Pour une association comme l’AFMD, mesurer l’impact social, c'est avant tout comprendre les effets concrets de nos actions, évaluer les progrès réalisés et identifier les domaines nécessitant une amélioration.
Après 17 ans d'actions de prévention des discriminations en milieu professionnel, nous voulions tirer des enseignements des retours de nos membres et de nos parties prenantes. Cette démarche d’évaluation nous a beaucoup questionné sur la portée de nos actions dans un écosystème riche et complexe... Surtout, elle n’aurait pu avoir lieu sans les plus de 300 personnes qui ont répondu à notre questionnaire : on vous dit MERCI !
C'est donc avec un plaisir immense que nous vous présentons le rapport COMPLET : https://lnkd.in/eScKicFu
Vous trouverez dans le rapport, l’analyse et les conclusions des principaux impacts observés. S'il fallait n'en retenir qu'un, ce serait la rupture du sentiment d'isolement pour 93% des Responsables D&I grâce à la communauté d'entraide qu'est l'AFMD pour ses membres.
Un grand merci à Clémence Gleizes du cabinet Improve qui nous a accompagné·es dans ce projet.
CC : Chloé TorcolMaya HagegeDelphine PouponneauRomain Plaisantin
Directrice Diversité, Équité, Inclusion et QVCT Groupe Orange. Coprésidente de l’Association Française des Managers de la Diversité #ManagerForInclusion
🎯Acceptabilité sociale: des obstacles et des clés!
Nous participions la semaine dernière au panel sur l’acceptabilité sociale organisé dans le cadre du Congrès annuel de 3R MCDQ, en compagnie de Louis-Gilles Francoeur, ancien journaliste à Le Devoir et ancien V-P du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement.
⚠ À l'aune de nos observations de projets controversés (ceux qui soulèvent les passions!), d’un côté certaines caractéristiques, des #obstacles, se dégagent clairement, notamment:
1. Manquer de transparence (un lieu commun!)
2. Travailler en silo
3. Respecter de peu le cadre normatif ou réglementaire
4. Confronter les parties prenantes à des faits accomplis
5. Ne pas rechercher de solutions gagnant-gagnant
6. Ne pas évaluer et pondérer socialement l'ampleur et la nature des impacts environnementaux et sociaux
7. Souffrir d’une absence de notoriété et de crédibilité
🗝À l’inverse, les projets moins controversés, jugés plus acceptables, sont caractérisés par certaines pratiques #clés, notamment:
1. Déployer des espaces de dialogue respectueux en amont
2. Agir avec transparence et diligence
3. Accepter la légitimité des préoccupations exprimées
4. Documenter, avec l’aide des parties prenantes, la nature et l’ampleur des impacts afin de proposer des mesures de mitigation adaptées (elles sont expertes de leur communauté!)
5. Inscrire son projet ou ses opérations dans un cadre d’ensemble
En bref, comme nous le disons souvent à nos clients :
🎯L’espoir n’est pas une stratégie : bâtir et consolider l’acceptabilité, c’est avant tout se préparer avec diligence et humilité.
Merci à notre collègue Sophie-Anne Legendre d’y avoir représenté Transfert Environnement et Société, et merci chaleureux à 3R MCDQ pour l’invitation!
#AcceptabilitéSociale, #RSE, #Dialogue
Crédit photo: Catherine Guay (Merci!)
« 𝐄𝐭𝐮𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐚𝐥𝐞𝐬 : 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐧 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥𝐬 𝐝’𝐢𝐧𝐟𝐥𝐮𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞́𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐚 𝐫𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝’𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 ? »
[Conférence Audirep exceptionnelle au Printemps des études - Jeudi 26 septembre 10h45]
#Harcèlement des jeunes, #arrêts de travail : La Caisse d’Epargne et le Groupe VYV s’engagent dans un #marketing#citoyen en décryptant la société d’aujourd’hui pour contribuer à son évolution. Audirep accompagne ces nouveaux défis avec des #études#sociétales sur-mesure mobilisant des méthodologies exploratoires et adaptatives.
🎤 Avec les interventions d’experts Audirep :
Sandrine Ziza, Directrice de Département Banque-Finance-Assurance.
Anne-Sophie CREYSSEL, Directrice de clientèle Banque-Finance-Assurance.
🎤 Et les témoignages de nos clients :
Laurent Gaudry, Chef de projets études clients de Groupe BPCE : étude avec l’Association e-Enfance / 3018 sur le harcèlement.
Gaëlle Viette, Responsable Promotion de la Prévoyance de Groupe VYV : étude sur les arrêts de travail longue durée.
🔗 Inscriptions : https://lnkd.in/eBBMEKxc
📅 Programme : https://lnkd.in/etxkajhE
💡 Chez Audirep, nous avons toujours trouvé beaucoup de sens à mettre notre expertise au service de #problématiques#sociales et #citoyennes.
De plus en plus de nos clients s’engagent en tant qu’observateurs des changements de la société et acteurs de ces évolutions. Qu’il s’agisse de la jeunesse, des dépendances, du travail, du logement, du harcèlement, des aidants, de l’inclusion, du sport-santé ou du handicap… Quel #impact#citoyen les entreprises peuvent-elles apporter ? Quelle résonnance avec leur raison d’être et les attentes de leurs clients et collaborateurs ?
Les études que nous construisons avec nos clients sont nécessairement sur-mesure et #adaptatives, en suivant des méthodologies itératives et en impliquant les équipes internes.
➡ Leurs résultats ont un même objectif : générer des prises de consciences et des avancées sociétales.
Retrouvez-nous nombreux sur le Printemps des Études !
🚀 Découvrez notre rapport d’activité 2023 👉bit.ly/3Vx3f3A
📢 A l'occasion de la présentation du rapport moral à notre Assemblée Générale, notre président, Jean Vincent PIQUEREZ, s'est également exprimé sur l'actualité de ces derniers jours :
“Depuis ce rapport moral écrit il y a quelques semaines certains évènements politiques se sont produits, tout d’abord au niveau européen, mais surtout au niveau français avec des une dissolution de l’Assemblée nationale et des élections devant avoir lieu prochainement.
Il ne m’appartient pas d’engager l’URIOPSS dans un combat politique, au sens politico-politicien, de soutenir tel ou tel candidat, ou tel ou tel courant politique. Chacun en son âme et conscience, a son libre arbitre et sa propre positionnement politique.
Le Média Social a publié il y a deux jours une interview de Daniel Goldberg président de l’Uniopss, dans laquelle celui-ci met notamment en avant, face à cette crise politique, les valeurs portées par notre réseau.
Je crois qu’effectivement l’enjeu est là.
Nous sommes attachés à nos valeurs, nous sommes attachés à nos missions, nous sommes attachés à une vision sociétale où la fraternité et l’humanité priment, où l’inclusion, est la règle, j’évoque là la vraie inclusion, celle où la société a la responsabilité et la charge de s’adapter pour que la personne concernée puisse trouver toute sa place.
Utopie ? un emblématique président d’une association régionale avec lequel je partageais justement certaines valeurs, aimait citer Théodore MONOD qui disait : L’Utopie ce n’est pas l’irréalisable mais l’irréalisé.
Alors réalisons, ne renonçons pas.
- Notre préoccupation, c’est la personne, c’est l’accompagnement de la personne, ce sont les professionnels qui accompagnent la personne, ce sont les aidants qui entourent la personne.
- Notre préoccupation, c’est la lutte contre les vulnérabilités, la lutte contre les précarités, contre toutes les exclusions.
C’est ça l’URIOPSS, mais l’URIOPSS seule ça ne sera peut-être pas suffisant.
Nous avons besoin bien sûr de tous nos adhérents, de leur engagement et de leur soutien.
Nous avons besoin aussi dans le secteur associatif et plus particulièrement dans le secteur des solidarités, d’être ensemble, de faire bloc, de parler d’une même voix.
En tant que corps intermédiaires nous avons été négligés, maltraités, contournés, mais nous sommes toujours là !
C’est cette force que nous devons mobiliser, et au-delà des mots, des slogans, des postures, ce sont nos actes et cette volonté de travailler ensemble qui nous fera vaincre les adversités quel qu’elles soient.”
L’exception françaises montre ici que lorsque les attentes sont beaucoup trop importantes, il ne peut y avoir que déception et frustration⚒️
Nous avons construit en France une société où l’Etat est censé apporter toutes les solutions. Nous avons cette idée qu’il existe une soi-disant "main invisible" qui est là pour résoudre tous nos problèmes.
💡Alors que, comme le montre cette étude comparative de l’OCDE sur les systèmes de protection sociale, notre système est de loin le plus généreux, et nous sommes les plus mécontents. On n’aime pas entendre, allez voir ce qui se passe ailleurs … mais le faire est extrêmement salutaire, et remet les choses à leur place.
Malheureusement attendre tout de l’Etat nous déresponsabilise, nous met dans une situation d’attentisme, et fini par saper notre énergie vitale. Nous assistons à une volonté d’affirmation des droits de tous, chacun voulant mettre en avant ses particularités qui n’auraient pas été prises en compte, impulsée par le mouvement woke, sans contrepartie en termes d’obligations. C’est un peu comme si tout nous était du.
😬Aujourd’hui tout le monde a des droits, et plus personne n’a de devoir, ce qui va à l’encontre de la responsabilité collective et individuelle, du faire société ensemble, dont nous devrions tous prendre soin pour que ce système si généreux puisse perdurer.
Dans le contexte que nous vivons, qui pousse à une montée en puissance de la violence, peut-être que la crise que nous traversons de nos institutions est-elle finalement une bonne chose⁉️Elle peut permettre de remettre nos attentes au bon niveau et nous faire prendre conscience finalement, de la chance que nous avons. Car nous sommes tous capables de faire beaucoup avec peu😊
🔎 𝗥𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 CFE-CGC NOUVELLE AQUITAINE
Un grand merci à Jamel Hamdaoui, président de l’Union Régionale CFE-CGC, de nous avoir invité à participer à ces échanges inspirants sur des sujets d'actualité essentiels pour le dialogue social.
📍 𝗗𝗲𝘂𝘅 𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗻𝗼𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀 :
👥 Delphine VEGAS, consultante senior en diagnostic social chez Sextant Expertise, est intervenue sur le thème "𝗚𝗲𝗻𝗭 𝘃𝘀 𝗕𝗼𝗼𝗺𝗲𝗿", en compagnie de Stewart Chau (directeur d’études chez Verian) et Farah Hamdaoui (étudiante en droit à l’Université de Bordeaux). Delphine a souligné que chaque génération présente des différences uniques, même au sein de la GenZ, souvent influencées par leur parcours personnel. L’important : éviter les stéréotypes et privilégier le dialogue, comme l’a également exprimé Farah : "𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑡𝑒𝑟."
🤖 Maud Jouve-Guérin, consultante senior en qualité de vie et conditions de travail, a apporté son expertise lors de la table ronde sur "𝗟’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗹𝗹𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝗿𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 : 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗼𝘂 𝗼𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗶𝘁𝗲́", aux côtés de Pascal Fabre (expert IA et transition économique à la CFE-CGC) et François-Xavier Blanquet (directeur Data chez Malakoff-Humanis). Maud a mis en avant la nécessité d’accompagner l’intégration de l’IA en entreprise avec une méthodologie claire et pédagogique, pour trouver l'équilibre entre gains de productivité et appréhensions des salariés.
👉 Chez Sextant Expertise, nous accompagnons les CSE et les représentants syndicaux dans le dialogue social et la transformation des entreprises, pour un monde du travail plus inclusif et innovant. Découvrez nos champs d’actions et bénéficiez de l’expertise de nos consultants pour anticiper les mutations du travail.: https://lnkd.in/eiH7r2UF#DialogueSocial#GenZ#IntelligenceArtificielle#CSECFE#SextantExpertise#QualitéDeVieAuTravail#IAEnEntreprise
En quête de bien-être !
Cette déconnexion entre la réalité physico-socio-économique de la réalité des gens et le propos du politique aux réponses hasardeuses, partisanes et clivantes, par manque d'acteurs compétents à la hauteur des enjeux systémiques, entraine un mal-être grandissant dans nos sociétés.
Beaucoup semblent perdus dans ce labyrinthe et l'acte citoyen du vote devient pénible là où il devrait être porteur d'espoir.
Il faudrait recalibrer la configuration de ce qui fait une socio économie active et consciente qui prend en compte ces réalités.
Un travail de R&D profond sur l'ensemble des dimensions qui font l'état et qui revient sur ses obligations. Ce R&D pouvant s'appuyer sur les 17 ODD de l'ONU ou les 7 piliers de la RSE comme grille de lecture des thématiques à aborder.
Et aider l'ensemble des partis à se mettre autour de la table pour en tirer des lignes de forces qui réenchantent la société, dans une approche de coopération des couches de la pyramide sociale où chacun compte.
Aider les acteurs politiques qui, il faut le souligner, osent et se mouillent malgré tout pour lancer des actions sociétales en prenant pas mal de risque personnels pour certains.
https://lnkd.in/efgfj2_G
C'est évident : le premier sentiment, c'est celui du soulagement. Mais il est de courte durée. À peine la fatigue retombée qu'une autre nécessité s'impose : ne surtout pas laisser retomber l'urgence.
Cette fois, on est passé à un cheveu. Et nous avons tout donné pour cela, pendant des semaines : comprendre, décortiquer, convaincre. Des milliers de personnes ont participé à leur manière à l'intensité d'une campagne, avec un sentiment de gravité et de responsabilité inédit. Nous avons gagné des semaines, peut-être des années, et fait reculer l’extrême-droite. Nous avons arraché un répit.
Mais nous ne pourrons pas nous contenter de freiner une progression qui pourrait apparaître inéluctable : l'urgence est de renverser la tendance avec laquelle, depuis des années, le rejet gagne inexorablement du terrain.
Face à la montée de la haine et du rejet, nous avons toutes et tous une responsabilité, et nous ne pouvons pas nous en exonérer. Alors que nous nous sommes levés dans les dernières semaines, il est urgent de ne pas nous rasseoir, de ne pas retourner à notre routine, de ne pas faire notre travail comme si de rien n'était. Il est de notre responsabilité d'agir et d'agir différemment.
Le travail des dernières semaines doit être le point de départ d'un indispensable travail de reconstruction. Et dans les services publics, chacune et chacun sait sur quoi il devra reposer :
➡️ Une rupture avec la baisse des moyens comme horizon politique, pour lui substituer une politique fondée sur la réponse aux besoins.
➡️ Une prise de conscience pleine et collective de la responsabilité qui est la nôtre en tant qu’agents publics, et qui dépasse largement l'enjeu de l'obéissance à la hiérarchie.
➡️ Une sortie de la technicisation des débats pour replacer le champ des politiques publiques entre les mains de la démocratie.
Ce que chacun avait imaginé faire dans le cas d'un gouvernement d'extrême-droite, il nous faut l'appliquer dès aujourd'hui : nous battre lorsqu'une politique proposée ne va pas dans le sens de l'intérêt général, qu'elle sépare les gens plutôt qu'elle les rassemble, qu'elle fracture socialement ou territorialement. Proposer des alternatives. Nous organiser collectivement pour les faire prévaloir.
Il y a trois ans, nous avons monté le Collectif Nos Services Publics pour reprendre la parole de l'intérieur sur le sens de nos missions. Pour construire une vision alternative, basée sur les besoins de la population, en faisant confiance aux agents et en construisant des ponts avec la société civile, les syndicats, les citoyen.ne.s. Ce collectif rassemble désormais plusieurs milliers de personnes sur le territoire. Et nous savons que, demain, nous devrons amplifier ce travail : nous l'avons déjà commencé.
Alors oui, si nous le pouvons, laissons retomber l'angoisse, la peur, le stress. Mais ne laissons pas retomber cette urgence qui nous pousse à l'action.
Rejoignez-nous : https://lnkd.in/ebykfn6A
(Dessin d'Etienne Davodeau)
Co-fondatrice de Gestia Solidaire | Top35 leaders positifs | MBA économie urbaine | Investisseurs et propriétaires 🏠 je vous accompagne à investir et gérer vos biens en alliant rentabilité et sens
Mon cœur est a gauche 🌹 Mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui.
J’ai longtemps été très en colère 😡 et déçue de voir l’intérêt individuel primer sur l’intérêt collectif.
Je pense que j’atteins l’âge de raison où ma colère s’atténue pour essayer d’en comprendre les causes.
Mon cheminement de pensées m'amène à réfléchir à la raison : ❓ ❔ Pourquoi la préférence est-elle à la défense des intérêts individuels en période de crise sociale et environnementale qui entraîne la montée des extrêmes ❓ ❔
❌ Car si on ne pense qu’à soi, on détruit la notion même de « société ».
❌ Et on renforce les crises.
❌ Pourtant nous sommes tous coupables de ces crises et stigmatiser un responsable ne changera rien.
☀️ Aujourd’hui, on a besoin de faire changer les choses pour faire primer le bien commun. Et que chacun soit acteur de la société qu’il souhaite pour lui et ses proches.
En 16 ans de majorité politique, j’ai vécu la polarisation des voix et la montée des extrêmes.
Et j’ai compris que chacun vote pour ses raisons et rien ne sert d’être moralisateur ‼️‼️
C’est contre productif, la preuve en 30 ans on est passé d’un score de 3-5% à plus de 30% pour le RN .
Il faut plus que jamais rassembler autour de valeurs communes et donner envie de participer à la construction d’une société unie qui considère les besoins hétérogènes de chacun. Notamment en développant plus de principes d'#équité.
Et le plus important à mes yeux 👀 c’est l’#information et la compréhension pour chacun des enjeux derrière son vote 🗳️. Mais aussi de l'impact de ses propres actions au quotidien sur la société.
Alors dans mon cas, je partage le décryptage du programme logement de chaque partie ou coalition connu à ce jour pour les législatives 🔽🔽 ( lien en commentaire)
On a besoin que le logement soit un axe fort 💪 de la politique publique avec des vraies réponses à la privation de ce droit #fondamental pour des millions de citoyens : jeunes 👧🏾 🧒🏼 , étudiants, familles monoparentales, actifs sans CDI…
➡ Allons donc nous informer avant de voter en notre âme et conscience les 30/06 et 09/07 prochains 🗳
#votes#législatives#logement
La façon intelligente de garder les gens passifs et obéissants est de limiter strictement le spectre des opinions acceptables, mais de permettre un débat très animé dans ce spectre. Cela donne aux gens l'impression qu'il y a une pensée libre, alors que tout le temps les présuppositions du système sont renforcées par les limites imposées à la portée du débat.
Comment fonctionne le monde de Noam Chomsky
Nous sommes ravi-es de vous avoir accompagné-es sur ce sujet de l'évaluation d'impact !