Post de Association ACAD

Je complète ma publication avec les cartes très intéressantes du #BRGM qui recense les zones sensibles à l'élévation du niveau de la mer à marée haute (intéressant avec+1m) https://lnkd.in/eRPFpsUe

Evaluation des enjeux exposés au recul du trait de côte à court, moyen et long terme https://lnkd.in/eMPjiRdy #littoralGuadeloupe #50pasgéométriques #reculdutraitdecôte

Sécurité des ponts à La Réunion 🛣 🚗 🚚 L'effondrement du pont de Gênes en 2018 a fait prendre conscience de la vulnérabilité des ponts. Le Sénat faisait cette semaine un bilan, 5 ans après le rapport de la mission d'information sur la sécurité des ponts. La Réunion est tout particulièrement concernée par le sujet. D'une part, notre relief a conduit à la construction de nombreux ponts : la route des Tamarins à La Réunion a par exemple impliqué d’ériger 130 ponts. D’autre part, le climat tropical et le risque cyclonique fragilisent d’autant plus les ponts. Née d’un volcan sous-marin, la structure géologique de notre île, encore cassante et friable, est par ailleurs travaillée par une érosion massive. Nous nous souvenons tous par exemple de l’effondrement du pont de la rivière Saint-Etienne en 2007 suite au passage du cyclone Gamède : malgré des inspections régulières, les piles n’avaient pas résisté aux milliers de tonnes de roches ayant dévalé à cause d'un éboulement. J'ai donc demandé à Pascal BERTEAUD, Directeur général du Le Cerema, établissement public qui accompagne les collectivités notamment sur la rénovation de leurs ponts, comment sont appréhendées les spécificités de La Réunion. Le Cerema a lancé le Programme National Ponts - programme auquel 24 collectivités des Outre-mer ont participé - et a récemment ouvert une direction régionale à La Réunion. J'invite les collectivités de La Réunion à prendre connaissance des soutiens financiers importants pour la rénovation des ponts communaux en état de fragilité - jusqu'à 60% de financements par le Cerema - à cette adresse : https://lnkd.in/dNyWKnyf Soyons dans l'anticipation : veillons à la sécurité de nos ponts ✅

🌊 𝐋’𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐂𝐄𝐑𝐄𝐌𝐀 - 𝐏𝐫𝐨𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐨̂𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐚𝐮 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 – 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟒 Le CEREMA est un établissement public sous la tutelle du ministère de la transition écologique et la cohésion des territoires. Il dispose de plus de 2000 agents et d’une expertise nationale mutualisée. Son rayon d’action, particulièrement vaste, l’amène à analyser ce qui relève de la mer et du littoral. Dans une étude de février 2024 « projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national échéance à cinq ans », il livre un document particulièrement intéressant sur la proximité des enjeux, et leur importance. Une première observation me semble importante dans l’introduction de cet excellent travail, relative aux effets des tempêtes. Le CEREMA précise effectivement qu’il a réalisé un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les cinq prochaines années, en relevant que les tempêtes, sources potentielles de reculs « événementiels » du trait de côte, imprévisibles à court terme, rendent impossible une projection différente des hypothèses de recul « standard ». Il y a là une approche prudente, qui ne peut évidemment pas tenir compte de la violence des tempêtes, récurrentes, et des effets qu’elles ont sur les reculs « événementiels ». Les auteurs du rapport précisent même qu’à l’horizon 2028, « la position du trait de côte dépendra souvent plus de l’effet de tempêtes morphogènes, par nature non prévisibles à l’échéance considérée, que de la tendance du recul chronique ». Et de rappeler que « le recul du trait de côte des côtes sableuses est largement conditionné par les effets des tempêtes majeures ou de l’effet cumulé de série de tempêtes à l’instar de celles de l’hiver 2013 2014 ». [...] Retrouvez l'intégralité de l'article rédigé par Thomas Drouineau directement sur notre site 👇

Avignon,.. Dans le serpent de mer ou l'Arlésienne (pour emprunter l'expression à nos voisins d'Arles) de la LEO - liaison est-ouest, la LEO 2 en fait - des Bouches-du-Rhône vers Avignon, qui avec la LEO 1, en service d'Avignon vers les Bouches-du-Rhône sur la Durance, et la lointaine LEO 3, viaduc payant au-dessus du Rhône vers le Gard, est censée rattraper la vieille connerie du débranchement des A7 et A9 à Orange plutôt qu'Avignon, projet dépassé des années 60, mais déjà engagé,.. Il y a, outre les tergiversations entre État et collectivités, les bâtisses en ceinture verte d'Avignon soumis à expropriation qui sont vandalisées.. 🇨🇵🚙🚗🚐🚚🚧🤔 article la Provence https://lnkd.in/dw9dyD3Y A noter que l'on retrouve la manifestation du même type de conneries avec le triangle de viaducs de la LGV Lyon, Marseille, Montpellier sur.. Le Rhône.. Histoire de bien saler la facture.. Surtout pour un viaduc Marseille Montpellier qui risque d'attendre longtemps encore la prolongation de la LGV vers Nice et de l'autre côté vers Toulouse et Barcelone..

[VIDEO PROJET] 👷 Découvrez en images le chantier atypique et spectaculaire de sécurisation du Pont d’Enfer, un ouvrage patrimonial classé menant au Fort du Portalet dans la Vallée d’Aspe (64). La Communauté de Communes du Haut-Béarn a confié à Antea Group la maîtrise d’œuvre des travaux de rénovation de cette infrastructure fragilisée fin 2019 par une fracture conséquente apparue soudainement sur l’un de ses piliers, à la suite d’une crue record du Gave d’Aspe. Pour conserver le pont, il a fallu programmer en urgence les premiers travaux de sauvegarde en 2020. Etant menacé à sa base par une érosion au fil du temps liée au passage du torrent, de nouvelles interventions ont été réalisées fin 2023 pour conforter le lit et la rive droite du cours d’eau : travaux de terrassement et d’enrochement, ancrage de la culée, comblement des cavités au béton projeté et déroctage partiel d’une masse rocheuse. Les méthodes de travail retenues ont dû prendre en compte deux contraintes fortes : l’accès difficile au pied du pont situé à 25 mètres et la présence du Vautour Percnoptère. Pour minimiser le risque de perturbation du milieu naturel classé Natura 2000, des opérations d’héliportage d’acheminement du matériel et d’évacuation de blocs de roche ont été organisées au cours de périodes propices. 👉 Visionnez cette opération spectaculaire → https://lnkd.in/eBzR6gqF Merci aux entreprises impliquées : Lot n°1 : #CORREA / Altrad Services France Lot n°2 : GAUTHIER #GillesJaureguy, Carpentier Nicolas

🚨 Tous les 30 km, vous traversez un pont en mauvais état... Six ans après l'effondrement du pont de Morandi à Gênes, et au lendemain d'une nouvelle catastrophe aux Pays-Bas, au moins 35 000 ponts menacent toujours de s’effondrer en France. Les professionnels alertent sur leur état depuis le début des années 2000, et le Sénat appelle au chantier du siècle depuis 2019. Sauf qu'à l'heure actuelle, on ne connaît toujours pas le nombre de ponts qu'il y a en France ! Au moment où des dizaines de milliers d’ouvrages deviennent trop vieux tous en même temps, faudra-t-il attendre des catastrophes comme celle de Gênes (43 morts pour info) ? Ou fermer les ponts un à un ? Où en est le «chantier du siècle »? Enquête pour Capital Magazine ⬇ #ouvrages #pont #collectivités

l'une des missions du pôle Prévention des inondations dans son expertise au service des territoires.

[Prévention des Inondations sur la Métropole bordelaise] Le projet ambitieux de la protection de la presqu'île d'Ambès associe effectivement deux des 57 fiches actions du Plan de Prévention des Inondations (PAPI) de l'Estuaire de la Gironde porté par le SMIDDEST en tant qu'EPTB de l'Estuaire. Ce programme qui couvre tout l'Estuaire depuis la Métropole en amont jusqu'à l'océan à l aval comporte la restauration de plus de 100 km cumulés de digues mais aussi la réhabilitation de réseaux de jalles favorisant l'évacuation des volumes de crue, tout en maintenant leurs fonctionnalités écologiques. De nombreux projets de réduction locale de la vulnérabilité des bâtis viennent compléter le dispositif d'ouvrages de protection et de prévention. L'ensemble des intercommunalités riveraines de l'Estuaire, que ce soit en Gironde ou en Charente-Maritime, en rive gauche médocaine ou en rive droite côté Blayais et Saintonge, portent désormais au moins une action du PAPI, dont le montant s'élève dorénavant à 98 millions d'euros pour les collectivités.