Post de El Watan

Quel est l'avenir de l'industrie automobile en Europe ?

Le patron de Renault Group appelle à coopérer avec les constructeurs chinois Le patron de Renault Group, Luca de Meo, a appelé mardi l'industrie automobile à coopérer avec les constructeurs chinois pour traverser les difficultés actuelles. A lire sur Autoactu.com (lien en premier commentaire)

Après l épisode #midi auto / Stellantis, c est désormais un autre conflit SN Diffusion Stellantis qui surgit Un nouveau signe des tensions que nous évoquions depuis plusieurs mois déjà dans la filière automobile entre constructeurs et réseau. Phénomène qui va s accentuer puisque, non seulement la baisse des marges observée dans plusieurs réseaux concessionnaires va sans doute les inciter à faire entrer des marques électriques chinoirses dans leur portefeuille et d autre part, car les constructeurs qui, s ils veulent limiter l impact financier du non respect des normes CAFE (Corporate Average Fuel Economy), seront sans doute tenter de suivre l exemple de Stellantis Leap Motor. Un secteur en pleine mutation ; en risques et opportunités, Coface et tous nos experts sommes disponibles pour vous accompagner

Le patron de Renault a une nouvelle fois dénoncé le manque d'ambition des institutions européennes qui se contentent d'imposer des normes sans conduire de politique industrielle pour préserver la filière automobile. Selon Luca de Meo, les constructeurs du continent doivent, chaque année, intégrer entre huit et douze nouvelles réglementations. #Constructeurs #lucademeo #Renault #voitureélectrique

Innovation à l'européenne ! Une augmentation de 40% des coûts de fabrication d'une voiture électrique à l'horizon de 2030, c'est ce qu'annonce Luca de Meo. Selon lui cette augmentation serait le fruit d'une abondance de normes de l'Europe, entre 8 et 12 nouvelles réglementations par an. De plus, avec l'effet ciseau de la baisse de pouvoir d'achat touchant la classe moyenne, les véhicules se vendront de moins en moins alors que la Chine est de plus en plus compétitive. La France et l'Europe deviennent fou avec leurs normes ! https://lnkd.in/egjHJuGr Sarah Knafo Arnaud Montebourg

La concurrence est rude chez les constructeurs d'autos 🤩 . Nous avons constaté la percé de la Chine dans le secteur de l'automobile longtemps dominé par des géants occidentaux. Pour faire face à la concurrence principalement Chinoise, les constructeurs automobiles #Honda, #Nissan et #Mitsubishi ont annoncé leur plan de fusion. À terme, ils espèrent devenir le 3ème constructeur automobile mondial, derrière #Toyota et #Volkswagen. Face à la Chine, soit on fusionne en espérant exister, soit on disparait à jamais... Pendant ce temps en Allemagne... Le premier constructeur automobile européen #Volkswagen prévoit la suppression de plus de 35 000 emplois en Allemagne d'ici à 2030 afin de réduire ses coûts et pourvoir être compétitif.

La crise de Volkswagen : une chance pour l’Europe ? Volkswagen domine l’industrie automobile européenne depuis plusieurs décennies sur le plan commercial comme sur le plan politique. L’affaire dont on reparle en ce mois de septembre n’a paradoxalement pas conduit à une réduction de son pouvoir d’influence puisque c’est en large partie parce que VW l’a souhaité que l’UE a entrepris son électrification automobile à marche forcée. Parce que ses volumes et profits chinois s’étiolent alors que ses plans leur donnaient la priorité, le groupe est en difficulté et menace aujourd’hui ses sites et salariés allemands. Si, comme on peut le penser, il en résulte un recentrage sur l’Europe et une quête de compatibilité entre poursuite de l’électrification et restauration des volumes vendus avant la crise, alors les intérêts du leader européen pourraient à nouveau correspondre enfin à l’intérêt général automobile du continent. A lire sur Autoactu.com (lien en premier commentaire)

À l'heure où la menace commerciale chinoise plane sur le marché automobile européen, l'empire du Milieu est déjà à la manœuvre, en tant qu'investisseur de #Mercedes, mais aussi comme propriétaire de #Volvo. Jusqu'à s'immiscer désormais dans les réseaux de distribution Stellantis à travers #Leapmotor, et à inspirer #Ampere la filiale électrique de Renault Group.

15 milliards de DA investis pour se mettre en conformité avec la loi en vigueur : Renault prête à relancer son usine d’Oran Mai 18, 2024. Par R. Akli «Nous sommes prêts et impatients de pouvoir redémarrer.» C’est le message posté avant-hier sur les réseaux sociaux par Rémi Houillons, DG de l’usine Renault d’Oran, laissant prévoir ainsi une relance imminente de l’activité de production de véhicules de cette marque française en Algérie. A l’arrêt depuis près de 4 ans, suite à la suspension des autorisations d’importation des kits SKD-CKD, Renault Algérie production (RAP) est désormais «prêt pour redémarrer et servir ses clients au plus vite», a même avancé son premier responsable, en faisant état d’une mise en conformité avec la nouvelle législation régissant l’activité de construction de véhicules en Algérie. «Près de 15 milliards DA ont été investis pour la réalisation de l’usine et des travaux de mise en conformité avec la législation en vigueur», a-t-il ainsi dévoilé, tout en assurant de l’engagement de Renault Algérie à «fournir des produits de haute qualité répondant aux normes internationales et toujours dans le souci du respect des attentes de nos clients», a-t- il affirmé «Avec des équipes toujours motivées et compétentes, nous sommes prêts à relever les défis qui se présentent et se projeter vers l’avenir. Notre engagement envers l’innovation est indéniable. Notre volonté de développer le tissu fournisseurs et les expertises locales est forte», a-t-il encore tenu à préciser. «Un acteur majeur de l’industrie automobile en Algérie» Selon lui, Renault Algérie production ambitionne même «d’être un acteur majeur dans la transformation technologique de l’industrie automobile en Algérie», grâce notamment à «son usine connectée, équipée de nouvelles technologies et d’une unité de recherche et développement», a-t-il mis en avant. «Nous sommes prêts à contribuer au renouveau de l’industrie automobile en Algérie», a signifié en définitive le DG de l’usine Renault d’Oued Tlélat à Oran. Lancée officiellement en novembre 2014, en partenariat entre le constructeur français, le fonds national d’investissement (FNI) et la société nationale de véhicules industriels (SNVI) qui a par la suite cédé ses parts (34%) au holding public Madar, Renault Algérie, faut-il le rappeler, a quasiment cessé de fonctionner depuis 2020, dans le sillage des remous et scandales qui ont secoué à l’époque le secteur national de l’automobile dans son ensemble et qui ont poussé les autorités publiques à suspendre toute activité d’importation dans ce domaine. Plusieurs unités factices de montage automobile lancées à l’époque par des oligarques de l’ancien régime ont été par ailleurs fermées, tandis l’importation des kits SKD-CKD avait fait l’objet d’une suspension totale, ce qui a induit l’arrêt de l’activité de l’usine Renault d’Oran durant ces 5 dernières années, malgré quelques tentatives de reprise qui n’ont pas permis sa relance effective. suite dans commentaire R.A.