Systèmes de drones aérien collaboratif et SCAF (FRS) La plupart des grandes puissances militaires, seules ou en partenariat, conçoivent pour le futur des systèmes de systèmes de combat aérien fondés sur le combat collaboratif entre chasseurs habités de nouvelles générations et systèmes de drone aérien. La puissance étalon en la matière reste évidemment les États-Unis d’Amérique. L’US Air Force (USAF), après des années d’atermoiements, mais aussi l’US Navy (USN), mettent désormais l’accent sur le développement, dès le moyen terme, d’un inventaire conséquent de Combat Collaborative Aircraft (CCA) devant épaissir leur flotte de combat, devenue selon elles trop étiolée pour faire face à une agression chinoise. Le concept actuel est celui d’une « affordable mass » (« masse abordable »), c’est-à-dire une masse accrue à un coût maîtrisé. Ces CCA s’intégreront dans les systèmes de systèmes que constituent les Next Generation Air Dominance (NGAD) tant pour l’armée de l’Air que pour la Marine américaines. Le premier ensemble de missions concerné par cette vaste architecture de combat collaboratif est le counterair, l’acquisition de la supériorité aérienne (donc la chasse et la neutralisation des défenses antiaériennes ennemies – SEAD), mais l’USAF envisage « 100 rôles » pour ces CCA (interdiction, au CAS, au relais de communications). Cela étant, le débat sur les compromis à trouver en termes de coûts et de performances opérationnelles de ces équipements n’est pas encore achevé.
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[ 📄 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | ⚔️ PROGRAMME EQUIPEMENT ] 🖋️ 𝐔𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 𝐒𝐮𝐩𝐞𝐫-𝐑𝐚𝐟𝐚𝐥𝐞 𝐬’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢, 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐑𝐚𝐟𝐚𝐥𝐞 𝐅𝟓 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐒𝐂𝐀𝐅 ? 1/2 Par ses caractéristiques, et ses avancées, le Rafale F5 se rapproche d’un programme Super-Rafale, à l’instar de ce que le F/A-18 E/F Super Hornet aura été pour le F/A 18 Hornet, et représentera une étape majeure dans l’évolution du chasseur français. L’appareil disposera, en effet, d’une capacité de traitement de l’information et de communication renouvelée, lui permettant de contrôler et d’interagir avec des drones de combat. Ce faisait, le Rafale F5 pourra mettre un pied dans la fameuse 6ᵉ génération d’avions de combat, qui se construit aujourd’hui autour des programmes SCAF, GCAP ou NGAD, en occident. Toutefois, en s’imposant la même cellule et d’autres limitations liées à l’évolution itérative, le Rafale F5 ne pourra pas, véritablement, franchir le pas générationnel, même si ses caractéristiques opérationnelles seront transformées, et très proches de l’efficacité des chasseurs de 5ᵉ génération comme le F-35, le J-20 ou le Su-57. Se pose donc la question si, au-delà du Rafale F5 pour 2030, la France ne devrait pas développer, à horizon 2035, un véritable Super-Rafale, pouvant faire la jonction opérationnelle, technologique et commerciale, avec le programme SCAF, tant pour préserver l’efficacité des forces aériennes et aéronavales françaises, notamment celles impliquées dans la dissuasion, que pour préserver sa position dominante sur le marché des avions de combat, dans le monde. 💻 L'article de 𝐅𝐚𝐛𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐖𝐨𝐥𝐟 est à lire dans son intégralité sur le site de 𝐌𝐄𝐓𝐀-𝐃𝐄𝐅𝐄𝐍𝐒𝐄.𝐅𝐑 Ministère des Armées État-Major des Armées DGA - Direction générale de l'armement Armée de Terre Armée de l’air et de l’espace Marine Nationale Centre d’études stratégiques aérospatiales-CESA Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) Académie de défense de l'École militaire 🖋️ #RafaleF5 #ProgrammeSCAF #AvionDeCombat
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Version intégrale : Par ses caractéristiques, et ses avancées, le Rafale F5 se rapproche d’un programme Super-Rafale, à l’instar de ce que le F/A-18 E/F Super Hornet aura été pour le F/A 18 Hornet, et représentera une étape majeure dans l’évolution du chasseur français. L’appareil disposera, en effet, d’une capacité de traitement de l’information et de communication renouvelée, lui permettant de contrôler et d’interagir avec des drones de combat. Ce faisait, le Rafale F5 pourra mettre un pied dans la fameuse 6ᵉ génération d’avions de combat, qui se construit aujourd’hui autour des programmes SCAF, GCAP ou NGAD, en occident. Toutefois, en s’imposant la même cellule et d’autres limitations liées à l’évolution itérative, le Rafale F5 ne pourra pas, véritablement, franchir le pas générationnel, même si ses caractéristiques opérationnelles seront transformées, et très proches de l’efficacité des chasseurs de 5ᵉ génération comme le F-35, le J-20 ou le Su-57. Se pose donc la question si, au-delà du Rafale F5 pour 2030, la France ne devrait pas développer, à horizon 2035, un véritable Super-Rafale, pouvant faire la jonction opérationnelle, technologique et commerciale, avec le programme SCAF, tant pour préserver l’efficacité des forces aériennes et aéronavales françaises, notamment celles impliquées dans la dissuasion, que pour préserver sa position dominante sur le marché des avions de combat, dans le monde.
Un programme Super-Rafale s’impose-t-il aujourd’hui, entre le Rafale F5 et le SCAF ? 1/2
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✈ MC2 Technologies participe à l'entraînement des Armées Dans le cadre de l'exercice Black Crow 24, les pilotes de l'Armée de l'Air et de l'Espace s'entraînent à naviguer sans signaux de géolocalisation par satellite (GNSS) ou grâce à des solutions alternatives afin de recopier les conditions opérationnelles réalistes du terrain. Pour retrouver des conditions réalistes du brouillage, et sans mettre en danger le pilote ou les populations au sol, l'exercice utilise notre solution de brouillage haute puissance : NEPTUNE. 🛰 La solution est capable de brouiller le GPS (USA), Galileo (UE), Glonass (Russie) et Beidou (Chine) 🇫🇷 Solution 100% Française 🤝 Réalisée en collaboration avec l'Armée de l’air et de l’espace Pour en savoir plus sur notre solution, cliquez que le lien en commentaire ⬇ ➕ Lire l'article complet https://lnkd.in/ekEU2eBf
L’armée de l’air brouille les signaux GPS en France pour un exercice
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[ 📄 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | 🛫 EQUIPEMENT] 🖋️ 𝐀𝐢𝐫𝐛𝐮𝐬 𝐞𝐭 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞́𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐡𝐞́𝐥𝐢𝐜𝐨𝐩𝐭𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐬 Ces derniers mois, les retours d’expérience [RETEX] de la guerre en Ukraine ont alimenté un débat sur l’hélicoptère de reconnaissance et d’attaque. Ainsi, et c’est le cas de l’US Army, certains estiment que ce dernier n’a plus d’avenir en raison de la généralisation des drones sur le champ de bataille. D’autres pensent exactement le contraire, comme le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT]. « Beaucoup semblent convaincus, à l’aune de l’expérience russo-ukrainienne, que l’hélicoptère est désormais en voie de déclassement, au mépris de certains retours d’expérience qui montrent qu’il produit encore les effets attendus sur le champ de bataille », a en effet affirmé le CEMAT. Et d’insister : « L’hélicoptère habité n’a pas dit son dernier mot » car la « place de l’homme, instrument premier du combat, reste déterminante ». [...] 💻 Pour lire la suite de l'article de Laurent Lagneau, rendez-vous sur le site 𝐎𝐩𝐞𝐱𝟑𝟔𝟎.𝐂𝐎𝐌- 𝐙𝐨𝐧𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 Ministère des Armées État-Major des Armées DGA - Direction générale de l'armement Armée de Terre Armée de l’air et de l’espace Marine Nationale 🖋️ #Guerre #Ukraine #Hélicoptère #Drone #ChampDeBataille
Airbus et ses partenaires démontrent la complémentarité des hélicoptères et des drones aériens - Zone Militaire
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➡ L’armée de Terre confirme le contenu de la rénovation à mi-vie de seulement 42 hélicoptères d’attaque Tigre En février, l’US Army a brutalement mis fin au programme FARA [Future Attack Reconnaissance Aircraft] qui, lancé officiellement en 2018, devait se concrétiser par le développement d’un nouvel hélicoptère de reconnaissance et d’attaque. Cette décision a été motivée par les retours d’expérience [RETEX] de la guerre en Ukraine. « Nous apprenons du champ de bataille, notamment en Ukraine, que la reconnaissance aérienne a fondamentalement changé. Les capteurs et les armes montés sur divers drones sont plus omniprésents et moins coûteux que jamais. […] En examinant le programme FARA à la lumière des nouveaux développements technologiques, de l’évolution du champ de bataille et des projections budgétaires actuelles, il a été estimé que les capacités accrues qu’il offrait pourraient être obtenues de manière plus abordable et plus efficace en s’appuyant sur une combinaison » de différents moyens, comme les drones et les moyens spatiaux », fit alors valoir l’US Army. Faut-il pour autant en conclure que la guerre en Ukraine a sonné le glas pour l’hélicoptère de reconnaissance et d’attaque ? En tout cas, le ministère allemand de la Défense a décidé d’accélérer le remplacement des Tigre de la Bundeswehr par des appareils d’attaque plus légers, en l’occurrence 62 H145M, dont certains auront des capacités de lutte antichar. Seulement, cette décision a eu des répercussions en France et en Espagne, deux pays avec lesquels l’Allemagne était censée établir une coopération pour le développement du standard 3 du Tigre. Celui-ci était ambitieux puisqu’il prévoyait d’intégrer à cet hélicoptère le système de visée Strix NG, de nouveaux systèmes de navigation, la suite avionique FlytX, un dispositif d’autoprotection dérivé du CATS-150, des terminaux Micro TMA pour le guidage des missiles air-sol et de drones, le casque à viseur intégré TopOwl Digital Display, etc. Côté français, il était aussi question de permettre aux Tigre de l’Aviation légère de l’armée de Terre [ALAT] d’emporter des missiles Akeron LP [ex-missile haut de trame]. En mars 2022, les contrats relatifs au standard 3 du Tigre furent notifiés aux industriels concernés, via l’Organisation Conjointe de Coopération en matière d’Armement [OCCAr], sans attendre l’Allemagne. Sauf que l’ambition de départ fut réduite puisqu’il n’était plus question que de moderniser 42 Tigre sur les 67 en dotation au sein de l’ALAT. Puis, l’année suivante, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, expliqua devant les parlementaires qu’il fallait « réinterroger le modèle » des évolutions du Tigre, à la lumière des enseignements tirés des combats en Ukraine. Finalement, la Loi de programmation miliaire [LPM] 2024-30 rendit son verdict : le standard 3 allait être abandonné au profit d’une modernisation à mi-vie beaucoup plus modeste. (...)
L'armée de Terre confirme le contenu de la rénovation à mi-vie de seulement 42 hélicoptères d'attaque Tigre - Zone Militaire
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Analyste Politique et Économique | Spécialiste des Affaires Gouvernementales des États-Unis et de la France | Analyste Certifié en Affaires et Données | Membre, World Affairs Council & Musée des Beaux-Arts de Houston
Comment la collaboration franco-allemande sur le "Tank du Futur" impacte-t-elle la souveraineté nationale et l'autonomie de défense pour les deux pays, en particulier compte tenu des appels récents à accroître l'autosuffisance en matière de capacités de défense ? En ce qui concerne l'intégration de l'intelligence artificielle dans le MGCS, quelles mesures de sauvegarde sont mises en place pour garantir que les opérateurs humains conservent le contrôle et l'autorité décisionnelle, compte tenu des risques potentiels associés aux systèmes pilotés par l'IA ? Étant donné l'accent mis sur les environnements de combat collaboratifs et les systèmes multiplateformes, quelles garanties existent-il que l'intégration de différentes technologies et équipements de différents fabricants ne compromettra pas l'interopérabilité ou n'entravera pas l'efficacité opérationnelle sur le terrain ?
Ce vendredi 22 mars, Sébastien Lecornu et son homologue allemand, Boris Pistorius, ont annoncé avoir trouvé un accord sur la répartition industrielle du Main Ground Combat System (#MGCS). Qu’est-ce que le char du futur ? Explications 👇 https://lnkd.in/eASSvgkj
Accord franco-allemand pour le « char du futur »
defense.gouv.fr
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Lancé 2015, le programme Next Generation Air Dominance, ou NGAD, représentait, jusqu’à aujourd’hui, l’un des programmes majeurs de l’US Air Force. À l’instar de ce que fut le F-22 dans les années 90, qu’il soit permettre de remplacer, celui-ci vise à doter l’USAF d’un chasseur de supériorité aérienne capable de s’imposer, pour les deux décennies suivant son entrée en service, contre tous les appareils qui pourraient être produits dans le monde, en particulier par la Russie ou la Chine. Revers de ces exigences, le chasseur américain promet d’être cher, et même très cher. Selon le Secrétaire à l’Air Force, Franck Kendall jr, celui-ci doit couter « plusieurs centaines millions de dollars » par cellule, sachant que « plusieurs », ici, ne représente certainement pas 2 ou 3. De fait, l’US Air Force ne prévoyait que d’en acquérir un nombre limité, soit autour de 200 exemplaires, pour remplacer les F-22 qui, bien que demeurant l’un des meilleurs, si ce n’est le meilleur avion de supériorité aérienne du monde à ce jour, doit être retiré du service à partir de la fin de la décennie. Quoi qu’il en soit, rien ne laissait présager, dans le discours officiel, que ce programme emblématique de la modernisation de l’US Air Force, avec le bombardier B-21 Raider, l’ICBM Sentinelle et l’Awacs E-7 Wedgetail, puisse être menacé. C’est pourtant bien ce qu’ont laissé entendre, la semaine passée, le chef d’état-major de l’US Air Force, le général David Allvin, comme le SECAF, Franck Kendall jr.
Loyal Wingmen vs NGAD : l’US Air Force pourrait privilégier les drones de combat pour 2030
https://meta-defense.fr
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Par ses caractéristiques, et ses avancées, le Rafale F5 se rapproche d’un programme Super-Rafale, à l’instar de ce que le F/A-18 E/F Super Hornet aura été pour le F/A 18 Hornet, et représentera une étape majeure dans l’évolution du chasseur français. L’appareil disposera, en effet, d’une capacité de traitement de l’information et de communication renouvelée, lui permettant de contrôler et d’interagir avec des drones de combat. Ce faisait, le Rafale F5 pourra mettre un pied dans la fameuse 6ᵉ génération d’avions de combat, qui se construit aujourd’hui autour des programmes SCAF, GCAP ou NGAD, en occident. Toutefois, en s’imposant la même cellule et d’autres limitations liées à l’évolution itérative, le Rafale F5 ne pourra pas, véritablement, franchir le pas générationnel, même si ses caractéristiques opérationnelles seront transformées, et très proches de l’efficacité des chasseurs de 5ᵉ génération comme le F-35, le J-20 ou le Su-57. Se pose donc la question si, au-delà du Rafale F5 pour 2030, la France ne devrait pas développer, à horizon 2035, un véritable Super-Rafale, pouvant faire la jonction opérationnelle, technologique et commerciale, avec le programme SCAF, tant pour préserver l’efficacité des forces aériennes et aéronavales françaises, notamment celles impliquées dans la dissuasion, que pour préserver sa position dominante sur le marché des avions de combat, dans le monde.
Un programme Super-Rafale s’impose-t-il aujourd’hui, entre le Rafale F5 et le SCAF ? 1/2
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[ 🕹 𝐃𝐑𝐎𝐍𝐄] 🖋 𝐍𝐚𝐯𝐚𝐥 𝐆𝐫𝐨𝐮𝐩 𝐞𝐭 𝐂𝐨𝐮𝐚𝐜𝐡 𝐬’𝐚𝐥𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐫𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́𝐬 𝐚𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 𝐧𝐚𝐯𝐚𝐥 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟 Si l’usage généralisé de drones aériens FPV [First Person View – Vue à la première personne] durant la guerre en Ukraine n’est peut-être qu’une parenthèse, comme le pense le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], il en ira certainement autrement pour les drones de surface [USV], ceux-ci ayant permis aux forces ukrainiennes, dépourvues de navires de guerre, d’infliger de sérieux revers à la flotte russe de la mer Noire. [...] 💻 La suite de l'article de Laurent Lagneau est à lire dans son intégralité sur le site d'𝐎𝐏𝐄𝐗𝟑𝟔𝟎.𝐜𝐨𝐦 Ministère des Armées DGA - Direction générale de l'armement NAVAL GROUP Chantier Naval Couach - CNC Marine Nationale Armée de Terre Armée de l’air et de l’espace Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) 🖋 #Drone #NavalGroup #DronesAériens #Ukraine #DronesDeSurface #SeaHunter
Naval Group et Couach s'allient pour proposer des drones de surface dédiés au combat naval collaboratif - Zone Militaire
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