Le rapport d’activités annuel de la DSAÉ est disponible ! ✈ Ce numéro anniversaire rappelle qu’en 2023 ont été célébrés sur la base de Villacoublay les dix ans d’activités d’une direction dont la vocation est de permettre aux ‘autorités d’emploi’ de réaliser leurs missions dans un cadre de sécurité maîtrisé. Revenir sur le passé afin de tracer la voie pour l’avenir, voici l’ambition de ce rapport annuel au format renouvelé ! 2023 aura vu des avancées significatives comme la publication de l’arrêté drones, le développement du réseau très basse altitude ou la conduite de grands exercices dans notre espace aérien. 2023 aura aussi permis de préparer l’intégration de la Police nationale au sein de l’aéronautique d’État, en tant que 8ème Autorité d’Emploi. Découvrez sans plus attendre ces moments marquants et bien d’autres encore dans notre RAC 2023 👉https://lnkd.in/dybc6VYY #sécurité #aéronautique #rapportdactivités #dsaé
Post de DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État
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Oui. SCAF: “sans ça nous serions amenés à quitter le programme”. Commentaire: Concernant SCAF, des mots jamais utilisés par le ministère des armées dans son ouvrage autobiographique de deux années à son poste (“Vers la guerre”). Une phrase qu’on découvre au moment où vient d’être lancé le standard F5 du Rafale mais également un UCAV, un avion de combat sans pilote. Pour les années 2035. Ce qui repousse calendairememt et budgétairement le SCAF aux calendes grecques. Ce d’autant plus que malgré les poignées de mains et les sourires, les relations entre la France et l’Allemagne se sont dégradées considérablement depuis le lancement du SCAF en 2017. Avec Angela Merkel. C’était il y a un siècle. On ne pourra pas repousser au delà de 2025 la décision de lancer ou pas le SCAF cad de mettre des dizaines de milliards sur la table pour lancer des démonstrateurs. Et ce d’autant plus que l’USAF vient de faire un “reset” sur leur programme NGAD (lancé un an avant le SCAF) jugé trop cher et pas adapté au besoin opérationnel: les US reprennent le devoir à zéro. L’avenir de l’aviation de combat c’est d’abord de tirer le maximum des chasseurs en service et de les faire accompagner par des “Remote carrier”, des drones d’accompagnement: un chasseur piloté et sa meute de drones capables de remplir différentes missions. Il est temps pour la France de progresser sur 3 programmes de “gros” drones: - Un UCAV - Un drone MALE armé souverain et low cost - Une famille de RC au prix abordable. Ensuite on verra si on a toujours besoin d’un SCAF. Pierre Sauveton #faireface
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[ 📄 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐑𝐓𝐈𝐂𝐋𝐄 | ⚔️ EXPERIMENTATION] 🖋️ 𝐃’𝐞𝐱𝐞𝐫𝐜𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐀𝐋𝐀𝐓 𝐢𝐧𝐭𝐞̀𝐠𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐚𝐞́𝐫𝐨𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 L’heure à l’exploitation tous azimuts du potentiel des drones pour l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT). Mandats et expérimentations se multiplient parmi les régiments d’hélicoptères de combat pour construire la collaboration entre plateformes habitées et inhabitées et démultiplier les capacités de l’aérocombat. Fini l’hélicoptère, remplacé par un drone moins complexe, moins onéreux et dès lors mieux adapté pour répondre à l’attrition de la haute intensité ? Loin s’en faut, les deux outils ont davantage vocation à collaborer qu’à s’évincer. La dernière édition de l’exercice Baccarat, grand rendez-vous annuel de la 4e brigade d’aérocombat (4e BAC), l’aura encore démontré en intégrant plusieurs drones dans un même espace aérien, du micro-drone de surveillance aux SMDR du 61e régiment d’artillerie et Puma du 32e régiment royal d’artillerie britannique. Clôturé la semaine dernière, Baccarat était une nouvelle étape dans une dynamique globale visant à intégrer le drone dans la manœuvre tactique. Essentiellement exploratoire, la démarche amène un double enjeu selon le commandant de la 4e BAC, le général de brigade Jean-André Casanova. D’un côté, le défi de la coordination des acteurs de la troisième dimension, ou la capacité à faire voler davantage d’objets dans un espace restreint. De l’autre, le défi de la coopération entre drones et hélicoptères, ou comment tirer le meilleur parti de chacun des vecteurs pour maximiser les effets. [...] 💻 Pour lire l'article de Nathan Gain dans son intégralité, rendez-vous sur le site Forces Operations Blog - FOB Ministère des Armées État-Major des Armées Armée de Terre Armée de l’air et de l’espace Marine Nationale DGA - Direction générale de l'armement Centre d’études stratégiques aérospatiales-CESA Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) Commandement du combat futur (CCF) COM ALAT 🖋️ #Drone #ExerciceBaccarat #Coopération #ALAT #Aérocombat
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Conseil en marchés publics | Ancien Commissaire des Armées | Développement commercial | Business Developer |Sécurité et Défense | Armement
📢Opportunités commerciales au Ministère des Armées : #ORION (Publication 2/2) La Commission de la défense Nationale et des Forces Armées a déposé le 05 juin dernier le rapport 📄 « L’après-Orion : faire face aux crises de demain » en conclusion des travaux d’une mission d’information. L’objectif de l’exercice ORION 2023 – qui signifie « Opération de grande envergure pour des armées Résilientes, Interopérables, Orientées vers le combat de haute intensité et Novatrices » est de consolider la vision des lacunes à combler dans le cadre d’un scénario adapté aux évolutions de la conflictualité – adversaire symétrique, hybridité, engagement de haute intensité avec un impact sur le territoire national. Les besoins identifiés d’achat y sont nombreux, aussi, je vous les présente en deux publications, elles-mêmes parcellaires parce que concentrées sur les points qui ont retenu ma préférence. Aujourd’hui, je m’attache aux recommandations du thème : #innovation 💠« Anticiper les crises de demain pour mieux s’y préparer » 🔴#drones : accélérer la « dronisation » des armées en soutenant la #BITD française 🔺Besoin observé par les opérationnels lors de l’exercice : Dans les situations de déni accès d’interdiction de zone où il n’est pas possible d’engager des hélicoptères ou avions : développer le concept de manœuvres en essaim pour des manœuvres de saturation. Disposer de drones plus furtifs qui résistent au brouillage et adaptés au combat en zone urbaine, en milieu clos. ▫️ Besoin valorisé par les industriels de la filière drone : Dotation complète de régiments en drones aériens et munitions téléopérées de moins de 150 kg. Plan de formation /entraînement drones globaux. Création du label « drone de confiance » 🔴 Intelligence artificielle : accélérer l’usage de l’#IA au profit des opérations pour accroître la supériorité opérationnelle 🔺Multiplication des capteurs dans les systèmes pas suffisamment d’analystes : besoin de maîtriser et de traiter les données pour aider la décision dans le domaine du combat et du renseignement. ▫️ Développement d’outils d’IA pour répondre aux #fakesnews générées par l’IA (mais jamais pour en concevoir: trop intègres pour cela!) 🗓️ Les rapporteurs suggèrent la création d’une prochaine mission d’information sur le thème de l’IA de défense. ------------------------------------ ➡️ Je suis ancien Commissaire des armées. 🎯 J’aide les entreprises à répondre aux appels d’offres publics. -------------------------------------- #industrie #startup L'agence du chêne
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La sécurité aéronautique progresse.
https://lnkd.in/dXt7Ddzd Agilité, efficacité et audace. Trois des valeurs de la DGA - Direction générale de l'armement parfaitement illustrés par cette innovation #DGAEV primée au #FID de fin 2023. Derrière tout s’enchaine très vite avec une expression d’intérêt par le #CFAGN début 2024 et un passage à l’échelle (industrialisation) en un temps record pour un système aéronautique (moins de deux mois) permettant d’être présent à l’exercice Coubertin de mars. Exercice où Sésé confirmera toute sa pertinence ce qui conduira le #CFAGN à valider son besoin d’équiper 10 hélicoptères dans le cadre des JOP 2024. Toutes mes félicitations et remerciements aux équipes de la DGA - Direction générale de l'armement, du SIAé - Service industriel de l'aéronautique, de l #AID et du #CFAGN impliquées dans cette aventure! #fierdemeséquipes #fiersdenosmissions #notredefense
La Direction générale de l'armement a mis au point un système pour éviter les collisions entre les hélicoptères et les drones - Zone Militaire
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Face à la menace d’un débarquement chinois à Taïwan, l’US Navy mise sur le harcèlement par des drones de surface en essaim, c'est le projet Replicator. Les fabricants américains sont sollicités. La Defense innovation unit a lancé, le 29 janvier dernier, un appel d’offres aux entreprises américaines afin qu’elles soumettent des propositions pour des petits USV (Unmanned surface vehicle) produits à grande échelle. Selon le magazine spécialisé américain USNI News, cet appel est à mettre en relation avec le programme Replicator, présenté en août 2023, qui vise clairement à contrer la supériorité chinoise et la menace qui pèse sur Taïwan. Pour cela, dans un délai de deux ans,... Les caractéristiques de performance souhaitées incluent une autonomie de 500 à 1 000 milles marins dans des états de mer modérés tout en transportant une charge utile de 1 000 livres, en utilisant du carburant diesel", selon la sollicitation. "Les véhicules devraient être capables de flâner pendant plusieurs jours tout en conservant une réserve de carburant adéquate pour le transit de retour, et être capables de sprinter à 35 nœuds ou plus rapidement dans des conditions de mer basse lorsque la mission l'exige." En outre, les solutions potentielles de l'industrie devraient être préparées pour commencer les évaluations dès un mois après l'attribution d'un autre accord de transaction. Cette sollicitation intervient alors que la flotte de la Marine s'efforce de manière plus agressive de rendre opérationnels les véhicules de surface sans pilote disponibles dans le commerce. #naval #uav #innovation https://lnkd.in/eWy97mY6
Le Pentagone lance un appel d’offres pour des milliers de drones de surface
lemarin.ouest-france.fr
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➡ De nouvelles aéronavales ? Les avatars de la robotisation La décision américaine de cesser la coopération avec la Turquie à propos du F‑35B a signé le début d’une séquence assez particulière. D’une part, la Turquie ne pouvait plus accéder à son rêve, remontant à plusieurs dizaines d’années, de disposer d’une aéronavale embarquée à voilure fixe susceptible d’opérer depuis un LHD justement conçu pour le Lightning II. D’autre part, la marine turque s’engageait dans une voie, le porte-drones, qui pourrait faire florès. Analogue au Juan Carlos Ier, l’Anadolu aurait pu embarquer une petite dizaine de F‑35B, soit une capacité intéressante, mais qui reste dépendante d’une conception spécifique des opérations, avec une distribution des capacités d’appui et de soutien – détection aérienne avancée, lutte anti-sous-marine – dans le cadre d’une coalition. En effet, entré en service le 10 avril 2023, l’Anadolu est d’abord et avant tout un LHD (Landing helicopter dock) dont seule une partie des volumes intérieurs est occupée par les installations aéronautiques. Or la cessation du partenariat avec Ankara à propos du F‑35B est aussi le symbole d’une distanciation au sein de l’OTAN et d’une réduction de la probabilité d’assister à la mise en place d’une coalition navale impliquant des moyens aussi lourds qu’un porte-aéronefs. Le cas turc : un porte-drones de substitution au porte-aéronefs ? Reste cependant une dimension symbolique extrêmement importante pour Ankara : qu’il embarque 10 ou 30 F‑35B et qu’il soit dépourvu d’un groupe aérien complet, l’Anadolu est avant tout représentatif d’une montée en puissance et d’une diversification capacitaire politiquement exploitable. De même, il symbolise l’action sur le « Mavi Vatan », une « patrie bleue » aussi revendiquée qu’elle est l’expression d’une puissance turque sûre d’elle, en pleine ascension et permettant d’édicter les normes selon lesquelles la Turquie agira stratégiquement (1). Or la solution finalement retenue pourrait faire sortir la Turquie « par le haut » de l’interdiction capacitaire qu’implique la décision américaine. Dès la deuxième moitié de 2020, il était question de mettre en place un groupe aérien embarqué d’un genre nouveau et tirant profit de l’expérience turque en matière de drones, tout en incluant des hélicoptères ASM ou encore des hélicoptères d’attaque (2). (...)
De nouvelles aéronavales ? Les avatars de la robotisation
https://www.areion24.news
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➡ Salon Eurosatory 2024 : la France s’attaque à ses failles militaires Drones suicides, lance-roquettes Himars, lutte anti-drone… Au Salon Eurosatory, qui s’ouvre ce lundi 17 juin, l’armée se mobilise pour identifier des solutions à ses lacunes. Il sera l’une des attractions du Salon Eurosatory, le grand raout de la défense, qui se déroule du 17 au 21 juin à Villepinte. Lui ? Le Veloce 330. Actuellement en tests en Auvergne, cet engin de 3,3 mètres d’envergure, développé par le français Eos Technologie, est un drone suicide ultrarapide (plus de 400 km/h), capable de détruire un char de combat à 100 kilomètres. « Sa vitesse et son profil de vol le rendent quasiment impossible à intercepter », assure Jean-Marc Zuliani, directeur général de la pépite française. De quoi combler, si le ministère des Armées passe commande, une partie du retard de l’armée française sur le segment des drones kamikazes, autrement appelés munitions téléopérées (MTO). Urgences criantes Ces engins ne sont pas le seul trou béant dans l’arsenal de l’Armée de terre. Le retour d’expérience du conflit ukrainien a mis en évidence d’autres manques fâcheux : lance-roquettes multiples de type Himars, équipement de lutte anti-drone, défense aérienne courte portée… « L’édition 2022 d’Eurosatory, organisée quelques mois après l’invasion de l’Ukraine, avait été celle de la sidération, relate le général Charles Beaudouin, président du Coges, l’organisateur de l’événement. Cette année, ce sont des solutions concrètes que les industriels exposent. » La capacité de frappe en profondeur est l’une des urgences les plus criantes. Après le transfert de 4 lance-roquettes unitaires (LRU) à Kiev, l’Armée de terre n’a plus que 7 LRU disponibles, des engins qui approchent des 30 ans d’âge. La Direction générale de l’armement (DGA) a bien lancé un programme de remplacement de ces appareils, avec l’objectif d’une solution souveraine disponible en 2030. Mais ce choix du 100 % français n’est pas sans risque. « Vu la modestie de la commande française (13 systèmes, plus 13 en option), le coût unitaire risque d’être très élevé », pointe Léo Péria-Peigné, chercheur au Centre des études de sécurité de l’Ifri. Quant à l’achat de systèmes Himars américains, il ne permettrait pas d’avoir des engins rapidement. « Le constructeur Lockheed Martin croule sous les commandes, il n’y a guère de créneaux de livraison avant 2030 », poursuit le chercheur. Performances décevantes L’autre trou capacitaire majeur concerne la lutte anti-drone. Le système Parade, développé par Thales et CS Group, qui doit être déployé pour sécuriser les jeux Olympiques et Paralympiques, affiche pour l’instant des performances décevantes. « Des tests, loin d’être satisfaisants, ont été effectués au dernier Salon du Bourget et à la Coupe du monde de rugby, indiquait début mai le président de la commission de la Défense du Sénat, Cédric Perrin, sur Public Sénat. (...)
Salon Eurosatory 2024: la France s’attaque à ses failles militaires
challenges.fr
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✅ Selon le général Schill, le successeur du Tigre pourrait être un hélicoptère d’attaque « robotisé » À la lumière des conflits récents ou encore en cours, certains s’interrogent sur l’avenir de l’hélicoptère de reconnaissance et de combat. Pour les uns [comme au Japon et aux États-Unis], la généralisation des drones et autres munitions téléopérées est de nature à remettre en cause son utilité. Pour les autres, comme la British Army, il reste pertinent à la condition d’adapter son emploi à la nouvelle donne. En France, le débat n’est pas encore tranché. Ou, du moins, il est abordé avec prudence. Certes, le développement du standard 3 de l’hélicoptère Tigre a été finalement abandonné pour une modernisation beaucoup moins ambitieuse, en partie pour des raisons budgétaires, l’Allemagne s’étant retirée du programme. Mais pas seulement. « J’ai demandé […] aux armées de regarder si ce qui est imaginé pour le standard 3 correspond bien à ce qu’on veut technologiquement. […] Est-ce qu’on n’aura pas un super hélicoptère déjà démodé [avec les drones] ? J’assume poser la question publiquement », avait en effet déclaré Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, en février 2023. En novembre dernier, lors d’une audition au Sénat, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], le général Pierre Schill, a été interrogé sur le successeur du Tigre [le compte-rendu a été mis en ligne le 16 février, ndlr]. Et cela alors que des réflexions sont déjà en cours pour préparer le programme TITAN, qui prendra le relais de SCORPION à partir de 2040. Ainsi, contrairement à l’approche américaine, qui repose sur des appareils pouvant parcourir rapidement de longues distances, l’armée de Terre mise « davantage sur des engins volant près du sol, de nuit, pour pénétrer les lignes adverses », a d’abord rappelé le général Schill, avant de s’interroger sur la « part de robotisation dans le domaine aéronautique » d’ici une quinzaine d’années. « Les études amont portent sur le fait de savoir si les vols seront habités ou non. Nous avons un choix à faire entre la modernisation des aéronefs existants ou le passage à des équipements de génération suivante, avec des hélicoptères robotisés, une combinaison entre hélicoptères et drones comme dans le système de combat aérien du futur [SCAF], ou encore le ‘char du futur’, le MGCS [Main Ground Combat System] », a expliqué le CEMAT aux sénateurs. (...)
Selon le général Schill, le successeur du Tigre pourrait être un hélicoptère d'attaque "robotisé" - Zone Militaire
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🚁✨ Nouvelle ère pour l'Armée de Terre ! Le système de drone tactique (SDT) Patroller est relancé, ajoutant une dimension supérieure à la trame des drones. Doté de capteurs ROIM et RADAR performants, il renforcera le renseignement d'action d'ensemble au profit des niveaux division et corps d'armée. Les efforts collectifs de la STAT, de la DGA - Direction générale de l'armement de Safran de la DSAÉ - Direction de la sécurité aéronautique d'État du 61e Régiment d'Artillerie et de l'école des drones de Chaumont ont porté leurs fruits. Après des vols d'instructeurs, le premier Patroller de l'Armée de Terre a pris son envol le 6 février 2024, marquant le début d’une série de vols de formation. La phase d'évaluations technico-opérationnelles débutera en avril 2024, avec une équipe progressivement renforcée. Intenses et variées, ces évaluations testeront le système dans toutes ses dimensions opérationnelles, ouvrant la voie à des perspectives d'emploi opérationnel prometteuses. 🌐🛰️ #Innovation #CapaciTerre #arméedeTerre
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