Post de Genève Aéroport

C'était déjà mal parti dès le départ... -Une guerre entre #Metz et #Nancy qui a généré un aéroport et une gare TGV séparés et au milieu de la Lorraine. -Une connexion voyageurs air/fer quasi inexistante : SNCF Voyageurs assure un trop faible nombre de dessertes, mais Kevin Speed (ilisto) devrait assurer 16 AR/jour entre #Paris et #Strasbourg à partir de 2028 en s'arrêtant à la gare de Lorraine TGV. -Perte du fret : DHL est parti en 2006 et l'aéroport se concentre sur les voyageurs. Lorraine Aéroport est pourtant équipé d'une piste de 3 050 mètres, pouvant accueillir des avions gros-porteurs. -Pas ou peu de diversification d'activités (Vols privés, aéroclubs, ateliers de maintenance/démantèlement d'aéronefs, fret...). La Chambre régionale des comptes Grand Est doit rendre un rapport sur l'avenir de Lorraine Aéroport. Sa publication est attendue pour le premier trimestre 2025. Affaire à suivre...

l'Aeroport : une synergie économique sous haute sécurité L'aéroport, véritable ville dans la ville, est le théâtre d'une synergie remarquable entre divers acteurs, tous liés par un fil conducteur économique, sans jamais perdre de vue l'impératif de sûreté et de sécurité. Une symbiose économique Au cœur de cet écosystème, l'autorité aéroportuaire orchestre une partition où chaque note compte. Les compagnies aériennes, principales locataires, paient des redevances qui constituent souvent la majorité des revenus aéronautiques. Mais ce n'est que la partie émergée de l'iceberg économique. Les services d'assistance en escale, véritables fourmis de l'aéroport, assurent le bon déroulement des opérations au sol. Leur efficacité est directement liée à la ponctualité des vols, un facteur clé de satisfaction pour les compagnies et les passagers. Cette satisfaction se traduit par une plus grande attractivité de l'aéroport, attirant ainsi plus de trafic et de revenus. Les commerces et services aux passagers jouent un rôle de plus en plus crucial. Restaurants, boutiques duty-free, salons VIP : ces espaces génèrent des revenus non-aéronautiques substantiels, permettant souvent aux aéroports de maintenir des redevances aéronautiques compétitives. C'est un cercle vertueux : plus de passagers signifie plus de clients potentiels pour ces commerces, ce qui à son tour permet d'investir dans l'amélioration des infrastructures. La sûreté et la sécurité : un investissement, pas un coût Dans ce ballet économique, la sûreté et la sécurité ne sont pas des figurants, mais des premiers rôles. Les services de sécurité, les douanes et l'immigration sont les garants de la tranquillité de cet écosystème. Leur présence, bien que représentant un coût important, est en réalité un investissement. Un aéroport sûr attire plus de compagnies et de passagers, renforce sa réputation et, par conséquent, sa valeur économique. Les technologies de pointe en matière de sécurité, comme les scanners corporels avancés ou les systèmes de détection d'explosifs, sont certes coûteuses, mais elles fluidifient aussi les contrôles, améliorant l'expérience passager et l'efficacité opérationnelle. Une coordination vitale La clé de voûte de cette synergie réside dans une coordination sans faille. Les systèmes de gestion aéroportuaire intégrés permettent un partage d'informations en temps réel entre tous les acteurs. Un retard de vol n'impacte pas seulement la compagnie aérienne, mais aussi les services d'escale, les commerces qui ajustent leurs effectifs, et même les contrôleurs aériens qui doivent revoir leur planning. Cette interdépendance économique pousse chaque acteur à l'excellence, car la défaillance de l'un peut avoir des répercussions sur l'ensemble du système. Les réunions de coordination régulières ne sont pas de simples formalités, mais des moments stratégiques où se jouent l'optimisation des ressources et la résolution proactive des problèmes.

De nombreux enseignements à retenir dans cette étude de la DGAC !

🧐 Qui sont les passagers aériens ? La DGAC vient de publier les résultats de l'enquête nationale auprès des passagers aériens 2023 pour comprendre les caractéristiques des déplacements aériens et leurs évolutions dans les aéroports français. 4️⃣6️⃣ 0️⃣0️⃣0️⃣ passagers aériens interviewés dans 1️⃣0️⃣ aéroports de la métropole Retrouvez les résultats de l'enquête 👉 https://lnkd.in/euSRBzXU Ministère Écologie Territoires

🔔 Une grande étude sur les passagers aériens en France en 2023 🔔 46 000 passagers ont répondu à l'enquête de la Direction Generale de l'Aviation Civile #iata #aeroports #tourism #ataf #uaf #iftm #aftm #businesstravel #airlines #transports

PARIS AIR FORUM 2024 - Malgré une hausse des prix des billets d'avion d'au moins 25% depuis 2019, le trafic vers les destinations d'Outre-mer s'apprête à dépasser ses niveaux d'avant-Covid. Les compagnies sont aujourd'hui à la la recherche de moteurs de croissance.

L’aéroport de Toulouse-Blagnac affiche un bilan mitigé mais encourageant pour le deuxième trimestre 2024. Alors que le trafic global progresse légèrement, des disparités importantes se dessinent entre le trafic national et international. Ces évolutions soulignent les tendances du secteur aérien, entre une reprise progressive et les défis persistants.

Trafic passagers de Paris #Aéroport La tendance favorable observée jusqu’en 2019 pour le trafic passagers de Paris Aéroport s’est brutalement interrompue lors de la pandémie de Covid-19 ; sur l’ensemble de 2020, le repli s’était ainsi élevé à 69,4 % par rapport à l’année précédente. En 2021, le nombre de passagers à d’Orly et Roissy a commencer à se redresser pour atteindre 41,9 millions (contre 33,1 millions en 2020) ; la reprise s’est poursuivie en 2022 et en 2023 (86,7 millions et 99,7 millions). Toutefois, le trafic passagers de Paris Aéroport en avril dernier est resté inférieur (de 7,2 %) à celui du même mois de 2019.   La suite dans notre Flash de Conjoncture

Rebond spectaculaire du trafic aérien en Europe Les derniers chiffres montrent que la fréquentation des aéroports européens a dépassé les niveaux d'avant la pandémie de Covid-19. Cette reprise témoigne de la résilience du secteur aérien et de l'appétit retrouvé des voyageurs, avec 2,3 milliards de passagers en 2023, soit une hausse significative par rapport à l'année précédente. Cette tendance soulève des questions importantes sur l'avenir du transport aérien, notamment en termes de durabilité et de capacité d'accueil. https://lnkd.in/eczd76tJ #TransportAérien #Reprise #Tourisme #DéveloppementDurable

Une bonne nouvelle s’il y a des efforts d’attractivité pour les clients par rapport au prix et à la disponibilité des contingents de places disponibles par niveau tarifaire. ce sera toujours mieux que la solution de train de nuit actuelle gérée consortium par les ÖBB, en partenariat avec la DB, la SNCB et la SNCF,avec ses prix souvent exorbitants. De porte à porte, mon temps de trajet actuel de Paris 15èle à Berlin Charlottenburg, avec charngement à Köln, ou Frankfurt est de 13 heures , contre 11 heures pour l’avion, via Paris Roissy CDG. Donc la concurrence s’avère impitoyable et j’espère que les responsables de l’axe à la DB et à la SNCF seront pertinents.