#fiertédaccompagner Découvrez aujourd'hui le témoignage de Mélodie, son parcours contre les préjugés et les discriminations pour reprendre confiance en elle. Lien vers le témoignage complet : https://lnkd.in/eMh7HDh9
Post de Association Aurore
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« On ne naît pas pervers, on le devient », a déclaré Dominique Pélicot lors de son procès, ayant le culot d'emprunter la formule à Simone de Beauvoir. Mais comment définir la perversité dans une société libérale ? Notre société, soucieuse de s’émanciper du carcan religieux, refuse de condamner certains désirs au nom de la morale. Un flou qu'utilisent les agresseurs pour se défausser : « Je ne pensais pas lui faire de mal », « je pensais que c’était un jeu entre eux… » Un philosophe s'est risqué à produire une définition de la perversion : Thomas Nagel. Le désir, explique-t-il, implique ce que Sartre appelait une « double incarnation réciproque » : on ne désire pas seulement l’objet de son désir, mais aussi le désir de l’autre. En ce sens, les accusés de ce procès sont indéniablement pervers. Une question demeure, abyssale : si l’on ne « naît pas pervers », comment le devient-on ? En reprenant la formule « On ne naît pas femme, on le devient », qui désigne la manière dont la société conditionne les femmes à se soumettre aux hommes, Pélicot suggère que la société l’aurait poussé à devenir, passivement et sans son consentement, ce qu’il est aujourd’hui. Comme si lui-même était la victime. À ceci près qu’il est bien l’acteur dans cette histoire. En citant Beauvoir, Pélicot nie à nouveau une conscience : celle d’une femme qui dénonçait, justement, la négation de la liberté féminine. Une perversité de plus. >> La suite de mon analyse du cas Pélicot pour Philosophie magazine : https://lnkd.in/exAnNCTF
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[ Est-il dangereux d'énoncer des préjugés venimeux, au motif qu'on entend les dénoncer ? Dans un temps où la polémique surgit à chaque instant, ne serait-ce pas entretenir, voire légitimer ces préjugés en s'en faisant l'écho, en leur donnant une importance qu'ils ne méritent guère ? Convient-il de réactiver des discours de haine d'un autre âge qui objectivement font froid dans le dos, et d'humilier de nouveau, même de façon inconsciente ou par omission, les populations qui en ont fait les frais à travers l'histoire ? C'est précisément parce que ces préjugés sont peut-être plus actifs que jamais, à l'heure du complotisme, des réseaux sociaux, des fake news ou autre infox et de la flambée mondiale des populismes, qu'il est urgent de réagir et de proposer un véritable regard historique sur leur genèse, leurs mutations et surtout leur permanence. Prendre de la distance est nécessaire face à la montée en puissance des débats sur le séparatisme, face aux pièges de l'identité, aux polémiques sur le "wokismes" et sur la "cancel culture". Il n'est possible de combattre que ce qui est identifié et conscientisé; plutôt qu'un illusoire oubli et un chimérique effacement, mieux vaut faire acte de mémoire et de contextualisation. Si cette prise de distance permet au lecteur de déconstruire quelques-uns de ces préjugés, ce livre n'aura peut-être pas été totalement inutile. Il s'agit donc, par une approche historique, de constituer une sorte de manuel d'autodéfense intellectuelle pour aider à lutter contre le sexisme, l'homophobie, le racisme, et les discriminations. Il ne faut pas minimiser le danger : Les préjugés sont des opinions si profondément ancrées et répandues qu'elles peuvent tuer à force de stigmatiser. Il s'impose de remonter à leur source, non pas pour nourrir une nostalgie délétère du monde d'avant le politiquement correct ("c'était mieux avant", "on ne peut plus rire de rien"), mais afin de chercher à comprendre d'où ils viennent et pourquoi ils ont la peau si dure. ] Extrait de l'introduction Histoire des préjugés Sous la direction de Jeanne Guérout et Xavier Mauduit
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Aujourd’hui, dans la vraie vie, l’immense majorité des femmes perdent leur emploi si elles osent briser le silence et dénoncer des faits de harcèlement sexuel. C’est ce que révèlent les très rares statistiques existantes sur le sujet : selon l’association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, 95 % des plaignantes perdent leur travail quand elles dénoncent des faits de harcèlement. Parler du monde du cinéma peut à ce titre contribuer à la libération autant qu’à l’enfermement du débat. Cela ne doit en effet pas nous conduire à croire que ce milieu serait particulier, parce qu’y évoluent des puissants, des artistes et donc forcément des gens plus déviants que la moyenne.
Ma tribune à lire sur le site de @lobs : “Soutenir les victimes, de toutes violences et de toutes origines, religions ou couleurs de peau, ne suffit pas et ne suffira jamais à incarner le Bien. Robert Badinter a démontré que l’humanisme réel se mesure aussi, et peut être surtout, au sort que l’on réserve et aux droits que l’on donne à ceux que l’on hait le plus, ceux qui nous font du mal, ou même qui veulent nous détruire. Cette leçon ne vaut hélas pas que pour l’extrême droite aujourd’hui, elle vaut pour nous tous. Alors, aux donneurs de leçon et distributeurs d’étiquette à gauche, (…) posons donc la question suivante : si l’on ôtait à Badinter son combat contre la peine de mort (qui fut le plus grand, mais pas le seul de sa vie d’engagement), n’auriez-vous pas excommunié Robert comme vous rejetez Elisabeth ?” https://lnkd.in/eUmXQZMK
Tribune | « L’humanisme réel se mesure aux droits que l’on donne à ceux que l’on hait le plus »
nouvelobs.com
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Échos du Silence !! Dans le creuset de nos sociétés contemporaines, un phénomène insidieux s’infiltre et se propage avec une discrétion alarmante : le #harcèlement. Cette affliction, souvent tue dans l'ombre des non-dits, requiert une lumière nouvelle, non pas celle d'une réprimande aveugle, mais celle de l'#éducation et du dialogue. Pourquoi avons-nous atteint ce point de rupture où l'indifférence semble avoir pris le pas sur l'implication active des #parents dans l'éducation de leurs enfants ? Pourrions-nous ré-enchanter ce rôle parental, non seulement en tant que gardiens mais aussi en tant qu'éducateurs de l'#empathie, du #respect de l'autre et de la célébration des #différences ? Les réseaux sociaux, souvent pointés du doigt, ne sont-ils que des marionnettistes maniant les fils de nos jeunes ou pourrions-nous les envisager comme des outils, des catalyseurs de changement si utilisés avec sagesse et discernement ? L’influence de ces #plateformes est indéniable, mais leur pouvoir ne saurait éclipser la portée de l’action éducative et corrective nécessaire et bienveillante que doivent assurer les parents et les établissements #scolaires. Les écoles, lieux de savoir mais aussi de socialisation, quelle est leur part de responsabilité dans ce combat ? Au-delà des punitions, quelles initiatives pourraient-elles prendre pour transformer leur enceinte en havres de paix où chaque #enfant se sent en #sécurité, entendu et respecté ? L'État !!! Quelle est sa place dans ce tableau ? Devons-nous attendre de lui qu’il mette en place des politiques plus incisives, des campagnes de #sensibilisation plus poignantes et des ressources accessibles pour accompagner tant les #victimes que les auteurs de harcèlement ? Les numéros verts et les #associations peuvent-ils suffire sans une action #collective soutenue ? Leur lumière est-elle suffisante pour guider tous ceux qui se trouvent dans le tumulte sombre du harcèlement ? Et le #harceleur !!! Souvent dépeint comme le seul coupable, n'est-il pas lui-même le produit d'une #souffrance méconnue, l’écho d’un cri qui n’a pas été entendu ? Envisager le harcèlement sous cette perspective pourrait-il ouvrir de nouvelles voies pour des interventions plus empathiques et plus efficaces ? Il nous appartient, #parents, #éducateurs, #institutions et #gouvernements, de tisser ensemble le filet de sécurité qui retiendra les vies en suspens. C’est un #appel à la mobilisation générale où chacun a un rôle crucial à jouer. Le harcèlement n’est pas une fatalité ; c’est un appel à l’action collective pour préserver ce qu’il y a de plus précieux : l’intégrité et le bien-être de nos enfants. Il est temps de repenser notre approche. Ce combat est le nôtre, pour garantir la sécurité émotionnelle et physique de nos enfants. N'oubliez pas que face à ce défi, chaque action compte. #harcèlementscolaire #stopbullying #agissons
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Une nouvelle chanson en préparation, dans le cadre de l'écriture de notre spectacle sur les violences conjugales. "Un homme si bien" est le titre de cette chanson. Basé sur les témoignages recueillis auprès de victimes et de leur entourage, le texte évoque l'idée qu'il n'y a pas de profil type des auteurs de violence. Mais qu'au contraire, ainsi que le décrit le journaliste-écrivain Mathieu Palain, ils peuvent être "nos pères, nos frères, nos amis". Que bien souvent, on ne soupçonne pas, au départ, que "un homme si bien", qui vous encense et vous offre des fleurs, puisse la minute suivante se transformer, vous insulter et se déchaîner. La chanson nous dit qu'il peut tout aussi bien être camionneur, chef d'entreprise, chômeur ou artiste. Des exemples, hélas, existent dans toutes les catégories socio-professionnelles. Des personnes peuvent être très avenantes, agréables en société, et, une fois la porte fermée, vriller en un instant pour une broutille. Mais derrière cette violence, il y a, pour les auteurs aussi, à l'origine, de la souffrance. Bien sûr, ce n'est pas facile à entendre et à considérer. Mais même si cela n'excuse en rien les actes commis, c'est une réalité que connaissent tous les professionnels accompagnants. Il n'est pas simple de mettre en mots et en musique un sujet aussi grave que les violences conjugales. Mais la croyance que nous partageons au sein des artistes des Créateurs d'Émotions Positives, est que nos outils artistiques PEUVENT AIDER à faire prendre conscience, à déconstruire des préjugés, et à faire évoluer la prise en compte sociétale de ces situations. Alors aujourd'hui, la journée va être fructueuse et intense autour de ce texte. Pour poser des notes et une rythmique, qui illustre l'intention du morceau : l'espoir. Merci pour votre écoute et votre soutien : Catherine Labrousse Gwenaelle Guerlavais 🌿 Isabelle DEFRANOUX Florian DEVAUCHELLE Alexandre Goolab Virginie Doré Christine Vergnes delphine roux fatma nakib https://lnkd.in/eaGnXVGc
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Animatrice de Cercles de Paroles de Femmes - Psychologue - Independent Professional Training & Coaching Professional
VIOL ET EVOLUTION JURIDIQUE DE LA POSSESSIVITE DES HOMMES ET DE LEUR SOIF DE DOMINATION Pour les juristes du XVIe siècle, la victime n’est pas « la femme dont le corps a été violé mais son possesseur dont le droit a été bafoué ». Si elle est mariée, le viol est considéré comme un adultère – un crime extrêmement grave ; si elle est vierge ou veuve, comme du stupre – le violeur et sa victime sont alors confondus dans un même opprobre ; si elle constitue un parti intéressant, comme un « rapt de séduction » – dans ce cas, ce sont les parents, et non la jeune fille, qui sont lésés ; si elle a une réputation douteuse, comme une « simple fornication » – la victime fait alors l’objet d’une implacable condamnation sociale. Au XVIIIè siècle, ”dans les mentalités collectives, le seul “vrai” viol est celui de l’épouse, car c’est celui qui porte atteinte à l’honneur du conjoint, de la famille. Pour les femmes non mariées – les fillettes, les adolescentes, les célibataires ou les veuves –, le viol n’a aucune importance sociale : il passe le plus souvent pour un léger désagrément, un regrettable aléa de la vie... Dans le droit pénal laïque et démocratique qui émerge avec la Révolution française, le viol devient, au moins dans les textes, une atteinte à la dignité de la victime. Le citoyen est désormais pensé « à partir de lui-même et non à partir de quelque “possesseur” présumé »... Si les hommes de la fin du XVIIIe siècle proclament solennellement l’avènement de l’individu, ils laissent cependant les femmes sur le bord du chemin. Privées de droit de vote, considérées comme des mineures par le code Napoléon, elles sont encore, au XIXe siècle, entièrement soumises au bon vouloir de leur père ou de leur mari. « Le législateur napoléonien fait de la famille dirigée par le paterfamilias le pivot d’une société très hiérarchisée »… Sur le plan psychologique, au XIXe, la notion de traumatisme n’existe pas encore : personne n’a conscience des ravages psychologiques du viol. … Dans les campagnes, le viol des fillettes est considéré comme une sorte de fatalité. Malgré le psychiatre A.-A. Tardieu (1818-1879) qui le premier va prêter attention à la souffrance des petites filles violées de l’hôpital de Lourcine [à Paris, actuel hôpital Broca] , il faudra attendre les traumas militaires des 2 guerres pour que la névrose traumatique et le stress post-traumatique soient pris en considértion et 1978, lors du procès des violeurs de deux jeunes touristes belges dans les calanques de Marseille, lorsque Gisèle Halimi emploient pour la première fois le terme de “mort psychique” pour que la France découvre l’ampleur du saccage intérieur provoqué par un viol ... https://lnkd.in/enk_3fUE Au plaisir de lire vos prochains partages sur ”Equilibre Féminin-Masculin au fil des siècles” : https://lnkd.in/dq5sFuu2 #femme #genre #psy
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Au fond, les bons pères de famille auraient bien le droit de penser, de dire ou d'écrire ce de ce qu’ils veulent, si leur conversation publique n’empoisonnait pas chaque jour la recherche de la vérité en matière de violences sexistes, et donc la mise en œuvre de politiques pour les éradiquer. C’est là que ma tolérance trouve ses limites. Ils déplorent les meurtres conjugaux, s’engagent à y mettre fin dans les discours politiques, en font une grande cause présidentielle. En façade, ils n’ont pas de mots assez durs pour les hommes violents. Pourtant, quand il s’agit d'explorer la partie immergée de l’iceberg — c’est-à-dire le chemin qui mène aux coups et aux meurtres — et d’écarter des hommes de certains secteurs, la société des bons pères de famille se raidit. C’est cette parole de résistance que j'ai eu envie d'examiner, une parole mêlée de déni, de mythes et qui repose sur le silence des femmes et des enfants. Le discours des bons pères de famille est difficile à mettre au jour tant il tord la réalité et repose sur des principes a priori contraires. Il associe en permanence un mouvement de distinction et de confusion. En effet, les bons patriarches se construisent, en creux, contre des catégories d'hommes qu'ils méprisent et utilisent comme boucs émissaires. Ils se rêvent aimants et protecteurs, contre les hommes violents, les autres, les marginaux, les monstres, les fous, les pauvres et les étrangers. Il est vital pour eux de continuer à alimenter ce mécanisme de distinction pour faire diversion à leur propre violence. Dans le même temps, tout un mouvement de gashighting, soit de manipulation de la réalité, de confusion, est à l'œuvre pour que l’on continue collectivement à adhérer à un discours qui contredit notre vécu. Les bons pères de famille écrivent la réalité des violences avec les mots de la fiction, ils nous apprennent dès l’enfance à confondre l'amour et la haine, à considérer les violences punitives comme de l'éducation, à craindre la parole des femmes et des enfants présentée comme un risque pour l'intégrité de la famille et de la société tout entière. Ce système organisé autour des pères est parfaitement résumé dans cette formule de l’activiste féministe Robin Morgan, citée dans l’ouvrage de Patrizia Romito : « Si je devais citer une seule qualité propre au patriarcat, ce serait la compartimentation, la capacité d’institutionnaliser les déconnexions. L’intellect, séparé de l’émotion. La pensée, séparée de l'action. [...] Si je devais citer une seule qualité propre au féminisme radical, ce serait le sens des connexions - une aptitude dangereuse pour tout ordre établi, en raison de l’insistance à faire remarquer et faire savoir les choses. »
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#Metoo au théâtre Le dramaturge et écrivain Pierre Notte a été mis en examen pour le viol de l’un de ses anciens élèves de théâtre au lycée de 2004 à 2005, qu’il réfute en arguant d’une véritable « histoire d’amour » avec l’adolescent. 🙋♂️ Selon les statistiques, 1 homme sur 10 est la cible de harcèlement sexuel dans le cadre de son travail. Mais comme 70% cas ne sont pas rapportés, on imagine que le chiffre est largement sous estimé. 📍Les hommes sont aussi affectés par les violences morales et sexuelles dans la sphère professionnelle, c'est pourquoi la journée internationale contre le #harcèlement et pour #inclusion dans le monde du travail concerne tout le monde. Rejoignez-nous pour célébrer la deuxième édition dans les locaux de la chambre de commerce de Bruxelles le 23 mai et en ligne le 24 mai. 👉 Suivez la page International day against harassment and for inclusion in the world of work pour toutes les annonces concernant les évènements à venir. #24May #StopHarcèlementAuTravail #InclusionEnAction
Le dramaturge Pierre Notte mis en examen pour viol sur un ancien élève
lemonde.fr
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#vismaviedecomédienne => "Pourquoi les autres ont l'air de bien vivre la prison, et moi je suis le seul à pleurer tous les jours ?" => "Comment c'est possible d'être raciste à la campagne, quand t'as jamais vu un arabe ?" => "Pour les complotistes, c'est vraiment la géo-ingénierie qui fait venir le soleil à l'arrivée de la flamme olympique à Marseille ?" => "Pourquoi on se divise entre nous, alors que les véritables oppresseurs, c'est les GAFAM, ceux qui détiennent tout ? => "Pourquoi à la TV on parle toujours des problèmes des femmes, et jamais de nos problèmes en tant qu'hommes ?" Intervenir en prison est délicat. Y faire du théâtre, encore plus. Alors faire du théâtre / en prison / sur le thème "Égalité Femmes-Hommes", quand tu es une femme, et que tous les participants sont des hommes ! Chaque fois, je suis surprise du brassage social improbable : Peintre en bâtiment complotiste. Père de 4 enfants, directeur d'agence, qui essaie de faire soigner sa fille atteinte d'endométriose. Ex facho de campagne repenti. Jeune, passionné d'économie et d'histoire. Formateur de close combat pour la police. Ancien humoriste stand up parisien... Avec le théâtre, avec les histoires qu'on joue, que l'on se raconte, on ouvre la porte aux questions. Et c'est comme si les questions ouvraient, à l'infini, sur d'autres questions. "Elodie, pourquoi tu viens ici sur le thème Égalité Femmes-Hommes ? Pourquoi nous ? Vous croyez vraiment que c'est nous, la cause des inégalités dans la société ?" #SPIP #reinsertion #theatreenprison #sequestionner #theatre #detention
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3 moisBravo! à Yankadi, pour votre engagement et votre dévouement au service de ceux qui ont besoin d'un coup de pouce 👍