Post de Footbar

🔥 Olivier Remini, grand sportif, fondateur et président du groupe fortil que nous sommes fiers de compter parmi nos porteurs de la Flamme Olympique de Paris 2024 revient sur sa sélection dans le journal du Groupe Nice-Matin 🗣️ Le sport est son moteur. "Chez les ingénieurs de Fortil, quand notre cerveau n’arrive plus à ingurgiter, c’est ce qui va nous faire souffler. En termes d’énergie, c’est un complément. Le sport, c’est ça qui me fait tenir." 👉 Découvrez le profil du Varois à travers l’article

Merci à CCI Grand Lille pour cette belle Soirée à la carte au DECATHLON ARENA - STADE PIERRE MAUROY de jeudi dernier. Et merci BNI Nord, Jonathan BAILLEUL et Caroline Morel, de m’y avoir convié avec Pierre Capelaere ! L’occasion d’écouter le témoignage d’un immense sportif de haut niveau, 𝟐 𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐥𝐲𝐦𝐩𝐢𝐪𝐮𝐞, 𝟒 𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 (excusez du peu) : le judoka 𝐃𝐚𝐯𝐢𝐝 𝐃𝐨𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 ! Qu’est-ce que je retiens de ce témoignage ? ✔️ Je ne suis pas un pro JO, mais son partage concernant la vie dans le village olympique fait réfléchir sur le 𝑽𝑰𝑽𝑹𝑬 𝑬𝑵𝑺𝑬𝑴𝑩𝑳𝑬. S’il est un sujet d’actualité, c’est bien celui-là, et 10 000 athlètes, de pays, religions, coutumes, idées politiques si différents qui vont partager cet espace qu’est le village olympique, cela amène à réfléchir… ✔️ Je retiens que si tu as un projet, si tu veux qu’il décolle, 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆-𝒕𝒐𝒊 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏𝒔 (la métaphore du pilote de ligne qui doit mettre les gaz à 100% pour faire décoller son Airbus était très pertinente). Ne le fais pas en te disant que tu vas tâter le terrain et, peut-être, si ça semble marcher, tu y consacreras un peu plus de temps… Non, vas-y, accélère et fonce. ✔️ Je retiens que 𝒍𝒆𝒔 𝒆́𝒄𝒉𝒆𝒄𝒔 n’en sont pas, ils 𝒏𝒆 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒆́𝒕𝒂𝒑𝒆𝒔 𝒅’𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆𝒏𝒕𝒊𝒔𝒔𝒂𝒈𝒆. Il faut intégrer, mentalement, que tout ne fonctionnera pas, il y aura des erreurs, des échecs, mais aussi des succès, et tout cela est normal. ✔️ Et je retiens que 𝒍𝒆 𝒔𝒕𝒓𝒆𝒔𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒕𝒆𝒖𝒓, à dose raisonnable, et qu’il résulte de nos peurs, de notre éducation. Chacun peut le dompter : Le stress est une donnée mentale, personnelle, et surmontable. Utilisez-le comme une énergie motrice. Rien de bien nouveau en réalité, mais exprimé par David Douillet, et validé par son parcours, cela prend plus de corps… L’occasion également de réseauter et de retrouver beaucoup de têtes connues 😉.

Contrairement à Jerome, je ne me souviens plus exactement de la première fois où j’ai acheté l’Equipe. Mais s’il y a une chose dont je me souviens, c’est de la première fois où j’ai acheté un vélo. C’était le 10 février 2022 - il n’y a pas si longtemps donc - et c’était chez TIM Mobilité. Depuis, le vélo représente 90% de mes déplacements à Paris. Et c’est peu dire que mon quotidien a changé - dans le bon sens. Quand il y a quelques années je râlais car telle ou telle ligne de métro parisienne était en panne, ou fermée, ou en travaux, ou ralentie à cause d’un incident voyageur, ou blindée, ou en grève, ou tout à la fois (oui ça arrive), maintenant je n’ai plus de mauvaises surprises. Et cerise sur le guidon : c’est une mobilité très efficace contre la sédentarité et une des plus respectueuses de l’environnement - dixit notre ami Jancovici. Et en cas de problème avec ma bécane, j’appelle l’équipe technique de Tim et je peux être pris en charge dans les 24h - contrairement aux réparateurs de vélos qui sont souvent saturés… Aucune surprise, donc, de voir que Tim cartonne, et que le journal L’Equipe en parle dans ses colonnes. Je leur souhaite encore plein de belles réussites ! Et pour les indépendants comme moi qui cherchent à se mettre au vélo, qui ne savent pas trop quoi choisir et qui veulent une offre tout-en-un, adressez-vous à Tim. PS : Je précise qu’il ne s’agit pas d’un post sponsorisé, et que je n’ai pas de parts dans Tim Mobilités, je suis juste très satisfait du vélo et de leur service 😉

Ré-inventons demain, grâce aux JO de Paris ! Nous venons de vivre un incroyable moment de liesse populaire lors des Jeux Olympiques de Paris. Que retenons-nous ? Le collectif français qui a su se créer dans sa diversité, au nom du pays France, malgré les doutes sur l’organisation de ces Jeux et des poches de tension liées aux dernières élections. La démonstration de cet élan collectif ? L'excitation de voir des exploits sportifs, des miracles dans l’effort, le soutien du sacrifice individuel dans une course, pour une bannière. Le résultat ? Les athlètes fêtent leurs exploits personnels; le public fier d’y avoir contribué et d’avoir vécu des moments extraordinaires. Un sentiment de good vibes et de bien-être dans l’euphorie de la victoire ! Quels sont les ingrédients nécessaires pour réitérer cet état d’esprit ? - Sincérité en l’action, ne pas se mentir. Oui, le travail paie. - Adopter la meilleure stratégie pour s’améliorer et faire mieux que les autres sur le terrain de jeu. Avec les valeurs de l’amitié et de respect. - Et l’altruisme dans l’épreuve s'ajoute à l’estime et l’admiration du collectif . Ces valeurs sont universelles et présentes dans toutes les cultures. Ne perdons pas l’espoir qu’il est possible de pérenniser ce sentiment d’unité nationale en dehors des périodes de fêtes populaires organisées !

[SPORT] : 🏃 Et vous, pourquoi faites-vous du sport ? À l'approche de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, on en oublierait presque qu'il existe d'autres façons d'envisager le sport qu'à travers le prisme de la compétition. Or, d'après notre rapport sur « Le Sport de demain », « les moteurs du sport les plus fréquents chez les jeunes sont de l’ordre du bénéfice personnel ». Ainsi, bien plus qu'une question de performance, le sport c'est aussi pour les 18-24 ans : ✔️ la santé et le développement personnel, ✔️ le plaisir, ✔️ la pratique sociale et l'expérience du collectif. #JOP2024 👀 Lien vers le rapport complet 👇️ https://lnkd.in/eUzvruuv

𝗗𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗼𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗹𝗺𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝗲̂𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝗠𝗮𝗶 🇺🇸🇮🇹 Derniers préparatifs, et derniers instant pour mettre les choses en ordre avant d’enchaîner un long périple. Au programme à partir de Mai : - Avion jusqu’a Dallas pour récupérer l’ensemble du stock présent sur place ✈️ - Direction Charlotte pour présenter les produits et la marque sur les Championnats du Monde et cela pendant 10 Jours d’événement 😴😅 - Retour à Dallas en s’arrêtant à Nashville le week end suivant pour un nouvel événement 🫣 - Départ de Dallas pour atterrir à Paris le lundi et direction l’Italie pour installer le mercredi un nouveau stand pour les Championnats d’Europe pendant 6jours 🇮🇹😬 Retour à la maison 33 jours après le départ…. Deux semaines off et…. De nouveau un départ pour les États-unis 😅 Le tout en solitaire 😁 Gros programme, grosse fatigue en perspective, mais c’est un vrai plaisir de voir la marque se développer dans le monde, d’avoir de plus en plus de retours positifs et de perspectives d’évolutions 🔥😁 J’ai toujours voyagé pour le travail et j’ai toujours trouvé cela dommage de ne pas pouvoir partager ces expériences en dehors de simples post sur les réseaux. Quels seraient les types de contenus intéressant à proposer pour partager sur des voyages de ce type ? 🤷♂️

La comédie olympique vient enfin de s'achever au pied de l'Arc de Triomphe par une grande parade, comme au cirque, ouf!!! Le soldat inconnu, bien malgré lui, a même été de la fête, allez comprendre!!! L'hystérie collective dont semble avoir été frappée une partie de la population française, sans doute moins nombreuse que les médias complices l'affirment haut et fort, n'en est pourtant pas totalement terminée puisqu'une sorte de grande braderie, un vide-grenier des J.O., est organisée ce week end. On peut y acheter l'uniforme des bénévoles, des drapeaux français utilisés à l'occasion de la remise des médailles sur le podium et tout un tas d'objets olympiques banals histoire de se donner l'impression de vivre encore cet événement, de ne pas vouloir se résoudre à admettre la fin de ce Barnum commercial. Parce que oui, rappelons-le à tous ceux qui ne veulent pas le croire ou le voir, les Jeux Olympiques ne sont avant tout qu'une grosse affaire de fric particulièrement juteuse. Nos dirigeants semblent être dans le même état d'esprit, peut-être pour éviter de faire face à la réalité d'un pays pas vraiment en bonne santé. Ainsi l'individu locataire de l'Elysée, tout comme celle qui occupe l'Hôtel de Ville de Paris, souhaiterait que les anneaux olympiques restent accrochés à la Tour Eiffel et que la vasque olympique s'installe définitivement dans le jardin des Tuileries. Du côté de l'Elysée, on propose même de créer une fête nationale du sport qui aurait lieu chaque année le 14 septembre. A défaut d'avoir une vision pour la France, le petit énarque sans talent du Faubourg Saint Honoré propose un gadget de plus à une population pour qui le sport se pratique avant tout devant un écran assis dans un canapé. Une chose est sûre, ce type est doué pour se foutre de la gueule des Français et, hélas, nombreux sont encore les veaux qui l'acceptent sans broncher. Bien au contraire, ils en redemandent. Leur vie serait-elle à ce point à chier qu'ils se refusent à entrer dans la réalité ?

Au quotidien, on distingue toujours clairement 2 catégories de personnes : 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝗰𝗿𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝗰𝗿𝗲́𝗲𝗻𝘁. À l’aube des Jeux Olympiques de Paris, une comédie bien française se joue sous nos yeux : d'un côté, certains politiciens et syndicalistes cherchent à transformer cette grand-messe du sport en un champ de bataille politique, espérant en tirer profit en semant le chaos. Souvent sur-représentés dans les médias. De l'autre, des artisans du succès, souvent anonymes, s'acharnent à poser les pierres d’un événement mémorable. Ces individus, qui choisissent de mettre de côté leurs bénéfices personnels au profit du collectif, sont les véritables héros. Ils ne cherchent pas la lumière, mais portent sur leurs épaules le poids de la réussite pleine et entière d'un évènement qui imprimera une image de la France dans le monde pour les années à venir. Nous voici donc à un carrefour : allons-nous laisser les cyniques définir l'histoire de ces jeux ? Ou allons-nous soutenir ceux qui construisent, qui croient en la possibilité d’un monde uni par le dépassement de soi et le respect mutuel ? Avant hier les jeux de Paris était tout ce que personnellement je déteste de la France et des Français : on rale, on french bash, on tire la couverture à soi, on essaye d'en tirer le maximum de profit pour sa paroisse... La presse alimentant ce cirque négatif. Puis il y a eu ce magnifique spectacle offert hier à Marseille. Que la fête du sport commence. ps: les larmes des boomers en voyant Jul allumer le chaudron sont délicieuses

ET SI LES J.O ENTRAINAIENT PLUTÔT UN REJET DU SPORT ? Pour les pouvoirs publics et les fédérations sportives, les choses sont claires : les J.Ovont avoir un effet d'entrainement sur la pratique sportive. Et tant pis si toutes le études internationales un peu sérieuses prouvent que jamais les Jeux n'ont eu d'effets d'entrainement, il faut continuer à ressasser ce récit qui a le grand mérité d'éviter de s'interroger sur les nouveaux imaginaires sportifs du XXI° siècle. Par contre, il y a une hypothèse qui n'est jamais envisagée, celle que l'hystérie politique, médiatique et commerciale engendrée par les J.O puissent - au contraire - éloigner les gens du sport !! Un éloignement qui ne serait pas foncièrement anti-JO, mais au fait que de moins en moins de personnes se reconnaissant dans les valeurs "du toujours plus" portées par les Jeux. Ce ras-le-bol peut évidement être accentué dans les villes hôtes comme actuellement à Paris, tant le décalage entre la promesse olympique de performance est contredite par un quotidien très chaotique, notamment en matière de déplacements. Et s'il y en a qui ont très bien compris cela, ce sont les promoteurs du temporaire "No Sporting Club" avec leur accroche "Si jamais les Jeux vous épuisent avant d'avoir commencé ..." Mais au delà des Jeux et de Paris, c'est la promesse de ce club qui est très intéressante. Dire "La vie à Paris c'est déjà du sport. Alors on a inventé un club dont vous avez vraiment besoin", c'est réinterroger à la fois : - ce qui définit un sport (vivre à Paris ?) mais aussi - les nouvelles promesses du sport ( et si ne rien faire devenait un sport ?) Et si plutôt que d'attendre des Jeux Olympiques un effet supposément attractif, il fallait plutôt se demander si les J.O n'avaient pas un effet répulsif sur l'image du sport et donc sur sa pratique ? Et si les J.O entraînaient donc plutôt un rejet du sport ? Et si on profitait des J.O, pour s'interroger sur les valeurs sportives du XXI ° ? https://lnkd.in/gYjBqMn3

France culture/le cours de l’Histoire L’émission de Xavier Mauduit : La Belle Époque et la naissance du sport et de l’olympisme sur France Culture https://lnkd.in/eAKWPJN6 avec Antoine de Baecque et Philippe Tétart maître de conférences en histoire contemporaine à Le Mans Université, spécialiste de l’histoire du sport et qui vient de co-diriger le catalogue de l’exposition « Olympisme, une histoire du monde » (éditions de La Martinière) En France, la défaite de 1870 bouleverse le rapport au corps. Il s’agit désormais d’être aussi athlétique que performant, et l’effort physique devient un vecteur de patriotisme et de moralité. La Belle Époque marque le triomphe du sport, devenu une passion nationale et un grand spectacle populaire qui va trouver en 1900 un point d’orgue avec les Jeux olympiques parisiens. Charles Terront, Maurice Garin, Raoul Paoli, mais aussi Alice Milliat, Marie Marvingt et Mademoiselle Lisette, autant de champions et de championnes qui marquent la Belle Époque. Leurs exploits sportifs sont rapportés dans des journaux à fort tirage, Véloce Sport, Le Vélo, ou encore L’Auto. C’est alors qui se déroule un phénomène étonnant dans l’histoire du sport : les muscles se mettent à bouger comme jamais, à l’instar des vedettes que tout le monde admire ! Ce vedettariat des sportifs intervient dans un contexte culturel et politique bien particulier. La défaite de Sedan a durablement marqué les esprits, et les pouvoirs publics autant que les scientifiques et les pédagogues encourent l’activité physique, comprise comme le reflet du sentiment patriotique autant que de vertu morale. Cet engouement populaire pour le sport se cristallise autour de grandes compétitions : les premiers Jeux Olympiques modernes ont lieu en 1896, puis à Paris en 1900 et le premier Tour de France en 1903. Comme le résume l'historien Philippe Tétart dans cette émission remarquable : « cette charnière des XIXe et XXe siècles est le temps d'une première massification des pratiques et des pratiquants du sport, et de la consommation du spectacle sportif. » #achac #franceculture Xavier Mauduit #olympisme #sport #casden #portedoree #mnhi #exposition