Il y a 70 ans, la Convention internationale pour la protection des #BiensCulturels en cas de conflits armés a été signé à La Haye (NL). À cette occasion, les experts des 135 hautes parties contractantes se sont réunis en début de semaine pour le congrès « Cultural Heritage & Peace », organisé par le #RoyaumeDesPays-Bas et l'UNESCO dans la ville de la paix. La #Suisse était également représentée par une délégation à La Haye. Les experts de l'Office fédéral de la protection de la population (OFPP), de la section UNESCO du EDA - DFAE - FDFA, de la Commission suisse pour l’UNESCO (CSU) et de la Commission fédérale de la protection des biens culturels (CFPBC) ont partagé leur expertise reconnue, découvert des initiatives mondiales et réaffirmé l'engagement indéfectible de la Suisse dans la #ProtectionDesBiensCulturels. Les discussions ont notamment porté sur la #Cybersécurité, la #CoopérationInternationale et les compétences spécifiques en matière de protection des biens culturels dans les armées. Toutefois, l'accent a été mis sur l'aspect profondément humanitaire de la protection des biens culturels, crucial pour la sauvegarde et la reconstruction de biens culturels et donc décisif pour la préservation de la #Paix. La délégation suisse exprime sa profonde gratitude aux organisateurs pour cette conférence enrichissante et fructueuse. #ConflitArmé #PatrimoineCulturel #Sécurité #PolitiqueDeSécurité #Droitinternationalhumanitaire #1954HagueConvention #CulturalPropertyProtection #ProtectHeritage #CulturalHeritage is #NotATarget #InternationalHumanitarianLaw #ShareCulture
Post de Office fédéral de la protection de la population OFPP
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Tant que les principales puissances européennes nieront l'évidence d'un rapprochement salutaire avec la Russie - qui est plus européenne qu'asiatique, craint l'étreinte fatale chinoise et demeure l'ultime marche de défense de l'UE face à Pékin dont les nouvelles routes de la soie sont de gigantesques tentacules projetées vers elles -, tant qu'elles se laisseront diviser et intoxiquer par une russophobie anachronique, elles demeureront prisonnières d'une vision rétrograde du monde, à contretemps et contre-emploi de leurs intérêts économiques et sécuritaires propres (C. Galactéros, vers un nouveau Yalta, 2019)
La "Tribune de Genève" informe qu’en juin prochain, « Le sommet pour la paix en Ukraine aura lieu au Bürgenstock ». L’article est réservé aux abonnés, les commentaires sont, je crois accessibles et valent qu’on s’y arrête. Le journal gratuit "20 minutes", quant à lui, vous ouvre les portes du « mythique palace alémanique que les Romands ne connaissent pas ». On nous montre un complexe de luxe dont on retrace l’histoire, on nous explique pourquoi « le ...
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⭐️ 𝗖𝗼𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 | 𝗣𝗿𝗼𝘁𝗲́𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗶𝗺𝗼𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘇𝗼𝗻𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁 L’Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit (ALIPH) est une fondation de droit suisse fondée à Genève en 2017 en réponse à la destruction massive du patrimoine, principalement en raison du terrorisme et des guerres au Moyen-Orient et au Sahel. Au moyen d’exemples concrets, la conférence explorera l’action d’ALIPH dans les zones en conflit et post-conflit, notamment en Ukraine, en Syrie ou en Afghanistan. Nous verrons comment l'Alliance contribue à protéger notre histoire commune par le biais d’interventions d’urgence, de la formation des professionnels locaux, du soutien à des projets de réhabilitation de sites ou monuments ou de sauvegarde d’œuvres d’arts menacés par les conflits, avec la conviction que sa mission favorise le développement durable et la construction de la paix. "La protection du patrimoine dans les zones en conflit" Conférence de Madame Alexandra FIEBIG Jeudi 15 février 2024 à 18:45 Palais de l'Athénée, Genève Informations et inscriptions : https://lnkd.in/eyKgt4H8 ALIPH - International alliance for the protection of heritage in conflict areas #societedesarts #SdA #patrimoine #heritage
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Sommet du Bürgenstock: je suis fière d’être Suisse. C’est un premier pas sur le chemin qui conduit à la paix. Un cadre a été fixé sur lequel on peut construire. Ce sommet a permis de se mettre d’accord sur plusieurs aspects importants tels que la sécurité alimentaire dans le monde, la protection des centrales nucléaires, les aspects humanitaires avec les échanges de prisonniers et la sécurité de navigation en mer Noire. Une dynamique est enclenchée: il y a un consensus sur la nécessité de faire avancer le processus de paix en Ukraine en se fondant sur le droit international, et en particulier sur la Charte des Nations-Unies. Ce sommet suscite un élan d’espoir. Pas seulement en Ukraine. Dans le contexte géopolitique actuel, le monde en a bien besoin. Les prochaines étapes seront déterminantes: un suivi au niveau technique et ministériel est prévu. Plusieurs pays se sont dits prêts à accueillir un second sommet. La Suisse a démontré sa capacité de rassembler. D’organiser de tels evenenents. D’en assurer la sécurité. Sa tradition de solidarité et de bons offices est reconnue par la communauté internationale. Notre pays a eu le courage de faire le premier pas, d’organiser ce sommet sur la paix. Nous pouvons en etre fiers. Photo: Alessandro Della Valle #suisse #bürgenstock #paix #Suisse Ignazio Cassis #violaamherd Alessandro della Valle Viola Patricia Amherd
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Une étape très importante et utile dans l'histoire du droit d'asile en France
VIENT DE PARAITRE Marianne AMAR, Aline Angoustures, Kévonian Dzovinar, Anouche Kunth (dir.), "Entre décolonisation et guerre froide : Administrer l'asile (1960-1990)", Rennes, PUR, Mai 2024, 398 p. Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du second volume publié par le Comité d'Histoire de l’Office français pour la protection des réfugiés et des apatrides, centré sur la période de la guerre froide et des décolonisations. En tenant compte des nouvelles orientations de la recherche, l’ouvrage a une approche globale du réfugié comme sujet d'histoire, ne réduisant pas celui-ci à une dimension d’objet passif des politiques publiques, des mobilisations et des programmes humanitaires. Ce volume étudie les enjeux de catégorisation au regard des questions de diplomatie, les nouvelles échelles et pratiques dans un contexte d'augmentation de la demande d'asile. Il s’intéresse tout autant aux vies des réfugiés sous protection et propose des approches comparées intégrant des dynamiques transversales qui dépassent la France et l’Europe. Ouvrage collectif, il permet de nuancer la grille d'analyse de la guerre froide, d'appréhender par la pratique l'impact des décolonisations, la crise de l'asile et la prégnance des enjeux économiques et sécuritaires. Associant historiens, juristes, sociologues et politistes, ce livre donne également la parole aux témoins et aux acteurs.
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La communauté internationale a-t-il déjà oublié la crise des Rohingyas ? La crise des Rohingyas dure depuis sept ans et rien ne semble indiquer qu’elle va s’arrêter. En 2017, plus d’un million de Rohingyas de Birmanie ont traversé la frontière pour trouver refuge au Bangladesh, en raison des opérations systématiques de nettoyage ethnique menées par leur gouvernement, que le monde semble laisser se poursuivre à un rythme soutenu. Il s’agit de l’un des cas de violations des droits de l’homme les plus graves de l’histoire. La répression violente menée par le gouvernement birman en 2017 a également entraîné 9 000 morts et des destructions massives. Alors que la crise des réfugiés rohingyas touche à sa fin depuis sept ans, un nouvel appel se fait entendre pour que les partenaires internationaux continuent de soutenir le pays afin de protéger près d’un million de Rohingyas accueillis par le Bangladesh et de contribuer à trouver des solutions à long terme à leur situation difficile. Depuis les années 1970, les Rohingyas, un groupe ethnique du Myanmar, sont la cible de persécutions persistantes. L’éclatement de la guerre civile au Myanmar en 2021 a aggravé la situation des Rohingyas et les a rendus encore plus vulnérables. La situation du peuple Rohingya a été aggravée par le ciblage persistant de la junte militaire et de l’armée d’Arakan. Plus de 100 000 Rohingyas sont réfugiés en Malaisie en juillet 2024 ; des milliers d’autres se trouvent en Indonésie, en Thaïlande et au Bangladesh. La situation reste grave. L’incapacité de la communauté internationale à agir rapidement au plus fort du génocide en 2017 a été l’une de ses défaillances les plus évidentes. L’une des critiques les plus accablantes de la réponse internationale à la crise des Rohingyas est l’absence de programmes d’accueil d’urgence, de rapatriement ou de réinstallation pendant cette période cruciale. La question des Rohingyas est devenue une illustration puissante de ce qui se passe lorsque la persécution est soutenue et organisée au fil du temps. La communauté Rohingya a enduré des souffrances indescriptibles au Myanmar. Afin de rapatrier les Rohingyas, le Bangladesh et la Birmanie ont entamé des négociations bilatérales en 2017. Personne n’a réussi à rapatrier un seul Rohingya en Birmanie malgré de multiples tentatives. https://lnkd.in/daSz3_B6 #geostras #ONU #Rohingya #Bangladesh #China #india #Myanmar
Geostratégie, Sécurité et Défense
geostras.com
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VIENT DE PARAITRE Marianne AMAR, Aline Angoustures, Kévonian Dzovinar, Anouche Kunth (dir.), "Entre décolonisation et guerre froide : Administrer l'asile (1960-1990)", Rennes, PUR, Mai 2024, 398 p. Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du second volume publié par le Comité d'Histoire de l’Office français pour la protection des réfugiés et des apatrides, centré sur la période de la guerre froide et des décolonisations. En tenant compte des nouvelles orientations de la recherche, l’ouvrage a une approche globale du réfugié comme sujet d'histoire, ne réduisant pas celui-ci à une dimension d’objet passif des politiques publiques, des mobilisations et des programmes humanitaires. Ce volume étudie les enjeux de catégorisation au regard des questions de diplomatie, les nouvelles échelles et pratiques dans un contexte d'augmentation de la demande d'asile. Il s’intéresse tout autant aux vies des réfugiés sous protection et propose des approches comparées intégrant des dynamiques transversales qui dépassent la France et l’Europe. Ouvrage collectif, il permet de nuancer la grille d'analyse de la guerre froide, d'appréhender par la pratique l'impact des décolonisations, la crise de l'asile et la prégnance des enjeux économiques et sécuritaires. Associant historiens, juristes, sociologues et politistes, ce livre donne également la parole aux témoins et aux acteurs.
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#HierAujourd’hui | 🇵🇸&🇮🇱 Le 21 juin 1998, en pleines négociations de paix israélo-palestinienne, le gouvernement de Benyamin Netanyahou approuve le nouveau plan de la ville de Jérusalem, dit celui du « Grand Jérusalem ». 🏙️ Ce nouveau plan, approuvé contre l’avis du Chef de l’État israélien Ezer Weizman, traduit une volonté de « renforcer la majorité juive » à Jérusalem, en y englobant de nouveau quartiers juifs de l’ouest de la ville, et en y rattachant administrativement deux colonies installées sur des terres arabes expropriées au nord et à l’est. 📜 Netanyahou entend alors faire de l’intégralité de la Ville Sainte la capitale d’Israël, et non seulement Jérusalem-Ouest, afin d’empêcher toute émergence d’un État palestinien ayant pour capitale Jérusalem-Est. ⚡ Cette décision est qualifiée de provocatrice par Washington, et viole l’un des principes des accords d’Oslo de septembre 1993, qui imposait notamment de maintenir un statu quo territorial à Jérusalem dans l’attente de la négociation du statut définitif de la ville. #jerusalem #palestine #israel #colonisation
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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L’ONU ET MINUSCA : LE CAMEROUN EN AMBASSADEUR DE LA PAIX MONDIALE Continuer d’investir dans la recherche de la paix, malgré tout. Continuer de s’investir dans la recherche de la paix, envers et contre tous. L’engagement vital pris par le Cameroun dès son accession à la souveraineté internationale se matérialise pour la première fois, lors du conflit sécessionniste des années 1967-1970 qui ensanglante alors le Nigeria voisin. En dépit des incitations nombreuses et pressantes, notre pays va résolument s’abstenir de servir de base arrière à la faction irrédentiste. Toujours fidèle à sa nature de pupille des Nations Unies, le Cameroun va franchir un palier supplémentaire dans la concrétisation du principal idéal de cette organisation, à travers le déploiement en 1993, de nos soldats dans une mission de maintien de la paix au Cambodge. S’ensuivront d’autres déploiements du même type en diverses régions de la planète, le départ en cours du 11e contingent de nos militaires pour la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation de la Centrafrique, étant le dernier en date d’une liste déjà fournie. Une énième projection qui tout en rentrant en droite ligne de la profonde conviction de notre pays dans l’importance cardinale de la paix dans l’épanouissement de l’humanité, témoigne de l’estime et la confiance dont jouit notre pays sur la scène internationale. Ceci parce qu’au regard de leurs dynamiques idéologiques et fonctionnelles, les missions de maintien de la paix ne peuvent être menées à bien que par des acteurs dont la posture politique, les capacités opérationnelles et la moralité des personnels sont approuvées par les puissances mandantes, ces mêmes attitudes et aptitudes devant être légitimées sur le terrain par l’acceptation des bénéficiaires, tant les parties belligérantes que les populations civiles. A l’adresse de ceux qui s’interrogent, à juste titre d’ailleurs, sur l’intérêt d’un tel investissement à tout point de vue coûteuse en vies humaines autant qu’en ressources matérielles, l’on peut évoquer entre autres dangers, l’éventualité d’un déversement sur notre sol, des facteurs d’insécurité provenant du Sahel, ou même des rivages de la Mer rouge. Donc, pour nos militaires des armées et de la gendarmerie aujourd’hui missionnés, le succès de la mission est un objectif primordial, qui ne peut être atteint qu’avec le souci permanent de la protection des civils. Il serait de ce fait incongru, contre-productif et voire dangereux, de se comporter en conquérants, soit par la commission d’exactions, soit même par l’entretien de quelque activité interlope. A l’instar de leurs camarades des contingents antérieurs, ils se doivent de perpétuer cette épopée prestigieuse de notre pays, par la stricte observance des enseignements et des préceptes reçus pendant la formation pré-déploiement. Ils y sont d’autant plus obligés que par un heureux concours de circonstances, la mission ...
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Proche-Orient : La paix a-t-elle un avenir ? Conférence d'E. Danon, Ambassadeur de France en Israël 08/2019 à 07/2023. Lien d'inscription en 1er message. Le conflit entre Israël et le Hamas bouleverse profondément le Proche-Orient mais sa complexité et sa radicalité interpellent bien au-delà de la région, déchainant partout passions politiques et extrémismes idéologiques. Pour autant, la paix n’est pas impossible entre des peuples destinés - et non pas condamnés - à vivre ensemble. Encore faut-il imaginer des cheminements nouveaux pour s’attaquer à l’ensemble des problèmes à régler : territoriaux certes, mais aussi identitaires, religieux, symboliques... Autrement dit, développer une approche différente des plans de paix, feuilles de route et autres processus élaborés loin de la région depuis des décennies, autour de « solutions » diplomatiques inefficientes. C’est ce à quoi s’attachera cette conférence. Éric Danon, spécialiste des questions stratégiques et de sécurité internationale, y développera des perspectives appuyées sur son expérience d’ambassadeur de France en Israël de 2019 à 2023, enrichie d’une sensibilité familiale particulière (ses deux parents étant nés à Alexandrie et ses grands-parents à Istanbul, Rhodes, Beyrouth et Le Caire). Biographie du conférencier Ambassadeur de France en Israël d’août 2019 à juillet 2023, Éric Danon est aujourd’hui consultant international et membre du Conseil d’Administration de nombreuses fondations et associations. Il enseigne dans trois universités françaises ainsi qu’à la Sorbonne Abu Dhabi ; il est membre du Conseil scientifique du Diploweb. Éric Danon s’est spécialisé durant sa carrière diplomatique (1986-2023) dans la prospective et les questions stratégiques, la sécurité internationale et la lutte contre les menaces criminelles contemporaines, ainsi que dans la coopération / développement. Il a notamment occupé les postes de Directeur Général adjoint pour les Affaires Politiques et de Sécurité au Quai d’Orsay de 2016 à 2019, Directeur Général du Conseil Supérieur de la Formation et de la Recherche Stratégiques de 2013 à 2016, Ambassadeur pour le désarmement à Genève de 2008 à 2012, Directeur de Cabinet du ministre de la Coopération et de la francophonie en 1999-2000. Éric Danon est normalien (1977-82), agrégé de physique (1980), diplômé de Sciences Po Paris (1983) et ancien élève de l’ÉNA (1984-86, promotion Denis Diderot). Il est Chevalier de la Légion d'honneur, de l'Ordre national du Mérite et Colonel de la réserve citoyenne de l’armée de l’air. Il est marié à Marie-Christine Dupuis-Danon (HEC 93, IHEDN 69ème PolDef) et père de cinq enfants. Lien d'inscription en 1er message. Eric Danon Association des Étudiants et Alumni du MRIAE MRIAE - Magistère/Masters Relations Internationales et Action à l'Étranger NICOLAS BRONARD Bruno Dupré, Ph.D
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Political Affairs Officer, Federal Department of Foreign Affairs, United Nations Division
5 mois3 jours très inspirants 👏🏽