Post de Caisse de Prévoyance et de Retraite du Personnel Ferroviaire

💼 "Dans le secteur #privé, le #dialogue social est crucial, bien que moins visible. Crucial, car il conditionne d’abord la transformation de l’entreprise et ensuite une partie du climat social. Les entreprises ayant un historique de #négociation difficile peuvent tirer des leçons précieuses des crises passées. ✅ Que faire face à ce #climat tendu ? Le CVDS (cercle vertueux du dialogue social) se révèle être une méthode fort efficace pour maintenir un climat social constructif entre direction et salariés. C’est la méthode que Cardinale sud - Qualité Sociale® sud utilise chez ses clients depuis bientôt 30 ans, avec des résultats significatifs, favorables tant à l’activité #économique qu’au climat social." 👉 Analyse de Jean François Guillot sur l'actualité sociale.

Bonne analyse de Monsieur Fillion et son équipe de Zone Économie. Quel est le déficit des montants investis (engloutis??) dans les grands réseaux routiers aux dépends des transports collectifs, durables. J’ai espoir que la génération montante saura amener cette réflexion à l’élite politique qui semble de plus en plus bloquée dans une logique d’un temps passé.

🧾 Parution d’un accord relatif à l’emploi de conducteur-accompagnateur pour les #TPMR 🦽 L’Accord du 8 janvier 2024 rénove l’Accord du 7 juillet 2009 et vise à garantir un transport de qualité pour un public vulnérable ainsi qu’à valoriser et à sécuriser le métier de conducteur-accompagnateur. ✒ L’OTRE - Organisation des Transporteurs Routiers Européens n’est pas signataire de cet accord. Elle regrette que les propositions concrètes qu’elle a formulées lors des négociations n’aient pas été comprises et acceptées par les partenaires sociaux. #OTREnews #Transport #Routier #Reglementation Lire la suite ⬇

« En tant que collaborateur du TEC, nous méritons le respect à tous les égards #letec #respect ». De Lijn, la SNCB, la STIB et le TEC lancent une nouvelle campagne pour mettre fin aux agressions à l’égard du personnel des transports en commun. En 2023, les quatre sociétés de transports publics ont recensé 5.598 cas d'agressions physiques et verbales à l'encontre de leurs agents. Cela représente une moyenne de plus de 15 cas par jour. Ces chiffres inquiétants démontrent que le phénomène est malheureusement plus que jamais d'actualité. Face à cette situation inacceptable, les quatre opérateurs lancent une nouvelle campagne commune. D’une même voix, ils appellent à davantage de respect envers leurs collaborateurs.

🗣️Voix sur Voies 🛤️SNCF : l’impératif d’une culture de démocratie sociale🚨 Du 28 mars au 4 avril auront lieu les élections des représentants des salariés au(x) conseil(s) d’administration de la SNCF. La SNCF est-elle une démocratie ? Non, bien sûr. Depuis des décennies, nous, les représentants des travailleuses et travailleurs de la SNCF, imaginons la démocratie sociale, un idéal qui promet une gouvernance partagée et une reconnaissance légitime des voix de tous les acteurs au sein de l'entreprise. Nous, représentants, sommes élus, comme les députés et les sénateurs de notre pays, mais si eux constituent le pouvoir législatif du pays, nous, nous sommes cantonnés à n’être qu’une instance consultée. Nous ne décidons pas, nous ne cogérons pas. Mais nous avons un réel pouvoir : celui de la parole. La désinvolture avec laquelle nos dirigeants traitent souvent cette parole est décevante et devient source de colère profonde, colère des personnels de l’entreprise. Cette colère, un feu qui nous poussait à l'action et au dialogue, menace aujourd'hui de se transformer en un incendie que nous peinons à maîtriser. La fatigue s'installe, non pas par manque de conviction, mais par l'usure d'un combat où chaque avancée semble suivie de reculs frustrants. La démocratie sociale n'est pas simplement une question de structure ou de processus : c'est une culture, un état d'esprit qui devrait imprégner chaque niveau de l'organisation. Or, à la SNCF, il semble que cette culture soit reléguée aux marges, confinée dans les belles paroles et les chartes qui ne trouvent pas d'écho dans les décisions stratégiques de l'entreprise. Nous sommes fatigués, oui, mais notre détermination reste intacte. Car nous savons que, sans notre présence, sans notre voix, le caractère autocratique de la SNCF serait encore plus marqué. Nous portons un idéal de liberté et de mobilité pour tous, nous luttons pour une société publique toujours nationale, bien immatériel de chaque Français. Nous sommes les représentants d’un “corps social” et les porte-parole d'une vision qui mérite sa place légitime dans la gouvernance de notre entreprise. Nous sommes, aussi parfois, les cerbères d’un service public au service du public. Il est temps que la SNCF reconnaisse qu’une entreprise où chaque voix compte est une entreprise qui avance, qui innove et qui prospère. Vivre ensemble, agir ensemble, c’est aussi décider ensemble. Les représentants que nous allons élire aux conseils d’administrations sont bien plus que des voix dans une salle de réunion ; ils sont le symbole de notre espoir et de notre détermination à construire une entreprise, un groupe public qui respecte et valorise chaque individu. Ils sont les gardiens de nos intérêts et les défenseurs du service public au service du public. La force de la parole c’est notre pouvoir, notre voix, vos voix. Ensemble, éclairons l’avenir de la SNCF. Didier MATHIS Dominique Gabillet Fanny Arav Valérie Lourdain Jean-Pierre Farandou

Jusqu’à quand ? Elus locaux, technocrates parisiens quand la crise est trop forte et que, comme en 2009 ou 2019, les gens descendent dans la rue pour manifester, s’émeuvent. Enquêtes parlementaires, commissions de fonctionnaires, font une descente dans les différents territoires des Outre-mer pour entendre la même chose qu’ont entendus leurs pères et leurs pairs depuis des décennies : le cout de la vie est indécent Outre-mer. Mais, une fois l’indignation passée, relayée dans la presse nationale, rien ne change. C’est que les grands groupes familiaux locaux de la grande distribution savent comment parler aux élus ou aux fonctionnaires : ils imputent le différentiel de prix entre l’Hexagone et les Outre-mer au coût du transport, à la surrémunération des fonctionnaires et à l’Octroi de mer. Les fonctionnaires ont des syndicats puissants qui n’accepteront jamais qu’un gouvernement supprime les 40%, les élus ne voudront jamais que le gouvernement supprime l’Octroi de mer qui remplit leurs caisses. Et les grands groupes continuent tranquillement de s’enrichir... et les populations pleurent. hebdoantillesguyane.com

Chargé de la gestion des transports en commun, le syndicat mixte de transports urbains de la Sambre (SMTUS) intervient sur un territoire qui se superpose à 95 % à celui de la communauté d’agglomération de Maubeuge–Val-de-Sambre, interrogeant par là-même la pertinence de son maintien. L’examen de sa gestion depuis 2018 a révélé d’importantes défaillances, notamment en matière de pilotage budgétaire et de sincérité des comptes. La gestion des ressources humaines interroge également, notamment en ce qui concerne la direction du syndicat jusque mars 2023. L’ensemble des manquements et des dysfonctionnements constatés, qui conduisent la chambre à formuler sept rappels au droit et une recommandation, questionnent la capacité du SMTUS à s’administrer et assumer efficacement ses missions. Tome 1 - contrôle organique https://lnkd.in/g8y7Rd2F

📢 Découvrez le contrat de gestion 2024 – 2029 de l'AVIQ - Agence pour une Vie de Qualité. Le Gouvernement wallon, représenté par sa Vice-Présidente et ministre en charge de la Santé et par la ministre en charge des allocations familiales, et l’AVIQ, représentée par son Conseil général ainsi que sa direction générale, ont signé le contrat de gestion 2024-2029. Ce nouveau contrat de gestion se veut ambitieux et transversal. Il se caractérise par une vision claire pour l’Agence : "Être le service public de référence, innovant et de confiance, à l’écoute des citoyen.ne.s et partenaires, acteur et garant d’une protection sociale wallonne efficace et accessible". Il met également en exergue les valeurs de solidarité, de qualité et d’équité de l'AVIQ. ▶️Les 4 axes stratégiques du contrat 2024-2029 : - Axe citoyen.ne.s - Axe partenariat - Axe organisation - Axe esprit AVIQ Ce contrat de gestion a été construit de manière participative tant avec le personnel que les instances et partenaires de l’AVIQ avec lesquels les échanges de collaboration seront plus efficaces, rapides et performants, notamment grâce à la digitalisation et à la simplification. 📩 Télécharger le contrat de gestion 2024-2029 : https://lnkd.in/dkJU3pXe

Et il est temps de prendre la juste mesure du désengagement historique en transport collectif et le narratif du « déficit » ne sert que les personnes qui voudraient voir ce service public se marginaliser. Il est plus que temps de revoir le modèle de financement du transport en commun. La crise actuelle exige d’établir une cible de croissance des services et de se donner les moyens de l’atteindre. Sinon, nous n’avons pas fini de creuser le déficit social et environnemental du manque de transport en commun. Tout le monde devra assumer le leadership. Et la première chose à faire est d’arrêter d’entretenir l’épouvantail des « déficits ». Mon texte dans Le Devoir sur le recadrage nécessaire pour faire les choix qui s’imposent.

Une belle illustration de la part des services de la DDTM35 et de la préfecture de Rennes en ce qui concerne la « simplification administrative » souhaitée par Emmanuel Macron .Ils arrêtent le chantier, s’entêtent à imposer une zone humide qui n’existe pas, provoquant une perte financière considérable pour la région, la commune et surtout pour les entreprises qui doivent s’installer dans cette zone. Un bel exemple en ce temps de crise économique dans le secteur du bâtiment !