Post de Agence canadienne d'inspection des aliments

🛑 Plantes toxiques 🛑 Bien trop de chevaux sont encore confrontés à des intoxications de plante 🌱 par manque d’informations de leur gardien!!! 🌍 Aujourd’hui l’information est facile pour la gestion de nos pâtures, que ce soit par internet, des applications comme #PlantNet, des formations avec Angélique Descarpentry. ⛔️ Certaines plantes les plus toxiques, doivent être absolument éradiquées de nos pâtures, comme le 𝐒𝐞́𝐧𝐞𝐜̧𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐉𝐚𝐜𝐨𝐛 ou de 𝐂𝐚𝐩, la 𝐏𝐨𝐫𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐄𝐧𝐫𝐚𝐜𝐢𝐧𝐞́, ou encore l’𝐎𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭𝐡𝐞 𝐬𝐚𝐟𝐫𝐚𝐧𝐞́𝐞, comme dans le Poste de l’Institut français du cheval et de l'équitation - IFCE. 🐴 Les enjeux sont importants pour nos chevaux, prendre soin d’eux passe aussi par l’entretient de leur pâture. 😉 www.harasdessylves.fr

Suite à notre dernier sondage vous avez été 58 % à répondre que les attaques de ravageurs étaient le défi le plus fréquent rencontré par les agriculteurs lors de la levée du maïs. 🌽 Le changement climatique, les réglementations, les mauvaises herbes, les attaques d'oiseaux et d'insectes, tous ces facteurs et bien d'autres encore peuvent avoir un impact sévère sur le développement du maïs à ses stades végétatifs les plus vulnérables. La densité de plantes est la première composante de rendement. Une architecture de peuplement idéale permet une régularité d'épis et un épi bien rempli par plante. La nouvelle solution BOOST & GO créée par Lidea associe quatre modes d'action qui opèrent à des moments différents pour préserver le potentiel génétique durant les premiers stades de développement du maïs : ✅Une protection de la culture contre les stress biotiques ✅ Une combinaison de nutriments essentiels pour les premiers stades de la croissance du maïs ✅ Un mode d'action biostimulant qui soutient le développement de la plante ✅ Une meilleure répartition de l'enrobage autour des graines Si vous êtes vous-même concerné ou que vous connaissez dans votre entourage des personnes susceptibles de voir leurs cultures altérées, pensez à la solution BOOST & GO de Lidea.

A #SainteAffrique, des apiculteur.rices ont subi une perte massive d’#abeilles, estimée à plus d’un million, attribuée à l’utilisation de ⛔#deltaméthrine, un #insecticide utilisé pour traiter les brebis contre la fièvre catarrhale ovine. Les ruchers affectés étaient situés dans des zones d’élevage de brebis, alors que ceux en montagne ou en forêt n'ont pas été touchés. Le GDS (Groupement de Défense Sanitaire) avait averti les éleveurs de la nécessité de désinsectiser les brebis, mais les apiculteurs n'avaient aucun moyen pratique de se renseigner sur les traitements effectués autour de leurs ruches. Ces derniers critiquent la gestion de cette crise par les autorités sanitaires, soulignant que les éleveurs auraient pu déclarer les traitements afin de leur permettre de protéger leurs ruches. Des pertes similaires ont été recensées chez d’autres apiculteurs de la région, totalisant plus de 37 millions d’abeilles décimées. Cet événement reflète la vulnérabilité croissante des abeilles face à l'#agriculture intensive et aux substances chimiques, aggravée par l'abandon de mesures de formation pour les agriculteur.rices sur les risques pour les #pollinisateurs. #Apiculture #ProtectionDesPollinisateurs #AgricultureBiologique #Biodiversité #SantéEnvironnementale #Écologie #Environnement ❇️ MERCI aux nouvelles et nouveaux abonné.es ayant fait le choix de recevoir notre newsletter, ainsi qu'aux donateur.rices soutenant notre engagement pour la #transparence. Liens dans la bio ❇️

📸 Photo de la semaine : Plus de chants dans les champs ! 👀 De la taille d’un poulet, l’Outarde canepetière est un oiseau typique des milieux semi-arides, très difficile à observer car extrêmement méfiant et discret. Pendant la période de reproduction, le mâle arbore un plumage nuptial distinctif. Son cou présente alors un collier noir entrecoupé de deux bandes blanches, dont l’une dessine un « V ». Son chant est également caractéristique : un « prett » court et sec, émis à intervalles réguliers. Le nid sommaire est installé à même le sol dans des prairies hautes ou des champs de céréales. 🐣Le Centre Ouest de la France accueille la dernière population européenne d’outardes migratrices, qui viennent s’y reproduire avant de passer l’hiver dans la péninsule ibérique. ↘️ En moins de 50 ans, les effectifs se sont effondrés de plus de 95% dans la région, où moins de 400 mâles chanteurs subsistent difficilement aujourd’hui. La LPO anime le Plan national d’actions 2020-2029 pour tenter d’y sauvegarder l’espèce. 👉 La cause principale de ce déclin est bien identifiée : l’intensification des pratiques agricoles et son cortège de pesticides qui imposent un silence inquiétant dans nos campagnes. Alors que 93 mégabassines sont actuellement en projet en Poitou-Charentes à proximité des zones de présence des outardes, la LPO participe à la mobilisation contre ces retenues d’eau géantes destinées à l’irrigation céréalière, aux effets délétères sur l’environnement. 📆 Nos équipes seront ainsi présentes au Village de l’eau installé à Melle (Deux-Sèvres) du 16 au 21 juillet. Si vous vivez ou passez vos vacances dans le coin, venez leur rendre une petite visite ! 😉 ©️Jean-Luc Pinaud #Photodelasemaine #PhotodelasemaineLPO #Megabassine #agriculture

Du labour au semis sur couverture végétale permanente (SCV)…agir et avoir des résultats ! Il y a 3 ans quand j’ai rencontré cette entreprise elle labourait ses champs de prairies pour le maïs-ensilage qui suivait dans la rotation. On lui expliquait que le glyphosate devait être appliqué avant le labour. Le producteur mettait du fumier à l'automne et souvent une autre dose au printemps. On lui disait de mettre de l'urée avant le semis, un démarreur N-P-K et de l'azote en post-levée. Suivant le labour également deux à trois passages seront nécessaires pour faire un semis adéquat …et plusieurs heures pour ramasser les pierres sont à prévoir…. Ici nous sommes dans le Bas St-Laurent! Il fait froid et le semis direct ne fonctionne pas selon selon plusieurs acteurs sur le terrain! Cette réalité est pourtant bien présente partout au Québec je vous le garanti et c’est encore la norme! FAIRE DIFFÉREMMENT GRACE À LA MÉTHODE DE SCV AGROLOGIE! 3 ans plus tard, maintenant la prairie demeure présente toute l’hiver et reprend vigueur au printemps. Pas d’érosion dans les fossés et cours d’eau…Cette prairie relâchera des sucres et agira comme biostimulant pour le maïs qui sera semé directement.. bien oui ça fonctionne! La prairie sera contrôlée par la suite, seule l’azote sera mis au sillon sans ajout de fertilisant en post-levée! La prairie laissera un sol et un environnement optimal à la croissance du maïs dont celui-ci sera en mesure d’explorer le sol sous différents horizons! La résultante : pas de travail de sol, 80% moins d’Engrais, 50 % moins de pesticides, des opérations en moins et un maïs plus performant et nutritif pour le troupeau. Un producteur dont l’indice de bonheur est grandement augmenté car il fait plus avec moins! C’est ça faire confiance au système innovant de semis sur couverture végétale permanente (SCV)! Des solutions innovantes de demain! Avec, pour et chez les Agriculteurs!

Avez-vous du mal à protéger vos cultures de pommes contre la mouche de la pomme, les scolytes et les tordeuses? Dans le cadre de l'activité de recherche de la Grappe 4 intitulée « Réduction des pertes dues aux ravageurs du pommier grâce à des stratégies de lutte alternatives », l'équipe de recherche dirigée par Suzanne Blatt d'AAC s'efforce de trouver de nouvelles façons de lutter contre ces ravageurs.   Les chercheurs étudient comment la modification du paysage autour des vergers peut réduire les populations de scolytes, entraînant une augmentation du taux de survie des arbres et réduisant la nécessité de replanter certaines parties d'un verger. Ils étudient également comment la dissémination d'insectes stériles pour lutter contre la mouche de la pomme peut s'intégrer dans les programmes de gestion actuellement utilisés par les producteurs.   Au cours de l'hiver, l'équipe de recherche a pu procéder à un lâcher de mouche de la pomme stérile en mettant à l'épreuve 19 régimes alimentaires différents. Des preuves de ponte ont été trouvées, les œufs et les jeunes mouches de la pomme vivants ayant été retirés des pommes. Le meilleur régime a permis d'obtenir un taux de pupaison de 60 % lorsque des mouches de la pomme vivantes ont été ajoutées au régime. L'ajout d'œufs au régime a entraîné un taux de réussite plus faible.   Pour plus amples informations, consultez notre page web consacrée à la Grappe 4 https://fvgc.ca/cluster-4/   #Grappe4 #AgriScience #HorticultureInnovation #Agriculturedurable #ImpactPFLC

🌿 L’impact de la sécheresse sur les oliviers à Béni Mellal : Une réalité alarmante sur le terrain Je partage ici une vidéo qui met en lumière les effets dévastateurs de la sécheresse prolongée sur les oliviers dans la région de Béni Mellal. Bien que je ne sois pas l’auteur de cette vidéo, elle illustre parfaitement les défis auxquels nos agriculteurs sont confrontés. Ces images nous rappellent l’importance cruciale d’adopter des solutions durables pour protéger nos ressources et nos systèmes agricoles. #Sécheresse #AgricultureDurable #Oliviers #ChangementClimatique #InnovationAgricole #BéniMellal

Cela fait plus de 3 ans que je rédige des articles chaque mois pour des revues spécialisées, sur les thèmes de l’herboristerie et de la cueillette sauvage. ☘ En ce moment je traite un sujet essentiel : le process de la plante au complément alimentaire, pour la revue de l'herboriste. De la cueillette sauvage ou la culture d’une plante jusqu’à sa mise sur le marché sous forme de gélule est un long parcours. Un parcours semé d’embuches, du cueilleur non reconnu, mal payé, et qui survit bien souvent grâce à ces maigres revenus et pour qui le sort de la plante n’est pas une priorité. 🛑 En passant par les fraudes intentionnelles, les problèmes de traçabilité, les différences de cultures d’un continent à l’autre, une législation qui permet plus de liberté que pour un médicament, tant de paramètres qui font que ce qui se retrouve dans la gélule n’est parfois pas la bonne plante, ou bien d’une qualité exécrable sans aucun respect ni de la plante, ni des cueilleurs. C’est un sujet très vaste, nourrit par les enseignements reçus pendant ma participation au Diplôme Universitaire d’ethnobotanique l’automne dernier et de quelques ouvrages, principalement ceux d’Aline Mercan. En creusant, on se rend compte qu’il est très souvent possible de remplacer une plante venue de l’autre bout de la planète, rare et en voie de disparition, par une plante commune de notre territoire. Par exemple, dans le cas de problèmes de prostate, le prunier d’Afrique (Pygeum africanum) dont on utilise l’écorce, est classé maintenant sur la liste de II de la CITES (Commerce International des Espèces Sauvages), et va probablement passer sur la liste I qui en interdira totalement le commerce. Les cueilleurs en dépendent économiquement et cette plante est souvent la cible de biopiraterie. Il peut être remplacé par la racine d’ortie, en extrait alcoolique ou sec. Elle limiterait l’hypertrophie de la prostate et sa cancérisation. 📙 L’ouvrage d’Aline Mercan « Manuel de phytothérapie écoresponsable, se soigner sans piller la planète » fait l’état des lieux de la situation et propose de nombreuses solutions pour préserver sa santé et notre belle Terre. Aux Editions Terre vivante. #phytothérapie #complémentalimentaire #herboristerie #plantemédicament

Les mauvaises herbes réduisent les rendements des pommes de terre L'un des problèmes de la culture de la pomme de terre est la contamination des plantations. S'il y a un grand nombre de mauvaises herbes, les rendements des pommes de terre peuvent diminuer de 20 à 25 % ou plus. Mauvaises herbes...

La menace n’est pas encore perceptible, mais le raphia pourrait disparaître un jour. En cause, son exploitation irrationnelle par les populations. « De part l’usage qu’en font les populations, le raphia est une espèce emblématique. L’économie des paysans de nos villages sont plus ou moins basée sur cette ressource. Mais le contraste était que, plus l’usage est important, moins le raphia est connu. Les gens n’ont pas les usages très diversifiés du raphia. Dans les localités où cette ressource est disponible, les populations n’en ont parfois qu’un usage spécifique qui peut être : l’extraction du vin de raphia ; la collecte des vers blancs (Foss) ; la fabrication du balai traditionnel ou la confection des mailles pour les toitures des maisons ; la vannerie, etc. Le reste de la plante étant voué à la destruction. Prévenir les pénuries en eau La plante aurait aussi des vertus médicinales notamment dans le traitement du diabète et de l’hypertension. Le vin est utilisé comme décoction par les femmes qui allaitent pour booster la production du lait maternel. « Pour le moment, le raphia est disponible sur toute l’année. Mais les populations ne l’appréhendent pas encore, cette ressource pourrait venir à manquer » la destruction de cette plante entraîne l’assèchement des marécages ce qui cause sur le terme, le manque d’eau dans les localités concernées. « C’est une espèce qui aide à conserver l’eau dans le sol » les possibles effets du changement climatique sur ce végétal. Le Combat donc pour ma protection du Raphia se révèle donc être une sorte de sonnette d’alarme afin de limiter la destruction de cette plante. Ceci passe par l’optimisation de l’exploitation d’un tronc abattu. #StopAlaDestructionduRaphia #ProtegeonsleRaphia #Raphia