Post de Intact

Merci Dr. Heïdi Sevestre de rappeler l'importance cruciale de l'éducation et l'accessibilité pour tous (citoyens, entreprises, politiques...) aux connaissances sur le climat et le vivant, un enjeu majeur sur 2024. Les glaciers, véritables sentinelles du climat, qui sont nos châteaux d'eau douce (2% de l'eau présente sur Terre), qui permettent notamment l'irrigation de notre agriculture...souffrent particulièrement du dérèglement climatique (l'état de la Mer de Glace à Chamonix en témoigne..), un scénario à +4° entraînerait la perte de 100% des glaciers d'ici à la fin du siècle. Connaître les ordres de grandeur (ex: 1 kg de Co2 émis dans l'atmosphère équivaut à 15 kgs de glace fondue...) et comprendre les services que nous rend "gratuitement" la nature, services (pollinisation, fixation du climat, irrigation...) que l'on chiffre à environ 125 000 milliards de $/an (soir 2 fois le PIB mondial), qui ne pourront jamais être compensés par quelle technologie que ce soit, est une base essentielle. Tu l'as rappelé par une expression populaire mais pleine de sens : "on protège ce que l'on aime, on aime ce que l'on connaît, on connaît ce qu'on nous a enseigné..." Nous avons encore les cartes en mains pour éviter le pire, chaque dixième de degré compte il faut le rappeler. Et l'éducation est une des clés... https://lnkd.in/dTV4ZPK2?

Vous avez sûrement dû voir de nombreuses fois cette information le jeudi 1er août 2024 : La terre vit désormais à crédit. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Le terme la terre vit désormais à crédit signifie que pour 2024, les habitants de la terre ont épuisé toutes les ressources naturelles que la planète pouvait produire et renouveler en une année. En effet, chaque an, la terre génère des ressources pour permettre à ses habitants de survivre. Ces ressources sont principalement des énergies renouvelables comme le soleil ou le vent, capables de se régénérer rapidement, donc ressources illimitées, et des énergies non renouvelables qui prennent du temps à se régénérer. Ce sont le pétrole, le gaz, le charbon et l’uranium entre autres. En Français facile, quand on vous dit que la terre vit désormais à crédit, c’est comme si vous avez épargné 24millions de francs guinéens pour vivre en 2024 ; ce montant est sensé vous permettre de survivre et subvenir à tous vos besoins jusqu’au 31 décembre 2024. Mais pour diverses raisons et actions causées par vous, il arrive que ce montant soit totalement consommé à la date du 1er août 2024, vous poussant à puiser dans vos réserves ou votre épargne qui devait servir pour l’année suivante ou pour autre chose. Vous êtes donc obligés de vivre à crédit, utilisant des ressources qui n’étaient pas destinés pour cet usage. Vous comprenez mieux ? Pour donc changer la donne et réduire l’épuisement des ressources, il est important de s’appuyer sur les énergies renouvelables qui sont illimitées et gratuites avec un impact réduit sur l’environnement, de recycler vos déchets notamment ceux plastiques chez Managnouma SARL par exemple et de réduire notre consommation en énergie. Ce sont des actions simples que chacun peut poser à son niveau, mais qui peuvent avoir un grand impact. N’hésitez donc pas à protéger votre terre, l’héritage de nos futurs enfants. Vous pouvez déjà commencer en partageant ce poste. crédit photo : TF1 infos #environnement #jourdudepassement #Couinelisa

https://lnkd.in/ekeqv7vr Bienvenue en printemps ! Pour un début de mois tout en égards, vous trouverez de quoi comprendre comment les plantes fleurissent, et comment placer le curseur dans la relation des territoires aux “espèces invasives”. Si vous avez suffisamment hiberné, le sujet de la cohabitation humaine avec les sangliers bousculera probablement quelques prénotions bien installées. Mois de mars et des giboulées : nous parlerons aussi de gestion des eaux. Si les institutions semblent bien préparées aux grandes eaux, comment les concerné.e.s réagissent-ils aux inondations ? Que nous disent les cartes de l’état des cours d'eau franciliens ? Vous trouverez ensuite deux articles sur les facettes que peut recouvrir l’agriculture urbaine, qui montre encore une fois qu’elle n’est pas vertueuse en soi, mais bien le vêtement des intentions qu’on lui porte. Instrument de gentrification décroissante, ou de nourriture voisine émancipatrice, de fascinants paradoxes vous attendent. Bonne lecture !

💭 Il est tout à fait illusoire d’imaginer que la course à un avenir durable est compatible avec la course à la surconsommation déraisonnée 🧐. Ce discours semble inaudible, tant au niveau des électeurs / consommateurs que des dirigeants qu’ils viennent d’élire. Mais que cela leurs plaise ou non, les inondations et les sécheresses se généralisent jusqu’à générer des crises migratoires et géopolitiques tangibles 🌍. 👉 https://lnkd.in/egVTF2F6 #environnement #climat #géopolitique #consommation #société

L’indice D’humidité Par Différence Normalisée ou Normalized Difference Moisture Index (NDMI) L’indice d’humidité par différence normalisée (NDMI) détecte les niveaux d’humidité dans la végétation à l’aide d’une combinaison de bandes spectrales proche infrarouge (NIR) et infrarouge à ondes courtes (SWIR). C’est un indicateur fiable du stress hydrique des cultures. Le NDMI est un meilleur indicateur de #déforestation que le NDVI grâce à une baisse moins brutale des valeurs. Comme la plupart des indices, NDMI ne peut avoir que des valeurs entre -1 et 1, ce qui le rend très facile à interpréter. Le stress hydrique serait signalé par des valeurs négatives proches de -1, tandis que +1 pourrait indiquer un engorgement. Par conséquent, chaque valeur intermédiaire correspondra à une situation agronomique légèrement différente. L’indice d’humidité par différence normalisée peut être utilisé pour :  Surveiller régulièrement la teneur en eau des cultures,  Déterminer les zones de champs/fermes avec stress hydrique,  Améliorer la planification logistique de l’abattage des arbres,  Déterminer les niveaux de combustibilité dans les zones vulnérables aux incendies. Il urge d'orienter les politiques de reboisement dans les zones de stress surtout dans les communes des départements de l'Alibori, du Borgou et de l'Atacora (avancée du désert sahélien). Dans les Collines et le Zou, il faut renforcer les sensibilisations et limiter la coupe d'arbres comme source de production du charbon à grande échelle. Promouvoir à cet effet, les foyers écologiques (Foyer Atigan), le gaz et initier des projets de bois de chauffe (Comme Forêt classée de Ouèdo, Pahou, ..). Dans la partie méridionale à forte densité humaine, il faut exiger deux ou trois arbres par maison et créer des parcs naturels comme la forêt de Banco en Côte d'Ivoire, au cœur de la ville abidjanaise. Créer l'Agence Spatiale Béninoise et du Suivi du Territoire (ASBST) pour un développement des compétences et un suivi en temps réel du territoire national à partir des données d'observation de la terre. Renforcer la collaboration sud-sud et sud-nord dans le domaine spatial. Illustration avec l'image de NMDI de 2023 #NDMI #GEE #remotesensing #Sentinel_image #benin https://lnkd.in/eMkJkVf7

🇦🇶🗓️[Direct] Les calottes du #Groenland et de l’ #Antarctique perdent de la masse et contribuent à l’élévation du niveau des #mers. Le jeudi 25 janvier à 17h, Gaël Durand, directeur de recherche au CNRS - Centre national de la recherche scientifique et co-auteur du GIEC, nous parlera de l’état de l’art de nos connaissances sur le bilan de masse des calottes polaires et leurs impacts sur le niveau des mers. Si l’élévation du niveau des mers au cours des prochains siècles est irrévocable, l’adaptation à ces changements doit d’ores et déjà être mise en place. Gaël Durand nous présentera également son métier de chercheur et discutera des défis et des leviers liés à l'enseignement de ces questions. 👉 Ce Direct est organisé dans le cadre du #MOOC #changementclimatique : impacts, atténuation et adaptation. Inscrivez-vous au MOOC pour avoir le lien : https://lnkd.in/eTAEq7ys

Un beau travail d'équipe, et un numéro de Le 1 hebdo qu'on espère passionnant ! À retrouver en kiosques. Quelle relation à l'#eau dans un environnement et une société qui changent à toute vitesse ? Comment faire face aux #sécheresses et aux #crues ? Comment redonner sa place à la #biodiversité, tout en assurant l'approvisionnement en eau #potable, sans oublier les #industries, l'#agriculture, la production d'#hydroélectricité ? Comment s'adapter à la montée du niveau de la #mer, gérer les stations d'#épuration qui débordent, redonner un tracé plus "naturel" aux cours d'eau enserrés dans des berges bétonnées ? Quel doit être le #prix de l'eau, pour n'entraîner ni privations chez les plus modestes ni gâchis d'une ressource qui n'a plus l'#abondance qu'on lui prêtait ? Plein de questions, beaucoup de pistes de réponses et même des découvertes sur le "reméandrage" ou le savoir-faire des #castors... Avec l'anthropologue Agathe Euzen du CNRS, l'économiste Alexandre Mayol, l'écrivain Erik Orsenna, les équipes des Agences de l'eau un peu partout en France... Et la magistrale Claire Martha pour la création du poster ! Avec Iman Ahmed en cheffe d'orchestre, et aussi Julien Bisson et Martin Mauger. #JournéeMondialedelEau United Nations #gestion #partage #conflits #renaturation #zoneshumides #solutionsbaséessurlanature

Nous rentrons avec tellement de données et de beaux échanges des Rencontres Économiques d'Aix, par Le Cercle des économistes, que l'on peine à tout synthétiser 😓🤓📝! 380 intervenants et autant de sujets qui portent à réflexion ! Mais nous tenions tout de même à partager quelques données recueillies lors de deux sessions fortement liées à nos #activités et qui nous ont particulièrement plu. Et pour les curieux 👉 toutes les sessions sont accessibles sur le site des Rencontres. Bon visionnage ! #reaix   📝 Session 10 – « Biodiversité, relier les mondes du #vivant » visait - une fois de plus - à rappeler l'urgence : 1/5 des espèces vivantes pourraient disparaître dans les 30 ans à venir. La dégradation de notre terre est en marche. 💠 Extraits : - Lionel Fontagné, du Cercle des Economistes, a rappelé combien la biodiversité est garante de la diversité des milieux, des espèces, de notre #agriculture, de la biosphère ; c'est un réservoir génétique et de médicaments, or nous assistons à son EFFRONDREMENT. Le changement ne peut être que le résultat d'une action #collective. Le Rapport Dasgupta préconise que la #VALEUR de la nature doit être intégrée au calcul économique. Le PIB aujourd’hui procède d'une "erreur de calcul" car on n'a pas valorisé la destruction de la ressource naturelle. Il faut repenser le calcul économique ! - Omnia El Omrani, MD souligne l'importance de l'éducation et de la #sensibilisation à intégrer dans tous les cursus et permettre que les pédagogues puissent apporter des solutions aux angoisses sur le climat. - Cecile Beliot-Zind, indique que dans son secteur, l'alimentation, il faut changer de modèle et sortir de l’agriculture intensive en grande partie responsable de la perte de biodiversité. Il faut agir sur le triptyque eau/climat/biodiversité, ne pas les opposer. Une agriculture #régénérative est possible.   📝 Session 12 – « Jeunesses : nos futurs ou no future ? » Cette session visait à débattre des échecs et des leviers de l’insertion des générations futures dans l’emploi et les institutions politiques : précarité, éco-anxiété mais aussi Plans sur l'emploi, #reconnexion au sens et… croire en ses rêves. 💠 Extraits : - Stéphane CARCILLO, rappelle que 1 jeune sur 8 est sans emploi et 100 000 jeunes quittent le système scolaire sans diplôme. Pour améliorer la situation, il faut améliorer la #vision des jeunes de l'entreprise et favoriser les re-connexions. La jeunesse a une capacité de résilience !  - Pascal Imbert, alerte sur le sentiment d'injustice et d'angoisse des jeunes face au changement climatique et leur sentiment que les politiques s’éloignent du sens de l'Intérêt Général et ne cherchent pas à affronter les #défis de notre monde. - Allan Petre évoque son parcours hors norme. Il est la preuve que les rêves sont atteignables par la volonté et la #formation ! « Petit, je me suis dit : un jour je travaillerai à la NASA. Il faut savoir viser haut, être #ambitieux et se préparer pour y arriver » 💜

#RDC : Tenant compte de l'impact nuisible de l'explosion démographique sur l'économie d'une société en développement, il est crucial de marteler sur cette problématique en #RDC de crainte d'assister à un MARASME ÉCONOMIQUE. La croissance démographique s'accentue anarchiquement et la production reste encore faible. La question de la masse démographique ne concerne pas seulement une portion de la terre mais la terre tout entière. Si des mesures préventives ne sont pas entreprises aussitôt : craignons LE PIRE !!!