Soutien à Poulain — Lettre ouverte à la famille Decaux, actionnaire principal d’Eurazeo Communiqué de Marc Gricourt, maire de Blois et 1er vice-président de la Région Centre–Val-de-Loire, Christophe Degruelle, président de la communauté d’agglomération de Blois–Agglopolys, et François Bonneau, président de la Région Centre–Val-de-Loire. « Madame, Monsieur, C’est avec consternation et colère que nous avons appris la décision de Carambar & Co, filiale d’Eurazeo dont vous êtes les actionnaires de référence, de fermer définitivement l’usine Poulain de Villebarou d’ici fin 2024. Cette annonce est un véritable séisme industriel, patrimonial et social pour notre territoire. Un pan du patrimoine français menacé Fondée en 1848 à Blois, Poulain est une véritable institution nationale. Ses célèbres chocolats ont bercé l’enfance de générations de Français. Fermer son berceau historique reviendrait à brader près de 180 ans d’un patrimoine industriel cher au coeur de nos concitoyens. En 2017, lorsqu’Eurazeo a racheté Poulain à Mondelez, le fonds d’investissement s’était engagé à revaloriser ces marques iconiques françaises délaissées par le géant américain. Carambar & Co avait même fait le « pari du patriotisme économique » en promettant de relocaliser la production en France. La fermeture programmée de Villebarou sonne donc comme une promesse trahie. Un drame social et économique Au-delà du choc patrimonial, c’est un véritable drame social qui se profile avec 109 emplois industriels supprimés. Comment justifier socialement cette décision alors que le groupe Carambar & Co affiche d’excellents résultats financiers ? Les impacts économiques seraient également importants pour notre bassin d’emplois, avec des répercussions en cascade sur tout l’écosystème de sous-traitants et fournisseurs locaux. Un combat pour sauver notre patrimoine Nous ne pouvons nous résoudre à cette décision de fermeture qui priverait notre territoire d’un fleuron industriel, détruirait des emplois et braderait un patrimoine connu de tous les Français. C’est pourquoi nous menons un combat sans relâche pour la préservation de ce site historique. Une pétition lancée par des citoyens mobilisés a déjà recueilli plus de 14 000 signatures. Les élus, les forces vives économiques et la société civile sont pleinement mobilisés pour trouver une solution pérenne. Nous vous exhortons solennellement à tout mettre en oeuvre pour préserver ce fleuron industriel français à Blois. La famille Decaux, à la tête du leader mondial de la communication extérieure JCDecaux, connaît la valeur d’un ancrage territorial fort et du nécessaire partenariat avec les élus locaux dans un climat de confiance. Lire la suite : https://lnkd.in/eEN7_mPc Eurazeo JCDecaux Carambar & Co Chocolat Poulain
Post de Agglopolys
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La Minute Riches : La bonne tambouille des millionnaires de Grand Frais En 2021, six fonds d'investissement se disputaient la chaine d'épicerie Grand Frais . Ils étaient prêts à mettre jusqu'à 3,2 milliards d'euros (16 fois l'Ebitda!). L'affaire ne s'est pas faite, car Ardian en espérait davantage. Le fonds possédait déjà 60% de sa composante principale, Prosol, acheté en 2017 pour 1,5 milliard d'euros (https://lnkd.in/e5YmRY4v)... Cette fois, le site d'information l'Informé nous apprend qu'une autre des trois composantes du groupe, les boucheries GROUPE DESPI, dirigées par Laurent et David Despinasse, est à vendre (https://lnkd.in/eUdt_b32). C'est l'occasion de revenir sur ce groupe... complexe Grand frais, distributeur d'épicerie, de boucherie et de légumes frais (CA : env 2,7 milliards d'euros pour 350 magasins), connait une croissance quasi ininterrompue depuis sa naissance, il y a trente ans. Mais l'enseigne, une des trois préférées des Français, souffre d'une gouvernance byzantine: accrochez-vous! Grand Frais a été créée par #Denis_Dumont (182ème fortune de France, avec 700 M€ gérés depuis la Suisse). Elle est centrée autour de Prosol, en charge de la crèmerie, de la poissonnerie, des fruits et des légumes. Mais Prosol s'est adjoint deux partenaires. Les #Bahadourian (groupe #Euro_Ethnic_Foods, 104e fortune avec 1,2 Md€, exilé en Suisse, eux aussi) pour l'épicerie. Ces Lyonnais d'origine arménienne ont cédé 60% de leurs parts à PAI Partners plus d'1 Md€, en 2020. Ce fonds est aussi le seul à avoir fait des propositions concrètes, accompagné par un autre fonds, Intermediate Capital Group (ICG), pour reprendre Prosol, l'entité de Denis Dumont, avec une offre à 2,6 Md€. Enfin, il y a les #Despinasse, des bouchers lyonnais (GROUPE DESPI, 200e fortune avec 650 M€), présents dans environ 60 % des Grand Frais. Leurs boucheries réalisent environ 650 M€ de chiffre d'affaires, pour 80 M€ d'Ebitda. Ce qui les valoriserait autour entre 700 et 900 M€... Mais c'est pas fait. Le montage risque d'être compliqué car la structure du groupe est un cauchemar savamment organisé. En créant ce nouveau concept alliant le charme d'une halle de marché et la praticité d'un supermarché, Denis Dumont a aussi monté une belle usine à gaz! Elle fait intervenir son holding Prosol et les sociétés de ses partenaires, EEF et Despi, tout en maintenant distinctes les trois sociétés uniquement liées par un groupement d'intérêt économique (GIE). Pire, chaque magasin Grand Frais créé est lui-même un GIE, issu des filiales des trois groupes. L'organigramme est si complexe que Carrefour et le trio Moez Zouari, Xavier Niel, #MatthieuPigasse (les syndicats, #CGT en tête, aussi, d'ailleurs) s'y sont cassé les dents...
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L'appétit du breton Louis le Duff ne faiblit pas... au point qu'on se demande a quel niveau se situera la fortune de celui qui est aujourd'hui la 45ème fortune française avec un patrimoine estimé à 2,8 milliards d'euros. Son actif ? 100% du Groupe Le Duff, géant de l’agroalimentaire de 19000 salariés, présent dans le monde entier. L'homme ne laisse pas indifférent. Le cheveu plume de corbeau malgré ses 77 ans bien tassés, l'ancien professeur aime régaler ses interlocuteurs de leçons de marketing, à l'aide d'une collection de stylos de couleur qui ne le quittent jamais. Il peut en donner une belle aujourd'hui, avec le rachat du neerlandais Pandriks Bake Off B.V. (CA environ 150 M€), un fabricant de produits de boulangerie « d’inspiration artisanale » avec une marque phare SlooOW pour la cuisson à domicile et une grosse production sous marque de distributeur et à destination des professionnels de l’hôtellerie- restauration. Pendant que les concurrents regardent les ouvertures de ses restaurants (il en compte 1310 a ce jour) sous les enseignes Brioche Dorée, LaMadeleine, Kamps GmbH , Mimi's Cafe et Pizza DelArte, le vibrillonnant breton muscle en secret son pôle industriel Bridor (FRIAL , Cité gourmande...). Il n'en finit pas de grossir : en 2022 déjà, le breton avalait Panidor, au Portugal et Lecoq Cuisine, aux Etats-Unis. Et le groupe, qui dépassait 2,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2023, devrait cette année passer la barre des 3 milliards. Quant à son actionnaire, sa fortune a elle aussi passé la barre des 3 milliards (il était estimé 700 millions Il y a dix ans seulement!). Une valorisation élevée qui tient a son secret (qu'il saura vous expliquer grâce à ses stylos de couleur) : sa capacité à générer un EBITDA (autrement une marge d'exploitation) très forte, qui lui assure une belle indépendance par rapport à ses banques mais aussi la capacité financière d'avaler avec une déconcertante métronomie ses concurrents.
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Eurazeo JCDecaux Eurazeo, propriétaire actuel de Chocolat Poulain s’est engagé à mettre en avant cette marque iconique du savoir-faire Français…. Mais ce fond d’investissement n’a plus l’intention de tenir sa promesse… il compte toujours exploiter la marque mais sous licence, avec des méthodes de production et des matières premières de qualité très inferieure. Le savoir-faire Français ne peut-être fabriqué qu’en France, à Blois, berceau de la marque. La famille DECAUX du groupe JCDecaux est actionnaire majoritaire de Eurazeo. Espérons qu’ils sauront réagir et revenir sur cette décision dictée uniquement par des critères d’optimisation à court terme de la rentabilité … décision digne des fonds d’investissements les plus mortifères… bien que piloté par un actionnaire Français. C’est une erreur stratégique : 109 emplois supprimés à Villebarou (Blois) et une marque dénaturée, vidée de sa substance. Le savoir-faire Français ne peut s’expatrier ! En revanche, le faire savoir de cette décision inique devriendra rapidement viral !
La probable fermeture de Poulain … un énième départ de France pour une marque historique. Si les dirigeants de l’entreprise etaient propriétaires de celles-ci, la marque resterait en France et de nombreux emplois seraient preservés. Les gérants (propriétaires) de PME/PMI sont les meilleurs garants de l’emploi pour nos régions. https://lnkd.in/es3auPF7
"L'usine du célèbre chocolat Poulain est menacée de fermeture" par Marie-Luce Ribot
radiofrance.fr
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Le groupe breton Galapagos, reconnu pour ses marques de biscuits telles que Gavottes, Traou Mad ou Moulin du Pivert, vient d'acquérir l'épicier de luxe Fauchon, propriété de la famille Ducros depuis 2004 à travers Eucelia Investments SA. Cette transaction dont le montant n’a pas été divulgué marque une nouvelle ère pour Fauchon, qui était dirigée par Samy Vischel, depuis 2018 et qui s'est récemment diversifiée dans l'hôtellerie pour surmonter ses défis financiers. Fauchon, fondé par Auguste Fauchon en 1886, avait connu des difficultés financières exacerbées par la pandémie de covid-19, entraînant la fermeture de ses magasins emblématiques de la place de la Madeleine à Paris en 2020. En réponse à ces défis, Fauchon avait mis en place un plan de continuation approuvé par le tribunal de commerce prévoyant le remboursement graduel de cinq millions d'euros de dettes entre 2020 et 2028. Ce plan a porté ses fruits puisque l'entreprise est revenue à la rentabilité en 2023. Sous la direction de Samy Vischel, Fauchon a ouvert une dizaine de nouveaux points de vente à l'international, proposant des produits phares tels que thés, cafés, macarons, foie gras et champagnes. L’entreprise a aussi renforcé sa présence dans les gares et aéroports et a même étendu son empreinte dans l'hôtellerie avec des établissements à Paris et Kyoto, et un projet d'ouverture à Ryad pour 2025. De plus, Fauchon a lancé une école de gastronomie en 2022 à Rouen, en partenariat avec une école de commerce. Le directeur général de Galapagos, Jérome TACQUARD, qui prendra la tête de Fauchon, a exprimé son enthousiasme pour cette acquisition, soulignant qu'elle permettrait au groupe de renforcer sa présence dans l'univers de la haute gastronomie française. Selon Jérôme Tacquard, cette intégration devrait générer de fortes synergies et contribuer au développement international du groupe, qui réalise déjà 20 % de ses ventes à l'étranger. Samy Vischel a noté que cette acquisition était alignée avec les valeurs de Fauchon, qui privilégie l'achat de matières premières de qualité et locales pour sublimer la gastronomie régionale française. La solidité et l'expérience de Galapagos dans la production de produits de haute qualité sont vues comme des atouts majeurs pour le futur de Fauchon. Avec cette acquisition, Galapagos, dont le siège est à Rennes et qui emploie 600 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 125 millions d’euros, consolide sa position dans le secteur de la biscuiterie-chocolaterie tout en élargissant son portefeuille dans le secteur du luxe. Fauchon, de son côté, continue de développer son réseau international avec 85 points de vente dans plus de 15 pays, employant un millier de personnes et générant plus de 100 millions d’euros de ventes.
Le groupe breton Galapagos rachète l’épicier de luxe Fauchon
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Oui l'heure est à la redéfinition des stratégies de production et de commercialisation. A tous les niveaux! Dans ce contexte évolutif, ne pas perdre de vue les obstacles d'ordre juridiques et la nécessité de se faire accompagner. #vignerons #vitivinicole #vinolex
Tout, le troisième opérateur des vins français vous dit tout sur sa nouvelle stratégie pour faire face à la crise actuelle : réorganisation de l’approvisionnement, ambition sur le vin en vrac, stratégie premiers prix, partenariats avec d’autres opérateurs, restructuration des outils en surcapacité, constitution d’un pôle dédié aux vins désalcoolisés, reconquête des vins mousseux, développement sur les vins de Bordeaux… Le point sans langue de bois avec Thierry Blandinières, le directeur général InVivo, le premier groupe coopératif agricole français. Cordier by InVivo SUDVIN Groupe INVIVO Eric Lanxade
Le plan de crise d’InVivo pour la filière vin
vitisphere.com
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Le plan de crise d’InVivo pour la filière vin Tout, le troisième opérateur des vins français vous dit tout sur sa nouvelle stratégie pour faire face à la crise actuelle : réorganisation de l’approvisionnement, ambition sur le vin en vrac, stratégie premiers prix, partenariats avec d’autres opérateurs, restructuration des outils en surcapacité, constitution d’un pôle dédié aux vins désalcoolisés, reconquête des vins mousseux, développement sur les vins de Bordeaux… Le point sans langue de bois avec Thierry Blandinières, le directeur général d’InVivo, le premier groupe coopératif agricole
Tout, le troisième opérateur des vins français vous dit tout sur sa nouvelle stratégie pour faire face à la crise actuelle : réorganisation de l’approvisionnement, ambition sur le vin en vrac, stratégie premiers prix, partenariats avec d’autres opérateurs, restructuration des outils en surcapacité, constitution d’un pôle dédié aux vins désalcoolisés, reconquête des vins mousseux, développement sur les vins de Bordeaux… Le point sans langue de bois avec Thierry Blandinières, le directeur général InVivo, le premier groupe coopératif agricole français. Cordier by InVivo SUDVIN Groupe INVIVO Eric Lanxade
Le plan de crise d’InVivo pour la filière vin
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J’aide les PMEs à développer leur chiffre d’affaires grâce à une stratégie marketing valorisante, efficace et astucieuse I Consultante Marketing I 16 ans d’expérience en marketing.
J’ai accompagné l’ancienne Coopérative Laitière de la Sèvre dans le repositionnement de la marque Sèvre & Belle. À l’époque, j’étais la responsable marketing et RSE de l’entreprise. Il s’agissait d’une coopérative centenaire fabriquant des produits de grande qualité, notamment les fromages Sèvre & Belle. Le défi était très intéressant : retravailler la marque afin de lui donner un positionnement plus fort, affirmé et cohérent. Pour bien mener le projet, plusieurs services ont été intégrés dans un groupe de travail. Ensemble, nous avons listé et hiérarchisé toutes les étapes nécessaires pour atteindre les objectifs spécifiques fixés avec la direction. Après presque un an de travail (+ le bonus COVID, en plein déroulement de la mission), nous avons lancé des produits repositionnés, garants du savoir-faire et de la qualité de la coopérative. Les principaux résultats ont été : 👉🏼 L’amélioration de l’image de la marque auprès des consommateurs 👉🏼 De nombreux retours positifs de la part des acheteurs professionnels 👉🏼 Une contribution effective à l’évolution du chiffre d’affaires envisagé Au-delà d’une refonte des bases du marketing, les clés de la réussite de ce projet ont été : 🏆 L’engagement actif de toutes les personnes impliquées dans le projet (un grand merci à tous mes collègues de travail !) 🏆 Un véritable échange et une écoute active entre tous les participants 🏆 Des objectifs clairs, réalisables, mesurables et temporels Les projets menés en mode collaboratif sont, selon moi, les plus intéressants et agréables à réaliser, indépendamment de l’ampleur du défi ! Si vous souhaitez également repositionner vos produits pour attirer davantage les clients professionnels et les consommateurs, prenez un rendez-vous gratuit sur mon agenda (lien en commentaire 👇🏼). Je serai ravie de vous écouter !
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𝗘𝗧𝗜 𝗡𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲, 𝗹𝘂𝗺𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝘀𝘂𝗿 : Marc Siari, CEO de la COMPAGNIE DES PATISSIERS 𝗣𝗮𝗿𝗹𝗲𝘇-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 : Originaire de Marseille, j'ai rejoint l'entreprise familiale en 1992 après des études de commerce puis j'en ai pris la direction en 1995 avec 25 salariés; À l'époque nous étions importateurs de produits alimentaires en conserve. En 1997, je co-fonde la structure KRUGER FRANCE avec le groupe allemand Krüger et nous développons ensemble une gamme d'épicerie sucrée. 12 ans plus tard, très attiré par le milieu industriel, j'échange avec un Meilleur Ouvrier de France qui m'évoque le potentiel des activités de pâtisserie, soulignant le fait que les seules limites dans ce secteur sont la créativité. Les barrières à l'entrée n'étant pas trop élevées, le marché national et international étant favorable, je saisis l'opportunité de racheter une usine près d'Aix en Provence que nous avons ensuite spécialisée sur la fabrication de tartes à destination de grands comptes. 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗮𝗶𝗻𝘀𝗶 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗮̂𝘁𝗶𝘀𝘀𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗻𝗲́𝗲 ? Exactement ! Nous avons dès lors dû développer de nouvelles gammes de produits, trouver les fonds nécessaires à investir, attirer des talents... Car seul, je ne serais pas allé bien loin ! Et c'est ainsi qu'en 2018, nous avons acquis un 2ème site de production, marquant notre arrivée en Région Normandie, à Heudebouville dans l'Eure. Accueillant 120 salariés, ce site est spécialisé dans la fabrication de flans crus et cuits et de moelleux. Cela nous a permis de nous ouvrir à la Grande-Distribution. Enfin, nous continuons notre développement en 2024 puisque nous venons de créer le groupe industriel MAS avec l'acquisition en ce début d'année de Maître Pierre, entreprise créée il y a 35 ans en Lorraine, spécialiste de tartes fines, tartes flambées, flammekueches et quiches. Cette nouvelle acquisition nous ouvre à la tarterie salée surgelée et va accélérer notre croissance en France ainsi qu’à l’international. 𝗘𝗻 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 (incluant Maître Pierre) : 🔹 60 millions d'euros de CA attendus en 2024 🔹 environ 300 salariés 🔹 Un catalogue de 500 références 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗿𝗲𝗷𝗼𝗶𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗖𝗹𝘂𝗯 𝗘𝗧𝗜 𝗡𝗼𝗿𝗺𝗮𝗻𝗱𝗶𝗲 ? Devenant Entreprise de Taille Intermédiaire avec la création du groupe MAS, j'ai souhaité rejoindre le Club ETI Normandie car la région m'a toujours soutenu dans nos projets de développement. Je crois beaucoup en l'intelligence collective et en l'intérêt de partager avec ses pairs. Le fait que le club traite de problématiques communes telles que la RSE, l'attractivité ou encore le "produire en France" a fini de me convaincre. De plus, je suis ravi que ce ne soit pas un club de dirigeants et que mes collaborateurs puissent y participer, je pense notamment à Olivier Pommiès, Directeur de notre site normand, Nicolas MERIENNE, Directeur des opérations ainsi qu'à Géraldine DUMEURGER, Directrice RSE, Marketing et R&D.
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#DeNosValeursàNosActions ✊ Aujourd'hui, nous vous dévoilons notre définition de la Qualité et revenons sur un récent succès qui illustre parfaitement notre engagement en la matière. 🥇 La qualité, une priorité pour notre Coopérative U ! Nous sommes fiers d'avoir vu 3 références de notre Cidre Marque U récompensé au Concours Général Agricole, une preuve concrète de notre engagement en faveur de la qualité. 🛍️ Notre Marque U est le fruit d'une exigence de tous les instants. Pour offrir à nos clients des produits de qualité supérieure, nous avons mis en place une sélection rigoureuse de produits respectant les normes environnementales et sociales en vigueur. 🤝 Quand local rime avec qualité ! Nous sommes convaincus que la qualité et la traçabilité de nos produits passent par un engagement fort en faveur du local et de l'environnement. Des convictions qui s'avèrent aujourd'hui payantes. 🤝 Oui ! En travaillant en étroite collaboration avec nos producteurs locaux, nous avons construit une relation de confiance solide, qui nous permet de garantir une qualité optimale à nos clients. Pour nous, la qualité passe par le local, c'est pourquoi notre coopérative U est le modèle idéal pour créer du lien dans les territoires.En proposant des produits de qualité sous notre Marque U, nous soutenons l'économie locale et les producteurs locaux. C'est cela être #CommerçantsAutrement.
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🚨 𝐒𝐚𝐮𝐩𝐢𝐪𝐮𝐞𝐭 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞 𝐬𝐚 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐮𝐬𝐢𝐧𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 🇫🇷 🚨 👉 Le groupe italien 🇮🇹 Bolton Food, propriétaire de SAUPIQUET a annoncé la 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 🇫🇷 situé à Quimper qui était dédié à la production de conserves à base de maquereaux et de sardines 🐟. Crée par Arsène Saupiquet, arrivé du Cantal à Nantes, en 1877 la marque « Saupiquet » était la 𝐫𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐨𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐫𝐯𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐫𝐝𝐢𝐧𝐞𝐬 🐟. Elle va alors connaître un 𝐞𝐬𝐬𝐨𝐫 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 jusque dans les années 2000 devenant un 𝐟𝐥𝐞𝐮𝐫𝐨𝐧 💪 𝐝𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 🇫🇷. Tombée dans les mains des italiens de Bolton Food, Saupiquet n'a eut de cesse de 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐬𝐞𝐬 𝐬𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐮𝐧𝐬 𝐝𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 comme avec l’usine de Saint-Gilles-Croix-de-Vie en 2001 😢, l’usine nantaise et du siège social en 2005 😢, l’usine de Saint-Avé, près de Vannes (Morbihan) en 2010 😢. Désormais, c'est celle de Quimper de subir le même sort à la fin de l'année 2024 laissant 𝟏𝟓𝟓 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐲𝐞́𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐫𝐫𝐞𝐚𝐮𝐱, les derniers français 🇫🇷 de la marque 😢 . 𝐄𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐭𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐨𝐫𝐞 🇫🇷 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐬𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐭𝐨𝐭𝐚𝐥 🤐. 𝐎𝐧 𝐧'𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐩𝐢𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐢𝐧𝐟𝐞𝐫𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐢𝐬𝐬𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫 𝐨𝐮̀ 𝐥'𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧 𝐧'𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐚 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 😤. #chomage #fermeture #usine #abandon #patrimoine #bretagne #breizh #désindustrialisation #colère #social #quimper #finistère
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