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❓ Quel est le PIB de la France ? 📈 La réponse se trouve dans la #QuestionDeLaSemaine du Cedef - Centre de Documentation Économie-Finances publiée le 28 mai ! https://lnkd.in/dxyCX9sk 💡 Les documentalistes du Cedef vous expliquent dans cette fiche comment et où sont publiés les chiffres du produit intérieur brut (PIB). ❓❓ Vous avez d’autres questions sur un sujet économique ou financier ? Consultez nos fiches pratiques sur le site du Cedef : https://lnkd.in/eqPHs46J Vous avez une question particulière et vous n’avez pas trouvé l'information dans nos fiches ? ➡ Interrogez les documentalistes du Cedef : vous recevrez une réponse dans un délai maximum de 3 jours ouvrés et votre question sera peut-être la prochaine #QuestionDeLaSemaine 👉 https://lnkd.in/dvJT9ihR Pour tout savoir sur le Cedef 👉 https://lnkd.in/ea7yURg5 #PIB #ProduitIntérieurBrut #économie #croissance  #IndicateurEconomique Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique Insee Direction du Budget - Bercy OECD-OCDE

#ConjonctureFlash ⚡️ Votre résumé mensuel sur l’état de l’#économie #luxembourgeoise 🇱🇺📊Découvrez l’édition de Juin: Après une légère récession en 2023, une faible expansion du PIB en 2024 📈

Les économistes font parfois preuve d’une grande imagination, au point d’inventer des fictions économiques. Laissez-nous vous présenter deux “indicateurs non observables”, le "PIB potentiel" et le "déficit structurel", qui sont au cœur des règles budgétaires européennes et ont donc une influence majeure sur les politiques économiques des États. De quoi s’agit-il ? > Le "PIB potentiel" est censé représenter ce que serait le PIB d'un État dans un contexte économique "normal". > On en déduit le solde structurel, qui dépendrait donc uniquement de la politique menée par l'État. L'objectif est d'estimer si le non-respect des règles budgétaires européennes par un État est conjoncturel ou le résultat d'une "mauvaise gestion". Mais… > Ces indicateurs reposent sur des théories non vérifiables, aux faiblesses méthodologiques importantes. > Elles se basent notamment sur des projections de l'"inflation anticipée", du taux de chômage "normal" et d'un "progrès technique" régulier. Morale de cette histoire : La technicité et la complexité de ces règles est un frein au débat public sur les politiques budgétaires. https://lnkd.in/epiF2Zyj 

https://lnkd.in/dnjza7uu D'après les chiffres publiés par l'Insee le 30 avril, le PIB de la France a progressé de 0,2 % au premier trimestre 2024, surpassant ainsi les prévisions de l'institut d'études économiques, qui tablait sur une croissance nulle pour les trois premiers mois de l'année. L'activité économique du pays a été portée par une augmentation de 0,4 % de la consommation des ménages (contre 0,2 % au dernier trimestre 2023) et une reprise des investissements (0,3 % au premier trimestre 2024, contre -0,9 % au trimestre précédent). Le ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, a salué la nouvelle, ajoutant que cette progression du PIB traduit la « solidité » de l'économie française.

En Juillet dernier, Bruno Le Maire a salué l’excellente performance de l’économie française suite à la hausse du PIB. 📈 Pourtant, la plupart des économistes que je lis ou écoute soutiennent que l’économie de la France va très mal, et que l’on fonce droit dans le mur à grande vitesse. J’ai creusé le sujet du PIB et de la dette, puis j’ai écrit cet article expliquant comment le PIB permet de faire croire que tout va bien alors que tout va mal. 🙃 https://lnkd.in/ePZQ_mpw TL;DR: Le PIB de la France concerne la production interne. Mais l’État a la possibilité de s’endetter, ce qui apporte du capital de l’extérieur. Il peut ensuite utiliser ce capital pour créer de l’emploi public, et donc augmenter le PIB. Une citation célèbre de l’économiste Keynes résume très bien la situation : “Si vous payez des gens pour creuser un trou, et d’autres pour le reboucher, vous créez du PIB”. Bien évidemment, je ne suis pas économiste. Si vous chercher un article écrit par une personne légitime, voici un article de Charles Gaves qui parle du PIB et qui a inspiré mon article. https://lnkd.in/e-HM65xd #economie #france #dette #pib

[#Veille hebdomadaire #IEIF] 🔍 Dans notre newsletter « L'Essentiel de l'Économie et de l'Immobilier » cette semaine notre analyste Christopher Puyraimond revient sur le rapport de l'OECD-OCDE : 💡 Dans son rapport intermédiaire sur les perspectives économiques, l’OCDE a publié début février ses projections pour la croissance mondiale. Celle-ci devrait rester modérée en 2024 et 2025. La croissance du PIB mondial atteindrait 2,9 % en 2024, en légère baisse sur un an, avant de remonter à 3,0 % en 2025. L’OCDE alerte également dans ce rapport sur les risques géopolitiques qui restent importants, notamment au Moyen-Orient ainsi que sur l’effet de freinage à venir provenant des hausses antérieures des taux directeurs qui pourrait être plus fort que prévu. 📌 Consultez l'étude : https://lnkd.in/eGukqKCE 👉 Inscrivez-vous à notre newsletter : https://lnkd.in/ecvwZvqK #newsletter #économie #PIB #inflation #taux

Ce ne sera pas évident de suivre et de comprendre l’évolution de l’économie tout au long de l’année.

Il est regrettable de constater que certains membres du Parlement ne maîtrisent pas les concepts de base tels que la balance commerciale et l'inflation monétaire, alors qu'ils sont censés défendre les intérêts des communautés et des citoyens algériens. Ces sujets sont cruciaux pour comprendre l'économie nationale et les défis auxquels le pays est confronté. Il est impératif que les membres du Parlement acquièrent une connaissance approfondie des questions économiques afin de prendre des décisions éclairées et de formuler des politiques efficaces pour promouvoir le bien-être économique et social de la nation. Ignorer ou négliger ces aspects essentiels de l'économie peut compromettre la capacité du Parlement à répondre aux besoins et aux aspirations des citoyens. Il est donc essentiel que les membres du Parlement s'engagent dans un processus d'apprentissage continu et cherchent à améliorer leurs connaissances en économie, en s'engageant dans des formations spécialisées, en consultant des experts et en se tenant informés des développements économiques nationaux et internationaux.

Ce ne sera pas évident de suivre et de comprendre l’évolution de l’économie tout au long de l’année.

Alors que l’économie française sort à peine la tête de l’eau après la crise sanitaire liée au Covid-19, de nouveaux nuages s’amoncellent à l’horizon. Selon les dernières prévisions de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), l’incertitude politique régnant actuellement dans le pays pourrait amputer la croissance de 0,1 point de PIB en 2024 et de 0,2 point en 2025. L’instabilité politique, frein à la confiance des acteurs économiques Le climat d’incertitude politique lié à la dissolution de l’Assemblée nationale en juin dernier et à l’absence de majorité claire au Parlement pèse sur la confiance des ménages et des entreprises. Ces derniers, face aux doutes sur la stabilité et la lisibilité de la politique économique à venir, pourraient être tentés de reporter leurs projets d’investissement et de consommation. En effet, les orientations budgétaires et fiscales des prochaines années restent floues. Les réformes qui seront mises en œuvre pour redresser les comptes publics et stimuler l’activité sont encore inconnues. Dans ce contexte, anticiper l’avenir devient un exercice périlleux pour les agents économiques. Vers un ralentissement plus marqué que prévu en 2025 Si le gouvernement table encore sur une croissance de 1,1% en 2025, l’OFCE se montre plus pessimiste. Les économistes de l’institut prévoient un ralentissement de la croissance à 0,8%, soit 0,3 point de moins que l’estimation officielle. Ce tassement de l’activité serait en grande partie imputable aux efforts de redressement des finances publiques. Pour ramener le déficit public de 6,1% du PIB en 2024 à 5% en 2025, le gouvernement devra serrer la vis budgétaire. Selon l’OFCE, ces mesures amputeront la croissance de 0,8 point de PIB l’an prochain. Lire la suite Les moteurs de la croissance française en pleine mutation En 2024, la politique budgétaire expansionniste devrait soutenir l’activité, tandis que la politique monétaire restrictive de la BCE pèsera sur la croissance. L’an prochain, la donne sera inversée : l’impact de la remontée des taux d’intérêt s’estompera mais le resserrement budgétaire se fera sentir. Ainsi, « la nature des moteurs de la croissance française change complètement entre 2024 et 2025, passant d’un effet négatif de la politique monétaire et positif de la politique budgétaire en 2024 à une combinaison inverse en 2025 », souligne l’OFCE. Le pouvoir d’achat des Français sous pression Si l’inflation devrait refluer à 1,5% en moyenne annuelle en 2025 après 2% cette année, les Français subiront une légère baisse de leur pouvoir d’achat individuel de 0,2% l’an prochain, après une hausse de 1,1% en 2024. Malgré tout, la consommation des ménages resterait le principal soutien de la croissance. Elle progresserait de 1,1% en 2025, soit quasiment deux fois plus qu’en 2024 (+0,6%). En parallèle, le taux d’épargne des Français reculerait de 0,7 point à 17,1%, un niveau qui reste toutefois largement supérieur à celui d’avant-crise. ...