Post de Le Soleil

Passionnant sujet qu’Amazon Ici encore le journaliste évoque une tromperie alors qu’il ne s’agit en fait que de capitalisme. Amazon n’est que le meilleur sur son canal de distribution (internet) alors que Toys’are us n’était que le meilleur sur son canal de vente (magasins physique). Toys’are us aurait dû mieux s’entourer, mieux comprendre l’évolution du marché, mieux être géré, mais ne peut parler de tromperie. Chacun des deux partenaires, lors de la signature de l’accord, y voyait son avantage et espérait en tirer le meilleur. Le marché a choisi son camp et c’est en fait en renonçant et en sous traitant la,vente sur internet que toys’are us a perdu la partie. C’est aujourd’hui la même chose avec #ChatGPT et l’intelligence artificielle. Tout ceux qui s’entoureront mal, feront de mauvais choix de partenariat, se retrouveront être les nouveaux toys’are us. Pensez y, et entourez vous…bien

Comment faire exploser les ventes de Horace sur Amazon 🇫🇷 ↘︎ Voici ma stratégie ! Horace c’est la marque de cosmétiques pour hommes qui cartonne ! Pourtant, Amazon n’est pas leur terrain de jeux principal, c’est pour ça que ça m’a donné envie de challenger leur stratégie. Imagine, tu tapes "Horace" sur Amazon et tu vois : Des concurrents qui se font un plaisir de profiter de l'absence de la marque. Un gros manque à gagner pour Horace, et c'est là que ma stratégie entre en jeu. Dans le post je dévoile mon plan d'attaque en 4 étapes si nous les accompagnions : 1. La mise en place. 2. Le lancement. 3. La gestion et les optimisations. 4. Le développement. Tu en penses quoi ? Donne-moi ton avis ! PS: En France, plus d'une vente sur cinq en e-commerce est réalisée sur Amazon. Ignorer cette plateforme, c'est se priver du plus gros marché et donc de chiffre d'affaires.

👨🏼⚕️ "Le réel, c'est quand on se cogne." Jacques Lacan. 📚Aïe réponds la Fnac **** Le livre n°1 des ventes chez Amazon, #transmania dont j'ai parlé la semaine dernière, est indisponible dans l'ensemble des Fnac de France. Mieux encore les vendeurs s'en félicitent sur Twitter en mettant en avant leurs convictions politiques. En parallèle la Fnac a des difficultés de plus en importantes, ferme ses points de vente comme ici l'emblématique magasin des champs élysées en accusant en vrac Amazon, les #français qui ne lisent pas assez, l'évolution de l'industrie de la musique sans jamais se dire que refuser de vendre ce que les gens veulent est peut être une partie du problème.... Finalement nul autre livre n'aura autant marqué la scission entre les politiques, la gauche, le commerce dit culturel et la population. 🤔 Les retraits des affiches du livre par les villes de #paris et de #lyon l'ont mis en tête des ventes. 🤔 Les refus de vente des libraires ont fait exploser les ventes pour Amazon ➡️ Aucun chargé de com ne connaissait l'effet Streisand  ? Quand la Fnac annoncera son plan social dans quelques mois ou quelques années il faudra se rappeler que "𝐥' 𝐚𝐠𝐢𝐭𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝟏𝟗𝟓𝟒" aura refusé de vendre le livre de deux féministes menacées de mort quotidiennement et censurées ... En conclusion l'enfant terrible est devenue une vieille bourgeoise moralisatrice et soporifique... Nous espérons juste qu'il n'y aura pas d'acharnement thérapeutique avec nos impôts 💵 𝑃𝑆 : 𝑀𝑒𝑟𝑐𝑖 𝐹𝑛𝑎𝑐 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑢 𝑙𝑜𝑏𝑏𝑦𝑖𝑛𝑔 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝐴𝑚𝑎𝑧𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑟𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑦𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑦𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑐ℎ𝑒𝑡𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑒𝑧 𝑑𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒... #humeur #politique #lecture #livres #commerces #transmania #fnac #amazon https://lnkd.in/dekBW6Et

Simplement excellent ! Un exemple à suivre ?

Le tournant s’est produit en 2017. À l’époque, le directeur du service des approvisionnements de la Ville de Québec, David Drouin, constate un nombre préoccupant de transactions sur Amazon à la Ville de Québec. «On voyait qu’il y avait un penchant fort par les utilisateurs [de la carte d’achat] pour aller vers Amazon, qui délaissaient, en fin de compte, les ententes locales», raconte David Drouin. Le hic, c’est que ces achats auprès du géant américain causent des problèmes avec la gestion des taxes, Amazon étant une entreprise étrangère. Les transactions sur Amazon empiètent aussi sur les ententes que la Ville a déjà signées avec des fournisseurs de la région de Québec. Or, la Ville tient à encourager le plus possible l’achat local. Devant ce défi, la Ville ne se contente pas de sensibiliser ses employés à propos de l’importance d’acheter localement. Elle bloque carrément les transactions sur Amazon. À la demande du Service des approvisionnements, l’institution financière qui émet les cartes d’achat empêche les employés de la Ville de faire des achats sur des marchés virtuels comme Amazon ou eBay, par exemple. «Ça fait que quand quelqu’un essaie de faire une transaction, le système financier refuse.» Des dérogations ne sont accordées que lorsque le produit est seulement disponible sur Amazon. C’est le cas, par exemple, de certains équipements électroniques pointus qui ne sont produits que par des entreprises américaines qui vendent sur Amazon. «Dans ce temps-là, on accepte de le faire via Amazon parce que ça nous permet, en fin de compte, de l’avoir en dollars canadiens et non en dollars américains», explique David Drouin. Mais Québec est allée encore plus loin pour favoriser l’achat local. Elle a investi en informatique pour mettre sur pied un portail d’approvisionnement interne qui pourrait rendre jalouses bien d’autres villes. Sur ce portail, les employés de la Ville peuvent en quelque sorte magasiner en ligne auprès de fournisseurs locaux avec lesquels Québec a signé des ententes. «Nous, c’est notre blague interne, on dit qu’on a un Amazon municipal», dit David Drouin. Des employés peuvent par exemple y chercher des bottes de sécurité parmi un vaste choix de modèles prévus dans le cadre d’une entente avec Latulippe, un magasin de plein air bien connu à Québec, situé à quelques coins de rue du Service des approvisionnements. L’entente avec Latulippe prévoit même un service d’essayage ambulant surnommé la «botte mobile». Un camion du magasin se déplace et permet aux employés de la Ville d’essayer les bottes avant de passer la commande. C’est le genre de service personnalisé qu’un géant américain comme Amazon ne peut pas offrir, note David Drouin. Et non, ce n’est pas plus cher d’acheter chez les fournisseurs locaux que sur Amazon, souligne le directeur du Service des approvisionnements.

Suite à l'article sur les achats de municipalités sur Amazon, il est intéressant de noter que Lévis dépense 20 fois plus que Québec sur cette plateforme. Le Soleil a récemment échangé avec la ville de Québec pour comprendre comment elle parvient à limiter ses achats sur Amazon, une tâche qui semble être un défi pour d'autres municipalités. Il apparaît que la clé réside dans l'initiative individuelle et la mise en place de pratiques spécifiques. L'approche de la ville de Québec peut servir d'inspiration pour d'autres municipalités, telles que Ville de Montréal (Valérie Plante), Ville de Lévis (Gilles Lehouillier), Ville de Bromont (Louis Villeneuve) , Ville de Granby (Julie Bourdon), et bien d'autres. Cette démarche met en lumière la possibilité de réduire les dépenses sur des plateformes comme Amazon en instaurant des initiatives internes et en adoptant des pratiques qui favorisent des alternatives plus durables ou économiques. Dépenses des municipalités sur Amazon: MONTRÉAL 648 715,89$ LÉVIS 139 000.80$ BROMONT 55 799,36$ GRANBY 40 815,65$ TROIS-RIVIÈRES 31 444,63$ GATINEAU 31 169,40$ SHAWINIGAN 27 792,40$ SAGUENAY 26 308,61$ MAGOG 25 415,03$ #amazon #achatlocal #municipalite #detaillant https://lnkd.in/ePTnvMwt

Comment Amazon a piégé et trompé ses partenaires La chaîne de magasins de jouets Toys “R” Us qui a disparu du paysage commercial - à quelques magasins près repris par des commerçants indépendants- n’est pas morte de son endettement conséquent ou de mauvaise gestion. Elle est morte d’avoir fait alliance avec Amazon. En 1999, Amazon n’est encore qu’un libraire en ligne qui cherche à élargir son offre. Le jouet lui semble un bon créneau. Il commence à référencer plusieurs fabricants, mais très vite, manque de stocks. Jeff Bezos va alors acheter ses cartes Pokemon ou ses chiens Mattel chez Toy’s R Us, au prix public donc, en utilisant le réseau de la marque de jouets, 1600 magasins dans le monde. Ce faisant, il perd de l’argent, puisqu’il est obligé de vendre les jouets au prix où il les a achetés et de les transporter en plus, mais il engrange 3 millions de nouveaux clients : c’est ce qui l’intéresse à moyen terme. Toys R Us, lui, se réjouit de ce nouveau débouché, car son propre site internet est indigent, et son patron John Eyler ne croit pas que le web puisse constituer un jour un canal de distribution majeur. Il pense qu’aucun parent n’achètera jamais un jouet sans le toucher. C’est sa première grosse erreur. La seconde est une faute stratégique : Eyler signe un contrat de dix ans avec Amazon afin de devenir son fournisseur officiel de jouets. Bezos et Eyler font leur annonce commune le 10 août 2000 : ensemble, ils seront respectivement le « premier site de jouets au monde » et « le plus gros vendeur de jouets du monde ». L’accord stipule que l’enseigne de jouets abandonnera son propre site internet et versera à Amazon 50 millions de dollars par an, en plus de la commission que le distributeur prélève sur chaque vente. A l’époque, cela ne choque personne. En réalité, John Eyler est tombé dans un piège. Car Amazon, en vendant de plus en plus de jouets en ligne, va collecter peu à peu toutes les données dont il a besoin pour dominer ce secteur : les contacts des clients, bien sûr, mais aussi des indications sur les produits qui se vendent le mieux, la saisonnalité, les occasions d’achat, les arguments de vente, l’efficacité de telle promotion. Il fourbit les armes qui lui permettront un jour de se passer de son partenaire. Pour couronner le tout, Bezos fait entrer des dizaines d’autres fabricants de jouets sur la marketplace, car le contrat qu’il a signé ne l’interdit pas ! Christine Kerdellant - Journaliste et essayiste , ancienne rédactrice en chef aux Echos et ancienne directrice de la rédaction de l’Usine nouvelle https://lnkd.in/eFeVtbWN

Conçu pour être le plus puissant #interface africain destinée à donner de la #visibilité aux #entreprises et particuliers, @AmazonPlus vise à devenir le #réceptacle des #œuvres innovantes en #ligne. Les #objectifs d'Amazon Plus inclus la fourniture d'un service client exceptionnel, l'offre d'une large #sélection de produits et la garantie d'une #livraison rapide et fiable. À mesure que l’entreprise grandisse, elle vise à se #diversifier dans de nouveaux secteurs, à adopter les avancées technologiques, à donner la priorité au développement #durable et à stimuler l’#innovation. Aujourd'hui, les objectifs d'Amazon Plus incluent la #vente des produits et services, la #fourniture d'expériences fluides, l'exploitation des #technologies émergentes pour donner de la #visibilité aux entreprises, être plus proche des clients, responsabiliser les #vendeurs tiers par l’affiliation etc…

la ligne du compte d'exploitation qui fait frémir Alice c'est la ligne DI la ligne en négatif trop de chiffres avant le signe moins Alice a comme objectif de maitriser cette ligne maudite ligne DEMARQUE INCONNUE trop connue, oui! mais d'abord faut maitriser le sujet. c'est quoi la DI? - le vol externe, les clients - le vol interne, le personnel - les erreurs de process: mauvaise intégration des livraisons, mauvais encaissement ou une mauvaise utilisation de la RFID pour ceux qui ont la chance de l'avoir les conséquences d une DI élevée sont lourdes et souvent négligées. Alice le sait une DI non maîtrisée cela signifie que les stocks sont faux. chaque manquant n est pas réassorti et donc la perte est double, triple, à l'infinie. parce que ce non réassort cela signifie pas de vente, le produit ne tourne pas. Les non ventes pèsent encore plus que la valorisation du produit seul. Cela la rend folle Alice tout ce CA qui ne se fera jamais! perte sèche pas glamour cet épisode d Alice Cette DI coute beaucoup d'argent et parfois la rentabilité n'est plus garantie Alice en a fait son cheval de bataille certains se passionnent pour la vente, elle son truc c'est les mécanismes de contrôle des stocks. pas fun? n empêche que sans taille sans réassort pas de vente, pas de proposition, pas de vente complémentaire, pas de choix bref vous avez le schéma récurrent et vicieux. Et puis moins de CA = moins de prime Alice a décidé de lister les magasins qui ont une DI > réseau Et pour chacun d'entre eux il va falloir un plan d'action précis, suivi et animé. Suffit pas de l'écrire, faut aussi le communiquer à l'équipe, l'afficher, le pratiquer tous les jours Allez Alice raconte, s'il le faut! * reprendre les formations sur les process encaissement, livraison et RFID. là Alice jubile, la RFID c'est son dada! * construire des plannings adaptés aux flux et limiter le plus possible les plages avec une seule personne sur le floor. * limiter les fermetures et ouvertures seuls, là encore un point sensible: oui certains dans les équipes volent. nous ne sommes pas dans le monde merveilleux de candy! * chacun ouvre son sac au départ du magasin, RM, RR, patrons... oui les RR et les patrons volent aussi parfois (Alice a des anecdotes qui vous feraient renoncer à croire en l'être humain, JJ Rousseau va te recoucher) * antivolage des pièces les plus chères; même en RFID * vérification des poubelles avant de les sortir ... Alice vous fait grâce des points suivants, parce que elle est intarissable sur le sujet Alice va en faire un point récurrent de ses visites. Rien ne sert de réclamer du stock si tu te bases sur des chiffres faux! Qui n'a jamais réclamé plus, plus de produits? alors que le sujet c'est une juste rotation! Décidément Alice adoooore ce sujet! ___ si tu es Alice va voir mon site entre2job.com #retail #marketing #femmes