Post de Fondation UBS

Passant de mains en mains, la flamme olympique a descendu les Champs Elysées pour le 14 juillet. Et ce parcours, débuté à Olympie qui continue dans toute la France, me fait ressentir une profonde émotion, comme celle des spectateurs qui témoignent dans cet article sur le site de la Ville de Paris. La chaîne humaine ainsi créée symbolise de la plus belle des façons les valeurs du mouvement olympique dont le message plus que centenaire, initié par Pierre de Coubertin, enrichi au fil du temps et plus pertinent que jamais, mérite d’être rappelé. « L’esprit olympique exige la compréhension mutuelle, l’esprit d’amitié, de solidarité et de fair-play. », stipule notamment la Charte olympique (lien en commentaire). Afin de « mettre le sport au service du développement harmonieux de l’humanité en vue de promouvoir une société pacifique, soucieuse de préserver la dignité humaine », l’Olympisme affirme également que « La pratique du sport est un droit de l’homme », que chacun doit avoir la possibilité de pratiquer « sans discrimination d’aucune sorte ». Ainsi, la force universelle de l’olympisme n’est pas seulement faite d’exploits sportifs remarquables réalisés par des athlètes exceptionnels. Il s’agit aussi d’une invitation personnelle faite à chacun, à s’élever, à s’engager et à partager : « Alliant le sport à la culture et à l’éducation, l’Olympisme se veut créateur d’un style de vie fondé sur la joie dans l’effort, la valeur éducative du bon exemple, la responsabilité sociale et le respect des droits humains reconnus au plan international et des principes éthiques fondamentaux universels (…) ». C’est pourquoi je remercie toutes les personnes qui participent et concourent à l’organisation de l’événement annoncé par l’arrivée de la flamme olympique. Le style de vie et l’éthique qu’ils promeuvent va au-delà de l’esprit de compétition. Son exigence est plus grande et nous rappelle que le sport peut jouer un rôle crucial dans l’entretien de la bonne santé du corps et de l’esprit comme de rapports humains plus respectueux, harmonieux et solidaires. Je vous souhaite à tous de très bons jeux conformes à ce bel esprit porté par l’Olympisme ! #AvenirCollectif https://lnkd.in/eFUYUDxH 

Porter la Flamme Olympique : entre Fierté et Compromis La flamme olympique, symbole de paix, d'unité et de dépassement de soi, représente tout ce qui est noble dans l'esprit sportif. Porter cette flamme est une immense fierté, un honneur réservé à ceux qui incarnent les valeurs de l'olympisme : courage, persévérance, respect et excellence. C'est un moment unique qui transcende les frontières et les différences, unissant le monde dans une célébration commune des capacités humaines et de la fraternité. Cependant, cette noble flamme est souvent entourée de controverses, notamment lorsqu'elle est associée à des sponsors comme Coca-Cola. Comment concilier les idéaux de santé et de bien-être, fondamentaux dans le sport, avec la promotion de produits riches en #sucre, principaux ennemis de la #santé publique ? Il est indéniable que Coca-Cola, en tant que sponsor majeur des Jeux Olympiques, joue un rôle crucial dans le financement et la promotion de l'événement. Sans le soutien de ces grandes entreprises, il serait difficile d'organiser une manifestation d'une telle envergure. Néanmoins, cela soulève une question éthique fondamentale : doit-on accepter de faire des compromis avec ses valeurs pour vivre le rêve olympique ? Refuser de porter la flamme olympique sponsorisée par une entreprise telle que Coca-Cola pourrait être perçu comme un acte de courage et de cohérence personnelle. C'est une prise de position forte contre l'influence des grandes entreprises sur des événements qui devraient avant tout promouvoir la santé et le bien-être. Dire "non" à cette association peut être vu comme une manière de ne pas se laisser corrompre par l'économie et de rester fidèle à ses principes. Cependant, cette radicalité a aussi ses limites. L'olympisme est avant tout un rêve, un idéal qui inspire des millions de personnes à travers le monde. Participer à cet événement, même sous le patronage d'un sponsor controversé, peut permettre de transmettre les valeurs olympiques à une audience plus large, de susciter des vocations et de créer des moments d'émotion et d'unité incomparables. Alors, doit-on être radical et dire "non" pour ne pas être corrompu par l'économie ou faire des concessions pour vivre le rêve de l'olympisme ? Cette question n'a pas de réponse simple. Elle dépend de la perception individuelle de ce que signifie l'intégrité et de l'importance accordée aux valeurs personnelles par rapport aux opportunités offertes par des événements mondiaux. Pour certains, le refus de porter la flamme olympique sponsorisée par une entreprise comme Coca-Cola est un acte de résistance nécessaire pour protéger l'essence même du sport. Pour d'autres, la participation, même entachée de compromis, reste une chance unique de faire partie d'une histoire plus grande que soi. Radicalité ou compromis ?

Bravo pour votre simplicité

Jeux Olympiques et Paralympiques 2030 : Le dialogue au cœur du jeu ! Alors que l'Etat français lève le dernier frein à l'officialisation des JOP 2030 en France en apportant la garantie financière tant attendue par le CIO, nous sommes convaincus que le dialogue doit être au coeur du jeu. Dans la perspective de l'accueil de ce méga-événement, nous aurons plus que jamais à jouer ce rôle de mise en dialogue des acteurs de la montagne, pour organiser des Jeux compatibles avec le respect des limites planétaires, et bénéfiques pour les territoires. Aujourd'hui, nous réaffirmons notre attachement à une organisation des JOP sur un nouveau modèle prenant en compte les enjeux environnementaux et sociaux. Notre dernier CP "Le dialogue au coeur du jeu" ➡️ https://lnkd.in/gmYqWEAH Tribune co-signée par 20 ONG : "Conditions environnementales JO 2030" ➡️ https://lnkd.in/gPsg4Xh6 Fabrice PANNEKOUCKE Chantal Eymeoud Vincent Jay - OLY

PASSE LA FLAMME OLYMPIQUE, AU MILIEU D'UN DÉSASTRE BUDGÉTAIRE Ça y est! Accostée la veille au soir, la flamme olympique débutera son périple en terre martiniquaise lundi 17 juin. Durant ce séjour, le flambeau traversera neuf étapes dont: la Montagne Pelée, le Lamentin, le Robert, Sainte-Marie, le Saint-Esprit, Saint-Pierre, le Diamant (Morne Larcher), Schoelcher, le Diamant (Cap 110) et Fort-de-France. La torche portée entre autres par: Sandrine Gros-Désormeaux, Jacques Sicot et Angela Virgal. Sans oublier les non sportifs, comme Ghislaine Gazon, la fondatrice et Secrétaire de l'association « ARTCAM » (Artisan, Commerçant, Acteur Martiniquais) Tout cela au plus fort d'une période de bronca du secteur économique. En effet, l'une des spécificités de l'île, est l'étroitesse d'un marché , commandé, animé et financé par le secteur public; autrement dit la CTM. Or, si l'on en croit les déclarations officielles, cet organisme aurait, depuis son élection, essuyé toutes les catastrophes budgétaires imaginables; du bug à la piraterie, rien ne leur a été épargné; nous dit son président! Du coup, la CTM a des retards " abyssaux" de règlements. Et ce jusqu'aux employés ( pas les élus ) de la collectivité territoriale martiniquaise qui ne sont pas payés! Dans ces conditions, " la liesse au flambeau ", est plutôt mal venue. Surtout que l'addition est salée. Et doit être payée à l'avance! Sans entrer dans le détail, rappelons que le passage du flambeau est règlement préalable d'un " droit d'entrée préalable de 180 000 €  payable au Comité International Olympique. Auquel s'ajoutent les frais et taxes connexes obligatoires. Une racket institutionnel en somme? Hélas, nous autres Ultramarins, avons choisi notre me×de. Car la participation au " Carnaval olympique 2024" est non obligatoire. D'ailleurs plus de 10 collectivités hexagonales ont refusé de participer, en apprenant le prix du ticket. Mais voilà, encore une fois nous sommes les " bwa-bwa" de la manif. Au point que nous n'avons pas trouvé un seul représentant pour faire la traversée d'accompagnement de la flamme. Au moins, avec Marie-josée Pérec, la Guadeloupe tire son épingle du jeu? Mais nous avons un hy https://lnkd.in/eibDbcwr

🔔 L'Histoire de la Flamme Olympique : Un Voyage à Travers le Temps et les Continents 🔔 🚨Les Jo 2024 arrivent à grand pas, et certains ne connaissent toujours pas l’histoire de la fameuse flamme Olympique.  🇬🇷Les Origines de la Flamme 🇬🇷 La flamme olympique remonte aux Jeux Olympiques de l'Antiquité en Grèce, où elle était allumée pour honorer les dieux. Cette tradition a été réintroduite aux Jeux modernes en 1928 à Amsterdam, et depuis, elle incarne l'esprit olympique. 🚀 Un Voyage Épique 🚀 Avant chaque édition des Jeux, la flamme olympique parcourt certains pays, reliant les continents et les cultures. Allumée à Olympie en Grèce, elle est transportée par avion, bateau, et à pied, traversant des paysages variés et touchant des millions de cœurs. 🌐✈️🚢 🔥Les Porteurs de la Flamme 🔥 Il nous est tous déjà arrivé de nous demander « pourquoi cette personne porte la flamme », « elle n’est pas connue ». C’est très simple, pour être porteur de la flamme il faut tout simplement faire vivre au moins l’une des trois énergies de Paris 2024, soit : l’énergie du sport et des Jeux, celle des territoires et celle du collectif. 🙋♂️C’est pourquoi cette année, plus de 11000 personnes sont porteurs de la flamme. Et vous, connaissiez- vous l’histoire de la flamme Olympique ?

[ L'esprit olympique souffle sur l'Essonne ! ] Nous vous proposons, dans notre dernier n°, un dossier spécial JO. 🗞 📢 Après les informations pratiques hier pour anticiper les JO. Aujourd'hui 2ème partie : Quelles retombées économiques ? Des entreprises essonniennes choisies pour les JO témoignent: 🎙 « La Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques, ndlr) exigeait que ce soit un équipement durable et renouvelable, et par ailleurs produit en Île-de-France », témoigne Herve JACOB, président de la société Pyramide Climbing Walls ( Bondoufle), spécialisée dans la fabrication et l’installation de structures artificielles d’escalade, choisie pour construire et d'installer les trois murs qui seront utilisés pour les épreuves d’escalade. 👏👏 👏 🎙 « Nous fournissons des équipements utilisés à l’entraînement ou en compétition pour collecter des données et aider à améliorer les performances », explique Romain Labbé, le patron de Phyling (Palaiseau), spécialisée des capteurs et des mesures embarquées. Elle est à l'oeuvre auprès des athlètes français depuis cinq ans. Elle en accompagnait aux JO de Tokyo et a enchaîné avec la préparation de la présente olympiade.  👏 👏 👏 On parle aussi des L ATELIER H&S qui a réalisé les anneaux olympiques ou encore du Réseau DEF (Massy), expert de la sécurité incendie, retenu dans le cadre de la construction de la magnifique piscine olympique de La Courneuve... La suite de l'article est à lire ici 👇 https://lnkd.in/esBRTKxr ✔ Et toujours l'intégralité du dossier à lire ici p 26-31: https://lnkd.in/eWp7-qkU ✔Et la 1ère partie: Anticiper les JO: https://lnkd.in/eJVPdDBS 👉A suivre jeudi: La 3ème partie: Les JO en Essonne Un dossier réalisé par Laurence Amette et E. Vilmos 👉Et si vous souhaitez saisir les dernières opportunités: une plateforme internet (entreprises2024.fr) regroupant de nombreux partenaires, dont les institutions consulaires, a été mise en place pour permettre aux TPE/PME de saisir les opportunités économiques offertes par l’organisation et le déroulement des Jeux. #essonne #JO2024 ➖➖➖➖ ✅« En Essonne Réussir » est le magazine des entreprises publié par la CCI Essonne. Abonnez-vous pour retrouver chaque semaine le meilleur de votre magazine avec une sélection d'articles à lire. 😉

JO 2024. L’esprit olympique s’est dévoilé dans son meilleur rôle de fédérateur. Pensez donc, le pays du baron Pierre de Coubertin ose organiser un spectacle hors de prix pour nos finances exsangues et si éloigné de nos préoccupations sécuritaires, écologiques, sociales, économiques et politiques ! Et puis, la flamme a enflammé Marseille. Comme une évidence, et une mauvaise foi affichée, le vent contraire a beaucoup soufflé à l’approche du grand événement de nos Jeux olympiques 2024. Pensez donc, le pays du baron Pierre de Coubertin ose organiser un spectacle hors de prix pour nos finances exsangues et si éloigné de nos préoccupations sécuritaires, écologiques, sociales, économiques et politiques ! Et puis, la flamme a enflammé Marseille et l’esprit olympique s’est dévoilé dans son meilleur rôle de fédérateur, emmenant dans sa foulée toute une procession enthousiaste de supporters qu’on ne soupçonnait pas d’entretenir cet esprit olympique, de saine émulation, de fraternité et de paix. Et de ville en ville, cet enthousiasme n’a pas vacillé et les craintes n’ont pas été vérifiées. Pourvu que cela dure. Alors, nos braves girouettes du vent contraire se sont mises à tourner du bon côté de ce nouvel espoir de moments sportifs partagés et de combats fraternels à venir dans les diverses arènes. Il y aura bien sûr des vainqueurs et des vaincus. Ceux-là se relèveront sans dommage. Et, pour un temps, peut-être, on oubliera le sens du vent et des girouettes.

C’est une annonce qui résonne comme un coup de canon dans le monde du sport français. Martin Fourcade, le biathlète le plus titré de l’histoire aux Jeux olympiques d’hiver, se porte candidat à la présidence du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques (COJOP) pour l’édition 2030 dans les Alpes françaises. Une décision mûrement réfléchie pour celui qui a déjà vécu intensément les JO de Paris 2024 de l’intérieur. Avec un objectif clair : réussir des “Jeux magiques” et porter haut les couleurs de la montagne. Un engagement olympique au long cours À 36 ans, Martin Fourcade n’est pas un novice dans l’univers olympique. Recruté dès 2018 par Tony Estanguet pour présider la commission des athlètes de Paris 2024, il est entré en 2022 au Comité International Olympique (CIO) en tant que membre de la commission des athlètes. Une expérience précieuse qu’il compte bien mettre à profit pour porter la candidature des Alpes. Je me sens cette responsabilité de porter ce projet pour donner du sens et du concret à cet engagement. Martin Fourcade Au-delà de son palmarès sportif exceptionnel, Martin Fourcade pense avoir les atouts nécessaires pour rassembler et convaincre autour du projet alpin. Son côté fédérateur est reconnu, tout comme sa volonté de promouvoir des Jeux ambitieux et responsables. Un engagement au long cours qui s’inscrit dans la continuité de Paris 2024. Deux priorités pour démarrer S’il est désigné à la tête du COJOP 2030, Martin Fourcade a déjà identifié ses deux grandes priorités de départ : Mobiliser les acteurs privés pour garantir les ressources financières des Jeux. Des discussions sont à initier rapidement avec les grands partenaires de Paris 2024. Réunir toutes les parties prenantes (régions, stations, athlètes…) pour affiner collectivement le projet et acter les orientations importantes. Le sport français attend beaucoup du successeur de Paris 2024. Après des Jeux populaires et spectaculaires dans la capitale, il va falloir faire au moins aussi bien, voire mieux, dans les Alpes. Un défi que Martin Fourcade aborde avec enthousiasme, persuadé des atouts de la montagne pour offrir un spectacle grandiose. Sublimer les Alpes, un héritage pour la montagne Au-delà de l’événement sportif en lui-même, les JO 2030 devront laisser un héritage durable aux territoires alpins. Martin Fourcade en est convaincu, il faut profiter des Jeux pour mettre en valeur la beauté des montagnes et reconnecter les gens avec la nature qui les entoure. Un enjeu important à l’heure où les défis environnementaux n’ont jamais été aussi présents. Paris 2024 devait sublimer Paris, les Alpes françaises devront sublimer la nature qui nous entoure. Martin Fourcade Réussir cela demandera de l’ambition et de trouver les bons équilibres. Les JO devront s’adapter au territoire alpin et non l’inverse. Un travail de co-construction avec tous les acteurs locaux qu’il faudra mener tambour battant pour être prêt dans moins de 6 ans...

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