Post de David Larramendy

Nos éditeurs, publics et privés, s’adaptent jours après jours aux profondes transformations des usages et du paysage audiovisuel et numérique. Les nouvelles stratégies déployées par chaque acteur, en télévision comme en radio, en sont une illustration manifeste. Le régulateur est à leurs côtés dans cette nécessaire adaptation où se joue une part essentielle de notre souveraineté et de notre modèle pluraliste. Aujourd’hui le statu quo n’est plus une option. Public ou privé, chacun doit s’inscrire dans le mouvement du temps et du monde.

📣 Le bilan annuel des médias de proximité est en ligne. L'occasion d'évaluer le respect des obligations de ces acteurs importants du paysage audiovisuel. 🔎Le bilan porte notamment sur les quotas à atteindre en matière de production propre, les missions programmatiques d’information, de développement culturel, d’éducation permanente et d’animation, mais aussi les obligations en matière d’égalité et de diversité, de synergies entre elles et avec la RTBF, ou encore les objectifs en matière de notoriété et d’audience. ✔ Les obligations ont été globalement rencontrées. Le #CSA encourage le secteur à poursuivre et intensifier son déploiement numérique. 📊 Quelques chiffres 4081 heures de programmes ont été produits par les 12 médias de proximité en 2023, dont 220 heures de contenus digitaux. Sur Facebook, les MDP dépassent les 570.000 adhésions et ont doublé leur audience sur Instagram en un an. Entre 41% et 75% de leurs programmes sont désormais rendus accessibles aux personnes en situation de déficience sensorielle. Tout savoir sur le bilan annuel ⤵ https://lnkd.in/eaq9Qf6V Boukè ANTENNE CENTRE BX1 Canal Zoom, télévision locale Matélé notélé QU4TRE - Liège Média Télé MB - Télévision Mons Borinage Télésambre TVCOM Brabant wallon TV Lux Réseau des Médias de proximité

📺  Dans la série, les chaînes thématiques, toujours dans le game ? L’#ACCES (Association des Chaînes Conventionnées Éditrices de Services) nous a offert une plongée fascinante dans le marché des chaînes thématiques lors d’un événement riche en échanges et en insights ! 🔍 👉 Avec 1,36 milliard € de chiffre d’affaires 💰 👉 48,1 millions d’utilisateurs mensuels 👥 👉 Et 55 millions € investis en production audiovisuelle et cinématographique en 2023 🎬 🌟 Mais un défi de taille persiste : Les chaînes thématiques doivent composer avec une asymétrie réglementaire face aux géants du web, ce qui complique leur capacité à capter davantage de valeur publicitaire. Malgré cela, elles restent attractives grâce à : ✔️ Une diversité et une qualité de contenus qui fidélisent 75 % des Français. ✔️ Des thématiques phares comme le cinéma, les séries, le sport, la découverte et la jeunesse. ✔️ Une incarnation forte par des animateurs et experts appréciés du public. #Mediametrie annonce une offre optimisée pour les chaînes thématiques dès Janvier 2025 afin d’éviter le risque de l’invisibilité à la mesure thématique comme le souligne YANNICK CARRIOU, le PDG de #Mediametrie. 👏 Merci à Eric Brion, Philippe Bailly, Sonia Latoui Jean-Marc JURAMIE, Julien FIGUE, Vincent Grynbaum, et Valérie GILLES ALEXIA pour leurs interventions inspirantes et à Karl FOMBUENA pour la présentation du dernier baromètre d’attractivité des chaînes thématiques. Une belle démonstration que ces chaînes savent se renouveler pour rester dans la course 🚀. 💡 Et vous, comment voyez-vous leur avenir face à ces enjeux ? #Médias #ChaînesThématiques, #TransformationDigitale #Publicité 🎬

TV5Unis est la plateforme de choix pour les annonceurs 💻 Dans un paysage médiatique en constante évolution, TV5Unis se distingue comme un choix stratégique pour atteindre un public engagé et diversifié avec des contenus 100 % francophones rimant avec qualité et audace. Lisez l'article du Grenier Magazine pour en apprendre plus sur TV5Unis et savoir comment notre plateforme pourrait transformer vos campagnes publicitaires. 🔗 Découvrez l'article complet ici :

À l’approche du 14 juillet, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) a lancé sa douzième campagne annuelle “Nous sommes la France”. Relayée massivement par les médias audiovisuels, celle-ci met en avant la diversité de la société française dans le but de promouvoir la cohésion sociale. Mais cette initiative, aussi louable soit-elle dans ses intentions, ne fait pas l’unanimité et suscite un vif débat. Une campagne qui divise l’opinion Depuis son lancement le 14 juillet, la campagne “Nous sommes la France” fait couler beaucoup d’encre. Si certains saluent la volonté de l’Arcom de célébrer la diversité et le vivre-ensemble, d’autres y voient une forme de “propagande diversitaire” et une manière détournée de remettre en cause l’identité française traditionnelle. La France, ce n’est pas qu’une addition de communautés. C’est d’abord une nation avec une culture et un héritage communs. réagit un internaute sur Twitter À l’inverse, les défenseurs de l’initiative argumentent qu’elle reflète la réalité de la France d’aujourd’hui, riche de sa diversité. Bravo à l’Arcom pour cette magnifique campagne fédératrice. Oui, la France est multiple et c’est ce qui fait sa force ! se réjouit une autre utilisatrice des réseaux sociaux Une diffusion massive à des heures de grande écoute Pour toucher un maximum de Français, l’Arcom a misé sur une large diffusion de ses spots publicitaires mettant en scène la diversité, et ce sur toutes les grandes chaînes de télévision et de radio, à des heures de grande audience. Un matraquage médiatique qui n’a pas manqué de faire réagir, certains le jugeant excessif voire contre-productif. À force d’en faire des tonnes sur la diversité, on finit par créer des clivages et des tensions là où il n’y en avait pas forcément. déplore un expert en communication interrogé par FranceInfo Le soutien assumé des médias audiovisuels Malgré les critiques, les chaînes de télévision et les stations de radio ont majoritairement joué le jeu, en relayant avec enthousiasme la campagne sur leurs antennes et leurs réseaux sociaux. France Télévisions et TF1 notamment, ont multiplié les messages célébrant la diversité comme une richesse et une chance pour le pays. À France Télévisions, on célèbre tous les jours la diversité sur nos antennes. Accepter les différences, c’est n’en faire aucune ! tweete le groupe audiovisuel public L’Arcom assume ses choix Face à la polémique naissante, l’Autorité de régulation a tenu à justifier sa démarche, estimant qu’il était de son devoir de promouvoir des valeurs favorisant le lien social, en particulier à l’occasion de la fête nationale censée rassembler tous les Français. La campagne “Nous sommes la France” n’est en aucun cas clivante. Elle rappelle simplement que notre pays est riche de sa diversité et que c’est un atout qu’il faut valoriser. assure un porte-parole de l’institution Assumant complètement sa ligne, l’Arcom n’entend donc pas céder...

🌌 Dans une lointaine galaxie, où les plateformes de streaming rivalisent pour conquérir l’attention des spectateurs, une nouvelle ère s’annonce… 🛸 Une bataille sans merci pour les contenus, les modèles économiques et la fidélisation des audiences. Qui sortira vainqueur de cette guerre des écrans ? 🌌 🎥 𝐓𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐫𝐨𝐧𝐝𝐞 “𝐒𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦𝐢𝐧𝐠 𝐖𝐚𝐫𝐬 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞𝐬, 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐧𝐮𝐬, 𝐪𝐮𝐢 𝐯𝐚 𝐥’𝐞𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐫 ?” Le 5 février à 19h, les groupe Médias d’ESCP Alumni et ESSEC Alumni vous invitent à un événement incontournable pour décrypter l’avenir du streaming en France. Les modèles de demain se dessinent sous nos yeux : quels acteurs triompheront dans cet univers en perpétuelle mutation ? 🌟 Trois professionnels du secteur exploreront pour nous les enjeux cruciaux de cette révolution audiovisuelle, dans un débat que j’aurai le plaisir de co-animer avec Eric Lentulo : - Claire Basini, DGA en charge des activités BtoC du Groupe TF1 qui contre-attaque et réinvente son modèle avec TF1+ ? - Philippe Larribau, DG de Paramount France, expliquera en quoi Paramount+ ne participe pas à l'Attaque des Clones, mais poursuit une voie originale; - Remi Tereszkiewicz, CSO de BetaSeries, démystefiera pour nous la menace fantôme du changement de comportement des spectateurs. 🚀 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 y assister ? 👉 Plonger dans les défis du streaming : contenus locaux, hybridation des modèles gratuits/payants, saturation des abonnements, fidélisation des audiences. 👉 Anticiper les tendances de demain : quotas, “churn and return”, montée des bundles, essor des contenus locaux… 👉 Rencontrer des experts, échanger des idées et élargir votre réseau dans une atmosphère conviviale. 📍 Où ? 𝐌𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐄𝐒𝐒𝐄𝐂 – 11 avenue de Friedland, Paris 8 📅 Quand ? Mercredi 5 février 2025 à 19h précises 🤝 Avec la participation de nos camarades des groupes médias d' HEC Alumni et de Sciences Po Alumni 🎟️ 𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐯𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐜𝐢 : https://lnkd.in/euvXFkiA Maître Jedi des médias, padawan du streaming ou simplement Ewok du secteur, cette soirée est pour vous. Et pour prolonger les échanges, un cocktail vous attend après la conférence. #Streaming #Médias #Innovation #Networking #Événement Eva Mollat du Jourdin Maylis Çarçabal Danielle Attias Julien Smadja Philippe Boscher Emmanuelle Bon Sylvain Hermann Olivier Jollet Pascal Lablanche Jérôme Wagner Edmond Espanel Isabelle BEYNEIX Alice Crayston (Illustration : Grok - on finit toujours par s'étriper sur ce qu'on regarde en famille...) (3 titres d'épisode de Star Wars se sont glissé dans ce post, sauras-tu les retrouver?)

Depuis son arrivée à la tête du groupe M6 en avril dernier, David Larramendy compte bien insuffler un vent de renouveau au géant de la télévision française. Son maître-mot : accélérer la transformation digitale pour suivre l’évolution des usages et rester connecté aux téléspectateurs. Rencontre avec un dirigeant qui voit loin. M6+ et le streaming au cœur de la stratégie Lancée le 15 mai dernier, la plateforme de streaming M6+ a déjà séduit plus d’un million d’utilisateurs. Un succès qui conforte David Larramendy dans ses choix stratégiques : Les résultats sont très bons, c’est un succès d’image avec 88% de taux de notoriété. Nous allons donc poursuivre les investissements dans M6+ et la digitalisation de nos antennes. – David Larramendy, Président du directoire du groupe M6 Au-delà des contenus additionnels et avant-premières proposés, M6+ doit devenir la vitrine digitale des chaînes du groupe, de M6 à W9 en passant par 6ter ou Gulli. L’objectif est clair : toucher tous les publics sur tous les écrans, du smartphone à la TV connectée. Le digital, un relais de croissance incontournable Avec déjà 25% de ses revenus générés par le digital, le groupe M6 entend aller encore plus loin. David Larramendy mise notamment sur : Le déploiement de la publicité adressée sur les replays et le streaming Le développement de nouveaux formats publicitaires innovants La création de contenus digitaux originaux pour alimenter les plateformes L’enjeu est de taille pour s’adapter aux nouveaux modes de consommation des contenus et sécuriser les revenus publicitaires face à la concurrence des GAFAM. Mais le président de M6 se veut confiant : Nous avons une vraie légitimité sur le digital grâce à la puissance de nos marques et notre proximité avec le public. C’est un atout considérable pour proposer aux annonceurs des dispositifs efficaces et engageants. – David Larramendy Renouveler les programmes, fidéliser les téléspectateurs Côté antennes, les changements seront aussi au rendez-vous pour moderniser l’image du groupe et s’adresser à tous les publics. Au programme : De nouvelles émissions incarnées par de nouveaux visages Des séries et fictions événementielles pour créer l’attachement Une info de proximité renforcée avec le recrutement d’Hervé Beroud, ex-BFMTV Des synergies renforcées entre télé, radio et digital Avec cette stratégie transversale, David Larramendy entend bien écrire une nouvelle page pour le groupe M6. Un virage nécessaire à l’heure où les géants du streaming bouleversent le PAF et les habitudes des Français. Réussir le mariage entre télévision linéaire et digital sera la clé pour rester incontournable dans le paysage audiovisuel de demain. Le compte à rebours est lancé. The post David Larramendy dévoile sa stratégie pour M6 first appeared on ViralMag.fr.

Plateformes et médias : les liaisons dangereuses ? Commençons plutôt avec l’utilisateur et laissons Valmont et Merteuil de côté. Où est-il ? Quels sont ses usages ? Quelles sont ses attentes ? 1er constat : son parcours n’a jamais été aussi fluide. Au cours d’une même journée, vous pouvez :  📺 Regarder la matinale de TF1  💻 Taper un sujet d’actualité dans Google et accéder à un carrousel de diverses sources de référence 🗞️Lire un article sur l’application Les Echos 🎙️Écouter un podcast de Radio France (+d’1 milliard d’écoutes - lives + podcasts)  📹 Consulter la page YouTube du Parisien (1.7M d’abonnés) 2e constat : les canaux sont de plus en plus complémentaires et permettent de toucher une audience élargie. Rappelons que “Kaizen”, le documentaire du créateur Inoxtag, a trouvé son public sur YouTube (40M+ de vues), au cinéma (340,000+ entrées), sur TF1 et sur sa plateforme TF1+ (couverture de 2,3 M de téléspectateurs) 👏 . 3e constat : Google entend rester un partenaire de confiance pour tous les membres de l’écosystème des médias français. Google propose aux médias un large éventail de produits et de solutions technologiques (Google Cloud, Ads, Gemini...), qui mettent l’IA au service de leur créativité et de leurs performances. Le service "S'abonner avec Google" permet par exemple d'acheter un abonnement ou d'effectuer une contribution unique ou récurrente sur les sites Web participants - de façon simplifiée. A ces outils s’ajoutent des accords de rémunération et des licences.  Google est aujourd’hui l'un des plus gros contributeurs privés à la presse en France et vient de renouveler son accord-cadre avec L'Alliance de la presse d'information générale, qui représente plus de 300 titres de presse nationale et régionale. Merci à Pierre Louette, Rodolphe Belmer et David Barroux pour cet échange dans le cadre de Médias en Seine . Isabelle L. Benoit Tabaka Justine Ryst Thibault Guiroy Faten Dubarry Amina Ben Cheikh Juliette Laniez Adrien Mas Constantin Foniadakis Raphael Rougier Sarah Cledy Crédits photo : Médias en Seine

🔎 Ce sujet est au cœur d’une révolution culturelle ! D’un côté, les médias traditionnels disposent de moyens techniques, financiers et humains conséquents mais peinent à se renouveler. De l’autre, les médias pureplayers 100 % en ligne, fragiles financièrement sont en croissance continue. Bienvenue dans la nouvelle ère de l’information et du divertissement ! Découvrez l'analyse de Medina Koné, professeure déléguée en marketing digital à l’IIM Digital School

Un dossier solide pour se lancer !