Post de Gaullisme

Je voudrais ici féliciter le CEMA de sa clairvoyance et de son courage lorsqu'il parle de "la récusation du modèle occidental" (voir le lien ci-dessous). En effet les valeurs démocratiques qui ont rendues notre civilisation attractive sont piétinées par une alliance de fait entre les néoconservateurs américains, le complexe militaro-industriel dénoncé dès 1953 par le Général Eisenhower à la fin de ses 8 ans de mandat de Président des USA comme une menace pour la démocratie et l'idéologie wokiste. Voici ce que j'écris page 21 dans mon livre "Ukraine, le grand aveuglement européen "Cette guerre a aussi été le révélateur que l’ordre mondial régi par des règles et des organismes internationaux mis sur pied à la fin de la Seconde Guerre mondiale était révolu, notamment parce que les États-Unis sous l’égide desquels ils avaient été élaborés ne les ont pas respectés depuis la chute de l’URSS, gagnés par l’euphorie d’être désormais la seule superpuissance mondiale et décidés à le rester à n’importe quel prix. Un des aspects importants est qu’au-delà de ses aspects militaires et économiques, c’est le piétinement par les États-Unis au Kosovo et en Irak des valeurs qui fondent l’ordre mondial depuis la fin de la guerre de 39-45 qui a agi comme un déclencheur. Ces actions de guerre décidées unilatéralement et sous des prétextes fallacieux ont fait tomber le tabou moral qui prévalait dans les relations internationales depuis 1945 et ont ouvert la porte à la Russie. C’est aussi ce non-respect américain des valeurs qu’ils professent qui est avancé comme argument politique par de grands pays comme l’Inde et la Chine pour ne pas condamner la Russie et continuer à commercer avec elle. Mais c’est le prosélytisme LGBT, le féminisme exacerbé et le wokisme qui est perçu par 85 % des habitants de la planète comme une décadence civilisationnelle et qui fait apparaître la Russie comme le défenseur de valeurs sociétales et familiales qu’ils partagent encore. Cela lui a attiré leur sympathie voire leur soutien et les a incités à ne pas respecter les sanctions que l’Occident a cherché à lui imposer". https://lnkd.in/dvKpfYV8

Les nouvelles adhésions à l'OTAN la rendent plus forte mais aussi plus faible Avec l'adhésion de la Finlande et de la Suède, l'alliance de l'OTAN renforce considérablement sa dissuasion armée et complique le calcul de l'agression de Poutine. Le renforcement de son flanc gauche fait que la mer Baltique apparaît aux yeux de Poutine comme un lac de l’Alliance et rend Kaliningrad, son port du nord de la Russie, encore plus isolé. Mais à 32 pays, la lourde prise de décision par consensus de l’OTAN devient un handicap encore plus grand. N'importe quel membre peut bloquer une action nécessaire, même en temps de guerre. Et il y a parmi ses rangs se trouvent déjà des fauteurs de troubles habituels qui compliquent les décisions nécessaires. Un autre défi pour l'Ukraine, en tant que non-membre, est qu'elle ne bénéficie pas de la protection de l'article 5 du Traité de l'Atlantique Nord, qui précise qu'une nation attaquée sur son territoire sera assistée dans sa défense par les autres Alliés. Cette réalité empêche le déploiement militaire direct de l’OTAN en Ukraine, la rendant impuissante face à l’invasion russe. Pour surmonter en partie ces obstacles à son efficacité, lorsque cela est nécessaire, l'Alliance doit envisager d'adopter des « coalitions de volontaires » (sauf pour l'adhésion de nouveaux membres) pour briser les manœuvres de blocage des membres récalcitrants. Enfin, l’Alliance devrait inviter l’Ukraine à entamer le processus d’adhésion à l’OTAN lors des célébrations du 75e anniversaire en juillet prochain. Une telle invitation démontrerait clairement l’unanimité du soutien des membres, tandis que l’Ukraine remplirait les critères d’adhésion avant de devenir finalement un membre à part entière couvert par l’article 5, avec l’approbation finale des Alliés dès la fin des hostilités. De même, une telle action enverrait un signal puissant à V. Poutine concernant le soutien allié à l’Ukraine.

En ce jour de commémoration, il y a une forme d'unanimite autour du principe de "célébration" . Pourtant, deux questions se posent : est-ce que la date de "80 ans" est propice pour un événement historique? on peut interroger ce point. Est-ce que c'est important pour les Français, on peut en douter. Et puis, il y a les ignares qui disent de ces festivités que c'est de l'agitation et (pire) de la com ! En réalité, les 80 ans du D day, c'est 3 choses essentielles : 1. La célébration et leur présence des hommes du débarquement. les derniers anciens combattants sont encore là. ce ne sera pas le cas pour les 90 ou 100 ans. 2. une occasion de tenir un sommet international informel ou. les chefs d'État et de gouvernement se rencontrent de manière dans un monde incandescent. 3. l'opportunité de narrer un récit du monde et d'ancrer une histoire par l'Histoire Ce dernier point est le plus important évidemment et c'est la raison pour laquelle je vous invite à lire le Post ci-dessous de la Fondation Charles de Gaulle extrait du Livre de Peyrefitte sur le Grand homme et les raisons pour lesquelles il lui apparaissait évident qu'il ne participerait pas aux cérémonies de commémoration des 20 ans ! ! ! ! ! a lire et à découvrir. En conclusion, les 3 raisons aujourd'hui (comme hier) de célébrer le D Day ne sont que de la stratégie de communication au sens le plus noble ! #Communication #Gaullisme #SpinDoctor #politique #DDay #commémoration

📌 L’ombre portée de la #Russie s’étend sur la #Géorgie et l’#Arménie. Le mouvement « #Tavush pour la Patrie », qui se passe ces jours-ci en Arménie, tente une « #Révolution de velours » (2018) à l’envers. Le mode opératoire est répliqué (marche🚶, désobéissance civile✊, appel à la démission du Premier ministre, tentative de faire basculer la majorité parlementaire), mais les valeurs sont aux antipodes. Au lieu du citoyen👥, l’ethnie ; à la place de l’État, la patrie ; au lieu de la dignité, la foi. Leur demande : arrêter la délimitation des frontières « criminelle »🚫 et faire démissionner le Premier ministre. De proposition ou de programme, point. Au gouvernement de Nikol Pashinyan d’entendre la part de mécontentement légitime accumulée depuis 3 ans et exprimée par une portion sincère de ces manifestants : stop au défaitisme, à l’humiliation et à l’autoflagellation❌. Pour autant, oui au réalisme et au pragmatisme. C’est ce dont fait preuve la diplomatie arménienne dans son face-à-face isolé et inégal avec le voisin hostile d’un côté – l’Azerbaïdjan – et l’ex-centre impérial de l’autre – la Russie. Les partis d’opposition traditionnelle, pro-Russie, anti-souverainistes, qui partagent le podium avec l’archevêque de Tavush travaillent main dans la main🤝. Ils partagent avec l’#Église nationale une volonté réactionnaire d’inverser la marche de l’histoire du peuple arménien vers sa souveraineté au sein de son État. Pour les représentants de ces forces, le modèle du Tatarstan ou de la gubernïa est acceptable, consciemment ou inconsciemment. Le mouvement ne parviendra sans doute pas à ses fins par la volonté populaire. Resterait alors les provocations et le recours à la violence🔥. Au même moment, Poutine a accepté sans broncher la demande du Premier ministre #Pashinyan de retirer les troupes russes des nombreuses positions prises au lendemain de la guerre de 2020 sur la frontière arméno-azerbaïdjanaise. Ces troupes devaient aider les forces armées arméniennes à garder la frontière avec l’#Azerbaïdjan, devenue du jour au lendemain trois fois plus longue avec 5000 hommes en moins. Quand on se souvient des attaques verbales de tous les porte-paroles de la Russie contre l’Arménie au sujet du départ des garde-frontières russes de l’aéroport international d’#Erevan prévu pour cet été, l’aménité russe est suspecte. Elle est plus que cela : inquiétante⚠️. #Arménie #Russie #Diplomatie #Géopolitique

Dans cet article pour #DeskRussie, je montre en quoi la victoire de l'extrême droite en France serait une catastrophe pour l'#Ukraine et renforcerait la #Russie avec laquelle le Rassemblement National entretient une forte proximité idéologique. Même si le pire ne survient pas dimanche, il est à craindre que la position de la France ne lui permette plus de jouer aussi fortement un rôle moteur au sein de l'Union européenne et de l'Alliance, mais au moins cela permettrait de sauver l'essentiel. C'est d'autant plus crucial que les incertitudes américaines sont considérables. Ces événements interviennent aussi à un moment crucial où la question est, moins que jamais, de seulement défendre l'Ukraine, mais bien de lui permettre de gagner totalement. Je montre que, alors que la France avait commencé à s'affranchir de toute ligne rouge de notre côté et clairement déclaré qu'il convenait d'arrêter d'acheter celles de Moscou, en n'excluant rien, y compris le déploiement de troupes au sol, le risque de régression est inquiétant. Lors de mes deux derniers voyages en Ukraine en mars et juin de cette année, j'avais pu constater combien il serait nécessaire d'aller jusqu'au bout de notre engagement – seule manière de défaire la Russie. Il viendra un moment – en fait déjà atteint – où les seules livraisons d'armes ne suffiront plus. Les Alliés ont plus que jamais besoin de cette intelligence. https://lnkd.in/ek_7bVTb

À partir de 1943, face aux contraintes imposées par le régime de Vichy et en réaction à l'instauration du Service du Travail Obligatoire, un nombre croissant de citoyens français, hommes et femmes, choisissent de rejoindre les rangs de la Résistance. Cette décision marque un tournant dans l'organisation de ces mouvements clandestins, initialement perçus avec méfiance par l'État-major allié. Ce dernier, préoccupé par les préparatifs d'un éventuel débarquement en Europe, tarde à reconnaître l'importance stratégique de ces groupes. Toutefois, la communication entre la Résistance et les Alliés s'intensifie progressivement, notamment grâce aux transmissions de la B.B.C. et à l'intervention des instructeurs Jedburgh, parachutés en France pour soutenir les maquis. L'efficacité de la Résistance française se manifeste pleinement lors du débarquement du 6 juin 1944. Les actions de sabotage et la collecte d'informations réalisées par les résistants sont cruciales. Ces derniers, alertés par des messages codés de la B.B.C. reprenant les vers de la "Chanson de l’automne" de Paul Verlaine, sont informés de l'imminence de l'opération Overlord. Cette préparation permet de mener des attaques déstabilisatrices contre les infrastructures allemandes, immobilisant ainsi leurs forces et perturbant leurs communications. Bien que l'impact précis de ces opérations sur le succès du débarquement soit difficile à quantifier, il est indéniable que sans ces efforts, les Alliés auraient rencontré davantage d'obstacles. Le 6 juin, le maréchal Philippe Pétain, chef du régime de Vichy, prononce un discours dans lequel il exhorte la population à rester neutre et à ne pas interférer dans les affrontements entre les Allemands et les Alliés. Cette proclamation de neutralité contraste fortement avec les actions du régime qui, bien que théoriquement démilitarisé, continue de réprimer les mouvements de résistance via sa milice, composée de fascistes convaincus. Cette contradiction devient encore plus flagrante à l’été 1944, période durant laquelle la milice intensifie ses actions contre la Résistance, notamment lors de l'attaque du maquis du Vercors en juillet. Ce dernier événement se solde par de nombreux massacres et souligne la brutalité du conflit interne à la France. De juin à août 1944, la France est le théâtre d'une lutte acharnée entre les forces de la Résistance, aspirant à la libération du pays, et les défenseurs du régime de Vichy. Cette période est marquée par d'intenses confrontations qui culminent avec la libération de Paris le 24 août 1944. Ces événements illustrent la complexité et la violence des interactions entre les différents acteurs français durant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que l'importance cruciale de la Résistance dans le succès des opérations alliées en Normandie.

🔴 À propos de l’appel du 18 juin. ➡️ Le 18 juin 1940, alors que l’Etat français capitulait devant l’Allemagne nazie, le Général de Gaulle, refusant la fatalité et l’ignominie de la collaboration, lançait son célèbre appel à la radio depuis Londres. Un appel qui contribua à allumer la flamme de la résistance. Une flamme qui fut particulièrement entretenue ici en Haute-Savoie, ou entre janvier et mars 1944, 465 hommes commandés par le lieutenant Tom Morel puis le Capitaine Anjot, affrontèrent jusqu’à la mort aux Glières plus de 12 000 soldats allemands. Leur célèbre devise issue de la Révolution française, « vivre libres ou mourir », résonne encore aujourd’hui sur le plateau. ➡️ 84 ans plus tard, alors que l’extrême droite est aux portes du pouvoir après la dissolution surprise de l’apprenti sorcier de l’Elysée, l’esprit des Glières a plus d’acuité que jamais. Notre pays, nos institutions et nos libertés publiques sont gravement menacés par un parti, le Rassemblement national qui, bien que ripoliné et « dédiabolisé », est l’héritier du pétainisme et porte toujours les mêmes idées rances : la destruction des libertés publiques, le rejet de tous les étrangers et des minorités, le climato-scepticisme le plus réactionnaire et la destruction de tous les acquis issus du programme du Conseil National de la Résistance. ➡️ Face à cette menace existentielle, un immense espoir est né et a commencé à se soulever en quelques jours, celui du Nouveau Front populaire, rassemblant l’ensemble des partis de gauche et écologistes, et bien au-delà des syndicats, des ONG, des associations et tout un tas d’organisations de plus en plus nombreuses, refusant la fatalité de voir la « patrie des droits de l’Homme » devenir celle de l’extrême droite. ➡️ La Haute-Savoie est une terre de résistance, et chaque année aux Glières l’héritage du Conseil national de la Résistance est rappelé pour ne jamais oublier les sacrifices perpétrés par nos aïeux pour nos propres libertés. Si nous portons ce formidable héritage, nous ne pouvons pas accepter la fatalité et laisser dire sans réagir par des responsables politiques soi-disant « républicains » que le Nouveau Front Populaire et le Rassemblement national, c’est la même chose. Cet argument scandaleux est une faute politique grave en plus d’être une insulte à notre histoire commune. ➡️ Alors ne nous laissons pas berner par le fatalisme et le grand confusionnisme actuels et réaffirmons haut et fort les valeurs et le programme issus du Conseil national de la Résistance. Face au déferlement de haine, à la division permanente et à la stigmatisation de l’autre, résistons, rassemblons-nous et réaffirmons avec le #NouveauFrontPopulaire les « Jours heureux ».

Il est assez curieux de voir certains milieux se déchaîner recemment dans les médias au prétexte que la Russie ne sera pas présente aux commémorations du Débarquement. J'ai donc retrouvé un texte qui récapitule comment l'événement a été pensé et conçu entre 1944 et 1984, date de la première commémoration internationale véritable. On notera que personne ne songea initialement à inviter l'URSS à l'époque, guerre froide oblige : "L’élargissement à de nouveaux invités suscita l’émergence de nouvelles revendications, à l’image de l’Union soviétique, cette dernière estimant que le débarquement n’avait été rendu possible que par l’ouverture d’un premier front à l’est. Le gouvernement français décida de donner partiellement suite à cette demande, en invitant le président de l’association des Anciens combattants ainsi que deux vétérans de l’escadrille Normandie-Niemen. Pas question néanmoins de donner un rôle actif à cette délégation dans un contexte fortement marqué par la guerre froide." En face de ces revendications de l'URSS de 1984, on pourra mettre les déclarations de la Russie en 2019, alors qu'elle n'est pas invitée au 75 ans. Selon Maria Zakharova porte-parole du MAE russe déjà à l'époque, « le Débarquement en Normandie n’a pas eu d’influence décisive sur l’issue de la Seconde guerre mondiale (...) déjà déterminée par la victoire de l’Armée rouge, avant tout à Stalingrad, Koursk» (https://lnkd.in/eDFY7mpp). Pourquoi la Russie n'était-elle pas invitée il y a 5 ans ? il y a l'excuse officielle des invitations décennales uniquement (70 et 80 ans mais pas 75). Mais surtout à l'époque pour l’historien spécialiste de la Seconde guerre mondiale Denis Peschanski, « Poutine n’a pas été invité pour des raisons politiques : compte tenu de son offensive de déstabilisation des démocraties européennes et américaines, en jouant sur les élections et sur la déstabilisation des équilibres mondiaux.» Nous sommes en 2019 et la Russie est déjà vue officieusement comme infréquentable. Aujourd'hui, en plus de l'invasion russe de l'Ukraine, alors que la Russie déploie contre nous tout son arsenal de guerres hybrides (désinformation, cyberattaques...), que l'ex premier ministre et président de la Russie Medvedev nous agonit d'injures à longueur de Tweets (l'alcool n'excuse pas tout...), certains voudraient malgré tout inviter la Russie, pour commémorer un évènement à laquelle elle n'a pas pris part au nom de la "cohésion des Alliés" ? Il y a les 8 et 9 mai pour ça et la Russie ne nous invite pas pour commémorer Stalingrad à ma connaissance. Je pose la question : est-ce que ceux qui souhaitent à toute force que la Russie soit présente ont encore un semblant de lucidité et de dignité ? https://lnkd.in/euKkgrxa

Message de Florian Philippot : Madame, Monsieur, chers Patriotes, Nous alertons depuis le début et beaucoup l’ont compris : l’oligarchie n’a aucune « ligne rouge » face à la Russie, elle n’a qu’une ligne droite pour aller vers la 3è guerre mondiale ! Dès qu’elle fut signée en juin 2021 à Bruxelles, nous avions fait connaître la « Stratégie 2030 » de l’OTAN qui portait déjà en elle ce scénario, bien avant le déclenchement de la guerre d’Ukraine. Macron veut sa guerre, espérant pouvoir forcer un 3è mandat. L’UE et l’OTAN poussent à la guerre, au service de l’État profond. Quand une tête de liste aux élections européennes en Allemagne, proche du chancelier Scholz, appelle à la mobilisation de « 900 000 réservistes face à la Russie », oui, l’heure est grave ! Toutes les forces de Paix ont le devoir de se lever ! Notre liste « l’Europe ça suffit ! » est la liste de la Paix ! Notre mouvement Les Patriotes, qui en est la force principale, est le seul qui mobilise en masse les Français pour la paix, depuis le départ, et qui dit : pas un euro, pas une arme, pas un homme pour l’Ukraine ! Mais des négociations de Paix, et la sortie au plus vite de l’OTAN pour défendre nos intérêts nationaux et la paix du monde ! Nous appelons évidemment les députés à boycotter la venue de Zelensky à l’Assemblée nationale vendredi ! Des millions de Français n’ont pas envie de se laisser faire ! Je salue les milliers d’agriculteurs en colère qui ont cette semaine bloqué la frontière espagnole puis envahi Bruxelles contre les institutions européennes, comprenant que la révolte paysanne devait reprendre de plus belle contre la macronie et contre l’Union européenne qui impose le libre-échange avec le monde entier ! De notre côté, nous avons reçu un nombre considérable d’attestations pour l’action collective contre Ursula Von der Leyen (SMS avec Pfizer) : bravo à vous ! Je les joins à notre plainte, ce sera très utile au juge d’instruction belge qui mène l’enquête ! La lutte contre la corruption est totalement absente du programme des listes « officielles » de cette élection européenne, celles choisies par le Système. De notre côté, nous en parlons, nous la faisons. Le Frexit aura l’immense avantage de permettre au peuple français de faire un grand ménage ! #européennes #paix #frexit