Post de Etienne Godier

📢 éCo.Urbain est heureux d’accueillir Ambre Fontaine-Descamps stagiaire pour 6 mois au sein de la structure. Elle vient compléter son parcours de Master urbanisme université de Lyon. Ambre va notamment travailler sur le secteur Jean Moulin de Villeneuve-la-Garenne, une occasion pour elle de découvrir les marchés publics, l’étude urbaine et la gouvernance. Ambre s’est prêtée au jeu de l’interview, faites connaissance avec elle ! 👇 Quel est ton parcours ?  🌍 Native du 18ème arrondissement j’ai pu faire toute ma scolarité dans le Nord de Paris, y compris ma Licence de Géographie et aménagement du territoire à l’Université Sorbonne Paris IV. Après ces trois années de Licence j’ai décidé de quitter la capitale pour me rapprocher de la mer et la montagne pendant mes deux années de Master à l’Institut d'Urbanisme de Lyon (Université Lyon 2). Pourquoi xn--Co-9ia.urbain? 🌱 Pour clore ces deux années de Master je suis maintenant en stage pour 6 mois chez éCo.Urbain. La vision écologique, durable et concrète relative à des projets de renouvellement, développement et programmation urbaine portée par ce groupe est au cœur du développement d’une ville. C’est pour moi un énorme atout d’intégrer une structure à taille humaine avec de vraies valeurs qui prennent en compte les problématiques environnementales et sociétales actuelles 🐝. Un talent caché ? Compliquée la question du talent caché quand on ne sait pas rester 3minutes30 en apnée mais en tout cas pour sauver ma peau je sais pêcher à main nue …🎣 pas sûre de l’utilité mais c’est déjà ça. Florence BRUYERE Julien Antunez Anne Thebaud Amel IDIR Marjorie Ravily Ange Victorien DADI Pascale Chauvel Claude Ithurralde Nathalie WEIGELMarie-Hélène ROBISSON Agathe Mahéo Jean-Benoit Pradeau Michel ALLUYN @amadou BA Maxime Caroff Ambre Fontaine-Descamps

URBANISTE AUJOURD'HUI Franck Michaud : J’ai débuté mon parcours universitaire par une formation technique, mais celle-ci venait plus compléter ma passion, la natation. Après des années sportives, j’ai intégré la commune d’Ambarés et Lagrave comme adjoint au directeur des services techniques avec pour mission principale : la gestion de la Proximité. J’ai donc découvert l’urbanisme par son impact sur la vie quotidienne des habitants : la hauteur du mur du voisin, l’ombre de la nouvelle maison, le stationnement, l’eau ...  Cette première expérience fut une révélation de l’action publique. Alors, j’ai repris mes études pour passer un diplôme d’ingénieur génie civil, et intégré le DESS Urbanisme de l’IATU. Après le concours d’ingénieur, je suis devenu directeur des services techniques et d’urbanisme de la Ville de Bassens dans la métropole Bordelaise.  Période foisonnante de projets avec une concrétisation du Grand projet de Ville Rive droite, et la gestion de la zone industrialo portuaire de Bordeaux (60% de la commune). Cette expérience est une formation accélérée de découvertes des acteurs de la ville, de l’imbrication des échelles et des enjeux, et de la recherche de consensus et de transparence.  Titulaire du concours externe d’ingénieur en chef, je prends le poste de Directeur général du pole technique de l’agglomération de Mont de Marsan. La structuration des équipes, les transferts de compétences, la mutualisation, et je dirige désormais une DGA sur l’ensemble des missions techniques, la politique sportive, le cycle de l’eau et la stratégie territoriale : transition environnementale, mobilité, habitat, urbanisme sur les deux collectivités Ville et Agglo.   Résumer 15 années au service d’un territoire n’est pas aisé car elles sont rythmées par une multitude de sujets menées collectivement par mes équipes et les compétences extérieures précieuses. Je soulignerai trois projets :  Le PLUi avec la sobriété foncière de 50%, la création du parc naturel urbain autour des zones humides, et le programme d’aménagement des bourgs.  Mon métier d’urbaniste s’exerce dans la conduite et l’assemblage des politiques publiques, parfois segmentées, et impactées par des normes contradictoires. La richesse de mes missions réside dans l’animation de collectifs de compétences internes et externes, et les relations l’élaboration de stratégie avec les élus et les citoyens. Ma pratique me questionne énormément sur la construction d’un avenir désirable de nos territoires pour les habitants face à aux enjeux de transition : la confrontation du désir individuel face au chemin collectif.  Mon inscription durable sur un territoire est une richesse pour conduire des stratégies longues et une compréhension précise des dynamiques territoriales, et des acteurs.   Je souhaite participer à la reconnaissance de nos missions et métiers dans les collectivités, et affirmer le rôle majeur que doivent jouer les urbanistes dans la conduite des transitions.  #urbanisme #FPT

🚨 OFFRE DE STAGE 🚨 Le Syndicat mixte du Pays du Mans recrute UN.E STAGIAIRE SUR L'URBANISME FAVORABLE À LA SANTÉ Descriptif du contexte : Mettre en oeuvre des expérimentations terrain sur l’aménagement d’espaces publics afin qu’ils soient favorables à la santé des habitants, au bien-être et au bien-vieillir, préventifs, et adaptés aux pathologies prégnantes du territoire. Objectifs : - Améliorer la qualité des espaces publics, ainsi que leur adaptabilité ; - Faire de ces retours d’expérience des exemples concrets ; - Rédiger un guide pour aider à la décision. En complémentarité : en cours de finalisation la révision du SCoT-AEC sur le Pays du Mans ayant mis la santé comme fil conducteur (soutien du PRSE, démarche accompagnée par un prestataire). Contact : marine.peslier@paysdumans.fr ⚠️

Générique de fin, Mon stage de fin d’études de 6 mois chez Attitudes Urbaines en tant que chargée d’études se termine et avec lui mon engagement sur deux missions « fil rouge » qui ont marqué mon parcours :   1. Programmation architecturale à La Courneuve : 📌 Situé dans le quartier emblématique des 4000, érigé dans les années 1960, le Mail de Fontenay reste le seul témoin de l'urbanisme de cette époque sur le territoire. 🔍 Étudier la programmation de locaux d’activités et de logements spécifiques, tout en répondant aux besoins de Seine-Saint-Denis Habitat, des habitants et des entrepreneurs à pérenniser sur site tout en intégrant le déjà-là dans une dynamique territoriale locale. 🎯Ce projet contribue à la revitalisation continue du quartier des 4000, exemplaire de la politique de la ville portée par l’ANRU, en répondant aux enjeux de mémoire et de développement territorial. 2. Programmation urbaine à Angers : 📌 Les franges angevines, mélange d'industries, de commerces et de logements sociaux, offrent une opportunité unique de renouvellement urbain dans le contexte du ZAN. 🔍 Revitaliser la friche industrielle Thomson pour étendre le centre-ville "vécu", et intégrer des activités économiques faisant vivre les espaces résidentiels tout en structurant une nature en ville servante. En sommes, programmer le quartier exemplaire de 2040 : attractif et intense mais structuré par des mobilités douces et apaisées, résilient, fructifiant la trame verte, bleue et noire, intégrant mixités sociale et fonctionnelle, traitant des formes urbaines bioclimatiques, innovant…. 🎯 Ce projet vise à répondre aux besoins croissants en logements dans un périmètre érodé, en opérant une programmation complète servant le déjà-là et anticipant les besoins. Mon parcours chez Attitudes Urbaines a donc été marqué par des projets urbains stratégiques, un encadrement de qualité, une expérience humaine très appréciée et une montée en compétences dans la solidarité complétant mon engagement pour la ville soutenable. 🌟Merci à toute l'équipe pour ces collaborations inspirantes !🌟

🎬 Clap de fin pour l'option aménagement durable et urbanisme 📚 Dans le cadre de ma dernière année du Bachelor en Sciences et Ingénierie en Environnement et Développement Durable à UniLaSalle Rennes, j’ai eu l'opportunité de suivre l'option "Aménagement durable et urbanisme", une ouverture professionnelle particulièrement enrichissante. 💡 Sous la direction de Rouba Kaedbey, ces deux semaines intensives m'ont permis d’explorer les enjeux de la ville durable, en abordant des aspects clés de l’urbanisme tels que la planification stratégique, l'urbanisme opérationnel et la gestion territoriale, ainsi que les réglementations en aménagement durable, illustrées par des cas concrets. Nous avons appris de nombreux outils de diagnostic variés, incluant des méthodes d'enquête (entretiens et interviews) ainsi que des techniques de restitution telles que la cartographie et les croquis. 🚇 Cette option, que j'ai eu le plaisir de majorer avec une note finale de 17,5/20, m'a permis de travailler sur un projet de diagnostic territorial, en collaboration avec Paul BREJON et Maëlys Pouillas, où nous avons étudié l'impact de l’arrivée de la ligne B du métro à Rennes sur la répartition des logements des étudiants du campus de Beaulieu. Sur la base de nos résultats, nous devions concevoir un poster ludique qui permette de répondre efficacement à notre problématique. 🏆 Je suis fière de partager aujourd’hui le fruit de ce travail, qui marque une étape enrichissante dans mon parcours académique. En effet, cette expérience confirme mon ambition de poursuivre un cursus en aménagement du territoire après mon diplôme, avec pour objectif de contribuer activement à la transition écologique des territoires en me spécialisant en stratégies urbaines et territoriales. #aménagement #rennes #urbanisme #unilasalle

[🆒 PORTRAIT D'AGURAMIEN] En 2024, l'#AGURAM a fêté ses 50 ans ! On en a profité pour commencer à vous présenter celles & ceux qui font l'agence en 6 questions, et ce n’est pas fini… …Rencontre avec Quentin MONTEIRO, chargé d'études projet urbain - foncier, aguramien depuis bientôt 6 ans. __🏫 Quelle est ta formation & que faisais-tu avant d'arriver à l'agence ❓ J'ai obtenu une licence de géographie & aménagement, puis un master géographie, aménagement, environnement & développement à l'Université de Lorraine à Nancy. Mon stage de fin d'études s'est déroulé à l'#AGURAM en 2019 et j'ai intégré l'équipe ensuite. __🛠️ Quelles sont tes missions à l’agence ❓ Elles se concentrent sur l'observation foncière. Cela inclut le recensement des gisements fonciers à enjeux, et de leur qualification, en identifiant leurs problématiques et leurs potentiels de reconversion. Je suis également chargé de conduire les volets liés à la consommation des sols dans les études de l'agence. __🔎 Sur quel(s) projet(s) travailles-tu en ce moment ❓ J’assure le suivi de l'observatoire foncier de la Communauté d'Agglomération du Val de Fensch et je travaille sur l’analyse et l’évolution de la consommation foncière des 7 EPCI du #SCoTAM. En parallèle, je contribue à la mise en place des observatoires fonciers en évaluant les potentiels de développement futurs des tissus urbains stratégiques. __🆒 Pourquoi ce job est COOL ❓ Ce qui me plaît le plus dans mon métier, c’est la transversalité avec les collègues sur de nombreuses thématiques et la possibilité de croiser les multiples compétences de chacun. De plus, travailler sur des missions de service public passionnantes et contribuer au développement de pratiques d’aménagement plus vertueuses, est particulièrement enrichissant. __🎂 L'AGURAM en 3 mots : INGÉNIERIE / TRANSVERSALITÉ / CONSEIL __🚀 Et dans 50 ans, à quoi ressembleront nos métiers ❓ Je pense que nos champs d’intervention se focaliseront sur l’aménagement et la transformation des tissus urbains existants. Il sera nécessaire de repenser notre modèle d’aménagement hérité de l’après-guerre pour optimiser davantage les espaces urbains et les adapter aux défis environnementaux, sociaux et économiques.

📸Quand j’ai pris ce cliché, j’ai été frappée par l’impression d’un espace public “domestiqué”. Des habitations, un terrain de sport, quelques touches de verdure… Comme si l’on avait voulu cocher toutes les cases d’un espace de vie idéal sans forcément s’interroger sur les véritables besoins et modes de vie des habitants. Pourtant, je sais que derrière chaque projet, des équipes dévouées réfléchissent à chaque détail, et que chaque choix est mûrement pensé. Je le vois chaque jour dans mon alternance, où je découvre la complexité de concilier aspirations écologiques, attentes des habitants, et contraintes du terrain. 💡 Mais en tant qu’étudiante encore entrain de se faire une idée du monde qui l’entoure, ce cliché, avec ses espaces soigneusement délimités, soulève en moi des questions. Quelle place donnons-nous réellement à la nature dans nos villes ? 🌳 Dans nos espaces urbains, la nature est souvent recréée, modelée, parfois même « domestiquée » pour s’intégrer à nos environnements. Mais est-ce à elle de s’adapter à nous, ou devrions-nous réapprendre à la laisser exister dans toute sa spontanéité ? Cette nature encadrée, contenue, est-elle vraiment celle dont nous avons besoin, ou simplement une illusion de contrôle ? 🌿 Que gagnerions-nous à accueillir une nature plus libre, moins prévisible, mais plus authentique ? 💭 Au-delà des normes et des attentes, y a-t-il un moyen de trouver un équilibre plus vrai entre l’urbanisme et le vivant ? Mon optimisme et ma naïveté auraient envie de répondre « du bon sens », mais… ce n’est jamais aussi simple ! Merci à ce monsieur, habitant du quartier depuis 2002, de m’avoir laissé le photographier et pour notre échange qui m’a permis de mieux comprendre la transformation de son lieu de vie 🫶🏻 #reflexion #natureenville #urbanisme #harmonie #coexistence #transitions #promotionimmobiliere #transformation #bordeaux #lieudevie

[FAIRE POUR ET AVEC LES HABITANTS 🧡] Chantier jeunes d’imagination du 17 juin au 12 juillet 2024 Est Métropole Habitat se lance dans un nouveau type de chantier, le chantier « d’imagination ». Fort de son expérience et de son succès dans les chantiers jeunes XXL, le service innovation d'Est Métropole Habitat développe un nouveau concept aidé d’Enactus. En plus de réaliser le chantier de peinture des 6 allées d’une résidence, des temps seront consacrés à l’imagination d’un projet autour du “cadre de vie”. L’idée est de faire de ce temps de chantier, une opportunité pour les jeunes de développer leur créativité, leurs compétences relationnelles et leur aisance à l’oral. Ce dispositif est mis en place dans le quartier des Buers sud à Ville de Villeurbanne et va s’étendre sur 4 semaines au cours desquelles des jeunes accompagnés par différentes structures se relaieront (Centre Social des Buers, Association Buers Croix-Luizet, Maison de quartier des Brosses, EPIDE - Etablissement pour l'insertion dans l'emploi, ACOLEA). L’encadrement technique de ce chantier de peinture est réalisé par KOLOR1 AHMED YAHIAOUI, dont le professionnalisme et le contact avec les jeunes font un acteur clé de la réussite de ce genre de chantier. Le programme type d’une semaine est le suivant : - Lundi : accueil de la nouvelle équipe et lancement du chantier. - Du lundi au jeudi : chantier de peinture à partir de 8h et temps de restitution en fin de matinée. - Le vendredi matin : temps d’imagination. Les équipes formées par 2 ou 3 jeunes seront ainsi mise en compétition, au travers de l’imagination d’un projet de rêve pour le quartier et de sa présentation au reste du groupe. Tous ces apprentissages pourront être mis à l’œuvre dès le 4 juillet, date à laquelle les jeunes seront conviés à une rencontre métiers, pour discuter avec des professionnels partenaires. Une occasion pourquoi pas, de décrocher un stage ou un emploi ! Enfin, le 12 juillet, l’ensemble des équipes présenteront leurs projets lors d’un temps convivial, ouvert aux habitants du quartier. Cédric Van Styvendael, Céline Reynaud Formont, Bruno Bernard, Renaud PAYRE, L'Union sociale pour l'habitat, Fédération des Offices Publics de l'Habitat, AURA Hlm #Semainehlm2024 #bailleursocial #Hlm #emh #estmetropolehabitat #liensocial #developpementsocial #mixitésociale #insertion #evenementhabitants

Après un mois d’études à l’université, je suis de retour en entreprise dans le cadre de mon alternance en tant que chargée de mission habitat à l’EPT Grand Orly Seine Bièvre. Hier, j’ai eu l’opportunité d’assister à la revue de projet du PRIR Schuman-Bergonié à Kremlin-Bicêtre, un ambitieux projet de renouvellement urbain visant à transformer un quartier excentré et éloigné des services et centralités en une nouvelle polarité urbaine. 🎯 Objectifs principaux : Développer une offre mixte de plus de 900 logements, avec 40 % de logements sociaux, tout en favorisant la mixité sociale. Désenclaver le quartier grâce à l’arrivée de la ligne 14 du métro et à un réseau de bus renforcé. Chauffer les logements via un réseau de chaleur alimenté par la géothermie. Rénover les équipements scolaires et aménager des espaces publics de qualité pour les habitants. 🏘️ Enjeux majeurs : Accompagner le relogement des habitants, en veillant à préserver leurs parcours résidentiels. Acquérir le foncier nécessaire à l’avancement du projet, grâce à une collaboration étroite avec les partenaires locaux. Restituer une offre de logements diversifiée et adaptée, tout en redéfinissant le quartier de demain avec des services de proximité et des espaces publics inclusifs. 🌱 Ce futur quartier incarne la transition écologique et sociale tout en réinventant un territoire pour mieux répondre aux attentes des habitants et des usagers.

URBANISTE AUJOURD'HUI @Emmanuelle Emeriau L’urbanisme, une seconde carrière J’ai d’abord été professeure agrégée d’histoire-géographie. M’appuyant sur ma formation initiale pour choisir un domaine de reconversion, j’ai intégré un Master en géographie urbaine à l’université Paris VIII. J’évoquais alors mon souhait de travailler en « aménagement urbain » au service d’une collectivité territoriale.  « Urbaniste » était un terme qui ne m’était pas familier et « programmiste » un terme inconnu. Cette envie de prendre part à la « fabrique urbaine » - autre terme découvert en milieu professionnel – m’est venue des programmes de 1ère où l’aménagement urbain « durable » s’était invité ; l’écoquartier Vauban était LA référence et me faisait rêver d’une ville plus vivable et vertueuse. L’enchevêtrement social, économique et environnemental d’un développement durable me semblait porteur d’une pensée constructive positive. Les prémices d’écoquartiers s’engageaient à Paris et ce fut donc mon 1er terrain : j’ai réalisé 2 mémoires de recherche sur le projet d’écoquartier dans le Fort d’Aubervilliers, au coeur de grands ensembles HLM en renouvellement urbain, accompagné d’ateliers de concertation appelés alors « Forum 21 ». Sujet richissime pour rencontrer les acteurs de l’aménagement et les forces vives du territoire et pour soulever des questions autour de l’inclusion sociale vs gentrification et de la transversalité. Les cours de géographie du commerce m’ont m’orientée vers la programmation commerciale et économique, que j’avais perçue comme une source d’inclusion sociale. Cette « niche » m’a permis de trouver un stage puis un emploi chez la SEMAEST, SEM de la Ville de Paris spécialisée dans la revitalisation du commerce de proximité, devenue une référence nationale au moment où cette question s’imposait dans le débat public. En pleine réinvention elle-même, cette société m’a offert une incroyable diversité de missions, d’études de programmation commerciale au co-pilotage d’un projet ITI- FEDER attenant au projet numérique CoSto, en passant par la facilitation grâce à la participation à un réseau européen d’échanges de bonnes pratiques en aménagement urbain URBACT III. C’est là aussi que j’ai rencontré Pauline Cohadon , fondatrice de l’agence L’Effet Urbain qui accompagne des projets urbains et immobiliers, d’abord dans les Appels à Projet Urbain Innovant de 2017 à 2020, puis dans des études urbaines. J’y ai étendu mes champs de compétences à la programmation habitat et espaces publics, me formant sans cesse. En 2023, ma certification par Aptitudes urbaines et ma qualification par l’Office Professionnel de Qualification des Urbanistes m’ont définitivement installée dans cette fonction d’« urbaniste programmiste », que je m’emploie avec plaisir à expliquer à ceux qui ne sont pas de ce cercle professionnel : la diversité des profils est un atout pour des projets variés. #developpementdurable #urbanisme #architecture #territoires