Post de Force Femmes

Ce midi j'ai eu la chance d'être invitée par la BNP Paribas à participer à l'un de leurs évènements autour du programme bapstisé #ConnectHers. Merci Julia Brun-Ferret pour votre invitation et cette merveilleuse opportunité que vous m'avez offerte. Pour accompagner les femmes dans le développement de leurs projets entrepreneuriaux, mettre en place les conditions de leur réussite, BNP Paribas a lancé un programme dédié. Les freins à l’entrepreneuriat féminin sont connus : stéréotypes, manque de confiance des femmes dans leurs capacités à diriger, déficit d’information et faiblesse de leurs réseaux professionnels… Le dispositif comporte plusieurs axes, qui vont du financement au tutorat. #ConnectHers permet également aux entrepreneures d’entrer en contact avec des acteurs économiques locaux et des associations partenaires afin d’étendre leur réseau. Au programme de ce déjeuner nous avons eu des intervenantes de qualité : Nesrine Yassine nous a donné les clés pour mieux pitcher son banquier. Marion Pontacq et Lucie Pilard nous ont parlé de la structure de l’entreprise - notamment le choix des statuts. Sofia Rachad merci pour la découverte de ce merveilleux programme. Merci également Delphine Cavagnac et à toute son équipe. Ce que je retiens : c'est que j'aurais tant aimé avoir accès à ces informations précieuses lorsque je me suis lancée dans l'aventure entrepreneuriale. Mais que rien n’est irréversible. Le banquier doit être vu comme un partenaire lorsque l'on se lance et c'est une longue histoire qui doit s'écrire ensemble d'où l'importance de la transparence. Alors Mesdames, si vous souhaitez vous lancer dans l'entreprenariat, n'hésitez pas à vous rapprocher de ce réseau. Belle journée malgré ce temps capricieux.

En 2017 avec peu de moyens, j'ai décidé d’investir toutes mes économies dans une start up : voici ce que j'ai appris👇 Venant d’un milieu modeste, je n’ai jamais été éduqué à l’investissement financier. Mon éducation c’était plutôt : → de bien gérer son budget pour subvenir à ses besoins et s'accorder quelques plaisirs → d’épargner si possible pour assurer l'avenir → de souscrire à un prêt dès que possible pour sécuriser sa résidence. À l’époque, il aurait donc été plus “logique” que je garde mes 5000€ d’épargne pour me sécuriser - J’ai préféré les investir en start up 🤷🏼♂️ Je n’avais jamais entendu parler : → de diversification de portefeuille → d’investissement long-terme, → d’intérêts composés, → d’assurance-vie, → de mécanismes fiscaux (PINEL, LMNP etc.) Le concept qui consiste à perpétuellement chercher à maximiser son “patrimoine” me questionne d’ailleurs, mais là n’est pas la question du jour. Quelques années plus tard, en m’éduquant financièrement, notamment grâce à l'excellent Yoann Lopez et à sa Newsletter Snowball, j’ai compris que je n’avais respecté aucun principe et que j’avais joué à l’apprenti Business Angel, et sans en avoir les capacités financières ! J’ai réalisé que mon envie de passer dans la “cour des investisseurs” était si forte qu’elle m’en faisait dilapider toutes mes économies ! Pourquoi ai-je pris ce risque ? 1️⃣ Statut social - pour moi, devenir "Business Angel" signifiait ascension sociale et émancipation. Ce terme m’évoquait une certaine “reconnaissance”, un rêve pour quelqu'un venant d'un milieu modeste. 2️⃣ L’engagement - investir c’était aussi financer de supers projets sociétaux et marquer mes engagements. Dans l’économie circulaire avec Vesto, la santé Mentale avec moka.care, l’engagement citoyen avec Wenabi ou encore la mode responsable avec OMAJ. 3️⃣ L’humain - être BA c’est avoir une connexion privilégiée avec d’incroyables entrepreneurs qui excellent dans leur domaine comme Romaric Philogene ou Pierre BERTRAND. Aujourd’hui j’ai pris du recul et la raison 1 n’est plus un moteur. Au contraire, la redistribution me paraît plus importante que la quête de statut. Quel paradoxe d'ailleurs de dépenser mon argent pour gagner en statut social ! En revanche, les raisons 2 et 3 restent valables. Ce post m’est d'ailleurs inspiré d'une belle nouvelle de l'équipe de Skynopy que j'ai le plaisir d'accompagner. Ils annoncent une levée de 3 million d'euros pour casser les codes de leur secteur et ils le font avec des valeurs humaines fortes. Je vous invite à découvrir ce que fait Pierre BERTRAND et son équipe, même si c'est parfois difficile à comprendre ! -- PS. Ce ne sont pas les moyens financiers qui déterminent votre capacité à faire une différence, c’est votre engagement et votre vision ! PS.2 Des expériences similaires d'investissement à partager en commentaire ? #StartupInvesting #FinancialEducation #ImpactInvestment

L’envie d’indépendance est un moteur très fort à l’action qui pousse, plus que les autres motivations, les porteur·euse·s de projet à passer à l’acte. Il est important d’accompagner cette envie d’indépendance vers des modèles économiques viables et des trajectoires de développement et de création d’emplois. Avec l’étude « Qui sont les entrepreneur·e·s ? Comprendre pour mieux accompagner », réalisée par l’ObSoCo, en partenariat avec Crédit Mutuel Alliance Fédérale, BGE présente et illustre la réalité entrepreneuriale et ses mutations.

En 30 ans, l'Adie Bretagne a accordé près de 9 400 microcrédits, représentant un total de 24,3 millions d'euros, permettant ainsi à de nombreux entrepreneurs de se lancer sans apport personnel ni garanties. 👇 📈 Ces microcrédits, allant jusqu’à 12 000 euros, s’adressent à une clientèle diversifiée : en 2023, 39 % des bénéficiaires étaient des femmes, 26 % avaient moins de 30 ans, et 34 % percevaient les minima sociaux. Le retour sur investissement est significatif, avec chaque euro investi dans l'Adie rapportant 2,53 euros au territoire en deux ans. Avec 93 % des bénéficiaires insérés professionnellement deux à trois ans après la création de leur entreprise, l’impact de l’Adie sur le marché du travail est indéniable. A lire sur 7Jours : https://lnkd.in/e4yYeygJ

L’envie d’indépendance est un moteur très fort à l’action qui pousse, plus que les autres motivations, les porteur·euse·s de projet à passer à l’acte. Il est important d’accompagner cette envie d’indépendance vers des modèles économiques viables et des trajectoires de développement et de création d’emplois. Avec l’étude « Qui sont les entrepreneur·e·s ? Comprendre pour mieux accompagner », réalisée par L'ObSoCo, en partenariat avec Crédit Mutuel Alliance Fédérale, #BGE présente et illustre la réalité entrepreneuriale et ses mutations. 👉 Découvrez les résultats de notre étude sur la page dédiée en commentaire.

En 2022, l’Adie a financé 2 100 entrepreneurs non déclarés. C’est dans notre ADN, depuis les origines de l’Adie, que de financer et d’accompagner TOUS ceux qui sont empêchés de créer leur entreprise faute de moyens. S’autoriser à sortir de l’économie de la débrouille et se donner l’ambition de se penser comme un « vrai » entrepreneur, ce n’est pas à la portée de tout le monde. En tous cas, pas sans un accompagnement et un financement pour faire les bons choix, développer son activité et naviguer parmi les obligations que crée le fait d’immatriculer son activité. Il est temps de destigmatiser les stratégies que mettent en place les personnes en situation de précarité pour « se débrouiller », car bien qu’elles échappent aux statistiques et ne contribuent pas aux charges communes, ces activités n’en produisent pas moins des biens ou des services qui créent de la valeur et des liens de solidarité dans les territoires. « L’écrasante majorité de ces entrepreneurs informels ne sont pas des fraudeurs. Ils sont simplement «hors jeu», plus ou moins convaincus d’être broyés s’ils mettent le doigt dans la machine, parfois ignorants de ce qu’ils devraient faire pour déclarer leur activité ou effrayés à l’idée de le faire, le plus souvent inconscients des droits auxquels ils renoncent et des opportunités qu’ils perdent », explique Frédéric Lavenir, Président de l’Adie. Accompagner ces entrepreneurs sans les stigmatiser, c’est leur donner accès à une meilleure protection contre les aléas de la vie, aux services bancaires, à une assurance contre les risques professionnels. C’est leur donner accès à une citoyenneté économique pleine et entière. Avec le cabinet d’études Pluricité, l’Adie présente une étude inédite sur ce public invisible. >> Consultez l'étude : https://shorturl.at/isuUY Camille Azière Alice Rosado Frédéric Lavenir delphine vandevoorde

Pour allier finance et durabilité ... Essentiel, non ?

Un projet à impact est celui qui répond à une problématique sociale tout en portant une mission sociale. Face à cette double exigence, des questions affluent. Pour nous, la problématique la plus pressante était celle du manque de perspectives pour les jeunes dans les pays du Sud. Un déficit d'opportunités qui alimente le désespoir, érode le tissu familial et pousse de nombreux jeunes à abandonner leurs rêves. C'est cette réalité qui nous a poussée à agir. Notre mission? Offrir un parcours structuré et solidaire pour les jeunes entrepreneur-e-s qui veulent faire une différence. Au départ, le parcours en question est flou, mais c’est précisément ce qui le rend si excitant et nécessaire. Les semaines à venir seront essentielles pour affiner notre approche et maximiser notre impact. Comment pouvez-vous participer? Nous lançons une campagne de crowdfunding pour donner à chacun-e la chance de contribuer à cette transformation. Chaque contribution compte et aide à forger un avenir où le désespoir cède la place à l’espoir et à l’action. Suivez notre parcours, participez à notre mission. La suite de notre histoire sera dévoilée demain, même heure, même lieu. Rejoignez-nous dans cette aventure transformative ! Rejoignez-nous dans cette aventure transformative et contribuez à notre campagne de crowdfunding sur notre page HelloAsso. Ensemble, faisons de la vision d'Ukuzola une réalité. #Ukuzola #Makesense #EntrepreneuriatSocial #JusticeClimatique #LeveeDeFonds #FormationEntrepreneuriale #Ecosystème

Avez vous déjà eu l’impression d’être exactement là où vous deviez être? Aujourd’hui je rejoins LITA.co en tant que Directeur des investissements 🙂 En évoluant dans la finance classique j’ai beaucoup entendu «On est pas là pour changer le monde » ou encore « On ne sauve pas des vies ». Ces deux affirmations sont fausses. Par leurs choix, les acteurs du financement changent le monde et peuvent détruire des vies autant qu’en sauver. La pratique de la finance n’est pas neutre politiquement. Elle soutien des choix de société, leur donne de l’espoir, les amplifie, participe à leur succès. Tout comme les consommateurs, qui votent avec leur caddie, les épargnants votent avec leurs placements, et les entrepreneurs avec leur temps et leur énergie. Lita a un rôle unique à jouer pour aider ces acteurs à se trouver et se comprendre. Nous sommes bien là ensemble pour essayer de changer le monde. Dans une carrière, beaucoup pensent qu’être quelqu’un d’engagé peut coûter cher, et ils ont raison. Mais vivre en dehors de ses convictions coûte encore plus cher. Chacun n’a qu’une vie sur laquelle se retourner, il n’y a qu’une humanité et qu’une planète à préserver. Il existe heureusement des endroits où l’on sait pourquoi on se lève le matin, et si ce n’est pas votre cas, je vous enjoins à changer de travail rapidement. Je rejoins une équipe que je sais déjà engagée, talentueuse et sincère. Merci à Eva Sadoun, Julien Benayoun et Pierre Schmidtgall pour votre confiance dans cette aventure ensemble. Et je suis d’ores et déjà la recherche de projets enthousiasmants à financer, ayant impact positifs pour les humains et leur environnement. Contactez-moi donc ! clement.benhammou@lita.co #crowdfunding #impactinvesting #EpargneSolidaire #ESS #EntrepreneuriatSocial #Cooperatives

📣 𝐄𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐞𝐮𝐫𝐞𝐬 : 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐚𝐛𝐨𝐮 ! 70 % des femmes créent leur entreprise sans financement 🤯… Il est pourtant possible de faire autrement : Financements, prêts d’honneurs, crowdfunding, réseaux d’entraide… Des solutions existent ! Le 8 mars prochain, nous serons aux côtés de la FBF, de l' Adie, CRÉSUS, Bleu Reflet la Banque Populaire, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, la Métropole de Lyon et Bpifrance pour lever les freins, découvrir les solutions et 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐫 𝐝’𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐚𝐛𝐨𝐮. Une rencontre en ligne de 2h, 100 % gratuite, organisée par ACTION'ELLES, avec : ✅ des astuces pour changer de mindset ✅ des interviews de cheffes d’entreprise ✅ des avis d’experts ✅ des questions/réponses ✅ des conseils pratiques pour enfin oser ! Webinaire gratuit, ouvert aux porteuses de projet et aux cheffes d’entreprise Le lien d'inscription est dans le premier commentaire 👇 #businesswoman #entrepreneuriatfeminin #entrepreneuriat