Post de G.B.E.

Mise à jour cruciale pour le secteur de la construction temporaire : RE 2020 entre en Jeu ! À partir du 1er juillet 2023, les règles changent pour les constructions temporaires. 🏗️ Qui est Concerné ? Toutes constructions temporaires, qu’il s’agisse de bâtiments d’habitation, de bureaux, ou d’établissements d'enseignement primaire ou secondaire sont maintenant sujettes aux exigences de la RE 2020. Cela inclut les installations provisoires dépassant parfois 2 ans, ainsi que celles implantées pour une durée n'excédant pas deux ans. 📋 Des Choix Adaptatifs Les porteurs de projets ont désormais le choix : respecter les exigences complètes de la RE 2020 ou opter pour des exigences alternatives, plus souples, définies dans l’arrêté du 22 décembre 2022. 🌍 Vers un Avenir Plus Durable Cette évolution marque un pas de plus vers une construction respectueuse de notre environnement, conciliant exigences de durabilité et flexibilité des projets temporaires. Pour plus de détails, contactez-nous ! #Construction #RE2020 #DéveloppementDurable #Innovation #ArchitectureTemporaire

LE BTP ÉVOLUE VERS UNE ÉCONOMIE CIRCULAIRE ET NOUS SOMMES FIERS D’Y CONTRIBUER ! 🔧 Le BTP se transforme rapidement avec des technologies comme le BIM, la réalité augmentée, l’automatisation et l’impression 3D, redéfinissant chaque étape du processus de construction. La durabilité est désormais au cœur des projets, avec des bâtiments éco-responsables et des matériaux recyclés. La Bourse aux Matériaux, plateforme 100% réunionnaise et gratuite, contribue activement à cette économie circulaire à La Réunion en connectant particuliers, artisans et professionnels pour réemployer des matériaux issus de la déconstruction, de surplus ou de déstockage. Notre objectif : réduire les déchets du BTP, mieux gérer les ressources et diminuer notre impact sur la planète. Réutilisez, recyclez, économisez : la planète vous dit merci ! #bourseauxmateriaux974 #ÉconomieCirculaire #BTP #Réemploi #Durabilité

Vers une pérennité de la Valeur économique, environnementale et humaine dans l’univers du bâtiment et de l’immobilier. La vente linéaire d’un produit ne garantit pas la soutenabilité du système auquel il participe, soit-ce un bâtiment, un ensemble urbain, un business … les résultats et bénéfices, de fait, 80% de l’empreinte environnementale d’un produit dans le monde bâti dépend d’une correcte conception. En outre son empreinte sur le long terme, est hautement dépendante de sa sage utilisation dans le temps.   C’est la base de départ de la Méthode HCap : Un processus transdisciplinaire innovant issu de 34 ans de recherche dans la pratique de l’urbanisme et du bâtiment, pour rendre le bâti intégralement circulaire, soutenable, humain et régénératif, tout en pérennisant la valeur économique des composants de construction sur plusieurs cycles de vie. Je serais la semaine prochaine à Paris, le jeudi 20 juin à 15h30, pour présenter HCap auprès du jury du Concours du Geste d’Or, https://lnkd.in/eUmVaypf Cette méthodologie inédite, postulée il y a plus de deux ans, permet d’aller vers une empreinte environnementale quasiment nulle du bâti, tout en générant une valeur résiduelle des biens, pour une multitude de gagnants humains et non-humains. On parlera de réversibilité fonctionnelle, spatiale, structurelle et matérielle, du bâti et de systèmes constructifs des assemblables, évolutifs, transformables, d’économie de la fonctionnalité, de modèles d’affaires circulaires et de la transformation des modes de faire, pour des opérations bénéfiques et profitables. Merci à Le Geste d'Or pour l'opportunité de concourrir ! #valeur_résiduelle #valeur_réelle #PérennitéProgrammée_du_bâti #Design_for_Disassembly #economie_circulaire #circular_economy #component_as_a_service #sage_utilisation_dans_le_temps #eco_conception #economie_de_la_fonctionnalité

Innover pour résister : l'avenir du BTP à l'ère de la durabilité Plus que jamais, la résilience et l'innovation se dessinent comme les fondations d'un futur prospère pour le secteur. C'est dans cette optique qu’il est aujourd’hui nécessaire d’étudier les voies d'un renouveau, guidés par les principes de durabilité, d'efficacité et d'inclusion. La récente crise sanitaire a servi de révélateur aux vulnérabilités du secteur du BTP, soulignant l'importance cruciale de la flexibilité et de la rapidité d'adaptation. Toutefois, les obstacles ne se limitent pas aux répercussions de la pandémie. Les enjeux économiques, l'urgence climatique et le virage numérique forment un triptyque de défis à relever. Transitionner vers des pratiques plus durables, combler le déficit de compétences, notamment numériques, et intégrer les innovations technologiques ne sont aujourd’hui plus des options mais des impératifs. Pour naviguer à travers ces défis, l'innovation technologique s’impose comme une “bouée de sauvetage”. Elle est le phare qui éclaire notre route vers un secteur plus résilient et adaptatif. Au cœur de cette transformation, les nouvelles technologies, telles que le BIM, la robotique, et surtout l'IA révolutionnent nos pratiques. L'IA, en particulier, se positionne comme un vecteur de changement profond, capable d'optimiser la planification des projets, de perfectionner les méthodes de construction et d'améliorer la maintenance des infrastructures. Grâce à elle, il est désormais possible d’envisager une gestion des ressources plus efficiente, une réduction significative des déchets, et une amélioration de la sécurité sur les chantiers. Des exemples concrets de projets intégrant ces technologies témoignent de leur potentiel à relever les défis actuels, marquant le début d'une ère où l'innovation est au service de la résilience. L'adoption de ces technologies nous conduit naturellement vers des pratiques plus durables et inclusives, s'alignant sur les attentes sociétales actuelles. La transition écologique du secteur du BTP ne se conçoit pas sans une vision globale intégrant la durabilité et l'inclusion sociale. L'éco-conception et l'utilisation de matériaux durables sont désormais au premier plan, répondant à la nécessité de minimiser notre empreinte écologique. Parallèlement, nous œuvrons pour que les projets de construction profitent à tous, en veillant à l'inclusion sociale et économique. La réalisation de cette vision nécessite une coopération étroite entre tous les acteurs du secteur, posant les bases d'une gouvernance collaborative et innovante. Le chemin vers un avenir durable et résilient dans le BTP est pavé de collaboration. Les synergies entre les gouvernements, les entreprises, les ONG et les institutions éducatives sont vitales pour harmoniser les efforts vers des objectifs communs. Un cadre réglementaire solide et des politiques publiques incitatives sont essentiels pour encourager les pratiques durables et l'innovation.

Quel est l’avenir du BTP : tendances et innovations Le secteur du #Bâtiment et des Travaux Publics (#BTP) traverse une période de gros changements, où les avancées #technologiques et les #exigences #environnementales redéfinissent les pratiques. Ces évolutions ouvrent la voie à un avenir marqué par l’efficacité, la #durabilité et l’#innovation. Quelles sont ces grandes #tendances qui transforment le BTP ? #ConstructionInnovante #InnovationBTP #EfficaciteEnergetique #SmartBuilding #ConstructionDurable #GreenConstruction #AvancéesTechnologiques #ExigencesEnvironnementales #TravauxPublics Obat https://ow.ly/UM2Y50SWKtK

J'ai depuis plusieurs années été informés des nombreux avantages de la construction modulaire par l'un des pionniers de l'innovation dans le domaine, cyril moussard, dirigeant de MODULE M. Cette vidéo XERFI me donne occasion d'une remarque assez générale lié à mon passé et mon présent professionnel, et au futur que je peux espérer. Comme dans de nombreux secteurs où les plus gros ne font pendant longtemps pas vraiment ou même pas du tout le job, il semble que les majors du bâtiment se mettent enfin à s'intéresser au domaine de la construction modulaire autrement qu'au travers des basiques algéco. Il n'y avait pas de "marché", ou pas un "marché" assez important. Les réalités de l'époque, hors cet aspect "marché", n'étaient pourtant pas si différentes de celles d'aujourd'hui. Les spécialistes de la finance, de l'investissement "haut de bilan", des starts Up, les banquiers - populations professionnelles que j'ai beaucoup fréquenté de 2001 à 2014 - ont en France une culture et des modèles en tête qui font que les belles idées ne sont jamais reprises et confortées que quand la fameuse "scalabilité" est devenue à leur yeux évidente. Combien de projets innovants, basées sur des études prospectives dignes de ce nom, ont ils été ainsi ignorés, ou trop faiblement accompagnés, par ces professionnels qui ont par la force de l'argent pouvoir de naissance, de vie ou de mort ? Entre 2003 et 2014, les questions environnementales et sociales qui sont aujourd'hui au cœur de la RSE, ou de sa version financière ESG, n'étaient absolument pas dans les radars de ces puissants décideurs d'avenir. Il a fallu attendre la sortie du COVID pour voir enfin émerger un semblant de début de prise de conscience, avec quelques critères ajoutés aux critères de performance économico-financière traditionnels qui faisaient décisions, y compris s'avérant aujourd'hui à la con. Dans quel monde serions-nous si ces professionnels de l'arbitrage avaient été à la hauteur des enjeux au début des années 2000, ou - soyons gentils - au début des années 2010 (mise en place de l'ISO 26000) ? Les leçons qui nous sont encore servies par les financiers, et beaucoup de gestionnaires version DAF, sont entachées d'un aveuglement qui n'a pas donné lieu à beaucoup de demandes de pardon, bien au contraire. J'y vois le signe que l'aveuglement persiste, trés dangereusement, même s'il a pris d'autres formes.

Nouvelle étape pour La Mediosphère : place à l’économie de la construction !   Et si l’on repensait la construction durable à travers une approche encore plus transversale ? 🌱   Chez La Mediosphère, nous franchissons un nouveau cap en intégrant l’économie de la construction TCE à notre expertise.   Pourquoi cette évolution stratégique ?   👉 Parce qu'un bâtiment durable ne peut exister sans une maîtrise fine de son équilibre économique. Trop souvent, les ambitions environnementales butent sur des contraintes budgétaires. Avec notre approche, nous refusons ce compromis   👉 Parce que l’économie de la construction est le chaînon manquant. En renforçant notre analyse technique par une évaluation précise des coûts, nous offrons à nos partenaires une vision transversale et équilibrée.   👉 Parce que la RE2020 impose des choix éclairés. Avec l’intégration d’analyses de cycle de vie (ACV) et d’études thermiques, nos solutions permettent d’aligner ambitions environnementales et contraintes budgétaires, sans compromis.   Ce qui change pour vous ?   ✅ Des projets mieux maîtrisés, de la conception à l’exécution. ✅ Une anticipation des risques liés aux coûts et aux impacts carbone. ✅ Une collaboration fluide entre les acteurs du projet grâce à une expertise globale.   💡 Notre ambition : faire de chaque contrainte une opportunité d’innovation.   👉 Et vous, quelles sont vos plus grandes difficultés pour concilier budget et durabilité ?   Nous sommes prêts à en discuter pour co-construire des solutions. 🤝   #TransitionÉcologique #EconomieDeLaConstruction #RE2020 #ImpactCarbone

Un avenir durable, sinon rien ! 🌱 En tant que chef de projet en menuiserie et élu communal, j’ai récemment participé à une journée de formation sur la labellisation SNBS- Bâtiment 2023-1 (Standard de construction durable en Suisse). Ce label, qui repose sur 35 critères et 98 grandeurs mesurables, offre une approche complète pour évaluer et améliorer la durabilité des bâtiments tout au long de leur cycle de vie. Cette formation m’a été précieuse à deux niveaux : Professionnellement🦺 : mieux appréhender ce label que je rencontre de plus en plus souvent, afin de garantir - a mon niveau - des bâtiments à faible impact environnemental et à haute performance énergétique. Politiquement👔 : enrichir ma compréhension des outils et indicateurs disponibles pour soutenir des politiques publiques alignées sur les objectifs de durabilité tout en restant réaliste techniquement. Je tiens à remercier chaleureusement 👍 Erwan Pennarun Martin Python Arnaud Paquier Lucas Rossini pour cette journée d’échanges et d’apprentissage. Leur expertise a permis de rendre ces enjeux techniques accessibles et concrets. Si vous travaillez sur ces thématiques ou partagez ces préoccupations, je serais ravi d'échanger avec vous! #SNBS2023 #Durabilité #TransitionÉnergétique #BâtimentDurable

Salut à tous, Je vous souhaite pour 2025 suffisament de temps pour vos arbitrages durables. Plus de temps pour leur analyse, leurs discussions, car ces arbitrages « durables » sont plus complexes par essence que la simple lecture du chiffre en bas à droite du devis. Tout contrat se signe en fonction de ce chiffre, ce qu’il faut payer à l’instant T. Ce chiffre nous semble compétitif/attractif quand on peut le comparer, quand le marché et la technologie sont matures pour en avoir une bonne compréhension et perception. Dans notre métier, l’évacuation sous-vide d’un bâtiment, ce chiffre en bas à droite a par nature de multiples travers et est souvent mal compris : -         Comparaison de scope très différents -         Ignorance des économies/coûts parallèles cachés lors du chantiers -         Impossibilité (à ce jour) de valoriser les nouvelles capacités ou incapacités du bâtiment Un exemple parlant c’est celui d’une rénovation d’un immeuble de bureau avec changement d’usage (hôtel + multi-activités). La solution traditionnelle avec évacuation gravitaire impose par habitude de nombreux coûts aux acteurs du bâtiment : une destruction de matières premières (murs et dalle), une énergie pour les démolir, un temps long et un chantier difficile pour la main d’œuvre avec de multiples pollutions en fonction de la vétusté du bâtiment, une complexité pour les BE pour la synthèse du bâtiment, une limitation des choix architecturaux en fonction des contraintes gravitaires et des surcoûts pour y remédier (réhausse du sol, réduction d’espace pour intégrer des stations de relevages) etc… Tout ceci à un coût réel, mais qui est redistribué/caché dans de multiples devis/contrats comme un nuage de point « invisible ». Concernant les capacités du bâtiment il y a d’autres défis et les calculs de retours sur investissements sont très complexes : comment valoriser un bâtiment « flexible » par rapport à un bâtiment « rigide » sur le marché ? comment valoriser une rénovation bas-carbone,  la sobriété en eau  ? Quel sera la plus-value de ce bâtiment dans 10-15 ans ? Lorsqu’on considère une solution d’évacuation sous-vide pour ce type de bâtiment, l’ensemble des coûts listés ci-dessus disparaissent, d’autres apparaissent (station de vide, interfaces) qui sont eux biens écrits noir sur blanc sur notre proposition. Là naît le paradoxe pour l’arbitrage, durable ou non : on « sent » bien que cela va faire faire des économies à de multiples niveaux pour le projet, mais dans le même temps il est pratiquement impossible de les chiffrer de l’attribuer à un poste de coût ou un budget, et les plus-values sont dans le meilleur des cas « hypothétiques », la plupart du temps ignorées. Les vrais arbitrages « durables » sont donc par nature plus complexes. La charge de la preuve nous revient, et nous allons cette année au travers d’études de cas essayer de « produire de la data » pour faciliter les arbitrages, mais le chemin est encore très long car chaque bâtiment est unique. 

#gaiabati ✨ Transition Écologique et Innovation dans le Bâtiment : Une Évolution Cruciale à Venir ✨ Dans un contexte de changements environnementaux accélérés, le secteur de la construction est appelé à une transformation majeure, notamment à travers l’adoption de pratiques plus durables et respectueuses de notre planète. L’intégration de solutions innovantes, notamment dans la transduction écologique et énergétique, est plus que jamais au cœur des préoccupations. C’est dans cette optique que le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB)prend des mesures décisives. Le CSTB annonce une réforme majeure de l’Appréciation Technique d’Expérimentation (#ATEx). Cette initiative vise à adapter et sécuriser le processus d’intégration des innovations dès la phase de conception et tout au long de leur cycle de vie. Cette réforme est structurée autour de deux axes essentiels : ✅ Sécurisation précoce du processus d’ATEx - Cela permet aux demandeurs de confirmer ou de revoir leur projet en fonction des contraintes identifiées dès la phase de conception. ✅ Accompagnement de l’innovation sur le long terme - En envisageant le renouvellement de l’ATEx et en prenant en compte l’évolution des produits et systèmes, basée sur un retour d’expérience plus formalisé. Etienne CREPON, président du CSTB, insiste sur l’importance de cette réforme, soulignant que l’adaptation aux défis du changement climatique est désormais une priorité. Cette initiative est conçue non seulement pour répondre aux besoins actuels des industriels mais également pour s’adapter aux diverses formes d’innovation qui émergent dans le secteur de la construction. 🔍 Quelle grande information retenir ? Le CSTB se mobilise pour une réforme significative de l’ATEx, en mettant l’accent sur l’anticipation des défis climatiques et la sécurisation de l’intégration de solutions innovantes dans le bâtiment. Une démarche qui réaffirme l’engagement du secteur en faveur d’une construction plus durable et adaptée aux réalités de notre époque. #Construction #Innovation #Sustainability #CSTB #ATExReform Lien en commentaire