📣 Aide exceptionnelle aux contrats de professionnalisation Pourquoi sacrifier un dispositif qui participe à l’insertion et la réinsertion professionnelle alors que la France vise le plein emploi ? Il est regrettable que le Gouvernement, qui promeut par ailleurs le #PleinEmploi, décide quasiment du jour au lendemain de supprimer l’aide exceptionnelle aux contrats de professionnalisation dès le 1er mai 2024 au lieu du 1er janvier 2025, alourdissant d’autant le coût du travail de ces salariés en alternance. Près de 60 % des contrats de professionnalisation (plus de 70 000 en 2022) sont conclus dans une activité de services. C’est un dispositif particulièrement utilisé dans nos secteurs d’activités notamment pour ramener vers l’emploi des #jeunes sortis du système scolaire, parfois depuis plusieurs années, sans aucun diplôme, ni qualification. Le contrat de professionnalisation permet à ces personnes de bénéficier d’une formation adaptée, d’une qualification professionnelle et d’une intégration durable dans l’emploi. Toutefois cela a un coût pour les entreprises qui les recrutent. Damien Verdier, Président du Groupement des Professions de Services, « demande officiellement à Madame Catherine Vautrin, Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, de renoncer à cette mesure incompréhensible afin de ne pas freiner l’effort permanent des entreprises de Services en matière d’inclusion par l’emploi ». #emploi #inclusion #formation #contratdeprofessionalisation #CQP Ministère du Travail | Catherine Vautrin | Olivia Gregoire Isabelle Aprile | SNRC - Syndicat National de la Restauration collective | Brice Alzon | Catherine LOPEZ | Mehdi Tibourtine | Fédération des entreprises de services à la personne (FESP) | Philippe JOUANNY | MONDE DE LA PROPRETE | Patricia CHARRIER-IZEL | loys Guyonnet | SP2C Syndicat Professionnel | Caroline ADAM | Véronique Discours-Buhot | Fédération Française de la Franchise | Union TLF | Olivier Poncelet | Nancy NOEL | Frédérique AMMELOOT | SORAP | Pierre BRAJEUX | GES - Sécurité Privée | Cédric Paulin
Patricia CHARRIER-IZEL
6 mois
Totalement en phase avec toi Damien Verdier et le GPS - Groupement des Professions de Services ! Qui mieux que les métiers de services dont la #propreté est aujourd'hui en capacité d'insérer et former les jeunes les moins qualifiés ! Cette mesure couperet, si elle devait être appliquée, aurait sans nul doute des conséquences sur cette insertion ! MONDE DE LA PROPRETE Philippe JOUANNY Cécile BONNAY loys Guyonnet
La Fédération Française de la Franchise s'associe au GPS - Groupement des Professions de Services pour dénoncer la suppression brutale de cette aide qui va à l'encontre du développement économique de secteurs déjà en forte tension.
Eric CASTELNAU
6 mois
Soutien total ! c'est un grand gâchis ...au secours quel manque de cohérence du gouvernement. Attention préparez vous à la suite avec l'alternance le Mouvement des Entreprises de France avec Patrick Martin doivent sortir de l'ambiguïté. C'est aussi un drame pour la relation entre les entreprises et la jeunesse.
Président de la FFPS et FEPD, Administrateur Qualifié Indépendant, Conseil
6 moisLes services, la restauration et lecommerce jouent un rôle crucial en intégrant les jeunes dans le monde professionnel. La prime a été un outil essentiel pour conclure des contrats avec des dizaines de milliers de jeunes, valorisant ainsi le travail en entreprise. Ce processus nécessite du temps : le tutorat assuré par les apprentis d’aujourd’hui sera la clé du succès. Interrompre ce mouvement positif présente des risques : • Exclure des jeunes du marché du travail à court terme. • Maintenir ces jeunes dans le système éducatif public (qui a un coût aussi) plus longtemps, retardant ainsi leur entrée dans le monde professionnel. • Empêcher les entreprises de franchir le pas vers la création de postes car dans une période où les volumes de chiffre d’affaires diminuent hors inflation, alors que les coûts augmentent. Faire du Cost-Killing demande de ne pas couper aujourd'hui les branches qui vous apportent des solutions pour demain, mais plutôt d'aller couper les branches qui coutent chères et qui empêchent la dynamique des entreprises.