Post de CO-NECT

JO et JOP PARIS 2024 : UNE SACRÉE "MISE EN SEINE" ! 🎬 Clap de fin pour les Jeux Paralympiques de Paris 2024… Après deux mois d’effervescence et d’exploits, les JO et JOP de Paris 2024 ont ravivé la flamme 🔥 ! Loin des discordes politiciennes et des coups bas, dans un contexte où les repères politiques semblaient s’étioler, ces Jeux ont su apporter une trêve et créer du lien, d'une intensité rare. 👉 Quel autre secteur que l’#événementiel peut rassembler toute une nation autour de valeurs aussi fortes que la #solidarité, le #partage et le dépassement de soi ? Cette capacité à fédérer, à toucher le cœur des gens, à susciter la subtile émotion, est l’essence même de notre métier. Un métier qui, à travers les JO et les JOP, et une formidable « mise en Seine » a démontré toute son importance, bien au-delà de ce que l’on pouvait imaginer. 👉Souvenons-nous : pendant la crise sanitaire, certains ont estimé que l’événementiel était non essentiel. Pourtant, ces deux mois ont prouvé le contraire. Ils ont montré que notre secteur est non seulement fédérateur, mais aussi salutaire et porteur d’un message presque supra politique. A lui seul, l'événementiel contribue au dynamisme d’un territoire, d’une région ou d’une nation entière. ✅ On dit souvent que nous exerçons un métier proche du cirque 🎪, avec des milliers d’heures de répétition et de travail en coulisses, pour livrer un spectacle parfaitement millimétré. La #scénographie grandiose des #JO, proposée au cœur de Paris, a montré toute la force de notre secteur : créativité, audace, passion partagée. 👏 Chapeau bas, l’artiste, pour ces moments de grâce. Pendant deux mois, l’événementiel et ses formidables capacités de mise en scène ont su sublimer les JO ! Laurence BALPARDA Dominique BROUSTAU Eric Dejan-Servières  Valérie Druon-Fayeaux Fabrice Guérineau  Emmanuel JUY  Stephane Kintzig   Jessica Maréchal thierry PERCEVAL Brice Perrochon ⚡️ Agence Kulte Xavier ROQUEL  Thibault de Saint Marc UMENA UNIMEV Fabrice Laborde Bertrand PULMAN Corinne Vignon Philippe Naillet photos : DR

🏅✨ Un regard critique sur l'affiche des Jeux Olympiques : au-delà des apparences L'affiche des prochains Jeux Olympiques a fait couler beaucoup d'encre ces derniers temps, suscitant des réactions mitigées et parfois moqueuses. Certains la comparent à un plan de Disneyland, d'autres la critiquent pour son manque de réalisme sur la ville de Paris. Mais au-delà de ces opinions divergentes, je crois fermement qu'elle soulève des questions plus profondes sur la façon dont le sport est perçu en France et sur les choix esthétiques et stratégiques du comité d'organisation des JO. Pour moi, cette affiche, tout comme de nombreuses créations de contenus liées aux JO, témoigne d'un effort réel de travail. Cependant, les contenus semblent souvent manquer de réflexion en termes d'angle et d'approche. Cela révèle, à mon sens, un défi plus large auquel la France est confrontée depuis plusieurs années : le manque de mise en avant du sport dans notre société. Pour preuve, il n'y a même pas un ministère entièrement dédié à ce domaine en France. Cette lacune se reflète dans les manque de préparation des activités proposées et dans les décisions prises par le comité d'organisation des JO. Entre modernité et respect de l'histoire, il semble parfois difficile de trouver le juste équilibre. Le résultat ? Des contenus et des animations qui semblent souvent ringards ou dépassés, incapables de capturer l'essence et la grandeur de l'événement sportif le plus prestigieux au monde. Pourtant, je reste convaincu que la France a tous les atouts pour allier modernisme, élégance et sobriété. Les contenus entourant les JO ne manquent ni de travail ni de préparation, mais plutôt d'une vision claire et cohérente de l'événement dès le départ. Il aurait été de bon ton de mettre en valeur ce que la France a de mieux à offrir : l'excellence sportive, l'innovation et le raffinement. Alors pour vous, manque de travail et de professionnalisme ou manque de préparation et de compréhension de l'événement ? 🇫🇷🌟 #JeuxOlympiques #Affiche #Sport

Au lendemain de la majestueuse cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, un choix éditorial pour le moins surprenant fait le buzz. Alors que l’ensemble de la presse nationale a mis à l’honneur ce spectacle grandiose sur la Seine, un journal régional a osé faire cavalier seul. En effet, le quotidien “L’Ardennais” a choisi de consacrer sa Une non pas aux JO, mais au sauvetage d’un sanglier prénommé “Toto“. Un parti pris audacieux qui surprend Intitulée “Victoire !“, la Une de L’Ardennais met en avant l’histoire touchante de ce sanglier mascotte, adopté par une famille près d’Arras. Menacé d’euthanasie en raison d’une maladie, “Toto” a finalement pu être placé dans un refuge in extremis. Une belle histoire, certes, mais qui peut paraître décalée en ce lendemain de lancement des Jeux Olympiques. Pourtant, assumer ce choix éditorial insolite n’est pas anodin. Cela dénote une volonté de se démarquer, de privilégier la proximité et l’ancrage local. Dans un paysage médiatique où la cérémonie d’ouverture faisait la Une de tous les grands quotidiens nationaux, opter pour “Toto” le sanglier est un pari osé. L’attachement au terroir mis en lumière Au-delà du côté insolite, ce choix met en exergue l’importance des journaux de proximité. Là où la presse nationale se focalise sur les grands événements, la presse régionale reste à l’écoute des petites histoires qui font le sel de nos territoires. Ce sanglier érigé en “mascotte” locale, dont le destin a ému de nombreux lecteurs, en est le parfait exemple. En choisissant “Toto” plutôt que les JO en Une, L’Ardennais rappelle la place essentielle de la presse de proximité, au plus proche des préoccupations de ses lecteurs. Analyse d’un expert des médias Un buzz sur les réseaux sociaux Forcément, ce choix a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Entre amusement, étonnement et parfois critiques, les internautes ne sont pas restés insensibles à cette Une atypique. Rapidement devenue virale, elle a généré un véritable buzz, donnant une visibilité inespérée à ce journal local et à l’histoire de “Toto”. Quand un sanglier fait de l'ombre à la cérémonie des JO ! La Une surprenante de "L'Ardennais" qui fait le buzz https://t.co/xxxxxxxx — Un internaute (@uninternaute) July 27, 2024 Cet épisode pose la question du rôle de la presse locale à l’heure de la mondialisation et des méga-événements comme les Jeux Olympiques. En accordant sa Une à un fait a priori anecdotique, L’Ardennais réaffirme avec force son positionnement : être la voix de son territoire, le reflet des préoccupations de ses habitants, aussi modestes soient-elles à l’échelle planétaire. Une Une symbolique à plus d’un titre Au final, cette Une insolite aura marqué les esprits bien au-delà du lectorat de L’Ardennais. Elle restera comme un symbole fort : celui d’une presse locale indépendante et audacieuse, fière de ses différences et de son ancrage. Face à l’uniformisation de l’information, ce petit éclat de...

☀️Ce n'est que le début ☀️... Nous savons que les Jeux olympiques de Paris vont passer à l’histoire. Les Français ont réussi leur pari, jusqu’à présent, de sortir des sentiers battus et d’oser aller dans l’océan bleu afin de présenter des JO à leur image. Voici quelques initiatives qui peuvent nous inspirer à passer à l’action dans notre quotidien. 🇫🇷Oser: Malgré le scepticisme mondial, ils ont offert une ouverture des JO hors de l'ordinaire. Pour la première fois, l’ouverture officielle s’est déroulée à l’extérieur d’un stade, permettant à 330 000 personnes d'être aux premières loges du spectacle. De plus, quelle belle carte de visite de la ville de Paris avec les milliards de téléspectateurs qui ont vu défilé les éléments emblématiques de Paris. 🇫🇷Écoresponsable: Quelle belle idée d'avoir utilisé des installations existantes comme sites de compétition. J'aimerais tellement assister au volleyball de plage à la Tour Eiffel, voir les compétitions d'escrime au Grand Palais ou assister aux compétitions équestres à Versailles. Je lisais également, par leurs actions, que les JO de Paris vont réduire de 50% leur empreinte carbone par rapport aux autres JO. Les organisateurs démontrent, ainsi, une grande préoccupation de l’environnement tout en sensibilisant l’audience la plus importante de l’année. Comme exemple, la piscine temporaire sera réchauffée par la chaleur produite des serveurs de la compagnie Qarnot Computing. Et on ne peut pas passer sous silence, la magnifique montgolfière qui illuminera les JO par la flamme olympique qui a été construite à partir de tissus écologiques et qui est alimentée par des combustibles propres. 🇫🇷Rassembleur: En ces temps de turbulence politique, c'est fou le message qui est envoyé en unissant tous les pays autour d'un objectif commun, nous pouvons créer un événement sensationnel.  Cet événement permet également de réunir, un peu partout dans le monde, des familles, des amis, des collaborateurs afin d’encourager ou de voir les prouesses physiques et psychologiques offertes par les athlètes. 🇫🇷Courage: Je ne peux pas passer sous silence l'impressionnante prestation de Céline. Quel courage, après avoir passé des années à relever les défis d'une santé défaillante, elle a eu la détermination de se présenter à ce challenge, livrer une prestation hors du commun, de chanter live à l'émission la plus regarder du monde.  Elle est vraiment étonnante. J'aurais pu continuer encore avec mes exemples car je suis vraiment impressionnée des détails de l'organisation des JO de Paris que je découvre quotidiennement. Maintenant, l'essentiel, c'est de laisser les athlètes nous éblouir!

Paris est magique... surtout pour les JO 2024 ! 🇫🇷🏅 Ah, les Jeux Olympiques à Paris ! Un événement censé célébrer l'union, la paix et l'excellence sportive. Sauf qu'il semblerait que notre belle capitale se prépare à une expérience un peu... particulière. 🤔 Sécurité renforcée, contrôles omniprésents, liberté de mouvement restreinte... On dirait que l'esprit olympique prend une autre tournure. Ne nous y trompons pas, ces mesures soulèvent des questions cruciales : Comment maintenir l'équilibre entre sécurité et convivialité ? Est-il possible de préserver l'essence même des Jeux dans ce contexte ? Contexte que la société a créé aussi, quand on attise la peur et la haine, voilà ce qu'on récolte. J'espère quand même que ces JO vont bien se passer, Et que la fête du sport va faire rappeler certaines valeurs qui ont été oubliées ces derniers temps. Car au-delà de l'aspect technique que j'offre dans mes services, Je crois fermement que le béton peut jouer un rôle dans la création d'espaces qui rassemblent plutôt que qui divisent. Et j'attends de voir la seconde vie que vont avoir les infrastructures des JO surtout du village olympique, Puisque c'est la promesse qui a été faite : créer des espaces dans lesquels il fait bon vivre. Et vous, comment voyez-vous ces Jeux Olympiques 2024 ? Partagez vos réflexions en commentaire. Qui sait, vos idées pourraient peut-être inspirer le comité d'organisation... ou au moins nous faire sourire sur la situation ! 😉 Merci beaucoup et prenez soin de vous et de vos proches. Je suis Ali le 'cuistot du béton' qui se demande si on ne devrait pas repenser nos villes pour qu'elles soient plus accueillantes, JO ou pas ! 🏙️🤔

[Comment faire vivre l'ambiance olympique dans une commune de 12 000 habitants ?] Les JO tant attendus de Paris s'ouvriront officiellement ce soir. Depuis plusieurs mois, la commune et ses partenaires se sont attachés à faire vivre l'ambiance olympique à l'échelle de Doué-en-Anjou. Comment inclure le plus grand nombre, susciter l'envie, promouvoir les valeurs de l'olympisme et du paralympisme sans être concerné par un passage officiel de la flamme ou la présence d'athlètes sélectionnés ? Retour d'expérience sur quelques uns des choix menés à Doué 👇 🔸 Inscrire cette volonté dans une démarche officielle - candidature au label Ville sportive (3 lauriers reçus) - référencement commune Terre de jeux 2024 🔸 Fédérer autour du sport - choix de cette thématique pour les vœux 2024 avec une très belle vidéo de Benoît Terredepixels mettant à l’honneur la vitalité sportive sur la commune - organisation de deux journées spéciales JOP, les 21 et 22 juin o  Ateliers sportifs olympiques et paralympiques pour 400 élèves des écoles publiques avec temps de convivialité le vendredi o  Fête du sport avec accueil du village Terre de jeux du CDOS 49 et animations des associations le samedi o  Réalisation d’une photo souvenir des anneaux olympiques, par drone, les deux jours 🔸 S'appuyer sur les forces vives du territoire -   Passage d’une « flamme douessine » organisé par les clubs sportifs, chaque relais étant l'occasion d'animations spécifiques - choix du thème JO par le comité de la Rose pour les Journées de la rose, manifestation emblématique de la commune et notamment pour le concours international d’art floral qui a vu s’affronter dix écoles sur cette thématique 🔸 S'affranchir des cadres habituels - Des spectacles de la saison culturelle ont été proposés en lien avec les JO - Une grande collecte d’archives a été lancée sur le thème du sport - La décoration estivale, menée par les services techniques de la collectivité, a revisité les couleurs et symboles olympiques en différents points de la commune - Une semaine d'activité handisport a été proposée sur le temps de la pause méridienne. En bref : que de sport à Doué-en-Anjou en 2024 ! Et maintenant, place aux Jeux… #communication #terredejeux2024 #jop2024 #collectiviteslocales

À un an des Jeux Olympiques de Paris 2024, l’enthousiasme peine à gagner la jeunesse de Seine-Saint-Denis, pourtant au cœur des attentions. Malgré les discours sur l’accessibilité et l’héritage de l’événement, le scepticisme et le désintérêt semblent dominer chez les jeunes des quartiers. Retour sur un rendez-vous en passe d’être manqué entre l’olympisme et la banlieue. L’indifférence de la jeunesse dionysienne À l’image de Kassim, jeune habitant arborant fièrement le maillot du Maroc, ils sont nombreux à exprimer leur désintérêt pour les JO. “Ce n’est pas pour nous”, tranche-t-il, persuadé que les projecteurs braqués sur le 93 le temps de l’événement ne changeront rien à long terme. Un constat partagé par Mohamed Gnabaly, maire de L’Île-Saint-Denis, commune accueillant une partie du village olympique : Je n’ai pas senti d’hostilité vivace, mais clairement pas d’enthousiasme. Contrairement à la Coupe du monde de foot, les JO ciblent un public précis, qui n’est pas forcément celui du 93 au premier abord. Et puis les Jeux ça ne fait pas jeun’s. Mohamed Gnabaly, maire de L’Île-Saint-Denis Malgré les tentatives pour mobiliser sa jeunesse, notamment via les places offertes aux habitants, l’édile de 39 ans peine à susciter l’adhésion. Les plus motivés seraient les quadras et quinquas, quand les jeunes franchissent rarement le pas des démarches pour obtenir les précieux sésames. Un sentiment d’instrumentalisation Pour Gilles Vieille Marchiset, sociologue en sciences du sport, ce manque d’entrain tient au sentiment d’être les objets d’une curiosité passagère, voire d’une instrumentalisation : Les jeunes ne sont pas dupes, ils savent qu’on les instrumentalise. Pour eux, ces Jeux sont une comète qui ne fait que passer. Gilles Vieille Marchiset, sociologue en sport et sciences sociales Une analyse que semble partager le maire de L’Île-Saint-Denis, soucieux de ne pas surjouer l’événement providentiel auprès de ses administrés. Pour autant, peut-on réellement parler de rejet de l’olympisme et de ses valeurs dans les quartiers populaires ? L’olympisme, grande cause lointaine Si l’indifférence prédomine, elle ne saurait masquer l’engagement de nombreux jeunes dionysiens dans les clubs et associations sportives locales. Mais de là à se projeter dans un événement planétaire aux enjeux qui les dépassent, il y a un pas que beaucoup peinent à franchir. Pour nombre d’entre eux, le sport demeure d’abord un vecteur d’épanouissement personnel et de lien social dans un quotidien souvent difficile. Un horizon bien éloigné des paillettes et de la grandiloquence olympiques. Vers un héritage au long cours ? Malgré ce constat en demi-teinte, les acteurs locaux veulent croire en l’héritage des Jeux pour la Seine-Saint-Denis. Au-delà de l’événement lui-même, c’est la pérennisation des investissements et des dynamiques initiées qui focalisent les attentions. Équipements sportifs rénovés, projets d’insertion, soutien au mouvement sportif local… Les prome...

🧮 Chargée de la production exécutive des cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques, la structure Paname 24, née pour l’événement de l’association de cinq agences événementielles (AUDITOIRE, Havas Events Paris, ubi bene, OBO et Double 2), a travaillé près de deux ans sur le 26 juillet. Quitte, derrière le succès fou remporté par la cérémonie y compris à l’international, à y consacrer un certain nombre de nuits blanches… «On a tout eu : la météo, la dissolution, un débit de la Seine historique…», résume-t-on en interne. 🛥 Le défi était tout bonnement pharaonique : livrer la première cérémonie des JO organisée hors d’un stade, qui plus est sur un lieu mouvant (la Seine) et au cœur de la ville, donc passant. Le parcours, sur six kilomètres, «était l’équivalent de cinq ou six stades en termes de nombre de spectateurs et d’une cinquantaine de stades sur la longueur. Un défi technique monstrueux», estime Cyril de Froissard, directeur général de Paname 24. L’idée majeure était de permettre à la vision de Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies de #Paris2024, de se déployer. Du point de vue production, il n’y a pas un tableau qui ait été plus complexe à mettre plus en œuvre qu’un autre. Céline Dion sur la Tour Eiffel, le funambule au-dessus de la Seine, le porteur de flamme ou les artistes sur les toits… 💬 «Chaque tableau avait ses propres contraintes et il y en avait toute une typologie : pluie, sécurité, contraintes électriques, contraintes de vent…», estime Julien Carette. Si aucun ne comprenait «de points de technicité hors pair», selon Paname 24, le fait de se trouver dans le domaine public, face à des conditions d’exploitation complexes, avec par exemple l’obligation de ménager des accès piéton et vélo, n’a pas facilité le travail.

La magie des JO opère toujours ! Pour avoir assisté ( sous une pluie battante jusqu’à 2h du matin), à la cérémonie d’ouverture, somptueuse et magique, dans cet écrin unique au monde qu’est Paris, on peut déjà affirmer que les JO conservent cette magie, cette émotion collective qui nous réunit pendant 15 jours . Émotion empreinte de joie ( Antoine Dupont, Pauline Ferrand ou Léon Marchand) , de déception ( pour notre vetetiste Leona Leconte dont la chute nous a effrayé avant de la retrouver au pied du podium), de détresse (l’effondrement de l’immense judokate japonaise Abe). Le sport est un vecteur d’émotion unique qu’on partage parfois avec des inconnus, des voisins de siège d’un soir qui ne parlent pas notre langue mais le sport n’est il pas une langue universelle ? 15 jours intenses, en plein cœur de l’été , et qui se poursuivront avec les para-olympiques dont les performances n’ont d’égales que les leçons de vie que ces athlètes nous donnent au quotidien. Notre pays a d’autant plus besoin de cette parenthèse enchantée qu’il se complaît dans une forme de désenchantement permanent qui nous distingue de nombreux pays. Et pourtant, quelle énergie quand nous savons nous réunir et quelle créativité quand on prépare une cérémonie exceptionnelle que la grisaille n’a pas écorné ! Et quel niveau de performance quand nos athlètes sont portés par tout un pays au Grand Palais, à l’Arena, à la Concorde à Versailles. ou au pied de la Tour Eiffel. Des Jeux Olympique Paris 2024 à consommer sans modération.

😏 Des places de parking PMR squattés par des personnes valides… des ascenseurs réservés PMR squattés par des personnes valides tant à la montée qu’à la descente… des plateformes réservés PMR envahis pas des personnes valides… c’est ce que vivent au quotidien les PSH, tant dans les stades, les sites événementiels que dans la vie de tous les jours… Il conviendrait de multiplier par beaucoup les opérations de sensibilisation (entre autres menées par les comités départementaux handisport…) dans les écoles, les entreprises… afin que le vivre ensemble existe réellement…