Post de Club Landoy - groupe Bayard

[ #Zoom_sur le #BaromètreLandoy2024 ]   🔶 Selon le dernier #Baromètre Landoy réalisé avec le GROUPE IFOP et présenté le 18 janvier dernier lors de la Journée-débat annuelle du Club Landoy, 67 % des Français actifs préfèrent entreprendre une #carrière longue à un seul endroit.     🔸 Comme #JérômeFourquet, directeur du département « #Opinion et #stratégies » de l’#Ifop, l'explique..: « Quand vous interrogez les personnes elles-mêmes sur ce qu’elles préfèrent entre une carrière longue à un seul endroit ou des changements de poste ou d’entreprise assez fréquents, deux-tiers d’entre elles plaident plutôt pour la #stabilité. [...] Si le discours médiatique – matin, midi et soir – nous répète que le #mouvement perpétuel est l’avenir de tout, ce n’est pas une attente fortement partagée à la base. De manière assez logique, plus on monte en âge, plus on aspire à la stabilité mais on observe aussi que les 25-34 ans sont 61 % à préférer la stabilité. Tout cela est cohérent [...] : la première notion que l’on associe au #travail est la #sécurité. »   ...les résultats du Baromètre Landoy 2024 témoignent ainsi d'une #préférence certaine pour la stabilité professionnelle chez les #jeunes comme chez les #seniors, avec une corrélation positive à l'#âge – pouvant être lié au #délaissement et aux #stéréotypes entourant les 50+ ans mais aussi à la #précarité du #retour à l'emploi de cette classe d'âge en cas de #chômage :    ◾ entre 18 et 24 ans : 51 % ◾ entre 25 et 34 ans : 61%   ◾ entre 35 et 44 ans : 67 %    ◾ entre 45 et 54 ans : 73 %    ◾ à partir de 55 ans : 72 %   🔸 Une analyse corroborant le #besoin des collaboratrices et les collaborateurs de pouvoir #évoluer au sein d'une #entrepriseinclusive sensible aux valeurs du #vivreensemble et de l'#intergénérationnel, en étant valorisés, en bénéficiant d'#opportunités tout au long de leur carrière, de #formation quelque soit leur âge, d'#accompagnement en cas d'#aidance mais aussi plus globalement sur la #santé et le #bienêtre au travail..: des enjeux que les #membres du Club Landoy portent au #quotidien par leurs #actions et #réflexions collectives et que font également rayonner les 136 #signataires de la #Charte50.    🔶 L'ensemble des résultats du Baromètre Landoy 2024 est à retrouver sur notre site : https://lnkd.in/gsweUdGB      ⬜ Une étude menée sur un échantillon de 2002 français actifs (avec changement de méthodologie par rapport aux éditions précédentes et focus sur le sujet du travail) du 04 au 12 décembre 2023 avec le GROUPE IFOP.  🔸 Ces sujets vous intéressent en tant qu'entreprise ? Pour vous renseigner sur l'#adhésion au #ClubLandoy : club-landoy@groupebayard.com   🔹 Pour devenir entreprise signataire de la #Charte50 et s'engager gratuitement en faveur d'un environnement de travail inclusif, formateur et bienveillant quelque soit l'âge : https://lnkd.in/e6j9hxYe   #Landoy2024 #étude #entreprise #rse #rh #transition #prévention #agir #France

😢 𝐄𝐧 𝟐𝟎𝟓𝟎, 𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝’𝐮𝐧 𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐫𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐬 C’est ce qu’estime une étude de l’Insee publiée hier sur l’évolution du nombre de ménages (soit des personnes qui partagent la même résidence principale) : de 29,8 millions en 2018, il devrait passer à 34,0 millions en 2050. L’évolution des modes de cohabitation, notamment l’augmentation des séparations, étant le principal facteur de croissance avancé. Alors que 20% des Français se sentent seuls, selon une étude Ifop de 2022, on peut s’inquiéter de voir ce chiffre exploser d’ici 2050. Or, l’OMS a sonné l'alerte : la solitude est un « problème de santé publique mondial » qu’il est urgent de traiter. Face à ces projections peu réjouissantes, il est primordial de développer les modes de vie où la #connexion, le #partage et l’#entraide sont au centre. L’habitat partagé est un de ces modèles. Adaptés à des personnes "seules" (célibataires, veufs, familles mono-parentales…), l'habitat partagé créé des connexions fortes. Hier soir, nous organisions l’onboarding des nouveaux colocs, Mouad, coloc Ambassadeur a pris la parole pour témoigner. On vous retranscrit ces mots, qui illustrent notre propos : « 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒́ 𝑎̀ 𝐿𝑎 𝐶𝑎𝑠𝑎 𝑒𝑛 2020 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐽’𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑚𝑎𝑙 𝑣𝑒́𝑐𝑢 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠𝑞𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑗𝑒 𝑚'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑠𝑒𝑢𝑙 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑡’. 𝐿𝑎 𝐶𝑎𝑠𝑎 𝑚’𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑜𝑢̀ 𝑗’𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑠 𝑣𝑢𝑙𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗'𝑎𝑖 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑛𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑒́ 𝑎𝑢 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒. 𝐿𝑒 𝑀𝑜𝑢𝑎𝑑 𝑑𝑒 2020 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑’𝑎𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑’ℎ𝑢𝑖 𝑛’𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑎̀ 𝑣𝑜𝑖𝑟, 𝑗’𝑎𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑖, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠, 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́, 𝑗’𝑎𝑖 𝑎𝑝𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑜𝑚𝑖𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑎̀ 𝑚’𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑒𝑟, 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡. 𝐴𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑑’ℎ𝑢𝑖, 𝑗𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑜𝑡𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑚𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑜𝑐𝑠, 𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑒𝑛 𝑤𝑒𝑒𝑘𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑐𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒, 𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑒, 𝑜𝑛 𝑠’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑑𝑒, 𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑖𝑡 𝑛𝑜𝑠 𝑏𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑥𝑦 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑎𝑐𝑡𝑒̀𝑟𝑒… 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑛𝑢𝑠 𝑚𝑎 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒. » 😍 Pour en savoir plus : https://lnkd.in/ee9nUWG6   #colocation #isolement #ODD #liensocial #

[Le Club Landoy - groupe Bayard dans la #presse] #Merci à La Croix pour sa participation aux #débats et ses #analyses autour des problématiques liées l'emploi des 50+ et aux mutations sociales et économiques engendrées par la #transitiondémographique : 🔶 « #Emploi des #seniors : quand la transition démographique agite les entreprises », une analyse de Bérénice Soucail : « Alors que la population active vieillit, la question de l’#inclusion des #seniors dans l’#emploi et au sein des entreprises devient saillante. Certaines tentent de mettre en place des dispositifs pour favoriser l’#employabilité des plus de 50 ans, en prenant en compte leurs #besoins. » ◼ Lire l'article : https://lnkd.in/e5UuN3qm 🔶 « Notre #performance économique va dépendre de notre capacité à tirer parti du #vieillissement démographique », une tribune de Sibylle Le Maire : « Le taux d’emploi des seniors a légèrement augmenté sur la dernière année. Pour Sibylle Le Maire, fondatrice du #ClubLandoy, ce frémissement inaugure un véritable #changement dans la manière dont les plus de 50 ans sont traités sur le #marchédutravail comme au sein des #entreprises. » ◼ Lire la tribune : https://lnkd.in/gKw52mrj 🔶 « Emploi : à 55 ans, le retour de l’engouement pour le #travail », une analyse du dernier #BaromètreLandoy par Aude Carasco : « Les #actifs de plus de 55 ans sont les plus satisfaits de leur #vieprofessionnelle, avec les moins de 25 ans, bien qu’ils soient perçus comme les plus #discriminés. C’est l’un des #enseignements du #Baromètre 2024 du Club Landoy, publié jeudi 18 janvier. » ◼ Lire l'article : https://lnkd.in/drZ6THCg Bayard - Pascal Ruffenach - Florence Guemy - Jean-Marie Montel - #DominiqueGreiner - BECHT Nathalie - Violaine Chaurand Boucey - Emmanuelle Delapierre - Marie-Anne Denis - Jean-Pierre Denis - Claire Ferrand - Muriel Huot - Florence Lotthé - Sabine MADELEINE - Fabienne Marquet - Anne Ponce - Delphine Saulière d'Izarny ⬜ Illustration : photo de la tribune de Sibylle Le Maire figurant à la page 20 du quotidien La Croix de ce jour, lundi 03 juin 2024.

Le remote-first, c’est le coup de grâce pour les grandes villes. Et pour cause: - Le coût de la vie en ville qui grimpe de 10% à 20% par an sans aucune justification valable - Ces loyers qui te font saigner du nez - Le piétons qui jouent leur peau à chaque carrefour - Et cette barre de métro que qu'on hésite à la toucher même avec des gants de boxe À l'époque, c'était le même sketch : toute ma journée se jouait sur le fil du rasoir avec le RER. Dans ces wagons bondés : - Moi, essayant de ne croiser le regard de personne. * Certains se perdaient dans leur téléphone, scrollant à l'infini pour échapper à la réalité du trajet. * D'autres, vaincus par la fatigue, la tête balançant au rythme des secousses du train. 5 ans en ville, et voilà que ça perd de son fun, à l'exception de quelques potes et de certains restos. Peut être que mes priorités ont évolué et que je me suis mis en retrait. Tandis que les boîtes qui s’accrochent au présentéisme, elles vont se faire manger. Parce que le monde a goûté à la liberté, la liberté de travailler en slip. Je suis encore en ville, frustré mais résolu, résolu à la quitter. Ma décision est prise, mais qu'en est-il des grandes villes elles-mêmes? Les grandes villes doivent se réinventer. Plus besoin d'y être en pour réussir. Quelqu'un d'entre vous à vécu la même chose ?

❌ Bilan de deux jours sur Paris : c'est vraiment une ville de CONS !? J'ai dû le penser à mon arrivée là-bas en 2002. Ce n'est plus le cas. Aujourd'hui, certaines personnes pensent encore ça. Je pense qu'elles sont passées à côté de plusieurs choses. Déjà, elles pensent que les personnes sont leurs comportements. Un individu qui manque de courtoisie n'est pas forcément irrespectueux. Elles n'ont pas compris l'impact d'une ville sur ses habitants. Il est énorme cet impact. L'environnement humain, mental et physique, a tellement de conséquences sur nos vies. Bref, elles pensent qu'il y a plus de 'cons' à Paris qu'ailleurs. C'est faux ! ✔️ Ce qui est vrai, c'est que vivre dans les grandes villes est super difficile, surtout pour les personnes sensibles. - La pollution sonore, ces bruits de transport, ces klaxons, ces travaux.... - La pollution visuelle, toutes ces pubs de m**** dans le métro vantant une vie basée sur le matériel et le plaisir à court terme. - La pollution olfactive, ces odeurs qui se mélangent dans le métro, les toilettes à ciel ouvert à chaque coin de rue. - La pollution émotionnelle, devoir enjamber des clochards (je ne m'y ferai jamais), voir des enfants mendier, se sentir en danger dans certains quartiers... Bref, La vie dans les grandes villes est super difficile surtout pour les personnes sensibles. Mardi, dans le podcast, je vous donnerai 5 conseils pour mieux la vivre. Dans l'épisode, il y a aura 6⃣ conseils. 5⃣ basés sur mon expérience la-bas et sur le bilan de mes deux jours de la semaine dernière. ➕ le vôtre ! Celui qui me paraîtra le plus pertinent, alors à vos claviers. ❓Quels conseils donneriez-vous à un parisien sensible qui n'en pleut plus de Paris et qui, malheureusement, ne peut pas s'en échapper à court terme ? ----------------- ▶️ Je suis #sylvainviens et je vous aide à vous créer une vie heureuse, SENSée et épanouie.

Le funéraire, une vocation ? 👀 Ancrée dans ses valeurs mutualistes et consciente de porter un métier dans lequel le travail émotionnel est sollicité au quotidien, La Maison des Obsèques place la santé et le bien-être de ses collaborateurs au cœur de ses préoccupations. 🔎 Donner du sens à nos métiers et à nos actions est fondamental. Découvrez les résultats du baromètre social réalisé par le Groupe VYV ⤵️

Comment les gens vivaient en chambre de bonne en 1968 ? (INA) Visiblement, peu de chose ont changé ! "Quand on est dans une chambre de bonne il y a une déconsidération sociale de la part des autres gens de l'immeuble" Concrètement, les locataires rendent grâce d'avoir pu toucher terre à Paris, l'El dorado du marché du travail. On ne tolère pas le bruit, on considère vraiment ces "locataires du 6ème" comme des "sous-habitants" Coupés du monde à cause de la hauteur, et vivent de facon écartée. Pas de point d'eau secondaire pour laver ses vetements, pas de douche à soi, pas d'ascenseur... Un mode de vie sommaire par manque de choix. Dans le reportage de l'INA, une personne de 76 ans vit dans sa chambre de bonne depuis ses 18 ans ! Seule mais suffisante Elle semble préférer ce scénario à celui de la maison de retraite, dit-elle, en considérant sa condition comme une richesse ! C'est comme si cette ostracisation des personnes rassemblaient des minorités, là ou l'espace rapproche et le cocon délie les langues. Véritable capsule de créativité, ces chambres sont aussi une opportunité pour les jeunes amitieux d'économiser, malgré le froid en hiver... Ainsi, le parralèle avec aujourd'hui sur les tensions locatives ne fait que confirmer la tendance. Malgré les marchés de micro-location non réglementées qui entretiennent les hiérarchisations sociales, il semblerait que la contrainte spatiale pourrait aujourd'hui nous libérer du véritable asservissement moderne et matérialiste. La vie en petit espace a ainsi toujours été une opportunité, sauf qu'aujourd'hui, son poids écologique prend la relève tout en ayant augmenté les standards généraux de confort à l'intérieur. Article en commentaire, on en parle ?

QUAND LE BÂTIMENT VA, EST-CE QUE TOUT VA ? Ce mois de mai, avec ses nombreux jours fériés et compensatoires, la difficulté de trouver de la main d’œuvre compétente, et une météo capricieuse, a déclenché un sacré challenge supplémentaire sur le marché de la construction, qui pour certains est inhabituellement calme pour la période. Bien sûr, il est facile de pointer du doigt : 👉les politiques qui n’aident pas à relancer le bâtiment, car dernièrement, ils s’intéressent juste à leur campagne, 👉les répercussions du confinement et des guerres, ou encore 👉les pratiques bancaires restrictives dans l’octroi des prêts. J’entends cela tous les jours. Cependant, et si la véritable opportunité résidait ailleurs ? Martin Nadaud, ayant débuté comme maçon pour ensuite devenir député puis préfet, a légué l’adage : « Quand le bâtiment va, tout va. » Aujourd’hui, alors que ce secteur est légèrement au ralenti, cette maxime me pousse à une réflexion plus profonde. Nous pourrions continuer à blâmer le monde extérieur pour nos obstacles ou voir cette période comme un signal pour revisiter nos propres méthodes de fonctionnement. 🔸C’est vrai que la période de confinement a intensifié plusieurs problèmes, notamment dans le monde du travail. Le télétravail, malgré ses avantages, a engendré de nombreux défis. Les erreurs dues à la communication à distance ont entraîné des pertes de temps et d’argent, affectant chaque acteur de la chaîne de production et de distribution, et ce, dans plusieurs secteurs, pas seulement celui de la construction. 🔸De plus, cette période a également aggravé une crise psychologique profonde. Au-delà de l’image idéalisée du télétravail, la réalité a souvent révélé un désir de ralentir nos vies hyperactives. 🔸Le changement brutal de nos routines a eu des répercussions importantes : augmentation des divorces, dépressions, burn-outs, escalade des addictions et perte de sens. Les styles de vie sont devenus plus chaotiques, et beaucoup ont oublié l’importance d’être connectés, passionnés et nourris par la création de liens par la communication simple et le partage. 🔸Parallèlement, les pénuries de matériaux, exacerbées par les guerres et les interruptions de la chaîne d’approvisionnement, ont renforcé l’urgence de repenser nos modèles économiques et opérationnels. Pourquoi ne pas voir cette « pause » comme un moment précieux pour se réinventer, une invitation déguisée à repenser notre approche, à réévaluer nos compétences, à s’inspirer de l’histoire et à créer l’abondance dans le changement ? Je crois fortement que nous pouvons faire évoluer la “relation” entre l’économie et le secteur du bâtiment de la dépendance à l’interdépendance, afin que nous puissions tous ensemble construire des chemins vers la prospérité collective. Construisons Ensemble, Construisons Demain ! #construction #psychologie #politique #banque #confinement #dependance #interdependance #abondance #collectif #humain #construisonsensembleconstruisonsdemain

[MARQUE EMPLOYEUR : Faire de l’habitat social, une opportunité professionnelle] Cette semaine, c’est la semaine de la Qualité de Vie et Conditions de Travail (QVCT), et Est Métropole Habitat y participe  😊 Se sentir bien et venir travailler avec le sourire est un élément important chez Est Métropole Habitat. Divers sujets tels que l’aménagement des espaces ou du temps de travail, les formations etc sont étudiés pour améliorer la qualité de vie et les conditions de travail de nos salariés. 📢Mais cette semaine on parle santé au travail. Tout au long de l’année, des enquêtes sont réalisées pour recueillir les besoins des salariées et Souad Chikh, notre préventeur, est très à l’écoute et disponible. De plus, elle propose des  événements tout au long de l’année chez Est Métropole Habitat comme la prévention du cancer du sein par exemple. Comme chaque année, depuis 20 ans, l'Agence Nationale pour l'Amélioration de la Qualité de Vie au Travail (Anact) organise une semaine sur la QVCT. Est Métropole Habitat suit cet évènement de près en proposant différentes manifestations aux salariés.   Au programme de cette année : 👉Des séances de massage sur chaise 👉Des séances de sophrologie 👉 Des séances d'éveil musculaire pour les responsables d'Immeubles  👉 Des actions de sensibilisation au travail sur les écrans   On vous explique plus en détail chaque activité durant cette semaine. A suivre Cédric Van Styvendael Céline Reynaud Formont Bruno Bernard Renaud PAYRE Métropole de Lyon Gilles Gascon L'Union sociale pour l'habitat Fédération des Offices Publics de l'Habitat #emh #estmetropolehabitat #marqueemployeur #qualitédevieautravail #bienetreautravail #qvct #semainedelaqvct

Dans un monde où l'âge est souvent associé à la sagesse mais aussi à la diminution de l'énergie, la résidence pour personnes âgées Cité Rive brille d'une lumière particulière grâce à trois de ses résidents remarquables : Pauline Morissette, 100 ans, Fernand Brunet, 102 ans, et Jean-Maurice Marchand, 100 ans. Ces centenaires dynamiques ont récemment attiré l'attention des médias par leur vitalité et leur esprit jeune, défiant ainsi les stéréotypes associés au vieillissement. Malgré le passage du temps, ces résidents continuent à vivre pleinement leur vie, inspirant ceux qui les entourent et prouvant que l'âge n'est qu'un nombre. Monsieur Marchand, à 100 ans, reste un exemple éclatant de cette philosophie. Il est resté particulièrement actif, défiant les attentes en enfilant les abats lors de parties de quilles avec ses amis. Sa passion pour le jeu et son énergie débordante sont une source d'inspiration pour tous ceux qui le connaissent. Fernand Brunet, âgé de 102 ans, est tout aussi remarquable. Il assure qu'il n'a pas le temps de s'ennuyer, tant il y a à faire à la résidence Cité Rive. Sa journée est remplie d'activités diverses, et son enthousiasme pour la vie est contagieux. Pour lui, l'âge n'est pas un obstacle, mais plutôt une opportunité de profiter pleinement de chaque instant. Quant à Pauline Morissette, 100 ans, elle aborde la vie avec un optimisme contagieux. Son secret pour une longévité en pleine forme ? Rien de moins que le beurre, selon elle. Vivant au jour le jour, elle savoure chaque moment et ne se laisse pas freiner par les défis que peut apporter le temps qui passe. Ces centenaires de Cité Rive illustrent parfaitement l'idée que vieillir ne signifie pas nécessairement ralentir ou perdre sa joie de vivre. Leur dynamisme et leur positivité sont une leçon pour nous tous, rappelant que l'âge n'est qu'un aspect de notre vie et que ce qui compte vraiment, c'est la manière dont nous choisissons de vivre chaque jour. À travers leur exemple, ils nous rappellent l'importance de rester actif, engagé et passionné, mais surtout de profiter du jour le jour, quel que soit notre âge.