L'acceptation de la #publicité en échange d'une réduction du coût de l’abonnement varie en fonction du profil des utilisateurs et non uniquement de leur capacité financière 🖥️ On observe notamment que les marchés émergents montrent des différences plus marquées par rapport aux marchés occidentaux. Par exemple, en Allemagne, les utilisateurs les plus aisés sont moins en enclins à accepter la publicité sur les services de streaming, contrairement à l’Inde, où les spectateurs assidus et fortunés affichent une disposition bien supérieure à la moyenne mondiale 🌍 Pour en savoir plus, consultez notre article issu des données #TGI Global Quick View : https://lnkd.in/eD8fQZRr
Post de Kantar Media FR
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Un nouvel acteur dans le paysage FAST / AVOD français ? Il y a quelques semaines, Bouygues Telecom a discrètement déployé myTV, une application de chaînes FAST sur Android et iOS d’abord destinée aux abonnés à son offre voyage My European SIM. La plateforme gratuite regroupe aujourd’hui une vingtaine de chaînes thématiques accessibles en trois langues (français, espagnol et anglais) et en Europe, toutes éditées ou sourcées par Okast. Côté monétisation, Bouygues nous explique “que la commercialisation est confiée dans un premier temps à son partenaire Okast” mais qu’il pourra “également proposer les emplacements à des annonceurs”. Loin des ambitions affichées par son concurrent Free avec Oqee, qui a déployé une vraie offre gratuite et multi-plateformes de cinéma, l’application est aujourd’hui cantonnée au mobile, et l’opérateur ne détaille pas ses ambitions sur un modèle FAST qui peine à décoller en France. Sur la question d’une possible extension de l’expérience à d’autres utilisateurs ou environnements (CTV, box…), Bouygues Telecom n’a pas souhaité s’exprimer.
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#Streaming forte hausse du budget des ménages français. Selon une étude BearingPoint, les budgets consentis par les Français pour leurs abonnements numériques aux médias ont grimpé de 22 % depuis deux ans dans un contexte inflationniste. Plusieurs indicateurs restent globalement positifs et la presse tire son épingle du jeu, mais les tensions s'accumulent, notamment pour le streaming payant. 63% des foyers français disposent d’au moins une offre d’abonnement en streaming, que cela soit pour la musique, la #vidéo ou encore les #jeuxvidéo. Un chiffre quasiment stable après plusieurs trimestres de progression. Chaque foyer détient en moyenne 3,2 abonnements numériques (dans 2,2 catégories), un chiffre, là encore, stable par rapport à l’an dernier mais les prix, eux, sont loin d’être stables pour les français selon une étude de Bearing Point. Le panier moyen pour les #abonnements numériques est de 45 euros par mois, un chiffre en progression de 22% sur un an, et cela peut monter jusqu’à 62,6 euros par mois pour la tranche des 18-24 ans pour 4,5 abonnements. Le streaming vidéo remporte la palme des abonnements dans toutes les tranches d’âges. Bien plus de foyers sont abonnés à un service de vidéo à la demande par abonnement qu’à la musique ou à des journaux en ligne. Et encore une fois, #Netflix est le plus détenu parmi les foyers mais le taux baisse petit à petit. Cette année, 59% des foyers détiennent un abonnement à Netflix contre 63% l’an dernier, 61% en 2022 et 57% en 2021. Parmi les autres abonnements détenus, nous pouvons retrouver #Prime Video en deuxième position (48%), #Disney+ (26%) et #CANAL+ (25%). En cinquième position se trouve #Spotify avec un taux de 18% suivi de #Deezer à 12%. #Médias #Broadcast #Streaming #OTT #SmartTV #SVOD #AVOD #VOD #VideoOnDemand #FastTV #BOX #ITPV #LiveStreaming #Replay #Cast #TNT #Mobile #App #ChronologiedesMédias
Streaming : hausse sous tension des budgets d'abonnement
lesechos.fr
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" L'autre grande conséquence de ce que l'analyste nomme le « peak streaming », cette arrivée de la #SVoD à une forme de plafond, est la montée en puissance des formules d'agrégation - ou « bundles » - qui incluent ces services dans les offres des opérateurs télécoms, poursuit Tim Mulligan. Aux Etats-Unis, T-Mobile inclut ainsi Netflix, AppleTV+ et Hulu dans l'une de ses offres 5G. « En France, l'augmentation de la pénétration de la SVoD se fait beaucoup à travers la position de super-agrégateur qu'a prise Canal+ », note de son côté Philippe Bailly. Ces « bundles » permettent aux consommateurs de plusieurs services de réduire la facture et de continuer de s'abreuver en contenu à de multiples sources. Avec leur durée d'engagement obligatoire, elles constituent aussi pour les services de SVoD une protection contre le #désabonnement. C'est également une manière de faire porter à l'#agrégateur le poids des dépenses marketing. Chacun y trouve son intérêt." CANAL+ Group #peakstreaming #opérateurtelecom
L'inflation des tarifs des Netflix et consorts rebat les cartes de la télévision payante
lesechos.fr
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#Submix24 is live! Notre étude annuelle sur les comportements des foyers français vis-à-vis de leurs offres d'abonnements à des services culturels numériques payants est disponible. Quels acteurs à l'étude ? ➡️ Les principaux acteurs de la SVOD, la Pay TV, Musique, Presse et Jeux vidéo en ligne, mis au regard dans une même étude. Quelles informations ? ➡️ Des indicateurs complets permettant d'apprécier les dynamiques sur le marché de l'abonnement : principaux abonnements détenus, satisfaction, motifs de souscription/résiliation, panier moyen, effets de l'inflation, concurrence avec les réseaux sociaux, acceptation de la collecte des données personnelles, importance des impacts écologiques... Quelle méthodologie ? ➡️ Un terrain mené en partenariat avec OpinionWay en janvier 2024 auprès d'un échantillon de 2 345 décisionnaires dans la souscription d’une offre d’abonnement streaming dans le foyer et disposant et d’au moins une offre dans le foyer. Contactez-nous pour une restitution complète de l'étude ! Nicolas Reffait Marc Burgelin Merci à Aida H. Flavien Gogo Pénélope Provôt Sabrina B. Les Echos : https://lnkd.in/ehgfF2PD
Streaming : hausse sous tension des budgets d'abonnement
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Directeur marketing & communication chez BOAS GROUP & SWISSEVOLIFE | Principes fondamentaux du marketing numérique
ETUDE La plus grande différence entre les américains et européens se situe avec la vidéo à la demande financée par la publicité (AVOD) et la télévision en streaming gratuite financée par la publicité (FAST). Alors que près de deux tiers (62 %) des répondants américains regardent du contenu en streaming financé par la publicité au moins une fois par semaine, seul un quart des Européens consomment ces formats.
Les Européens sont moins tolérants à la publicité, selon New Life of the Living Room
https://the-media-leader.fr
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📀 Les guerres de streaming évoluent vers une nouvelle phase, qui rappelle le modèle traditionnel de la télévision par câble. Les forfaits de services de streaming interentreprises émergent, combinant plusieurs plateformes pour offrir aux consommateurs des packages avantageux. 📺 Les consommateurs apprécient les forfaits principalement pour les réductions de prix qu'ils offrent. Les entreprises de médias, de leur côté, les préfèrent car ils permettent de réduire le taux de désabonnement et les coûts d'acquisition de nouveaux clients, même si cela implique de collaborer avec des concurrents potentiels. Par exemple, Disney et Warner Bros. Discovery se sont associés pour lancer un combo Disney+-Hulu-Max cet été. Un autre moteur de cette évolution est la montée en puissance des niveaux soutenus par la publicité. Les services de streaming cherchent à capitaliser sur ces opportunités publicitaires en augmentant leur audience via ces forfaits inter-entreprises. Les entreprises de médias traditionnelles veulent attirer les budgets publicitaires qui fuient la télévision linéaire, tout en maximisant la portée de leurs annonces. 💬 Vous en pensez quoi ?
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IPTV, le joueur dont les médias ne veulent pas parler… Qu’en est-il du désabonnement du câble ? Où en est l’hémorragie de la perte des abonnés ? Encore ici, la bataille fait rage contre de faux accusations, on blâme encore et toujours les grandes plateformes. Mais dans la réalité des choses, les plateformes subissent tout autant cette « malversation » des flux entrants et sortants de notre beau monde numérique. L’IPTV, qu’est-ce que c’est dans le divertissement ? Eh bien, c’est le charlatan qui vous fournit le soi-disant élixir de visionnement total. L’IPTV en 2024, c’est avoir toutes les chaînes du monde, mais aussi les contenus des plateformes les plus connues : Netflix, Amazon, Apple, HBO, Paramount, Starz, Hulu, etc. Bref, nommez les. Calculez le prix mensuel des plateformes nommées plus haut, plus un coût pour le câble, on est à environ 200.00 $ et plus par mois, soit 2,400.00 $ par année, contre l’IPTV pour 150.00 $ par an (en moyenne). Il n’y a pas de bataille, il y a un exode. Un de mes contacts a effectué une présentation d’une de ces plateformes « grises ». Outre le choix des chaînes de télévision, c’est plutôt sur les contenus en VOD qui m’ont littéralement surpris, et ils ont compris le système de géolocalisation eux !!! Des films et séries québécois avec spectacles (humour principalement, plus de 600 au total. De toutes les décennies et qui ne sont même plus disponibles sur aucune plateforme ou télé actuellement. De quoi apprendre des leçons. Même chose pour les plateformes étrangères, bref au total plus de 40 000 films et 30 000 séries. Attention, le tout placé par catégories en plus, on ne rit plus sur la qualité du service. À combien se situe le nombre de désabonnements en 2024 comparativement à 2018 ? La perte publicitaire ne vient elle pas aussi de ce point ? Personnellement, je me questionne sur la position des experts des médias face aux réseaux spéciaux et plateformes étrangères, qui prennent une part de marché selon un modèle d’affaires qui est propre à chacun. Mais l’IPTV, elle ? Pourquoi cette omerta ? Je n’ose pas croire que cela profite à Bell, Québecor, Rogers et Telus dans leurs filières fournisseurs internet. Je suis sérieux. Normalement, l’enjeu premier est de combattre une forme d’illégalité avant de s’attaquer à d’autres plateformes qui ont pignon sur rue. Cette forme de propagande sur les géants du web pour forcer une prise de conscience des gens , c'est les prendre pour des imbéciles ,les causes sont multiples et se sont accumulées au fil du temps , il était préférable d'attendre avant d'accuser celles-ci. Pendant ce temps, le « charlatan et sa potion magique de toutes les chaines télé à travers le monde est accessible », et peut faire des affaires sans craindre de se faire attraper. Les désabonnements du câble, combien ont-ils coûté aux entreprises de télévision ? en abonnements, en revenus publicitaires ?
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📀 Manager IT de transition 💎 Je vous aide à ajouter de nouvelles fonctionnalités à vos applications web rapidement et sans l'aide de développeurs
📀 Les guerres de streaming évoluent vers une nouvelle phase, qui rappelle le modèle traditionnel de la télévision par câble. Les forfaits de services de streaming interentreprises émergent, combinant plusieurs plateformes pour offrir aux consommateurs des packages avantageux. 📺 Les consommateurs apprécient les forfaits principalement pour les réductions de prix qu'ils offrent. Les entreprises de médias, de leur côté, les préfèrent car ils permettent de réduire le taux de désabonnement et les coûts d'acquisition de nouveaux clients, même si cela implique de collaborer avec des concurrents potentiels. Par exemple, Disney et Warner Bros. Discovery se sont associés pour lancer un combo Disney+-Hulu-Max cet été. Un autre moteur de cette évolution est la montée en puissance des niveaux soutenus par la publicité. Les services de streaming cherchent à capitaliser sur ces opportunités publicitaires en augmentant leur audience via ces forfaits inter-entreprises. Les entreprises de médias traditionnelles veulent attirer les budgets publicitaires qui fuient la télévision linéaire, tout en maximisant la portée de leurs annonces. 💬 Vous en pensez quoi ?
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💻 Parmi nos abonnés, y a t-il des utilisateurs de service(s) de streaming vidéo ? #SVOD #VOD Notre étude #TGI Global Quick View 2024 a été menée auprès des consommateurs de 37 pays 🌎 Le temps consacré entre service de #streaming payant vs gratuit varie selon les régions, avec une prédominance des services payants dans les marchés matures comme l'Occident. Par exemple, en France on passe plus de temps sur des services payants (58%) que gratuits (42%), la palme revenant à la Norvège avec 63% de payants, alors qu’en Chine la répartition est plutôt équilibrée 51%/49%. Pour aller plus loin et en savoir plus sur la consommation des services de streaming dans le monde, consultez notre dernier article 👉 https://lnkd.in/ecRhWQj2
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[🔊 Plateformes de streaming – Marché] Films, sport, musique en ligne… Les Français dépensent toujours plus - 27,5 millions de Français payent pour consommer des contenus culturels ou sportifs dématérialisés. Malgré l’inflation, ils n’ont pas sacrifié leur budget média et divertissement en ligne. Les Français consomment toujours plus de contenus culturels et sportifs en ligne. Et ils y consacrent aussi plus d’argent, selon la dernière édition du Baromètre de l’Arcom consacré à ce sujet. En 2023, 87 % des internautes français de 15 ans et plus, soit 45 millions de personnes, ont consommé au moins un contenu culturel ou sportif dématérialisé au cours des douze derniers mois. Cela représente environ 300 000 individus de plus qu’en 2022. Surtout, malgré l’augmentation des tarifs des grandes plateformes de streaming à l’instar de Netflix, Disney+, Spotify, Amazon Music… et un train de vie rogné par l’inflation, les Français n’ont pas sacrifié leur budget média et divertissement en ligne. Ils sont 27,5 millions (61 % des consommateurs) à avoir payé pour accéder à des films, des séries, de la musique, des livres, de l’information ou encore des compétitions en ligne. La dépense moyenne pour la consommation de ces contenus dématérialisés a augmenté de 6 euros, passant de 32 à 38 euros par mois… Source : Le Figaro - Arcom #netflix #disney #spotify #amazonstudios #streaming #arcom #consommation Arcom Netflix Prime Video & Amazon Studios Spotify
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