Un bilan positif pour l’année 2022/2023 avec une hausse de 4% du chiffre d’affaires. La régie des remontées mécaniques d’Ancelle se prépare à un avenir construit autour de la diversification. #ancelle #économie #ski #station
Post de Alpes & Midi
Plus de posts pertinents
-
L’Alpe du Grand Serre, Notre-Dame-de-Pré, Le Grand Puy, Le Tanet… Nombreuses sont les stations de ski à avoir annoncé ne pas rouvrir leurs portes cette saison. De véritables crève-cœurs pour les habitants fondamentalement attachés à ces lieux et très souvent laissés sur le carreau, sans véritable solution de repli. D’autres domaines skiables sont également sur la sellette, malheureusement. La faute à une mauvaise gestion, plus qu’au changement climatique. Un point mis en évidence dans un rapport publié par la Cour des comptes en février 2023, que nous avons patiemment décortiqué. Il en émerge une liste des stations considérées comme les plus vulnérables de l’Hexagone. Un document peu commenté à sa publication. Nous en avons extrait les 20 sites les plus exposés. Certes, rien n’est bien sûr acté, mais ce sont autant de stations qu’il faudra suivre de près. Certaines devront sans doute fermer leurs portes, mais d’autres pourront envisager une transition, à l’image de Métabief, Tignes, Saint-Pierre en Chartreuse ou encore à Saint-Hilaire, dans l’Isère.
Enquête : après la série de fermetures, quelles sont les 20 stations de ski les plus vulnérables ?
outside.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
💡"Les stations de montagne sont à la croisée des chemins face à des enjeux majeurs, qu’ils soient économiques, sociaux ou environnementaux. Face à ces défis, penser la transition en termes de business models durables et innovants apparaît comme une voie prometteuse pour garantir la pérennité et la résilience des stations de montagne." 👉I LOVE SKI revient sur une des thématiques phares de la récente rencontre des stations de montagne pyrénéennes et de leurs partenaires, organisée par l'Agence des Pyrénées en partenariat avec la Compagnie des Pyrénées, au travers notamment du témoignage de Régis Lignon et de la très stimulante analyse de Boris Bourgel, à lire! 📌L'article est à découvrir en intégralité sur : https://lnkd.in/gXMtrMvV
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
⛷️❄️🏔️ alors que la saison de ski va commencer, je recommande cet article extrêmement intéressant sur l’économie des stations de ski en 🇫🇷 France, en lien avec le changement climatique mais aussi avec les modèles économiques dépassés. L’article met aussi en avant des reconversions intéressantes (comme à Metabief juste de l’autre côté de la frontière suisse 🇨🇭) ou des initiatives citoyennes pour faire vivre des petits domaines skiables même à basse altitude!
L’Alpe du Grand Serre, Notre-Dame-de-Pré, Le Grand Puy, Le Tanet… Nombreuses sont les stations de ski à avoir annoncé ne pas rouvrir leurs portes cette saison. De véritables crève-cœurs pour les habitants fondamentalement attachés à ces lieux et très souvent laissés sur le carreau, sans véritable solution de repli. D’autres domaines skiables sont également sur la sellette, malheureusement. La faute à une mauvaise gestion, plus qu’au changement climatique. Un point mis en évidence dans un rapport publié par la Cour des comptes en février 2023, que nous avons patiemment décortiqué. Il en émerge une liste des stations considérées comme les plus vulnérables de l’Hexagone. Un document peu commenté à sa publication. Nous en avons extrait les 20 sites les plus exposés. Certes, rien n’est bien sûr acté, mais ce sont autant de stations qu’il faudra suivre de près. Certaines devront sans doute fermer leurs portes, mais d’autres pourront envisager une transition, à l’image de Métabief, Tignes, Saint-Pierre en Chartreuse ou encore à Saint-Hilaire, dans l’Isère.
Enquête : après la série de fermetures, quelles sont les 20 stations de ski les plus vulnérables ?
outside.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Économie des stations…. Depuis 2019 les remontées mécaniques Office de Tourisme Vallée de Chamonix-Mont-Blanc battent des records. L’été représente 40% du CA annuel de Compagnie du Mont-Blanc. C’est le cas de la Compagnie du Mont-Blanc (CMB), qui tire déjà un bon bilan de l’été. Le principal opérateur de remontées mécaniques exerçant l’été en France enregistre une progression de 10 % de ses recettes par rapport à l’an dernier, pour une hausse du nombre de visiteurs de l’ordre d’1 à 2 %. Des chiffres qui étaient pourtant loin d’être acquis Des chiffres qui étaient pourtant loin d’être acquis au départ. La météo capricieuse du mois de juin et de la première quinzaine de juillet avait entraîné une baisse plutôt importante de la fréquentation des remontées de la vallée de Chamonix. « L’expérience nous a appris qu’été comme hiver, il nous faut appréhender nos saisons touristiques comme un marathon », relève Mathieu Dechavanne, le PDG de la CMB, bien conscient que même à Chamonix, l’essentiel se joue surtout entre le 14 juillet et le 20 août. Compagnie des Alpes L'Agence Savoie Mont BlancFrance Montagnes Auvergne-Rhône-Alpes Tourisme Compagnie des Guides de Chamonix
Vallée de Chamonix. Un très bon été pour les remontées
ledauphine.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Formateur / Consultant Ressource en eau, adaptation et redirection écologique - #Metabief - #Le_Passeur - #Revoluence
Anatomie d'une fermeture. L'annonce est faite : le comité syndical Syndicat Mixte du Mont d'Or - Station de Métabief a décidé de "suspendre l'exploitation de Piquemiette". C'est symbolique, mais c'est logique ... et surtout anticipé... même si la dramaturgie habituelle des médias et des parties prenantes de la garde (cf. modèle d'Everett Rogers sur la diffusion de l'innovation) met en scène la brutalité et la soudaineté d'une décision responsable et courageuse. Cette "fermeture" est la suite logique d'un processus engagé en 2016 : Acte 1 : la fête est finie = en 2017, nous établissons entre professionnels de la station, un scénario climatique qui anticipe une fin potentielle du ski à l'horizon 2030-2035, avec les données économiques du moment (donc avant Covid et crise énergétique) Acte 2 : on innove pour durer un peu = en 2018, on déploie une méthode d'analyse sur les remontées mécaniques pour permettre de ne pas investir : 1er renoncement. Et passer de 15 M€ d'appareils neufs à 2 M€ de maintenance et d'extension neige (prévue en 2012) Acte 3 : la fin de l'illusion = on ne rêve pas, la diversification n'est pas la solution : 2ème renoncement. Pour survivre, on met en place en 2019 une ingénierie dédiée à l'émergence de solutions sur la station et surtout sur l'ensemble du territoire Acte 4 : le récit = des premières émergences (une grande réussite !!!), le comité syndical, les communes et le département approuvent le plan de transition en décembre 2020... et donc la fermeture potentielle de Piquemiette à un horizon alors estimé à 2030... mais c'était sans compter les 2 mauvais hivers 2021-2022 et 2022-2023, l'hiver catastrophique 2023-2024, la crise Covid (dont les effets sur la masse salariale ont été forts) et la crise énergétique . On vit vraiment dans l'INCERTITUDE Acte 5 : le déploiement sur le territoire = on devient lauréat Avenir Montagne en 2021 et on déploie une ingénierie qui portera ses fruits Acte 6 : on mobilise les parties prenantes, celles qui veulent, par une dynamique de terrain de fou en 2022. Là, on voit que la "garde" se crispe" (le commerçant de Piquemiette qui fait désormais les choux gras des médias, en fait partie) Acte 7 : la mécanique "planification - émergence" prend corps dans une dynamique de MASTERPLAN en 2023. Sur la station, ça commence à tirer mais on observe que les socio pros de Métabief s'en sortent bien Acte 8 : en 2024, le MASTERPLAN et les cellules d'émergence vivent sur le territoire. Les parties prenantes qui ont adhéré à la démarche (les pionniers), ne le regrettent pas et deviennent des soutiens précieux... mais attention, pas d'illusion sur la nature humaine, capable du pire comme du meilleure, cela reste difficile Et maintenant, un acte fort = 3ème renoncement. Tout savoir sur l'anatomie d'une fermeture : éditions inverse ///
Doubs. Station de ski à Métabief : la fermeture de Piquemiette, « un choix difficile mais responsable »
estrepublicain.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le #ski en chute libre ! Cela va être compliqué de partir en vacances "à la neige" pour la zone C ce soir ou demain matin. Du côté des hôtes, la réalité #économique à court terme rattrape les stations 👇 💸La Cour des comptes indique que le modèle de ces stations n'est absolument pas viable, et que trop peu de mesures d'adaptation nécessaires ont été prises pour assurer leur survie sur le long terme. 💡On parle bien ici de stratégies d'adaptation et non d'obstination ! L'enneigement artificiel renforcé chaque année est par exemple une stratégie d'obstination. Pour répondre à cette problématique, la Cour des comptes demande notamment un accompagnement plus important de l'Etat dont "la planification écologique est peu opérationnelle pour le secteur touristique en montagne". Cependant, ces financements publics devront être conditionnés à l'existence d'un plan d'adaptation pour chaque station de montagne. En savoir plus sur la situation actuelle et les solutions envisageables en lisant ce court article de Construction21 - France, par ar Stephanie Sante 👇 https://bit.ly/48h9soF (photo non contractuelle) 🏔️Valérie PAUMIER ⏱
Le modèle des stations de ski fond comme neige au soleil
construction21.org
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🏔 La chambre régionale des comptes a contrôlé la communauté de communes Vallée de l’Ubaye Serre-Ponçon (CCVUSP) dans le cadre de l’enquête sur les stations de montagne face au changement climatique. 🎿 La CCVUSP dispose sur son territoire de quatre domaines de ski : la station de Pra-Loup, qu’elle exploite en commun avec le département des Alpes-de-Haute-Provence et les stations du Sauze, Sainte-Anne et Larche qui sont exploitées par la régie « Ubaye ski ». Cette situation génère une concurrence entre les communes-supports de stations, qui peinent à faire émerger une stratégie d’alliance efficace visant à adapter leur offre touristique au changement climatique. 🏗 Confrontée à la baisse de l’enneigement naturel, la station de Pra-Loup se tourne vers un projet coûteux de modernisation de sa liaison avec le domaine de la Foux d’Allos. 📉 La situation financière dégradée de la régie Ubaye ski ne lui permet pas d’investir pour compenser la baisse de l’enneigement, ce qui remet en cause sa viabilité. https://lnkd.in/d-_bykaX
Communauté de communes Vallée de l’Ubaye–Serre-Ponçon (CCVUSP) à Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence)
ccomptes.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Mont Grand-Fonds, 1ere station Québécoise à proposer la tarification assistée par l'IA Depuis la reprise de la montagne en 2023 par La Compagnie des Montagnes de Ski du Québec, le groupe e-Liberty Services a mis en place de nombreuses innovations pour faciliter sa commercialisation : contrôle d'accès main-libres, nouveau site de vente en ligne, retrait des commandes sur Pick up Box... Les résultats ont été rapides, puisque aujourd'hui plus de 40% du chiffre d'affaires de la vente de forfaits de ski est réalisé en ligne. Et c’est une belle saison sur le plan des résultats pour la station, en dépit d’une météo capricieuse. Pour cette fin de saison, Mont Grand-Fonds continue d’innover en étant la première station du Québec à proposer de la tarification assistée par IA ! En effet, en collaboration avec les équipes e-Liberty Services et notamment son Data Lab, Mont Grand Fonds a mis en place, pour la fin de saison, un algorithme de prédiction de la fréquentation qui permet de définir automatiquement les prix des forfaits. Cette solution est déjà opérationnelle en Europe dans une dizaine de stations des Alpes, depuis 2 ans. Les résultats sont très significatifs avec une hausse importante du chiffre d'affaires pour les produits concernés et des tarifs plus attractifs pour les skieurs. La mise à jour de cet algorithme se fait en temps réel ce qui lui permet de s'ajuster automatiquement aux conditions de fréquentation, à la météo, aux événements... La filiale canadienne de e-liberty commercialisera dès ce printemps cette solution à toutes les autres stations canadiennes.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
L’article publié présente la fermeture de la station de Piquemiette comme une conséquence inévitable et réfléchie du changement climatique, des crises économiques et des choix rationnels pour le futur de la région. Toutefois, cette vision manque de perspectives alternatives et de solutions à long terme qui pourraient maintenir l’activité économique et touristique de la station tout en répondant aux préoccupations écologiques. 1. Une fermeture prématurée et évitable La fermeture de Piquemiette, initialement prévue pour 2030-2035, est annoncée pour 2024. On parle de décision anticipée, mais en réalité, c’est une stratégie de renoncement qui accélère la fin et acté en réalité depuis de nombreuses années. Au lieu de fermer complètement, la station pourrait adopter une ouverture partielle, en ne fonctionnant que pendant les périodes de forte affluence, comme les week-ends, les vacances et les jours fériés. Cela permettrait de maximiser les revenus aux moments où la demande est la plus forte, tout en réduisant les coûts d’exploitation. 2. Réduction des coûts et économie d’échelle Plutôt que de tout fermer, il existe des moyens de rendre l’exploitation plus rentable. Des solutions comme la mutualisation des infrastructures avec d’autres stations, la rationalisation des effectifs ou encore l’optimisation de l’entretien peuvent réduire significativement les coûts. Ce sont des stratégies d’économie d’échelle que des chefs d’entreprise appliqueraient pour rendre des opérations plus efficientes. Là la décision est une décision purement politique est c’est bien là le problème 3. Impact environnemental mal compris La décision de fermer la station est prise sous couvert d’une conscience écologique, mais en fermant, on force les habitants et les touristes à se déplacer en voiture vers d’autres stations plus éloignées, aggravant ainsi l’empreinte carbone. Plutôt que de fermer, il faudrait investir dans des infrastructures locales qui réduisent l’impact environnemental, comme l’utilisation d’énergies renouvelables. 4. La diversification : clé de la résilience La diversification des activités touristiques est une réponse logique aux défis climatiques. Cependant, l’article la présente comme un échec. Or, cette diversification n’a pas été explorée à son plein potentiel. Le développement d’activités hors-ski, pourrait maintenir une activité touristique toute l’année et compenser la perte due aux hivers peu enneigés. 5. Investir pour sauver un territoire vivant Comme les piscines, musées ou pistes cyclables, certaines infrastructures publiques ne sont pas rentables en soi, mais elles jouent un rôle crucial dans l’attractivité d’un territoire. En refusant d’investir dans la station de ski, on court le risque de transformer les villages environnants en « cités dortoirs ». Au lieu de renoncer, il serait préférable de développer un plan de soutien financier et d’investissements ciblés pour maintenir cette activité essentielle à la région.
Formateur / Consultant Ressource en eau, adaptation et redirection écologique - #Metabief - #Le_Passeur - #Revoluence
Anatomie d'une fermeture. L'annonce est faite : le comité syndical Syndicat Mixte du Mont d'Or - Station de Métabief a décidé de "suspendre l'exploitation de Piquemiette". C'est symbolique, mais c'est logique ... et surtout anticipé... même si la dramaturgie habituelle des médias et des parties prenantes de la garde (cf. modèle d'Everett Rogers sur la diffusion de l'innovation) met en scène la brutalité et la soudaineté d'une décision responsable et courageuse. Cette "fermeture" est la suite logique d'un processus engagé en 2016 : Acte 1 : la fête est finie = en 2017, nous établissons entre professionnels de la station, un scénario climatique qui anticipe une fin potentielle du ski à l'horizon 2030-2035, avec les données économiques du moment (donc avant Covid et crise énergétique) Acte 2 : on innove pour durer un peu = en 2018, on déploie une méthode d'analyse sur les remontées mécaniques pour permettre de ne pas investir : 1er renoncement. Et passer de 15 M€ d'appareils neufs à 2 M€ de maintenance et d'extension neige (prévue en 2012) Acte 3 : la fin de l'illusion = on ne rêve pas, la diversification n'est pas la solution : 2ème renoncement. Pour survivre, on met en place en 2019 une ingénierie dédiée à l'émergence de solutions sur la station et surtout sur l'ensemble du territoire Acte 4 : le récit = des premières émergences (une grande réussite !!!), le comité syndical, les communes et le département approuvent le plan de transition en décembre 2020... et donc la fermeture potentielle de Piquemiette à un horizon alors estimé à 2030... mais c'était sans compter les 2 mauvais hivers 2021-2022 et 2022-2023, l'hiver catastrophique 2023-2024, la crise Covid (dont les effets sur la masse salariale ont été forts) et la crise énergétique . On vit vraiment dans l'INCERTITUDE Acte 5 : le déploiement sur le territoire = on devient lauréat Avenir Montagne en 2021 et on déploie une ingénierie qui portera ses fruits Acte 6 : on mobilise les parties prenantes, celles qui veulent, par une dynamique de terrain de fou en 2022. Là, on voit que la "garde" se crispe" (le commerçant de Piquemiette qui fait désormais les choux gras des médias, en fait partie) Acte 7 : la mécanique "planification - émergence" prend corps dans une dynamique de MASTERPLAN en 2023. Sur la station, ça commence à tirer mais on observe que les socio pros de Métabief s'en sortent bien Acte 8 : en 2024, le MASTERPLAN et les cellules d'émergence vivent sur le territoire. Les parties prenantes qui ont adhéré à la démarche (les pionniers), ne le regrettent pas et deviennent des soutiens précieux... mais attention, pas d'illusion sur la nature humaine, capable du pire comme du meilleure, cela reste difficile Et maintenant, un acte fort = 3ème renoncement. Tout savoir sur l'anatomie d'une fermeture : éditions inverse ///
Doubs. Station de ski à Métabief : la fermeture de Piquemiette, « un choix difficile mais responsable »
estrepublicain.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
1 263 abonnés