🌊 Saviez-vous que les habitats marins peuvent stocker dix fois plus de carbone par hectare que les écosystèmes terrestres ? 🗺️ Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres du rôle vital que jouent les #océans dans la stabilité de notre climat, ainsi que dans la préservation de notre monde. ⚠️ Mais le changement climatique et l'augmentation de la #pollution plastique posent des risques significatifs. Les processus de production dans les secteurs de l'énergie, de l'industrie et des biens de consommation ont les effets les plus néfastes sur les écosystèmes des océans, créant un cercle vicieux qui fait peser des risques importants sur la production industrielle elle-même. Dans ce contexte, le financement des efforts de conservation des océans est essentiel. Même si pour l'instant, le financement reste une goutte d'eau dans l'océan : le déficit de financement annuel est estimé à 150 milliards de dollars. Comment attirer davantage d'investissements dans la conservation des océans ? Eléments de réponse dans la nouvelle étude de nos experts ci-dessous 👇 #GreenInvestment #Sustainability
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🌊 Saviez-vous que les habitats marins peuvent stocker dix fois plus de carbone par hectare que les écosystèmes terrestres ? 🗺️ Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres du rôle vital que jouent les #océans dans la stabilité de notre climat, ainsi que dans la préservation de notre monde. ⚠️ Mais le changement climatique et l'augmentation de la #pollution plastique posent des risques significatifs. Les processus de production dans les secteurs de l'énergie, de l'industrie et des biens de consommation ont les effets les plus néfastes sur les écosystèmes des océans, créant un cercle vicieux qui fait peser des risques importants sur la production industrielle elle-même. Dans ce contexte, le financement des efforts de conservation des océans est essentiel. Même si pour l'instant, le financement reste une goutte d'eau dans l'océan : le déficit de financement annuel est estimé à 150 milliards de dollars. Comment attirer davantage d'investissements dans la conservation des océans ? Eléments de réponse dans la nouvelle étude de nos experts ci-dessous 👇 #GreenInvestment #Sustainability
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Agroforestier Sujets de prédictions : Agriculture durable, Environnement, Biodiversité, changement climatique, ODDs
En moyenne, la durée de vie d'un plastique avoisine 450 ans. La pollution plastique est la plus grande menace qui pèse sur la biodiversité marine. Le rapport d'évaluation mondiale de l'IPBES fait état de 693 espèces marine, 86% des tortues de mer, 44% des oiseaux marins et 43% des mammifères marins en danger à cause de la pollution plastique. Agir pour préserver la diversité biologique, pour un meilleur avenir. #IPBES #ÉvaluationMondiale IPBES Planète Urgence Ecolotrip Fonds Vert Climat Climate Chance ONU Climat
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⚠️ La "déforestation sous-marine" génère quasiment autant de CO2 que les émissions annuelles de la France ! ⚠️ 📣 A l’heure où l’exploration des fonds marins menace de préfigurer de leur exploitation, des chercheurs alertent sur 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲́𝗾𝘂𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘃𝗮𝘀𝘁𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗳𝗼𝗿𝗲𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗶𝗻𝗲 via une nouvelle étude déposée le 18 janvier dernier. ⛴️ Elle est aujourd’hui principalement causée par le chalutage de fond, qui détruit les forêts animales (coraux et éponges) et 𝘃𝗲́𝗴𝗲́𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀 (herbiers marins), et remobilise le carbone capté par la vie pendant des millénaires dans les sédiments. A l'échelle mondiale, 𝟯𝟳𝟬 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗖𝗢𝟮 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗿𝗲𝗻𝘃𝗼𝘆𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹'𝗮𝘁𝗺𝗼𝘀𝗽𝗵𝗲̀𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲, comparable aux émissions annuelles d'un pays comme la France (403,8 millions de tonnes en 2022). 🌱 𝗟𝗲 𝗳𝗼𝗻𝗱 𝗱𝗲 𝗹'𝗼𝗰𝗲́𝗮𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗿𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗯𝗼𝗻𝗲 𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲, préserver ces écosystèmes riches en carbone est essentiel pour lutter contre le réchauffement climatique. Malheureusement, abîmer faune et flore marines appauvrit la biodiversité, mobilise du carbone millénaire, et contribue ainsi au changement climatique. ♨️ Il est donc temps d'agir! Ensemble, œuvrons pour un avenir plus durable🌍💙 🔗 𝘙𝘦𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘻 𝘭’𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 https://lnkd.in/gcJ8DjC9 #ChalutageDeFonds #Climat #SaveOcean #SauvonsNotrePlanète
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Enseignant en journalisme à l'Université d'Antananarivo et à l'Université d'Antsiranana - Journaliste et Rédacteur en chef
Journée de la Terre : le capitalisme responsable de la crise climatique et environnementale Le greenwashing et les « petits gestes » ne doivent pas faire oublier l’essentiel : l’urgence d’aller vers une autre civilisation Hier 22 avril avait lieu la Journée de la Terre. Ce fut l’occasion d’initiatives louables de ramassage de déchets et autres petits gestes censés sauver la Planète. Mais le problème de fond ne doit pas être oublié. La crise ne découle pas de l’accumulation de mauvais « petits gestes », elle vient de décisions politiques fondamentales ayant pour but de maximiser les profits d’une classe sociale. La crise climatique et environnementale ne pourra être réglée qu’avec le dépassement du capitalisme. C’est en effet la course au profit qui est responsable de la pollution de l’atmosphère et de la destruction de l’environnement. Elle pousse des millions de personnes à se réfugier dans d’autres pays et elle provoque d’importants déséquilibres dans la biodiversité. https://lnkd.in/gy2CscZm
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Signature d’un traité international sur la pollution plastique, diminution de la déforestation en Amazonie, résorption du trou dans la couche d’ozone… L’année 2023 a été marquée par plusieurs bonnes nouvelles pour le climat…. Ça en prend des bonnes nouvelles, en espérant en avoir encore plus en 2024. Pour 2024, je NOUS souhaite à toutes et à tous d’enfin NOUS réveiller collectivement afin d’arrêter de s’entredéchirer avec toutes ces guerres et de collaborer toutes et tous ensemble à guérir notre planète de cette maladie climatique terrible, à régler la faim, l’iniquité et la souffrance qui affligent encore une grande part de l’humanité, à mieux respecter les animaux et plantes qui coexistent avec nous, et ainsi faire émerger un meilleur futur pour NOUS toutes et tous et pour tout l’écosystème terrestre et sa biodiversité ! https://lnkd.in/eAr9fEyH
Environnement : dix bonnes nouvelles pour la planète en 2023
la-croix.com
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Sur le modèle du très contesté marché carbone censé lutter contre l’emballement climatique, le concept de « crédits biodiversité » rémunérant des initiatives de préservation de la nature fait son chemin. Entre accaparement des terres et risques de greenwashing, les modalités de cette nouvelle « bioéconomie » – défendue notamment par Emmanuel Macron – alimentent la controverse. A-t-elle réellement de quoi freiner l’effondrement du vivant ?
Faut-il mettre un prix sur la biodiversité pour mieux la protéger ?
usbeketrica.com
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Le 5 juin, Journée Mondiale de l’Environnement 🍃 Cette année, la campagne se concentre sur la restauration des terres, la désertisation et la résistance à la sécheresse sous le slogan « Nos terres. Notre avenir. Nous sommes la #GénérationRestauration ». 👈 Il est vrai que nous ne pouvons pas remonter le temps, mais il est possible de faire pousser des forêts, faire revivre les sources d’eau et faire revenir les sols. ➡ Mais alors, que signifie “agir pour l’environnement”, pour le Groupe SOLICE ? ✔ Chez Solice, nous agissons chaque jour pour protéger notre environnement, en limitant notre empreinte carbone et les conséquences écologiques de nos activités, notamment à travers INPAL Energie (Groupe SOLICE), qui s’est récemment engagé dans une démarche de compensation de ses émissions de CO2 liées au transport de ses déchets, en intégrant le programme eCO2, soutenant des projets forestiers ou de boisement en France. ✔ Nous soutenons actuellement le projet labellisé Bas-Carbone auprès du Ministère de la Transition Ecologique : « Le bois de Tilleul », situé dans le département des Ardennes, en région Grand Est ; un projet qui consiste à boiser des parcelles en friche et des pâturages, sur une surface de plusieurs hectares. 🌳 🤝 Nous nous efforçons tous les jours de progresser encore dans notre impact environnemental et nous cultivons une sensibilité forte sur ces enjeux si essentiels. L’environnement est au cœur de nos métiers dans les réseaux de chaleur, respectons-le et préservons-le. 💚 #schroll #reforestation #GrandEst #chaleururbaine #bascarbone #groupesolice #inpal
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🌲 Aujourd'hui, à l'occasion de la journée internationale des forêts, nous souhaitons prendre un moment pour apprécier le rôle vital que jouent les forêts dans le maintien de la vie sur notre planète. 🤝 Chez OTC FLOW, nous reconnaissons l'immense valeur des forêts et nous nous engageons à soutenir les initiatives qui favorisent leur conservation et leur gestion durable. À travers les projets REDD+ (Reducing Emissions from Deforestation and Forest Degradation) et A/R (Afforestation/Reforestation), notre bureau carbone vous offre la possibilité de contribuer directement à la préservation des forêts tout en réduisant vos émissions nettes. 🌍 En cette Journée internationale des forêts, engageons-nous à protéger et restaurer nos forêts pour les générations futures. Ensemble, nous pouvons faire la différence dans la sauvegarde de l'une des ressources les plus précieuses de notre planète. Sources : 🔗 https://lnkd.in/etUjK7-J 🔗 https://lnkd.in/eDqhfva #JourneeInternationaledesForets #ConservationdesForets #OTCFLOW
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#JournéeEnvironnement [JOURNEE DE L'ENVIRONNEMENT🌍] C'est la journée mondiale de l'environnement, l'occasion de se rappeler ensemble tout le travail qu'il reste à accomplir pour en prendre soin : 👉 40 millions de tonnes de plastiques jetés chaque années dans la nature 🧴 👉 25 % de la population mondiale est désormais exposée à DES VAGUES MEURTRIÈRES de chaleur urbaine 🌊 👉 58% de disparition des vertébrés terrestres sauvages 🐼 👉 14 % des coraux SONT MORTS entre 2009 et 2018 🐚 👉 2 500 gigatonnes QUANTITÉ DE DIOXYDE DE CARBONE que l’homme a envoyé dans l’atmosphère en un siècle et demi 🏭 Avoir une mission, c'est aussi avoir en tête les enjeux 🧐 Ensemble, Soyons Droits Pour Tous, Droits Pour la Planète 🌍👐 #SoluciaSPJ, #DroitsPourTous #planète #environnement #ecologie #pollution #faune #flaure
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Certificats Biodiversité le nouvel Eldorado de la Finance ? Le monde de la finance va-t-il réussir à refaire le coup de la compensation carbone, un marché de plusieurs milliards livré à l’auto-régulation, sous couvert de bonnes intentions environnementales ? En tout cas l’étude commandée aux équipes de Carbone 4 veille en apparence à ne pas tomber dans le piège. Elle pose les alternatives plus où moins régulées, les garde-fous nécessaires pour ne pas dupliquer tous les problèmes de la compensation carbone. La question posée : comment encadrer et orienter l'investissement privé vers des projets où l'externalité positive est de protéger la biodiversité ? Quel curseur pour le garde-fou de la puissance publique qui contrôle et sanctionne les abus ? Pour autant l’étude fait complètement l’impasse sûre le modèle des Whites Certificats, les Energy Efficiency Obligations, en France les Certificats d'Economies d'Energie qui encadrent comment orienter l'investissement privé vers des projets où l'externalité postive est l’économie d'énergie, qu’on pourrait tout à fait envisager dupliquer à la biodiversité. D’autant qu’une partie du chemin a déjà été fait avec les Certificats d’Economies de Produits Phytosanitaires, qui proposent de nombreuses actions de préservation de la biodiversité dans le milieu agricole. (car au delà des réussites, quand on déploit concrètement depuis 20 ans ce type de mécanisme, on se confronte aussi à une dure réalité très riche en retour d’expériences ) En terme d’effectivité pour la préservation de la biodiversité, pourquoi s’inspirer de la compensation carbone volontaire (juste 2 petits Milliards dans le monde mobilisés) quand les Energy Efficiency Obligations réussissent à mobiliser des 10 aines de Milliards d'euros ? Poser l’alternative entre dispositions étatiques et finance « régulée » en omettant d’étudier des options de bien plus grande ampleur (mais moins finance-compatibles), n’est-ce pas un biais qui ne s’assume pas pour indirectement prôner de financiariser la biodiversité ?
Dans le domaine du climat, cela fait longtemps qu'a été imaginé un mécanisme de marché destiné à ce que des entités volontaires ou obligées fournissent du financement à des "porteurs de projets" pour aider ceux-ci à diminuer les émissions ailleurs que dans le périmètre juridique de l'organisation. C'est par exemple ce qui est censé se passer lorsqu'une entreprise paye une entité tierce pour aider à une opération de reforestation, pour aider à équiper des ménages de réchauds à bois plus efficaces pour baisser la déforestation, ou pour capter le méthane de décharges. Mais ce mécanisme a donné lieu à beaucoup de dérives, parmi lesquelles : - des scénarios de référence (ce qui se serait passé en l'absence de projet) trop pessimistes (ce qui permet de "gonfler" la quantité d'émissions évitées revendiquée) - une mise en oeuvre sur le terrain qui n'est pas conforme à ce qui a été annoncé - une non prise en compte d'accidents supprimant le bénéfice (par exemple une forêt replantée est coupée quand même, ou bien les plants meurent à cause d'un problème climatique) - une affectation d'une part excessive des émissions évitées au seul financement amené par des tiers (alors que ce n'est pas le seul financement du projet)... Or, il se trouve qu'un mécanisme identique est envisagé pour protéger la biodiversité, et dans ce cadre il sera encore plus important, parce que l'essentiel des entités qui ont de l'argent ne possèdent pas en direct un bout de forêt vierge, une zone humide, une prairie ou un morceau d'océan à préserver. On peut donc, sans prendre de grands risques, supposer que l'essentiel du financement privé qui viendra au secours de la biodiversité passera par un mécanisme de transfert entre ceux qui ont de l'argent et ceux qui en ont besoin pour mieux faire. Ces derniers ne pourront que rarement compter sur la seule vente de leurs produits ou services pour trouver les ressources pour protéger la biosphère. Il est donc essentiel que la méthode pour définir un "gain biodiversité", et la manière de le certifier, soit établie de la façon la plus rigoureuse possible, et qu'elle serve dès le début de standard dans les échanges monétaires à suivre. C'est tout l'objet de ce premier travail effectué par des consultants de Carbone 4 et des chercheurs du Muséum d'Histoire Naturelle et de la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité : https://t.ly/A2dka Bien sur, c'est un peu technique, mais un point toutefois sera facile à comprendre : plus encore que pour le climat, la "compensation" est invalide en matière de biodiversité. La destruction d'une zone humide en Pologne n'est pas "compensée" par la réintroduction de vautours dans les Alpes. Un hectare de forêt supprimé sur Bornéo n'est pas vraiment "compensé" par plus de haies ou moins de phytosanitaires dans un champ français. Pour autant, il n'y aura pas de progrès sans mesure. C'est ce difficile équilibre qui est exploré par la publication. Bonne lecture !
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