grand acheteur de Dom Pérignon au monde », se flatte Cédric Renard, directeur général d’Emirates France. Singapore Airlines peut se consoler avec les cinq récompenses obtenues lors des derniers Cellars in the Sky, l’équivalent des Oscars pour la qualité des vins servis à bord des avions. Pour leurs passagers, les compagnies aériennes sont obligées d’anticiper. Emirates s’est ainsi constitué une cave de six millions de bouteilles conservées dans un endroit tenu secret, en Bourgogne. Certains flacons ne seront pas ouverts avant 2037. Air France, qui investit plus de 30 millions d’euros dans ses vins et alcools chaque année, a choisi, depuis 2022, de ne servir à bord et dans ses salons uniquement des alcools français. A l’avenir, l’entreprise, la « seule au monde à servir du champagne en classe économique », a choisi de lâcher un peu les bulles pour miser sur la mousse. « En 2024, la consommation de bière va dépasser celle du vin », prévient M. Pelous. Source : https://lnkd.in/erPqtGYG
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Business Story des aéroports à la française. Les Echos publient cette semaine une synthèse très intéressante sur les raisons de ce succès. En 50 ans l’union des grands groupes comme ADP, Vinci, JC Decaux, Lagardère Travel Retail a en effet permis d’ouvrir un nouveau canal de distribution pour les grandes marques de boutiques et de restauration, rendant ainsi l’attente dans les aéroports moins pénible pour les voyageurs. Entre autres facteurs clés de succès, le modèle de la concession, qui permet de créer de la valeur car conclu pour une longue durée, modèle qui à également fait ses preuves dans les grandes stations de ski…
Duty free, restaurant, publicité : les Français, champions du monde du business des aéroports
lesechos.fr
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𝐄𝐱𝐞𝐫𝐜𝐢𝐜𝐞 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐮𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐡𝐨̂𝐭𝐞𝐥 Le commerçant qui exerce dans des locaux exclusivement destinés à usage d'hôtel de tourisme une activité de restauration accessible à une clientèle extérieure à l'hôtel s'expose à la résiliation du bail commercial.
Les dessins | @com cabinets d'expertise comptable
acomaudit.expert-infos.com
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L’État vous protège et renforce ses contrôles dans le cadre des JO Les inspecteurs de la DPPP du Loiret sécurise l’hébergement local pour l’accueil des touristes et des délégations sportives, 112 établissements Hôtels avec ou sans restauration du Loiret ont été contrôlés, Principaux points de vigilance : Affichage des prix à l’extérieur et à l’intérieur des établissements, Loyauté des pratiques commerciales et des offres promotionnelles, Remise de note aux consommateurs, Contrôles des allégations (ex : classement hôtelier en nombre d’étoiles, allégations environnementales etc.), Usage des mentions qualitatives (ex : mention « fait maison », utilisation du titre de « Maître Restaurateur », affichage de produits AOP/IGP, La maîtrise du risque alimentaire lié à l’alimentation dans chaque hôtel... Les principales non-conformités détectées plus souvent liées à une méconnaissance de leurs obligations qu'à une volonté des commerçants de tromper les consommateurs, font l'objet de rappels à la réglementation ou de mises en demeure , Bon à savoir : https://lnkd.in/eCamzfyK https://lnkd.in/eniiM4i9
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⚠️ CCN Restauration rapide : ce qui change au 1er mai ! 🍕 📰 L’avenant n°66 du 28 avril 2023 de la Convention Restauration Rapide (JO du 3 avril 2024) est applicable à partir du 1er mai 2024. On vous a préparé une synthèse qui reprend les 6 points principaux à retenir pour vous faire gagner du temps. Ces nouveautés ont notamment pour objet de rendre le secteur + attractif pour les candidats salariés et de donner + de flexibilité aux entreprises. 💬 Qu’en pensez-vous ? PS : On vous a déjà partagé une synthèse avec les nouveautés du mois de mai (hors CCN). Si vous souhaitez qu’on la mette à jour avec les lois et décrets publiés, rien de tel qu’un petit commentaire. #veilleRH #restaurationrapide #droitdutravail
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Senior Managing Director, FTI Consulting | M&A Advisory | Value Creation | Turnaround & Restructuring
Soleil et pont du mois de mai ☀️👉 Et si on s'interrogeait sur l'évolution de la #Food dans les lieux de transit ? L'aéroport de Nice est un bel exemple de l'évolution de la restauration aéroportuaire. Pour rappel, c'est l’aéroport français le plus fréquenté (après ceux de Paris). Il fut un temps où la restauration en aéroport se résumait à des sandwiches préemballés et des boissons hors de prix (et c'est toujours le cas dans certains pays). L'aéroport de Nice a lancé un l’appel d’offres lancé au printemps 2023 pour renouveler une partie de la restauration commerciale sur 2 terminaux. Cause ➡️ conséquences : l'arrivée de marques emblématiques comme Pierre Hermé et Ladurée, mais aussi de chaines comme Pokawa et des enseignes locales telles que Mochi Coffee et Le Café Mauresque, ont fait de l'aéroport un hub food. Cette nouvelle dynamique contribue évidemment à améliorer l'expérience des voyageurs. Elle est aussi le reflet du savoir-faire culinaire français et régional ! Il est intéressant d’observer comment les aéroports, longtemps perçus comme des non-lieux, se muent progressivement en véritables espaces de vie et de culture. Alors, je vous ai donné envie d'aller à Nice ? 😉
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Secteur hôtelier : attention aux conditions générales de vente en cas de « no show » ! Nos experts, Bertrand Jeannin, Delphine Nicault et Gökhan Aktas, vous proposent de faire le point sur deux décisions récentes du Conseil d’État qui viennent rappeler les règles d’assujettissement à la TVA relatives aux sommes perçues en contrepartie d’une prestation d’hébergement lorsque le client n’en fait pas usage. #TVA #Hôtel #Hôtellerie #NoShow
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C’EST L’HISTOIRE D’UN HOTELIER QUI DEVIENT (PETIT) RESTAURATEUR Une société loue un immeuble dans lequel elle exploite un hôtel et met en place, en complément, une activité de bar et de petite restauration. Sauf que les locaux sont « exclusivement destinés à usage d'hôtel de tourisme et toutes activités accessoires », conteste le propriétaire qui résilie le bail… Ce que conteste la société : il est clair que le fait de consommer dans un hôtel est une activité accessoire à celle de l'hébergement. Et il ne faut pas confondre, comme semble le faire le bailleur, l’activité de restauration qui nécessite une cuisine technique, du personnel, un vrai travail de transformation et l’activité de « petite restauration » où seuls quelques plats non cuisinés sur place peuvent être consommés… Mais, ici, l’activité est accessible à des clients autres que ceux de l’hôtel, dotée d’une entrée distincte de celle de l’hôtel, qui en assure d’ailleurs la promotion. Ce qui en fait une activité loin d’être seulement accessoire, estime le juge… qui donne raison au bailleur ! Sources : Arrêt de la Cour de cassation, 3e chambre civile, du 30 novembre 2023, no 21-25584
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