Post de Assemblée nationale

La situation en Nouvelle-Calédonie, où l'on refuse d'admettre que nous sommes en récession forcée et que nous sommes devenus un pays sous-développé depuis la crise insurrectionnelle du 13 mai 2024 malgré les alertes sous-jacente, illustre l'importance du courage politique. C'est un exercice remarquable ( l’examen du budget) pour appréhender les principes de l'économie 🇳🇨🇫🇷 écoute active en filigrane 😉 Comme je le rappelle à ceux et celles qui veulent bien l'entendre, il y a la loi et l'esprit de la loi. Il y a les mécanismes économiques, souvent très académiques, les pratiques et valeurs économiques, les différentes sensibilités politiques. D'un côté, nous avons les utopistes de la croissance exponentielle ; de l'autre, ceux attachés à la métropole sans vouloir toucher aux réformes fiscales et sociales, aux marges arrière, monopoles et protections des nantis (allez expliquer cela aux contribuables français) ; puis, les défenseurs de la puissance publique qui, bien que proches de la saturation de leurs capacités, souhaitent taxer les riches sans proposer de recettes correspondantes ; et enfin, ceux et celles qui plaident pour d'autres modèles intégrant des critères de durabilité. 🤷🏽♀️Pourquoi est-ce si long ? Parce que chacun est persuadé que son système, qui le protège individuellement, est supérieur aux autres. Pour ma part, même si l'on m'a qualifié de socialiste (entre nous, je ne sais pas ce que cela signifie réellement), je crois que la redistribution ne peut qu'améliorer l'attractivité de notre territoire, "terre de parole, terre de partage". Je suis contre l'exploitation des femmes (salaire égal, facilitation de l'accès au financement pour l'entrepreneuriat, protection sociale, etc.) et des jeunes (stages sous-rémunérés, service civique, etc.) et pour la protection de l’environnement. En somme, il faut du courage politique pour libérer les initiatives de la société civile, limiter le nombre d'établissements publics, et peut-être que dans huit à dix ans, la Nouvelle-Calédonie redeviendra attractive (santé, éducation, sécurité, transport, connectivité, alimentation, accès au foncier, politiques fiscales incitatives, autosuffisance ( énergétique, alimentaire, financière etc.). PS: personne ne résoudra vos problèmes à votre place 😊

Budget : ces neuf mois qui ont creusé un gouffre de 100 milliards En moins d'un an, les comptes publics ont connu une dégradation spectaculaire. Gros ratés sur les prévisions fiscales, bataille politique au sein du gouvernement Attal, effets de la dissolution : « Les Echos » vous racontent comment le second quinquennat d' Emmanuel Macron a déraillé sur le front des finances publiques.

Et quelle responsabilité pénale ?

En moins d'un an, les comptes publics ont connu une dégradation spectaculaire. Gros ratés sur les prévisions fiscales, bataille politique au sein du gouvernement Attal, effets de la dissolution : « Les Echos » vous racontent comment le second quinquennat d'Emmanuel Macron a déraillé sur le front des finances publiques.

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Gros ratés sur les prévisions fiscales, bataille politique au sein du gouvernement Attal, effets de la dissolution : Les Echos vous racontent comment le second quinquennat d'Emmanuel Macron a déraillé sur le front des finances publiques. Le Mozart de la finance (surnom donné à Emmanuel Macron, ndlr) a créé 900 milliards d'euros de dette en 7 ans.  Emmanuel Macron étant arrivé au pouvoir au deuxième trimestre de l'année 2017, son action a pu commencer à avoir une influence sur l'économie et la dette du pays au troisième trimestre de cette même année. Selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), au troisième trimestre 2017, la dette publique s'élevait à 2.226,1 milliards d'euros. Il est question ici de la dette au sens de Maastricht, incluant celle de l'ensemble des administrations publiques : l'État, les organismes divers d'administration centrale (ODAC), les administrations publiques locales et les administrations de sécurité sociale. Qu'en est-il de celle-ci aujourd'hui ? Les derniers chiffres publiés par l'Insee sont ceux de la dette au troisième trimestre 2023. Et à la fin de celui-ci, elle s'établissait à 3.088,2 milliards d'euros. La soustraction est facile : entre 2023 et 2017, la dette publique de la France s'est creusée de 862 milliards d'euros. ➡️ https://lnkd.in/eXyyfgsW

⏳ NE RIEN LACHER... ⏳ Merci à La Tribune de suivre l'avancement de ce dossier pour lequel je me suis investi depuis des mois. Il s'agit de pouvoir accompagner les PME de la Défense qui participent à la souveraineté de notre pays. ✅ Dans le cadre de la LPM (Loi de Programmation Militaire) puis du PLF (Projet de Loi de Finances), un amendement a été déposé à chaque fois par 3 députés (Thomas Gassilloud, Président de la commission de la défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale ; Jean-Louis Thiériot, Député, Vice-Président de la commission de la défense nationale et des forces armées ; et moi-même, en tant que Député et Rapporteur spécial du budget de la défense). 🎯 Le but de cet amendement est que les banques, au travers des fonds des Livret A et LDD qu'elles gèrent, participent au financement des 4000 entreprises du secteur de la défense et de leurs 240.000 emplois (pas ceux dédiés au logement social, mais ceux investis sur les marchés financiers). ⚠ Cet amendement a été à chaque fois adopté mais le Conseil Constitutionnel a censuré la mesure par deux fois en disant : « La censure de ces différentes dispositions ne préjuge pas de la conformité de leur contenu aux autres exigences constitutionnelles. Il est loisible au législateur, s'il le juge utile, d'adopter à nouveau de telles mesures par un autre vecteur qu'une loi de finances. » ➡ C'est pour cela que j'ai déposé ce projet de loi, dont il faut maintenant convaincre de la nécessité de l'inscrire à l'agenda parlementaire rapidement... Plus d'infos avec La Tribune : 👉 tinyurl.com/2su43ykw

En 2024, année de transition vers les nouvelles règles de gouvernance budgétaire européennes, le gouvernement français et la Commission doivent déterminer une trajectoire multi-annuelle pour les finances publiques.

📑💡Notre mémorandum rassemble dans un document unique l’ensemble des recommandations des acteurs de la fonction consultative pour la législature 2024-2029.   Voici les principales recommandations pour maîtriser les finances publiques:    ✅Avoir un vrai débat sur la soutenabilité des finances publiques sur base de plusieurs éléments :   - diminuer la dépendance par rapport aux marchés financiers  - poursuivre la démarche de revue des dépenses  - lever le tabou d’une réflexion sur les leviers fiscaux régionaux…  ✅Mener une réforme fiscale ambitieuse et claire avec :   - un code fiscal wallon, un seul ministre compétent  - une gestion de tous les impôts régionaux par la Région  - un renforcement des contrôles  - davantage de cohérence avec les autres niveaux de pouvoir dans la structuration du cadre fiscal  - une réforme de la fiscalité immobilière en lien avec les performances énergétiques. Adrien DOLIMONT, PhD   #Fiscalité #Budget  #Financespubliques #Wallonie #MémorandumCESE 

et la suite de mon analyse du projet du projet de loi de finances à la lumière de son annexe 7. Des hausses toujours importantes qui laissent mal augurer un respect de nos engagements européens 😒 bon courage aux Départements pour équilibrer leur budget 2025 😬 et aux français pour financer ces nouvelles dépenses